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Category: Ma Famille

Jusqu’à la dernière minute

Jusqu’à la dernière minute

On ne réécrira pas l’histoire, mais certaines défaites sont douloureuses. Après des semaines à s’entraîner à 200% pour la reprise du championnat U14 provincial de Basket Ball féminin, j’ai pris plaisir à voir Alice et son équipe Alliance Flémalle prendre confiance dans ce premier match de l’année. Sourire aux lèvres, les paniers rentraient et déjà se voyaient elles toutes enfin gagner !?

À 2 min de la fin après une dernier 1/4 un peu moins bon, les rouges menaient encore de 6 points. 30-36 Puis en quelques secondes, tout s’est écroulé. Des paniers qui ne rentrent plus, des balles perdues, peut-être bien des coups de sifflet discutables et une équipe adverse qui a su retourner tout cela à.son avantage. Égalité, non une étrange erreur d’affichage donne 37-36, il reste une minute, les larmes sont sur les visages, elles ont senti la victoire s’échapper, l’incompréhension, 40-36.. Il y a tout juste deux minutes, vous gagniez encore….

Pfff.

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Refermons, sans regret, l’année 2024.

Refermons, sans regret, l’année 2024.

2024 est derrière nous, déjà les pieds au froid dans l’année 2025 qui, je l’espère ne pourra être que meilleur que les souvenirs, encore frais, que me laisse l’année 2024.

Voir passer le tram, c'est bienAvoir bien chaud, c'est mieux !
Voir passer le tram, c’est bien
Avoir bien chaud, c’est mieux !

Cette dernière se devait être une année de changement, avec entre autre un changement de taille, celui de mon lieu de travail, puisqu’après 22 années passées sur le site du Sart Tilman, mon équipe des MOOCs de l’Université de Liège prenait place, durant l’été dans un Nouveau Centre névralgique rassemblant différents acteurs du numérique et de la formation en périphérie de la ville de Liège, au Val Benoît.

Si ce changement était en sursis depuis de longues années, j’étais en revanche loin d’imaginer me retrouver un nouveau club de Basket pour notre Alice, prenant tout juste ses marques chez les verts… Si la transition s’est montré humainement difficile dans un premier temps, nous voici maintenant bien installé en rouge, avec même la petite soeur qui joue, soit près de 5 entrainements par semaine dans le nouveau club Alliance Flémalle, de quoi même se proposer comme sponsor de l’équipe U14 ;)

Enfin du changement en voiture, avec l’arrivée de notre carrosse au printemps dernier qui nous emmène de la maison à l’école. De l’école au boulot, du boulot à l’école, de l’école au Basket, à la danse, au chant, au match, avant de rentrer à la maison.

Pourtant de tous changements finalement positifs, me reste le sentiment que 2024 était une « sale année », une année usante, une année pesante,… 2024, l’année où j’ai pris un coup de vieux !

Un sentiment d’avoir plus de responsabilité, un sentiment d’entrer dans un nouveau monde numérique où l’argent a pris le pas sur la magie de l’innovation, d’un rythme de vie où lire une BD, sortir des Micro Machines, jouer à un jeux vidéo… avec ou sans les enfants, toutes ces petites choses qui me donnaient l’impression d’être un « grand enfant » se retrouvent mises au grenier,… à l’image des grands bacs de LEGO et de Playmobil que j’ai remisé lors des précédentes vacances.

Oui, le Papa joueur se retrouve contraint à prendre une autre identité. Les enfants ont grandi. Charly chante, compose, crée, débat, s’affirme. Mes filles se transforment en petite jeunes filles. Encore pleine de contradictions, avec parfois encore l’envie de passer du temps avec moi, mais déjà bien le nez dans un nouveau monde d’ado.

Reste ma petite Rose… Petite ? Elle se joue tellement à faire la grande par moment, que j’ai du mal à me souvenir qu’elle vient seulement d’avoir 9 ans, prise dans le monde de ses soeurs.

Alors que mes 47 ans se rapproche, je ressens, peut-être vraiment pour la première fois, une sensation d’avoir passé le sommet de la courbe. Que les soucis ne seront plus des petits méhins, des petites babioles,… Qu’il va falloir apprendre à avancer dans une nouvelle ère, à un autre rythme,… et que peut-être ce changement était déjà entrain de s’amorcer depuis quelques temps.

Puis je pense à tous ceux qui autour de moi ont traversé une année 2024 bien plus sombre… Barballo, Papy, Claude, Geo,… et ainsi que leurs conjoints, enfants, famille. Courage.

