1 an de PlayStation Plus
C’était l’hiver précédent, après avoir longuement préparer mon plan d’attaque, j’avais réussi à acheter la PlayStation 5, alors en difficulté d’approvisionnement. En réalité, à cette époque, il était presque impossible d’acheter une console seule, et dans le pack proposé par les différents magasins, se retrouvait régulièrement un abonnement d’un an au PlayStation Plus d’une valeur de 59€.
Après avoir un peu attendu, j’ai fini par activer celui-ci en juillet 2022, alors que le service Sony complexifiait un peu son offre entre la version essential (59€/an), extra (99€/an) et premium (119€/an).
Le premier argument de vente de ce genre d’abonnement est de rentabiliser le jeu en ligne et les serveurs mis à disposition. Un choix de la marque depuis l’arrivée de la PlayStation 4. Dès lors, ne jouant JAMAIS à des jeux en réseaux, le PlayStation Plus n’avait que peu d’intérêt pour moi.
En parallèle, deux ou trois jeux sont proposés gratuitement aux abonnés chaque mois. Une fois « ajoutés » à votre collection, qu’ils soient téléchargés ou non, ils seront liés à votre compte PlayStation, que vous renouveliez ou pas votre abonnement !
Je pourrais ajouter que pendant mon année de découverte, Sony offrait également de manière temporaire un accès à un large choix de jeux supplémentaires issus du catalogue classique de la PlayStation 4 pour renforcer le lancement de sa 5° console. L’accès à ceux-ci disparaissant au mois de mai 2023.
Arrivé au terme de mon abonnement, c’est donc une bonne occasion de faire un bilan des jeux offerts durant ces 12 mois, soit pour un prix de 5€/mois et envisager ou pas, de reconduire l’abonnement proposé temporairement à 44€ pour l’année.
Sur ce laps de temps, ce sont donc 36 jeux qui auront été offerts. Parmi ceux-ci, certaines licences relativement fortes tels que Need For Speed, Mass Effect, Star Wars, Battlefield ou encore Call of Duty. Mais vous ne serez pas surpris de savoir que beaucoup de celles-ci ne m’intéressent absolument pas, je n’ai d’ailleurs pas choisi de les ajouter à mon catalogue de jeux en ligne !
J’avais un peu peur de me retrouver avec des titres que je possédais déjà, mais finalement ce ne fut le cas que pour deux titres : LEGO Harry Potter Collection et Alan Wake.
Crash Bandicoot 4 : It’s about time
Bref, après avoir attendu un peu, j’ai donc choisi d’activer mon abonnement en Juillet 2022 afin de profiter de mon premier jeu offert, Crash Bandicoot 4 : It’s about time sorti deux ans plus tôt sur la PS4, puis optimisé l’année dernière pour la dernière console de Sony.
Voilà clairement le genre de Hits que j’attendais pour profiter de l’offre. J’avais assez bien apprécié le Remaster des 3 premiers épisodes sortis en 2018 ainsi que le retour de Crash Team Racing en 2019, et ce nouveau Crash Bandicoot, à nouveau porté par le studio Toys for Bob responsable du retour du Bandicoot ne m’aura pas déçu.
Toute la fraicheur et la folie de licence est bien présente, le jeu est beau, nerveux et amusants et propose même quelques petits clins d’œil oldschool.
Si j’ai passé un bon moment à progresser dans le jeu, je n’ai pas réussi à enthousiasmer le reste de la famille à se lancer dans l’aventure.
Tony Hawk’s Pro Skater 1+2
Rentrés de vacances, je découvre les titres offerts pour le mois d’aout 2022. Il y a dans un premier temps Little Nightmare, un titre Indé dont j’ai entendu beaucoup de bien ces dernières années, mais dont le game design et le côté un peu noir ne m’a jamais vraiment attiré, voilà qui sera me donnera l’occasion de le découvrir. Mais pourquoi ne pas également profiter pour voir ce que donne de nos jours un titre de sport de rue de la trempe de Tony Hawk’s Pro.
Il est bien certain que je ne me serais jamais arrêté sur un jeu de Skate Board en temps normal. Je n’ai d’ailleurs aucun souvenir des versions originales dont s’inspire celui-ci, même si elles ont bien dû passer rapidement entre mes doigts sur la première PlayStation, il y a 20 ans.
Si le titre est visuellement plutôt réussi, que j’ai passé un moment amusant à apprendre à faire des pirouettes sur mon skate, j’ai assez rapidement fait de la place sur mon disque dur…
Quant à Little Nightmare, il attend toujours son tour…
Need For Speed Heat
Waouw, voilà une super rentrée avec un trio de jeux offert via l’abonnement PlayStation Plus qui méritent chacun mon attention.
