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Tag: SmartPhone

Blog WordPress, problème de vitesse et d’indexation mobile

Blog WordPress, problème de vitesse et d’indexation mobile

Depuis quelques semaines, je m’énerve lorsque, depuis mon smartphone Androïd, je ne vois s’afficher aucun résultat ciblant mon blog !

Afficher les résultats personnels
Afficher les résultats personnels

Etrangement, le problème n’apparait que depuis mon smartphone et de fil en aiguille, j’ai fini par trouver que le problème était lié à une nouvelle fonctionnalité de Google dans son OS : « L’afficher les résultat personnels ». Cette option assez « floues » fait un filtrage des résultats trouvés par Google lors d’une recherche sur base de « mon comportement ». Voilà qui aurait pu pousser Google à mettre plus en avant les résultats de mon blog que je consulte régulièrement, mais c’est bien tout le contraire qui apparait.

Désactiver l’option sur mon téléphone n’est pas une solution pour moi, car c’est également ce réglage qui permet à « Discover » de me proposer des articles pertinents tous les matins sur mon smartphone… Il m’aura donc fallu fouiller plus en profondeur.

Comme chaque années, les vacances de Noël sont un moment propice pour faire mettre un peu d’ordre sur la blog, d’autant que j’ai déjà la tête dans WordPress en préparant le nouveau site de madame.

Dans un premier temps, j’ai envisagé avoir fait une fausse manipulation à « blacklistant » mon blog ou le nom de domaine, mais j’ai fini par me retrouver sur l’espace « Google Search Console » qui remplace les outils Webmaster. C’est à cette endroit en général que l’on transmets à Google son fichier d’indexation afin d’optimiser le référencement naturel de son site web et que l’on peut vérifier ce qui coince. J’avais oublié qu’il y a quelques années, fier de la compatibilité « mobile » de mon blog, j’avais activé l’analyse pour Mobile afin de donner un coup de boost à mon blog, or depuis un moment, le nombre d’erreur lié à un problème d’ergonomie mobile y sont fréquents.

Tout en poursuivant les recherches, j’ai tout d’abord vérifier qu’un vieux fichiers ROBOT.TXT ne bloquait pas la navigation du GoogleBot. Cela ne semblait pas le cas. En analysant un peu plus en détail les codes d’erreurs et le résultat du test mobile réalisé par Google, j’ai pu constater qu’un nombre très important d’éléments n’était pas chargé lors de l’analyse de la page, dont la CSS et le code Javascript.

J’aurais bien été du genre à imposer à Google ne pas crawler les contenus sans interpréter cela en son temps, mais de quelle manière ?

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Activer l’internet mobile de VOO, ce n’est pas automatique !

Activer l’internet mobile de VOO, ce n’est pas automatique !

On pourrait croire qu’il suffit de mettre sa carte SIM dans son nouveau numéro de téléphone, et tout fonctionne, et bien non ! Cela ne vaut que pour les « grands opérateurs » belges que sont Proximus, Orange ou Base. Lorsque vous êtes par exemple abonnés VOO, cette automatisation ne fonctionne que sur certaines « grandes marques », Apple ou Samsung par exemple. Le Google Pixel lui, n’est pas reconnu, et vous aller devoir entrer vous-même tous les paramètres nécessaires à pouvoir utiliser la 4G !  Je vous avoue que je suis resté un peu sur les fesses lorsque le technicien m’a expliqué cela, néanmoins,… celui-ci s’est montré très efficace pour régler tout cela !

J’ai récemment, ajouté un numéro mobile depuis mon abonnement VOO. Voilà près de 20 ans que je suis client Proximus et Mobistar/Orange et c’est donc avec étonnement que j’ai pris la nouvelle du technicien « L’internet mobile sur le réseau VOO, cela ne s’active pas automatiquement ! ».

En réalité, chez les deux opérateurs belges principaux, je n’ai jamais eu qu’à pousser ma carte SIM dans le téléphone et zou, tout fonctionnait automatiquement. Chez VOO, c’est un principe en recevant un SMS que les choses s’activent, mais…. cela fonctionne en général uniquement sur les téléphones les plus communs… Comprenez, les Samsung et les Apple !

