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Tag: Enfants

On a joué à Trio

On a joué à Trio

Ce weekend, j’ai testé Trio avec les enfants, un nouveau jeu de société reçu de mes amis Vincent & Carole pour mon anniversaire, et l’on s’est bien amusé !

Le timing était pourtant serré pour découvrir un nouveau jeu, mais Trio s’annonçait comme un jeu très facile à prendre en main avec des règles simples… Et pourtant, en les parcourant, je me suis souvent posé la question « Et dans ce cas de figure, je peux faire cela ou pas ?? ». Après avoir sondé quelques joueurs, il semble donc que les réponses soient tout simplement : Non !

Une série de cartes de valeur allant de 1 à 12, 3 cartes existantes par valeur. Chaque joueur reçoit un nombre équitable de cartes… par exemple 9 lorsque l’on joue à 3. Les autres cartes sont posées sur la table face cachée.

A son tour, un joueur peut au moins deux fois :

  • soit mettre devant lui sa carte la plus élevée, soit la plus basse.
  • soit demander à l’un des joueurs de montrer sa carte la plus élevée, soit la plus basse.
  • soit retourner une carte du centre de la table.

S’il a deux cartes les mêmes alors posées sur la table, il peut à nouveau choisir l’une de ses options et tenter d’obtenir un Trio. Il pourrait donc avoir demandé 3x au même joueur sa carte la plus élevée et lui chiper un trio potentiel de début de partie.

Chacun range ensuite ses cartes, les cartes du centre sont remises face cachée. (Mais reste dans leur position), et c’est au joueur suivant.

Pour gagner la partie, il faut soit être le premier à avoir 3 Trio, soit obtenir le Trio d’or des cartes 7. Il est également possible d’épicer le jeu avec une petite règle supplémentaire que nous n’avons pas encore essayée, mais nous avions déjà fait une erreur. En effet, si nos adversaires ont répondu chacun avec leur carte la plus haute avec des 11, que nous disposons dans notre jeu de la dernière carte 11, mais également d’une carte 12 et 8… Nous ne pouvons pas jouer notre carte 11 pour faire un Trio, puisqu’elle n’est ni la plus haute, ni la plus basse de notre main.

Un élément qui ne sera probablement pas si facile à bien faire respecter par Rose, notre petite dernière de 9 ans !

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Refermons, sans regret, l’année 2024.

Refermons, sans regret, l’année 2024.

2024 est derrière nous, déjà les pieds au froid dans l’année 2025 qui, je l’espère ne pourra être que meilleur que les souvenirs, encore frais, que me laisse l’année 2024.

Voir passer le tram, c'est bienAvoir bien chaud, c'est mieux !
Voir passer le tram, c’est bien
Avoir bien chaud, c’est mieux !

Cette dernière se devait être une année de changement, avec entre autre un changement de taille, celui de mon lieu de travail, puisqu’après 22 années passées sur le site du Sart Tilman, mon équipe des MOOCs de l’Université de Liège prenait place, durant l’été dans un Nouveau Centre névralgique rassemblant différents acteurs du numérique et de la formation en périphérie de la ville de Liège, au Val Benoît.

Si ce changement était en sursis depuis de longues années, j’étais en revanche loin d’imaginer me retrouver un nouveau club de Basket pour notre Alice, prenant tout juste ses marques chez les verts… Si la transition s’est montré humainement difficile dans un premier temps, nous voici maintenant bien installé en rouge, avec même la petite soeur qui joue, soit près de 5 entrainements par semaine dans le nouveau club Alliance Flémalle, de quoi même se proposer comme sponsor de l’équipe U14 ;)

Enfin du changement en voiture, avec l’arrivée de notre carrosse au printemps dernier qui nous emmène de la maison à l’école. De l’école au boulot, du boulot à l’école, de l’école au Basket, à la danse, au chant, au match, avant de rentrer à la maison.

Pourtant de tous changements finalement positifs, me reste le sentiment que 2024 était une « sale année », une année usante, une année pesante,… 2024, l’année où j’ai pris un coup de vieux !

Un sentiment d’avoir plus de responsabilité, un sentiment d’entrer dans un nouveau monde numérique où l’argent a pris le pas sur la magie de l’innovation, d’un rythme de vie où lire une BD, sortir des Micro Machines, jouer à un jeux vidéo… avec ou sans les enfants, toutes ces petites choses qui me donnaient l’impression d’être un « grand enfant » se retrouvent mises au grenier,… à l’image des grands bacs de LEGO et de Playmobil que j’ai remisé lors des précédentes vacances.

Oui, le Papa joueur se retrouve contraint à prendre une autre identité. Les enfants ont grandi. Charly chante, compose, crée, débat, s’affirme. Mes filles se transforment en petite jeunes filles. Encore pleine de contradictions, avec parfois encore l’envie de passer du temps avec moi, mais déjà bien le nez dans un nouveau monde d’ado.