Début des vacances, j’avais pu me faire une première idée de ce que pouvait donner un jeu de voiture sur cette nouvelle génération de console avec WRC 10 et j’étais donc plus enthousiasme à voir comment la série Need For Speed s’était mise à la page, avec cet épisode à la cover synthwave aguicheuse !
S’il y eu un temps lointain où j’étais fan de cette série, il remonte déjà à près de 20 ans avec l’épisode « Underground » et je dois bien admettre que celui que j’avais testé sur ma PS4, Need For Speed Rivals ne m’avait pas vraiment époustouflé.
Avec ce nouvel épisode, Need For Speed Heat me glisse rapidement dans le rythme des premiers films de la série Fast & Furious, avec un scénario et des cut-scènes qui donnent de la profondeur au jeu. Certes, le concept n’est pas nouveau, mais puisque je n’y avais jusqu’ici vraiment jamais goûté, je me laisse prendre au jeu. Il me faudra néanmoins faire face à un élément un peu énervant, aucun des personnages auxquels m’identifier ne m’inspire vraiment… Oh joie de l’inclusivité dans le monde du jeu vidéo.
Ceci oublié, je dois bien admettre que j’ai passé un bon moment à faire quelques courses, même si je ne reste pas fan de devoir me promener sur la carte, éviter d’être repéré par la police ou chercher des planques et des garages. Ces éléments sont maintenant propres à la série, mais je préfèrerais me concentrer sur des cut-scènes et des courses !
Le fiston a lui aussi pris plaisir à découvrir ce Need For Speed, mais comme son paternel, au bout de quelques parties, le titre d’Electronic Arts a fini par se faire oublier.
Grand Blue Fantasy Versus
Parmi les titres inclus dans l’abonnement PlayStation Plus de ce mois de septembre, j’ai également eu l’occasion de m’essayer au jeu de combat / RPG Granblue Fantasy Versus, qui se glisse spécifiquement dans les titres de Versus Fighting 2D à l’ancienne.
Graphiquement, le titre est plutôt réussi, et propose une narration pour enchainer les différents personnages à combattre. A nouveau, j’ai un peu perdu le fil de l’évolution de ce genre de jeu, mais j’imagine cela assez normal de nos jours.
Cependant, je dois bien avouer que le temps où je pouvais trouver amusant d’enchainer des combats contre un ordinateur ou même avec un partenaire côte à côte dans le fauteuil me semble tellement loin… Pas aussi loin que Street Fighter II, mais au moins à Super Smash Bros. Melee… soit 20 ans en arrière.
Je dois donc bien admettre que si le jeu ne m’avait été proposé gratuitement, il est bien certain que je ne l’aurais jamais essayé et malgré ses qualités, il peut probable que j’y revienne.
Toem
3° titre de cette série du mois de Septembre, l’originalité et les visuels du titre Indé Toem m’ont de suite donné envie d’en savoir plus. Ce n’est pourtant que de longs mois plus tard que j’aurais le temps de m’y mettre…
Le concept est clairement très chouette, dans un univers en 3D monochrome au gout de dessin animé, notre petit photographe va devoir partir faire un safari photo. On le constate très vite, c’est le genre de jeu où il faut fouiller le décor sous tous les angles pour retrouver des indices à prendre en photo pour progresser, avec de nombreux personnages qui viendront vous donner des petites missions annexes.
Clairement, c’est un coup de cœur, mais il me faut l’admettre, la PlayStation 5 ne se montre pas adaptée pour moi pour jouer à ce genre de jeu que j’apprécierais bien plus sur ma Nintendo Switch !
Hot Wheels Unleashed
Octobre est arrivé, et je me suis arrêté cette fois sur Hot Wheels Unleashed, un titre dont j’avais déjà suivi la sortie l’année précédente chez mes amis de Press-Start.be ! Les deux autres titres ne m’inspirant pas vraiment dans la sélection proposée, même si, à posteriori, j’aurais pu investiguer Injustice 2….
Testé sur la PlayStation 5. Ce jeu de course à la sauce « Micro Machines » avaient de bons atouts entre course sous la table et cross-over entre les jouets vendus en magasin et l’univers du jeu… apportant un peu la dimension de collection de voitures miniatures dans l’aventure.
Mais ma déception arrive assez vite. Si les voitures miniatures sont très sympathiques, les premiers environnements se montrent redondant, assez plats et fort sombres. Très vite, la lumière donne un aspect plastique à l’ensemble.
Manette en main, les spécificités de la nouvelle manette PS5 ne collent pas tant à ce genre de jeu, l’action est assez basique. On se retrouve très vite en tête, mais les virages ne sont pas amusants à négocier… Et je m’ennuie.
Quel dommage, il y avait certainement un petit quelque chose de plus grisant à faire. Pas certain que le mode « online » puisse vraiment apporter un peu de piment supplémentaire.