Bon, je m’inquiète dès lors un peu avec le technicien, ici on est sur des Google Pixel, vous savez, c’est excellents smartphones si difficile à trouver en Belgique ! Et bien no, panique, ceuxi-ci se retrouvent bien dans le « pas à pas » que propose VOO pour un très grand nombre d’appareil, afin de faire les réglages manuellement !

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Mon mobile et moi : Le Pixel 5 et la navigation par gestes.

Mon mobile et moi : Le Pixel 5 et la navigation par gestes.

Il est temps pour mon Google Pixel 3a de passer le flambeau au nouveau Google Pixel 5 lancé l’automne dernier, de quoi le mettre par ailleurs en concurrence avec l’iPhone 12 Pro de madame.

Avec le Pixel 5, Google réalise un coup de maître, proposant un smartphone compact, léger, compatible 5G, et dont la qualité photo impressionne toujours. Le tout à un tarif très abordable.

Déjà mis en place depuis Android 10, la navigation dîtes par geste a pris le pli sur les traditionnelles 3 boutons qui permettent sur votre Smartphone de retourner en arrière, revenir à l’écran principal ou voir l’ensemble des applications actives.

La nouvelle approche imposée sur mon nouveau Google Pixel 5 offre quelques pixels de lecture en plus, mais à l’usage, il m’arrive bien souvent de soit perdre du temps pour retourner en arrière, soit de retourner en arrière de manière non volontaire. Par ailleurs, le geste pour visionner les applications en cours est le même que pour le retour à l’écran… mais avec une pause plus longue. Bof, là aussi… je suis pas fan.
La bonne nouvelle est qu’il est tout à fait possible de revenir à l’ancienne approche dans les réglages de votre smartphone !
Comment utiliser la navigation par gestes sur son Android
Comment utiliser la navigation par gestes sur son Android

La navigation par gestes c’est une nouvelle manière de se déplacer dans les menus de votre smartphone. Il s’agit en fait de dire adieu aux trois boutons en bas de l’écran pour gagner un peu de place. Il faudra néanmoins passer par une période d’adaptation pour maîtriser cette navigation par gestes, mais Android propose un entraînement pour commencer à s’y faire. Voyons comment accéder à cette fonctionnalité et quelles sont les différences entre les surcouches des fabricants. (Une astuce à découvrir sur Android-MT)

Désactivée dans un premier temps, j’ai néanmoins fini par m’habituer à cette option et à la sensibilité de cette dernière.
Quelques notes autour des métiers du jeu vidéo en Belgique

Quelques notes autour des métiers du jeu vidéo en Belgique

Dans la continuité de l’analyse sur le jeu vidéo Indépendant, la journée de formation de ce vendredi s’attardait également sur les métiers et le monde du jeu vidéo en Belgique. Avec un peu de recul toutes ces rencontrent permettent d’avoir un regard plus réaliste sur la situation chez nous. Pouvoir mesurer les ressources nécessaires pour un projet est une compétence importante si dans le futur de nouveaux projets étaient mis en place afin d’apporter une couche vidéoludique à un projet d’innovation pédagogique.

Quelques notes un peu moins « romancées » sur l’intervention de Vinciane ZABBAN lors de scéance en live de vendredi dernier permet de mettre quelques chiffres en lumière pour approfondir la réflexion entamée autour du jeu indé mais également face à notre petite Belgique.

Le plus gros studio français (avec des filiales hors de la France) représente 10.000 emplois dans le métier du jeu vidéo. En France un studio en moyenne emploie 50 à 60 personnes et l’on considére un “petit studio” entre 5 et 10 personnes. 

La conception d’un jeu implique de plus en plus une spécialisation de tâches, avec un métier “morcelé”.  Les studios font également appel à des travailleurs freelance.

Aujourd’hui, on peut considérer encore les métiers du jeu vidéo comme un travail d’artisan dans la conception et industriel dans sa production.

Temporalité d’un projet de jeu vidéo 2 à 3 ans

Prise de note du 21 janvier 2021

Epistory – interview de l’équipe montoise
Epistory – interview de l’équipe montoise

Dans la seconde partie de l’après-midi, nous nous sommes penchés sur la spécificité du Jeu Vidéo en Belgique autour de 4 acteurs actuels. Sophie responsable des aspects publicitaires de la société montoise Fishing Cactus que je connais tout spécialement pour son projet Epistory. Un jeu que je fais rentrer tant pour son approche artistique que pour son gameplay en marge des habitudes dans le courant Indie Games. 