Reste ma petite Rose… Petite ? Elle se joue tellement à faire la grande par moment, que j’ai du mal à me souvenir qu’elle vient seulement d’avoir 9 ans, prise dans le monde de ses soeurs.

Alors que mes 47 ans se rapproche, je ressens, peut-être vraiment pour la première fois, une sensation d’avoir passé le sommet de la courbe. Que les soucis ne seront plus des petits méhins, des petites babioles,… Qu’il va falloir apprendre à avancer dans une nouvelle ère, à un autre rythme,… et que peut-être ce changement était déjà entrain de s’amorcer depuis quelques temps.

Puis je pense à tous ceux qui autour de moi ont traversé une année 2024 bien plus sombre… Barballo, Papy, Claude, Geo,… et ainsi que leurs conjoints, enfants, famille. Courage.

Voilà cher blog ce que j’ai envie de conserver dans mon souvenir, même si pour vous, lecteur perdu ici, tout ceci ne pourrait sembler qu’une complainte d’hiver…

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Playing 2024 : Quand le temps manque

Playing 2024 : Quand le temps manque

2024 avait plutôt pris un bon départ, manette en main. Nous clôturions, madame et moi, Hogwarts Legacy et Final Fantasy XVI durant l’hiver avant de se lancer dans la 2° partie du tout nouveau Final Fantasy VII. Je profitais régulièrement des moments d’attente des enfants au Karaté ou à la danse pour découvrir tout une série de jeux sur ma Nintendo Switch ou approfondir la découverte d’anciens jeux Game Boy Color, comme j’ai déjà pu vous en présenter.

Mais petit à petit, le temps à manquer, et il faut bien l’admettre, rares furent les moments où j’ai pu jouer depuis la rentrée de septembre, me laissant dès lors un peu de frustration lorsque je prends le temps pour me poser sur cette année vidéoludique.


Les Tops 2024

Malgré un bilan qui semble donc moins reluisant que les années précédentes, je retiens 3 moments « Top » de cette année 2024 marqué.

Final Fantasy VII Rebirth (Square Enix, 2024)

Final Fantasy VII : Rebirth – PS5 (Square Enix, 2024)

Attendu depuis quelques années, nous avions hâte, Madame et moi, de retrouver Cloud, Tifa et Barrett, les héros de Final Fantasy VII dont nous avions commencé l’aventure durant le confinement, en 2020 avec la première partie de l’incroyable remake du jeu d’aventure de Squaresoft, sorti initialement sorti sur la première PlayStation en 1997. Cette suite, reposant dorénavant sur la puissance de PlayStation 5, allait nous emmener hors des enceintes de Mitgar, traversant de nombreux environnements ouverts, ou tout du moins semblant l’être.

Même si plusieurs critiques pourraient être retenues sur les choix posés sur ce Final Fantasy VII : Rebirth qui parfois m’auront enthousiasmé et d’autres lassé, je garde de ce voyage vidéoludique une aventure passionnante. Si pour certains joueurs, devenir un expert du Queen’s Blood aura peut-être été énervant, nous avons pris plaisir à ces mini-jeux de deck récurrents au sein de l’univers. En revanche, les quêtes redondantes pour attraper un Chocobo, voire pour le dresser à réussir des sauts en plein vol se seront montrées particulièrement pénibles, nous laissant parfois mettre le jeu de côté plusieurs semaines.

Si l’histoire et surtout, les personnages nous auront marqués, il me faut bien admettre que le moteur de graphique ne tient pas la comparaison avec l’incroyable travail réalisé par les équipes de Guerilla Games et la série Horizon. Même si à l’écran, certains environnements sont chatoyants, j’ai souvent eu cette impression de marcher sur des textures. Néanmoins, même s’il y a plein de petites choses que j’aurais préférés autrement dans cette suite de l’aventure, il n’empêche que je garde un souvenir particulièrement positif de nos heures passées sur Final Fantasy VII : Rebirth.

Horizon II : Forbidden West - Burning Shores - PS5 (Sony - Guerrilla Games, 2023)

Horizon : Forbidden West : Burning Shores – PS5 (Sony – Guerrilla Games, 2023)

Car oui, comme j’avais déjà eu l’occasion de le partager quelques semaines au par avant, durant l’envie de remettre les pieds dans le monde de Horizon s’est fait sentir. Probablement à ce jour, le plus bel environnement vidéoludique que j’ai pu parcourir !