Voilà cher blog ce que j’ai envie de conserver dans mon souvenir, même si pour vous, lecteur perdu ici, tout ceci ne pourrait sembler qu’une complainte d’hiver…

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Playing 2024 : Quand le temps manque

Playing 2024 : Quand le temps manque

2024 avait plutôt pris un bon départ, manette en main. Nous clôturions, madame et moi, Hogwarts Legacy et Final Fantasy XVI durant l’hiver avant de se lancer dans la 2° partie du tout nouveau Final Fantasy VII. Je profitais régulièrement des moments d’attente des enfants au Karaté ou à la danse pour découvrir tout une série de jeux sur ma Nintendo Switch ou approfondir la découverte d’anciens jeux Game Boy Color, comme j’ai déjà pu vous en présenter.

Mais petit à petit, le temps à manquer, et il faut bien l’admettre, rares furent les moments où j’ai pu jouer depuis la rentrée de septembre, me laissant dès lors un peu de frustration lorsque je prends le temps pour me poser sur cette année vidéoludique.


Les Tops 2024

Malgré un bilan qui semble donc moins reluisant que les années précédentes, je retiens 3 moments « Top » de cette année 2024 marqué.

Final Fantasy VII Rebirth (Square Enix, 2024)

Final Fantasy VII : Rebirth – PS5 (Square Enix, 2024)

Attendu depuis quelques années, nous avions hâte, Madame et moi, de retrouver Cloud, Tifa et Barrett, les héros de Final Fantasy VII dont nous avions commencé l’aventure durant le confinement, en 2020 avec la première partie de l’incroyable remake du jeu d’aventure de Squaresoft, sorti initialement sorti sur la première PlayStation en 1997. Cette suite, reposant dorénavant sur la puissance de PlayStation 5, allait nous emmener hors des enceintes de Mitgar, traversant de nombreux environnements ouverts, ou tout du moins semblant l’être.

Même si plusieurs critiques pourraient être retenues sur les choix posés sur ce Final Fantasy VII : Rebirth qui parfois m’auront enthousiasmé et d’autres lassé, je garde de ce voyage vidéoludique une aventure passionnante. Si pour certains joueurs, devenir un expert du Queen’s Blood aura peut-être été énervant, nous avons pris plaisir à ces mini-jeux de deck récurrents au sein de l’univers. En revanche, les quêtes redondantes pour attraper un Chocobo, voire pour le dresser à réussir des sauts en plein vol se seront montrées particulièrement pénibles, nous laissant parfois mettre le jeu de côté plusieurs semaines.

Si l’histoire et surtout, les personnages nous auront marqués, il me faut bien admettre que le moteur de graphique ne tient pas la comparaison avec l’incroyable travail réalisé par les équipes de Guerilla Games et la série Horizon. Même si à l’écran, certains environnements sont chatoyants, j’ai souvent eu cette impression de marcher sur des textures. Néanmoins, même s’il y a plein de petites choses que j’aurais préférés autrement dans cette suite de l’aventure, il n’empêche que je garde un souvenir particulièrement positif de nos heures passées sur Final Fantasy VII : Rebirth.

Horizon II : Forbidden West - Burning Shores - PS5 (Sony - Guerrilla Games, 2023)

Horizon : Forbidden West : Burning Shores – PS5 (Sony – Guerrilla Games, 2023)

Car oui, comme j’avais déjà eu l’occasion de le partager quelques semaines au par avant, durant l’envie de remettre les pieds dans le monde de Horizon s’est fait sentir. Probablement à ce jour, le plus bel environnement vidéoludique que j’ai pu parcourir !

Lassé du schéma narratif de FFVII, nous nous sommes plongés dans le DLC, épisode complémentaire, Burning Shore. Je ne suis pas vraiment amateur de ce genre de pratique, mais avec Burning Shores, j’ai vraiment eu le sentiment d’en avoir pour mon argent, d’avoir pu me replonger avec plaisir dans l’univers de notre jeu préféré avec néanmoins suffisamment de nouveautés dans le gameplay, l’histoire et les lieux à visiter… Et je dois bien admettre que pouvoir s’évader de la sorte nous aura fait grand bien ! (A lire : Un été à Los Angeles avec Aloy)

La version Collector de Tunic sur Nintendo Switch, un vrai bijou !
La version Collector de Tunic sur Nintendo Switch, un vrai bijou !

Tunic – PS5/Switch (Finji LLC, Isometricorp Games, 2022)

Il me donnait vraiment envie depuis plusieurs années, j’ai enfin pu découvrir Tunic en juin dernier avec mon abonnement PlayStation+. Tombé sous le charme, ce moment magique allait se stopper net en découvrant qu’une fois l’abonnement interrompu, il ne m’était plus possible d’y jouer. Il me faudra encore attendre quelques semaines pour pouvoir redémarrer et poursuivre l’aventure de cet étrange jeu d’aventure et exploration sur ma Nintendo Switch, avec une jolie version collector qui apporte un peu plus de magie.

Tunic : Entre Zelda et Dark Souls, une incroyable révélation !
Tunic : Entre Zelda et Dark Souls, une incroyable révélation !

