Le weekend dernier, je me suis penché sur l’adaptation de Rayman Origins sur 3DS sorti en 2012, soit une année après les versions de salon.
À sa sortie fin 2011, le retour de Rayman est un évènement en soi. Depuis de longues années, le jeu de plate-forme à l’ancienne, en 2D s’était fait plus que discret derrière les productions en masse misant sur des univers en 3D !
Avec Rayman Origins, Ubisoft relance un genre qui sera rapidement suivi de nombreux autres come back de Mario, Donkey Kong et Sonic, entre autres !
Graphismes incroyables, musiques énergiques et composées pour suivre à la lettre l’action changeante du jeu, Rayman pouvait par ailleurs se lancer dans l’aventure accompagné d’une bande de copains, offrant un jeu en coopération locale jusqu’à 4 joueurs.
Aujourd’hui encore, Rayman Origins fait partie des jeux qui m’ont marqué dans ma vie de joueur, mais qu’en est-il de sa transposition sur la petite portable de Nintendo comparativement à l’œuvre initiale à laquelle j’ai joué sur ma PlayStation 3 !
C’était l’hiver précédent, après avoir longuement préparer mon plan d’attaque, j’avais réussi à acheter la PlayStation 5, alors en difficulté d’approvisionnement. En réalité, à cette époque, il était presque impossible d’acheter une console seule, et dans le pack proposé par les différents magasins, se retrouvait régulièrement un abonnement d’un an au PlayStation Plus d’une valeur de 59€.
Après avoir un peu attendu, j’ai fini par activer celui-ci en juillet 2022, alors que le service Sony complexifiait un peu son offre entre la version essential (59€/an), extra (99€/an) et premium (119€/an).
Le premier argument de vente de ce genre d’abonnement est de rentabiliser le jeu en ligne et les serveurs mis à disposition. Un choix de la marque depuis l’arrivée de la PlayStation 4. Dès lors, ne jouant JAMAIS à des jeux en réseaux, le PlayStation Plus n’avait que peu d’intérêt pour moi.
En parallèle, deux ou trois jeux sont proposés gratuitement aux abonnés chaque mois. Une fois « ajoutés » à votre collection, qu’ils soient téléchargés ou non, ils seront liés à votre compte PlayStation, que vous renouveliez ou pas votre abonnement !
Je pourrais ajouter que pendant mon année de découverte, Sony offrait également de manière temporaire un accès à un large choix de jeux supplémentaires issus du catalogue classique de la PlayStation 4 pour renforcer le lancement de sa 5° console. L’accès à ceux-ci disparaissant au mois de mai 2023.
Arrivé au terme de mon abonnement, c’est donc une bonne occasion de faire un bilan des jeux offerts durant ces 12 mois, soit pour un prix de 5€/mois et envisager ou pas, de reconduire l’abonnement proposé temporairement à 44€ pour l’année.
Sur ce laps de temps, ce sont donc 36 jeux qui auront été offerts. Parmi ceux-ci, certaines licences relativement fortes tels que Need For Speed, Mass Effect, Star Wars, Battlefield ou encore Call of Duty. Mais vous ne serez pas surpris de savoir que beaucoup de celles-ci ne m’intéressent absolument pas, je n’ai d’ailleurs pas choisi de les ajouter à mon catalogue de jeux en ligne !
J’avais un peu peur de me retrouver avec des titres que je possédais déjà, mais finalement ce ne fut le cas que pour deux titres : LEGO Harry Potter Collection et Alan Wake.
J’ai finalement découvert les joies du casse-brique assez tardivement, à la fin des années 80 avec Arkanoïd II sur PC, soit une éternité après la sortie de Break Out.
Depuis, j’ai toujours donc comparé tous les autres titres du genre à cette première expérience, et rarement, le fun et la précision d’Arkanoïd n’était au rendez-vous, hormis peut-être avec Shatter en 2009 sur la PlayStation 3.
Il y a peu, j’ai récupéré la cartouche de Crackout, un casse brique de Konami sorti en 1991 sur la NES chez nous en Europe, mais que nos petits amis nippons avaient déjà pu découvrir dès 1986 sur leur Famicom, soit la même année que le premier Arkanoïd de son concurrent Taïto.
J’avais eu au début des années 90, la version Commodore 64 de Crackout(Qui se présentait de mémoire sous le nom de Krackout). Il ne m’avait pas vraiment impressionné comparativement à la finesse des graphismes sur PC, mais nous sommes bien d’accord que le C64 était loin de pouvoir offrir le même genre de résolution, la comparaison n’était pas de taille.
Si je me souviens que mes parties à Arkanoïd II étaient loin d’être simples, j’ai été agréablement surpris d’enchainer sans trop de frustration les niveaux sur cette version NES. Musiques, couleurs, bruitages, prise en main, l’ensemble est plutôt réussi.
