J’avais imaginé il y a quelques semaines, avant que d’autres préoccupations ne viennent polluer mon esprit, faire le point sur la seconde année de mon abonnement PlayStation Plus, « imposé » lors de l’achat de la PlayStation 5 en 2022. Si j’avais plutôt été convaincu l’année dernière, il me fallait bien admettre que les jeux « offerts » entre aout 2023 et juillet 2024 ont loin d’avoir été fantastiques, hormis peut-être Tunic, finalement le seul jeu auquel j’aurais eu le temps de jouer sur les 18 ajoutés à mon catalogue hors d’une offre qui en proposait tout au long de l’année un peu plus du double.
J’avais donc depuis un moment déjà décidé de ne pas reconduire l’abonnement PlayStation Plus Essential qui serait proposé au prix plein de 72€, mais je ne m’attendais pas à découvrir que cela fait, tous les jeux « offerts » depuis 2 ans allaient alors ne plus être fonctionnels, ce qui me fait près d’une 50aine de jeux qui disparaissent de mes armoires virtuelles.
Voilà qui m’apprendra à faire confiance à cette nouvelle manière de consommer du jeu vidéo, rien de tel que les versions physiques !
J’aurais pourtant bien eu envie de poursuivre mon aventure entamée avant mes congés avec Tunic et les filles déchanteront quand elles constateront que NBA 2K23 n’est plus dispo !
Ah pour sur, avec la série Final Fantasy, quand tu termines le jeu, il n’y a jamais d’heureux dénouement, et ce n’est pas ce dernier volet Final Fantasy XVI qui dérogera à la règle.
Si le jeu nous a ponctué tout au long de l’aventure de nombreux retour en arrière dans le passé des personnages Clive, Jill ou même notre compagnon canidé Talgor, je dois bien admettre que je m’attendais à minima à quelques choses de plus ambitieux, qui nous fassent voyager de contrées en contrées… voir peut-être d’un retour du héros, Clive, malgré la mort de son jeune frère… mais que nenni, ce Final Fantasy restera dans le même courant que les précédents… avec des sentiments qui semblent difficile à faire sortir entre nos protagonistes principaux, là où l’honneur, la foie et le devoir semblent tellement prendre le dessus. Des valeurs évidemment plus fortes chez nos amis japonais qu’ici en Europe…
La séquence de fin en soit n’est pas entièrement loupée, elle cache même un clin d’oeil plutôt réussi sur le monde en devenir de Valisthéa. En réalité, les éléments que j’aurais aimé voir rassemblé pour clôturer mon aventure sont distillés aux travers des quêtes annexes. …
Oui, c’est vrai… ce qui fait toujours un peu rêver, finalement, ce sont tous ces objets rétros que j’aime à chiner en brocante ou sur Vinted. Certains sont parfois un peu trop cher pour craquer et je il m’arrive de les imaginer parfois sous le sapin… Vous savez, comme lorsque vous regarder le solde de votre compte en banque pour voir, si par hasard il n’y aurait pas 1.000€ de plus… Pourtant, c’est probablement le truc le plus difficile à trouver, voir simplement à comprendre toutes les subtilités à celui qui viendrait se perdre sur cet autrePinterest que je conserve…
L’année dernière mon fiston m’a fait la surprise de m’offrir pour mon anniversaire Mario Party 5 sur NintendoGame Cube. Et cela m’a vraiment fait plaisir. Cet hiver-là je gardais un œil sur une série de jeux de mes années Game Cube, une console pour laquelle j’ai encore peu retrouver de titres qui m’avaient marqué à l’époque. Mario Party 4 et Mario Party 5 font partie de ceux-ci me rappelant les soirées qui rassemblent autour d’un même jeux vidéo, chacun sa manette se défiant à de nombreux mini-jeux. Dorénavant, Mario Party 5 aura un petit quelques chose en plus à me raconter… et c’est ce qui m’a finalement décider à faire le pas de préparer ce sujet.
Un œil sur le Vinted de Papa ? C’était une bonne tactique, bravo. Mais pour compliquer les choses, depuis quelques mois, le Paypal de mon vinted est bloqué et j’ai donc un peu perdu à le rendre vivant en ajoutant des petits cœurs comme je le faisais précédemment.
Mais tout n’est pas si simple !