Fishing Cactus. Tous ceux qui s’intéressent au business et à l’industrie du jeu vidéo en Belgique connaissent la boîte montoise fondée en 2008. Spécialisée jusqu’à aujourd’hui dans les jeux sur smartphone et les serious games, la société s’est lancée dans un nouveau défi avec un titre qui a tout du jeu indé, de la petite équipe jusqu’à l’esthétique tranchée et le gameplay de niche, mais porté par une structure plus large puisque Fishing Cactus est le deuxième plus grand studio belge après les Gantois de Larian Studios. Leur nouveau jeu s’appelle Epistory et il sort sur Steam… aujourd’hui ! Rencontre pour ce début d’une nouvelle aventure. — A lire l’interview de l’équipe d’Epistory sur Press-Start.

Jean Gréban, représentant de Walga et son équivalent flamand David Verbrugge. Tous les deux ont du bagage dans le monde de l’édition du jeu vidéo chez Infograme Benelux entre autres. J’avais déjà eu l’occasion il y a 2 ou 3 ans de participer à un events autour des actions de Walga afin de créer un pôle wallon mettant en avant les projets de jeux vidéo, le soutien aux développeurs et studio et surtout la sensibilisation à nos politiques de l’intérêt à apporter au secteur du jeu vidéo. On y parlait déjà à ce moment de mettre en place un Taxe Shelter.

 

Actuellement en Belgique on peut cibler 3 studios wallons principaux : Fishing Cactus (Epistory, Nanotales), Appeal* (Outcast) et Abrakham (J’en ai bien deux autres en tête, Crazy Monkey Studios* qui a réalisé Guns, Gore & Cannolli) ainsi que Exiin qui prépare le jeu Ary and the secret Season, jeu qui semble finalement il y a quelques mois conjointement avec Fishing Cactus.

Du belge à la Gamescom #3
Du belge à la Gamescom #3D’ailleurs je me souviens de 3 articles rédigés par Press-Start en 2015 qui présentaient plusieurs petits studios belges à la GameCom, le sallon du JV allemand.

Du 5 au 9 août, la Gamescom à Cologne hissera le drapeau belge ! Douze studios de toutes les Régions du pays occuperont un stand où vous découvrirez leurs futurs jeux vidéo en voie de finalisation. En attendant de les rencontrer sur place, Press-Start vous présente ces studios wallons, bruxellois et flamands dans une série de trois articles.Du Belge à la Gamecom à lire sur Press-Start

Je note également 3 studios flamands à découvrir : Larian (Divinity), Pajamalama Soft (Floatsam) et Happy Volcanos (The almost gone)… Je crois qu’il y a des fans de Jeff Minter (Llamasoft) en Flandre !

Enfin le panel était également composé de Pablo Coma, developpeur indépendant du Healer Quest, oeuvrant pour le studio “Schtroumpfs” avec également quelques projets vidéoludiques et maintenant game designer chez Appeal. Sympathique retrouvaille, puisque voilà 8 ans que je suis l’aventure de Pablo, avant même qu’il ne présente le projet de healer quest ; )

 

Lost Spirits of Kael, le premier album de Pablo Coma

Je retiens de cette table ronde qu’en Belgique nous avons du talent et de l’enthousiasme. Que les petits studios se questionnent sur le choix d’un “publisher”. Pas tant que pour une aide finançière mais également pour améliorer la distributions et surtout la publicité qui est un particulièrement long et chronophage à gérer pour un indépendants. (Salon, déplacement). 

Je termine mes notes avec des chiffres à garder en mémoire.
Epistory = 300.000€
Nanotale = 1M €
En 2 ans le studio Appeal est passé de 15 à 50 emplois.

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Un iPhone après près de 10 ans d’Androïd ?

Un iPhone après près de 10 ans d’Androïd ?