Lassé du schéma narratif de FFVII, nous nous sommes plongés dans le DLC, épisode complémentaire, Burning Shore. Je ne suis pas vraiment amateur de ce genre de pratique, mais avec Burning Shores, j’ai vraiment eu le sentiment d’en avoir pour mon argent, d’avoir pu me replonger avec plaisir dans l’univers de notre jeu préféré avec néanmoins suffisamment de nouveautés dans le gameplay, l’histoire et les lieux à visiter… Et je dois bien admettre que pouvoir s’évader de la sorte nous aura fait grand bien ! (A lire : Un été à Los Angeles avec Aloy)

La version Collector de Tunic sur Nintendo Switch, un vrai bijou !
La version Collector de Tunic sur Nintendo Switch, un vrai bijou !

Tunic – PS5/Switch (Finji LLC, Isometricorp Games, 2022)

Il me donnait vraiment envie depuis plusieurs années, j’ai enfin pu découvrir Tunic en juin dernier avec mon abonnement PlayStation+. Tombé sous le charme, ce moment magique allait se stopper net en découvrant qu’une fois l’abonnement interrompu, il ne m’était plus possible d’y jouer. Il me faudra encore attendre quelques semaines pour pouvoir redémarrer et poursuivre l’aventure de cet étrange jeu d’aventure et exploration sur ma Nintendo Switch, avec une jolie version collector qui apporte un peu plus de magie.

Tunic : Entre Zelda et Dark Souls, une incroyable révélation !
Tunic : Entre Zelda et Dark Souls, une incroyable révélation !

Si l’on retrouve une ambiance qui rappelle effectivement les épisodes vu de haut de la série The Legend of Zelda, le titre indé puise également beaucoup dans l’exploration et la découverte, à l’image par exemple de FEZ, un autre titre que j’aime tout particulièrement. On découvre petit à petit le monde et sa cosmétique flat/rétro ainsi que les mécaniques pour y progresser, se défendre et résoudre des énigmes. L’un des éléments clés de Tunic est entre autres la quête du manuel du jeu, qui nous permet de petit à petit comprendre où aller, comment,… et qui sait peut-être même décrypter les idéogrammes des différents menus pour les plus courageux. (A lire : Sous le charme de Tunic)

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Encore 4 lettres à Saint Nicolas ?

Encore 4 lettres à Saint Nicolas ?

Cette petite bulle familiale du moment d’écrire une lettre à Saint Nicolas a toujours été quelque chose de magique.. et ne le cachons pas, un peu euphorique. Mettre le nez dans les catalogues de jouets, se promener dans les rayons des magasins, découvrir toutes les nouvelles collections Playmobil et LEGO ainsi que les nouveaux jeux de société.

Quelle chance, j’ai eu durant toutes ses années de vivre cela avec nos enfants, me laissant moi-même retomber en enfance !

C’est avec un certain pincement au coeur que j’ai vécu cet après-midi de fin de vacances de Toussaint en regardant les filles préparer leur lettre. Et si c’était la dernière ?

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La première trêve d’automne se termine.

La première trêve d’automne se termine.

Depuis l’année dernière, notre petite Belgique tourne autrement avec la réforme des congés scolaires. Après avoir repris l’école fin août, les enfants avaient donc droit à deux semaines de congés à la Toussaint, dit les congés d’automne. Si bien évidemment, nous parents ne pouvons vraiment nous arrêter complètement, cela permet tout de même une petite trêve qui permet de ne pas se lever aux aurores, de ne pas courir tous les jours à l’école et aux activités d’après journée mais également de s’adapter au changement d’heure.

Après une première semaine où mes deux joueuses ont été s’entrainer intensivement au Basket, c’est Môssieur Charly qui est parti travailler à la Ferme du Sartilman, comme il le fait depuis déjà quelques vacances, et… tout comme ces deux premiers mois d’école sont passés à toute vitesse, la trêve aura semblé particulièrement courte. Novembre déjà là, la course jusqu’à 2025 n’en sera que plus courte ponctuée, comme toujours de l’anniversaire d’Alice & Juliette, les shootings Noël, Saint Nicolas, l’anniversaire de Rose et Noël…. Quelques matchs de basket et spectacle de HonyPop !

Dans tout ce tourbillon de souvenirs, qui comme les feuilles mortes ne tarderont à s’envoler, j’aime à me laisser ici quelques moments volés. Il y a bien évidemment notre petit passage sur la Foire d’Automne de Liège. Pas de sensations fortes, chez nous ce sont toujours les mêmes attractions qui sont au rendez-vous… D’autant qu’à 6, cela reste un budget. Le Mouse, La Pieuvre, croustillons et quelques jeux de pièces. Nous sommes également passer faire un tour sur le Swiss Bob, il n’y a pas d’âge et Rose a troqué sa traditionnelle pêche aux canards par une traversée de la maison du pirate… Elle grandit, elle grandit.

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