Prenons un petit exemple, si cela fait bien longtemps que j’ai retrouvé les CartouchesGame Boy de Super Mario Land 2 ou Wario Land, j’aurais bien envie d’ajouter dans ma collection le jeu ET sa boite. On peut parfois en trouver à 50€ en cherchant bien. Mais il faut rester attentif à ce qu’il s’agisse bien d’une boite d’origine… On trouve en effet de plus en plus de « boite de remplacement » de qualité par ailleurs très variable pour une dizaine d’euro… Dès lors, mettre plus 50€ ou plus pour une copie serait évidemment frustrant.
Pourtant, il y a certains jeux où la cartouche seule (dit « en loose« ) me suffit amplement c’est souvent le cas sur Super Nintendo et diverses variations de Game Boy… Ceux-ci sont rarement plus cher que 10€ !
En revanche sur Nintendo DS autant que pour la Game Cube ou la PlayStation 2, j’essaie toujours de m’assurer que la notice soit bien présente, car cela fait partie de ce qui m’intéresse dans la conservation du patrimoine vidéoludique….
Enfin, je vois parfois des choses très intéressantes comme l’édition PC Big Box de Day of the Tentacle en français… au prix de 300€ ! Vous l’aurez compris, trouver n’est pas toujours le problème, il y a le budget, je me dis donc qu’il est important que je cible dans ma liste le « bon prix ».
Bref, je m’attaque donc à préparer ce dossier petit à petit.
Oui, je suis Père Noël, je suis en retard, encore en retard ! Mais bon, j’avais pris l’habitude que tu aies toujours de bonnes idées, que tu suives mon Pinterest, et mes bons plans…. j’ai donc commencé à dépoussiérer la liste de l’année dernière… Je n’ai pas vraiment réfléchi à de grandes nouvelles idées, mais malgré tout, j’ai vu quelques geekeries sympathiques, si des fois tu en avais besoin…
La magie d’Harry Potter
Vous avez eu l’occasion de le lire il y a peu, le monde magique de Harry Potter continue de m’émerveiller et j’ai été plus que comblé avec la sortie du jeu L’Héritage de Poudlard sur la PlayStation 5. Je ne suis pas spécialement attiré par tous les gadgets, baguettes et pulls, mais je dois bien admettre que pour l’avoir pris en main, je trouve le Guide Officielle du jeu assez instructif et réussi. Il offre une belle manière de poursuivre l’aventure sans allumer la console, tout en offrant une série d’informations intéressantes pour avancer dans le vaste univers du jeu. Ce n’est pourtant pas en général le genre d’ouvrage vidéoludique sur lequel je m’attarde.
On retrouve régulièrement des nouveaux sets LEGO dédiés à l’Univers d’Harry Potter. Je ne les trouve pas toujours fantastique, mais la version « Mini » du chateau de Poudlard, remplie de petits secrets sort du lot. Je m’amuserais très certainement à la construire… en revanche, je ne sais pas trop où je pourrais ensuite l’exposer !
Sorti en 1997 sur la PlayStation première du nom et la SEGA Saturn, Croc est l’un des Super Héros de la nouvelle génération 3D amorcée par Mario 64 et Crash Bandicoot.
Le sujet est d’ailleurs assez sensible quand on creuse un tout petit peu, car bien que le titre d’Agonaut Software sorte plusieurs mois après Mario 64, il faut se rappeler que l’équipe britannique était un partenaire important de Nintendo lors de la précédente génération de console, ce sont eux qui ont poussé Nintendo au développement de la puce Super FX que l’on retrouve dans Starfox, une production d’Argonaut Software !
Le studio avait déjà pour ambition de proposer un titre tout en 3D qui, comme le raconte le journaliste TheXSable dans son article pour JeuxVideo.com mettait en scène Yoshi, le dinosaure et ami de Mario ! Dès lors les bons termes entre les deux parties ont pris du plomb dans l’aile… et c’est finalement un Crocodile qui deviendra le héros de l’aventure…
Au début de l’année 1994, nous avons envisagé de créer un jeu de plateforme en 3D. Nous voulions être les premiers au monde à nous attaquer à ce genre. Nous avons montré nos premiers travaux à Nintendo, qui les a appréciés mais nous a dit qu’ils avaient déjà quelque chose de similaire en cours de développement. Un an et demi plus tard, ils ont lancé Mario 64. Il est possible que les images que nous leur avons montrées leur aient donné une idée de ce à quoi cela pourrait ressembler, mais d’un autre côté, il pourrait s’agir d’une coïncidence totale. – Jez San dans le numéro 24 de Sega Saturn Magazine datant d’octobre 1997. (Un article à lire sur JeuxVideo.com)