Illustration promotionnelle – ©Apple, 2020

Depuis quelques années, les smartphones de Google, la série Google Pixel avaient un petit (voire grand) cran d’avance côté photo face aux fleurons de chez Apple. Ici, nous avons donc enchainé des Google Nexus 5 et Nexus 5x au Google Pixel XL, Google Pixel 2 et Google Pixel 3a. L’année dernière, le Google Pixel 4 s’est montré plutôt discret, alors qu’Apple rattrapait son retard. Aujourd’hui, il semble interessant de pencher sur la question Google Pixel ou iPhone ?

Les deux photophones compacts sont de belles propositions. À moins d’être un fervent défenseur d’Android, l’iPhone 12 est dans la globalité un meilleur produit que le Pixel 5, mais cela s’explique facilement par la différence de prix entre les deux appareils : le Pixel 5, avec plus de stockage, est presque 300 euros moins cher, le tarif d’un bon milieu de gamme. Nous apprécions tout de même les efforts consentis par Google au niveau de l’autonomie. L’iPhone 12 lui, impressionne avec sa puce surpuissante A14 Bionic gravée en 5nm et ses capacités en vidéo. Si vous cherchez avant tout un photophone ou un appareil pour consommer du multimédia, le Pixel 5 fait très bien l’affaire pour son tarif grâce à son logiciel performant et à son écran OLED 90 Hz sans encoche. L’iPhone 12 conviendra à ceux qui cherchent la rapidité avant tout ou qui refusent de se séparer d’iOS. (Un comparatif à lire sur Phonadroid)

Tant que les performances photos des Googles Pixels étaient au dessus de la concurrence, la question ne se posaient pas. Pourquoi passer à iOS. Cependant, Google semble vouloir rester un peu en retrait et ne se montre pas aussi audacieux que les nouveaux iPhones avec son Google Pixel 5.

La bataille sur le terrain de la photo est vraiment intéressante. En effet, le Pixel 5 fait honneur à sa lignée et s’est déjà imposé comme l’une des références en la matière, mais il ne peut pas vraiment prétendre au titre de roi de la photo cette année tant la concurrence a su affiner ses armes. Et autant dire que l’iPhone 12 mini a de quoi lui opposer une belle compétition. (Un autre comparatif à lire sur Phonadroid)

Sans entrer trop dans les détails, l’iPhone 12 se présente sous 4 déclinaisons. Le Mini, le « normal », le Pro et le Pro Max. Chacun étant déjà un produit de haute qualité, les modèles pro offrant 3 objectifs photos.

Chez Google, le Pixel 5 se décline également en un Google Pixel 4a aux performances photo similaires dans une coque plus basique et ne proposant qu’un seul module photo contre 2 sur le Pixel 5.

Force est de constater que cette année, l’iPhone a pris un jeu d’avance sur Google… La question se posant alors,…

 

Peut-on facilement migrer d’un système Androïd vers Apple ?

Migrer les contenus
Migrer les contenus – © Apple

Apple propose la possibilité d’importer des données depuis un téléphone Android, il faudra alors télécharger une application sur le Google Store afin de mettre ne liaison les deux smartphones.

Le résultat se montre assez peu convaincant. Le nouvel iPhone a récupérer une grande partie des photos du précédent téléphone pour les importer dans l’App Photo d’Apple. Elles semblent cependant un peu mélangée… Quid de la possibilité maintenant de pouvoir synchroniser Google Photos avec l’iPhone, les photos vont-elles resynchronisées en double dans le sens inverses ?

Les agendas Google ou Contacts ne se sont pas importé par défaut, il aura fallu finalement que je m’attarde sur l’option manuelle.

Sur le terrain.

C’est madame qui a fait le grand saut, et elle s’est finalement très rapidement adaptée à l’usage de cet iPhone. Son utilisation étant moins complexe que la mienne. Sur le terrain, c’est essentiellement côté photo que l’attente était la plus importante et de fait la qualité des photos de l’iPhone 12 pro n’ont pas déçu comparativement à nos précédents Photophones connus pour être particulièrement efficaces : les Google Pixel 2 et 3a.

L’effet de profondeur, offrant un bokeh artistique s’active de manière automatique, il est parfois plus prononcé que sur Android, mais il peut être adouci au besoin en post-pro. En extérieur, le piqué est assez réussi, et lorsque l’on réalise une photo de type Marco, l’objectif offre naturellement une belle nuance sur le sujet.

J’ajouterais petit à petit quelques photos intéressantes.