Si l’on retrouve une ambiance qui rappelle effectivement les épisodes vu de haut de la série The Legend of Zelda, le titre indé puise également beaucoup dans l’exploration et la découverte, à l’image par exemple de FEZ, un autre titre que j’aime tout particulièrement. On découvre petit à petit le monde et sa cosmétique flat/rétro ainsi que les mécaniques pour y progresser, se défendre et résoudre des énigmes. L’un des éléments clés de Tunic est entre autres la quête du manuel du jeu, qui nous permet de petit à petit comprendre où aller, comment,… et qui sait peut-être même décrypter les idéogrammes des différents menus pour les plus courageux. (A lire : Sous le charme de Tunic)

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Pas eu le temps d’attendre Noël !

Pas eu le temps d’attendre Noël !

Oui, c’est bien le sentiment qu’il nous reste ce 26 décembre… Même si, comme de coutume, nous avons commencé à penser à Noël depuis la fin de l’été. À imaginer puis mettre en place les 3 scènes de Noël dans notre studio Petite Snorkys, transformant même la maison en atelier de cuisine du Père Noël. Si nous sommes allés faire un petit shooting photo en famille du côté de Diest avec Nancy Kimps fin octobre… Tout le reste s’est évaporé en un temps record…

 

Pourtant, pas de sortie entre amis à Center Parc cette année. Nous nous étions concentrés sur les 13 ans d’Alice et Juliette, la Saint Nicolas, les 9 ans de Rose, les fêtes avec les copines et les nombreux matchs de Basket sans oublier les examens à l’école, qui n’en sont pas vraiment, mais qui comptent quand même !

Pif, Paf, Pouf, et voilà déjà l’heure d’écouter chanter Rose à l’école, de vivre la Messe de Noël de Vivre & Aimer puis de se torturer les méninges avec la famille sur comment nous organiserons Noël.

Pas le temps de trainer dans les magasins illuminés et les décorations de Noël. Nous avions bloqué un seul dimanche pour tenter une petite journée sur un Marché de Noël. Peut-être Bruges, ou Montjoie pour aller un peu moins loin… Voir celui de Liège, mais la météo pluvieuse, brumeuse, froide et accompagné d’une bonne petite tempête aura mis à sac ce modeste projet pour tenter de vraiment vivre l’attente de Noël…. Nous y étions déjà.

Rassemblés, en famille avec néanmoins, dans un petit coin plus ou moins grand de notre tête ou de notre cœur, une partie de nos pensées tournée vers Papy dont la santé est au plus bas.

Heureusement, aurons-nous pu compter sur les farces de Lulu et Tintin venus mettre le bazar à la maison depuis quelques semaines. Pfiiuh, les voilà retournés voir le Père Noël, bien qu’ils aient promis à Rose de venir nous retrouver l’année prochaine !

Ding Daing Dong, et Noël a sonné. Les cadeaux déballés, le sapin nu… Noël n’est déjà plus qu’un souvenir qui fond comme neige au soleil. Merci Père Noël pour tes beaux cadeaux, et bonnes idées… Nous voilà déjà à préparer la nouvelle année.

Alors, à vous tous qui êtes chers à mon coeur, je vous souhaite un Joyeux Noël. N’hésitez pas à revenir… d’ici l’année prochaine, peut-être madame aura-t-elle eu le temps de travailler quelques photos pour venir illustrer ce petit article souvenir.

 

On a joué à Luxantis

On a joué à Luxantis

Repéré depuis quelques années déjà lorsque je donnais un coup de main à Saint Nicolas, Luxantis est un jeu Haba qui repose sur un grand plateau de jeu rempli de petites lumières LED qui peuvent s’allumer en rouge ou en bleu, dans un esthétique assez réussie, mais cette année-là Saint Nicolas avait d’autres plans.

Ce weekend, intrigués, les filles ont ramené Luxantis de la Bourse aux Jouets.

Dès lors, notre équipe de 4 braves est partie en quête d’objets magiques pour se débarrasser d’une horde de monstres qui menacent notre château.

Pour ce faire, il nous faut traverser la forêt aux feux follets facétieux. Un véritable labyrinthe lumineux où chance, mémoires et jeu d’équipe seront nécessaires pour récupérer champignons, pierres précieuses et autres ingrédients sans être emportés par les feux follets rouges. Par moment les bleus nous montrent le chemin… Mais tout peut changer en cours de voyage.

Facile à prendre en main, le jeu a plu tant à Rose (8 ans) que Charly (15 ans). Peut-être l’aventure se montre-t-elle un peu facile pour les plus grands,… sauf lorsqu’ils sont trop pressés, n’est-ce pas Juliette !

Je vous aurais bien recommandé Luxantis si vous préparez encore vos listes à Saint Nicolas, mais avec les déboires de Haba France, le jeu ne semble plus disponible.

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