Il m’aura fallu un peu de temps pour bien anticiper les actions des bonus à ramasser avec parfois des différences notables (peut-être dues aux capacités de la console) en autre en mode multiball… qui se présente comme un DualBall où il faudra se concentrer en priorité sur la balle maitre pour ne pas perdre la partie.
Cette version NES est donc franchement sympathique, et bien qu’elle arrive en Europe près de 5 années après la version japonaise, elle était de taille à occuper les férus de casse-brique !
Attendu depuis de longs mois, le premier épisode de la nouvelle série “The Last of Us” reprenant l’univers du jeu vidéo de Naughty Dog était diffusé ce lundi ! Bon, pas de panique, je ne vais pas spoiler !
Lors que le jeu vidéo débarquait sur PlayStation 3 en juin 2013, il se positionnait comme une grande réussite visuelle callée sur un gameplay qui avait fait ses preuves, celui des aventures de Nathan Drake dans Uncharted, dont les 3 épisodes s’étaient enchainées depuis le lancement de la 3° génération de console de Sony.
L’une des forces des jeux de Naughty Dog a été de créer de grandes aventures vidéoludiques, avec des personnages charismatique, une narration au centre de l’aventure (peut-être trop diront certains) et des environnements à couper le souffle.
Après de longues recherches, je démarrais l’année 2022 prêt à me lancer dans la nouvelle génération vidéoludique, heureux propriétaires de la nouvelle PlayStation 5 de Sony. C’est donc sans surprise que mon petit TOP/FLOP de cette année mette en avant 2 titres liés à cette dernière. En effet, depuis la sortie de Horizon Zero : Forbidden West en février dernier, peu d’autres jeux n’auront réussi à occuper notre intérêt. En prenant donc un peu de recul, il me faut donc bien reconnaitre que mon année 2022 n’aura qu’assez peu explorer cette nouvelle génération, pas même dans le vivier des jeux Indépendant.
L’abonnement Playstation vendu avec la PS5 m’aura laissé prendre en main quelques jeux loin de mon scope d’intérêt, et j’ai finalement plutôt utilisé mes petits moments de détente à (re)découvrir quelques anciens jeux sur mes anciennes consoles ou via l’abonnement Nintendo. Bref, j’en suis bien conscient, je m’éloigne de plus en plus du « panel » !
Les TOPs
Horizon : Forbidden West (PS5)
Loin du panel « des joueurs », et pourtant, nous étions là, fin prêt, précommande validée pour l’arrivée de Horizon : Forbidden West en février dernier, à mes yeux le premier must-have pour découvrir la nouvelle génération de jeu sur notre nouvelle PlayStation 5. Voilà déjà cinq année que la nouvelle série vidéoludique Horizon Zéro est arrivée en exclusivité sur la console de Sony, et les première aventures d’Aloy allaient se montrer comme une sacrée claque. Après de nombreuses années à suivre grosso modo toujours les mêmes séries de jeu vidéo, Horizon Zéro me proposait ma première expérience prenante dans un vaste monde ouvert. Certes, nous avions déjà essayé Skyrim, mais l’univers, trop Tolkien, n’était pas à notre goût.
Si je dis « nous », c’est qu’Horizon Zéro fait partie de ces aventures vidéoludiques que je partage avec madame, qui le plus souvent à la manette en main. Traverser les territoires, s’émerveiller des lieux, se lancer dans d’équipes combats dynamiques contre d’étranges machines et petit à petit en découvrir de l’univers dans lequel nous évoluons. En effet, Horizon Zéro, premier du nom, proposait une trame narrative particulièrement bien travaillée qui permet de comprendre petit à petit la décadence de notre monde jusqu’à son auto-extinction… ou presque.
Ce second volet implique donc idéalement d’avoir terminé la première aventure, car certains personnages emblématiques et surtout l’explication de la transition de notre monde suite à l’opération Aube Zéro et ses ratés sont évidemment la base de la poursuite des aventures d’Aloy qui s’aventurera cette fois dans les terres de l’Ouest prohibé.
Les mécaniques de jeu ne changent pas. Des missions à remplir, des combats à remporter, des énigmes à résoudre, des creusets à explorer permettant d’améliorer ses compétences, ses armes, ses tenues. On ne change pas une recette qui gagne ! On y ajoute une nouvelle intrique tout aussi intéressante et des environnements encore plus somptueux, relevés par la vitesse d’affichage et surtout d’accès disque de la PlayStation 5. Horizon : Forbidden West se montre incontestablement mon coup de cœur pour cette année, même si l’on pourrait lui reprocher de ne pas tant se démarquer du premier opus, ce qui m’aura parfois un peu décroché de l’aventure.