Je ne vous parle pas souvent de Télévision sur mon blog et pourtant c’est probablement une de mes activités principales lorsque je ne travaille pas et que les enfants sont au lit. Madame et moi sommes amateurs de bon films et de séries originales, pas tout ces trucs d’actions et d’enquête policières… Pourtant ici, c’est quelques choses d’un peu nostalgique dont je vais vous parler.
Retour en arrière de 20 années ! J’avais 13 ou 14 ans, et voilà que débarquait à la télévision le concept de « Feuilleton de l’été », chaque semaine un épisode long comme un film, suivant la folle histoire de d’une Famille Formidable… et chez nous, toute la famille dans le canapé après le diner pour suivre les tribulations de la famille Beaumont et leur restaurant en quête d’étoiles…
Les saisons se sont poursuivent avec un concept toujours pareil d’imbroglio familiale, des situations que l’on ne voudrait pas voir dans sa propre famille mais présentées de manière tellement coquasses que la sauce prend toujours vingt ans plus tard… Techniquement rien à changer, le style est toujours pareil et pourrait faire pâle figure face aux séries télé du moment… et pourtant, je prends autant de plaisir à voir arriver les nouveaux épisodes de cette 10° saison, à retrouver les personnages et leur caractère, un élément capitale pour moi étant que les acteurs et le scénariste soit resté les mêmes durant toute ces années.
Ceci dit, je crois que j’ai dû loupé la saison 9, car certaines choses me paraissent troubles et j’ai parfois eu un peu de mal à situer certains nouveau personnages
Et oui, bienvenue en 2013, papa de trois jeunes enfants, bientôt 35 ans, encore l’âge pour combattre du Zombie et sauver le monde des bêtises d’Umbrella corporation ?
Et bien, c’est clairement la question que je me suis posée après avoir attendu si longtemps l’arrivée du 6° volet de la série Resident Evil disponible sur Playstation 3. Dire qu’il y a 13 ans, je parcourais pour la première fois les rues de Racoon City afin d’échapper au Nemesis !
Resident Evil fait partie des titres qui ont marqué mon retour aux jeux consoles au début de ce siècle avec en apogée les épisodes Rebirth (le remake du premier) et Resident Evil 4, tous deux sur Nintendo GameCube. Depuis lors, la série a tenté de s’adapter aux nouvelles générations de joueurs. Beaucoup n’avaient pas vraiment été enthousiasmés par Resident Evil 5, premier titre de la série sur console « Next-Gen ». De mon coté, j’avais trouvé le résultat plutôt convaincant et poursuivant l’évolution déjà apportée par le 4° volet à savoir quitter les rues de Racoon City remplies de zombie et les Manoirs aux nombreux secrets. L’action prenant petit, un peu plus de place que l’aspect Survival pourtant lié aux origine de la série.
Depuis lors, Resident Evil s’est tenté un peu partout. Sur console portable, avec dit-on une certaines réussites, au cinéma avec de trop médiocres aventures, en jeu 100% orienté online et en épisodes rétro HD reboostés pas des plus réussis. Il est claire que pour beaucoup, Resident Evil 6 était attendu au tournant, d’autant que Capcom le présentait comme un retour aux sources.
Déjà pas mal de critiques fusent à son sujet sur le net ! A titre personnel j’avais trouvé la démo assez intéressante, et j’étais assez content de le recevoir sous le sapin… Ce n’est pourtant que ce Weekend que j’ai pu m’y essayer… et oui, 3 enfants et des semaines de fou, cela ne laisse pas vraiment l’occasion de jouer à la console !
Je n’y ai joué ici que 44 minutes, incluant peut-être une pause pour remonter voir si tout va bien. De quoi parcourir ce que j’appellerais le prologue, puis le début de l’aventure avec Leon. Suffisamment pour me donner l’impression d’avoir jouer à deux jeux différents !
Plus dynamique face à l’habituel rigidité de la série, le prologue se rapproche très fort de titres tels que Uncharted 3 et Heavy Rain. Si dans un premier temps je me suis dit, bon cela ne fait plus tant Resident Evil, j’ai été assez vite pris dans le bain de l’action, à protéger ma partenaire d’une menace inconnue. Car coté scénario, cette mise en bouche manque de clarté, j’imagine que l’on se retrouve plutôt vers la fin de l’aventure, et que l’on retrouvera ce dénouement par la suite… Je n’aime pas vraiment aimé ette manière de raconter une histoire, mais pour se faire au gameplay, c’est plutôt réussi.
Alors que j’étais bien dans l’ambiance… Poum, un gros logo Resident Evil 6, veuillez choisir votre campagne, si vous souhaitez jouer en réseau, munition illimité et compagnie… Ah là franchement, ça casse tout ! Et zoup, me revoilà dans le bureau du président se transformant en zombie, comme dans la démo d’octobre dernier.
Et là, quelle surprise, je me retrouve avec un personnage bien plus rigide dans sa démarche, sans pouvoir donner du coup pied aux zombies, beaucoup plus lent,… bref, du bien plus classique pour un Resident Evil, si ce n’est qu’en quelques minutes, je m’étais tout à fait adapté à ce que l’on venait de me proposer !
Que me réserve donc la suite de ce Resident Evil 6 ? Je vous en dirais plus lorsque j’aurais fini de m’arracher les cheveux avec mon Pinnacle Studio !
Depuis plusieurs mois, j’envisage de publier une ré-édition de mon album « Last trip on my ship » réalisé en 1999. Si jusqu’ici la plupart de mes anciens albums sont disponibles dans une qualité similaire à celle de l’époque, à savoir le rendu direct d’Impulse Tracker, j’aimerais comme pour l’album Gimme an Amiga, améliorer un tout petit peu la qualité du rendu sonore. Mais il me faut bien avouer que je n’ai pas toujours l’oreille et/ou le matériel qu’il faut pour ce travail… Ce qui fait que depuis l’été, j’ai déjà entrepris 3 ou 4 tentatives sans en être pleinement satisfait.
J’aimerais donc pouvoir recevoir l’avis de certains d’entre vous… quelle version des trois titres sélectionnés préférez-vous. La version originale, sortie brut de Schism Tracker ou du CD d’origine (à savoir donc issu d’Impulse Tracker)… la version « Ozone« , issue d’un talonnement complexe de l’outil de mastering du même nom… ou la version « T-racks » basée sur les presets de mastering que j’ai utilisé pour mes albums plus récents. Je ne vous livre pas mon avis ici, afin que vous puissiez être neutre dans votre choix.