Heavenly Bodies
Les Jeux offerts du mois de novembre sont loin de m’enthousiasmer cette fois et ce malgré une sélection assez sympathique. Mais je dispose déjà depuis plusieurs années de LEGO Harry Potter Collection, un titre sorti il y a déjà quelques années sur la PlayStation 4 et qui regroupe deux jeux au format HD initialement sortis sur la PlayStation 3.
Me restait donc Heavenly Bodies, un jeu dans le courant Indé qui propose un concept particulièrement original, demandant de remplir différentes missions dans une station spatial. Tout repose sur des mouvements à transmettre à notre astronaute en manipulant la manette, mais il faut bien admettre que la prise en main est loin d’être aisée !
Visuellement, le titre se démarque par une style BD en aplat épuré très réussi.
Si par moment, j’ai cru attraper le tour, mon expérience s’est plus soldé de frustration que de plaisir… et je n’ai troué aucun partenaire pour venir me prêter main forte, le titre misant son gameplay sur la possibilité de résoudre les missions à deux joueurs en simultané !
Saint Nicolas et le Père Noël en approche, il me faut bien avouer que cette fois, la sélection me déçoit, d’autant plus que celle de novembre n’était pas vraiment à la hauteur. Mass Effect est loin d’être le genre de jeu qui m’intéresse, même simplement à le tester, DKO se positionne comme un jeu en ligne… là encore hors de mon scope d’intérêt, et c’est j’ai donc finalement simplement mis de côté pour plus tard Biomutant,… en étant assez convaincu que je ne perdrais jamais de temps à l’essayer.
Star Wars : Jedi fallen order
Après deux mois de disette, c’est avec le sourire que je vois arriver les premiers titres de la sélection 2023 proposés via l’abonnement au PlayStation Plus. Si je sais que je ne me lancerais pas à découvrir Fallout, en revanche, je suis assez intrigué de voir à quoi ressemble un titre de la nouvelle génération dans l’univers de Star Wars. Si très vite, je suis un peu largué dans les sauts et déplacement de mon jeune Jedi, je trouve que la construction narrative donne envie de poursuivre l’aventure. J’aurais aimé que madame ou le fiston se plonge ce Star Wars : Jedi Fallen Order, mais un besoin d’espace disque pour installer le nouveau Hogwart Legacy quelques semaines plus tard, feront de l’ombre à la Force.
Je dois bien admettre que retrouver l’avatar de Cameron Monaghan (l’un des fils Gallager dans Shameless) apporte un petit plus indéniable à l’immersion dans le jeu et me laisse l’envie de revenir, qui sait poursuivre cette histoire, mais il me faut bien admettre qu’en ce mois de janvier, entre Kirby et les mondes oubliés, Let’s Go Pikatchu ou Chariot, de nombreux autres jeux ont déjà trouvés mes faveurs.
Mais la bonne surprise viendra d’Axiom Verge 2, un jeu de plateforme aux côtés Rétro qui propose d’explorer un vaste univers dans une approche dites Metroïdvania. J’avais un peu peur d’être perdu sans connaitre ce qui aurait pu avoir été dévoilé dans un Axiom Verge, mais il n’en est rien… A la recherche d’indice dans un station perdue dans le grand nord, notre avatar va petit à petit découvrir ce qui se serait passé tout en absorbant d’étrange pouvoir.
Un genre de jeu qui me plait beaucoup, mais où je peux assez vite me retrouver perdu et bloqué… Et ce qui devait arriver, arriva. Avec la venue de Hogwart Legacy, mes parties se sont faites plus rares, mais je garde de bons souvenirs de ces moments d’exploration.
Olli Olli World
Ce sont 4 jeux qui nous sont offerts en ce mois de février et plutôt du bon choix. The Mafia et Evil Dead : The Game, sont pour l’heure simplement ajouté à ma ludothèque virtuelle, attendant leur heures, mais je me suis malgré tout essayé à Olli Olli World, un jeu de voltige et pirouette sur un Skate board dans un univers coloré et décalé !
Il n’y a pas à dire, la direction artistique de ce titre est très réussie, mais malheureusement, j’ai bien dû rapidement me rendre à l’évidence que le nouveau dieu de la planche à roulette, ce n’était pas moi !
Quoi qu’il en soit, le mois de février fut entièrement dédié à la découverte de Hogwart Legacy et même les enfants ne sont pas vraiment intéressé à Olli Olli World malgré son style très dessin animé !
Mars et même avril me laisse bien peu de temps pour jouer et découvrir les titres qui me sont proposés en cadeau. Sans être la panacée, j’étais content de récupérer Minecraft Dungeons dont le concept un peu original m’avait déjà intrigué il y a quelques années, mais jusqu’à aujourd’hui, je n’ai toujours pas réussi à motiver le fiston à s’y essayer.
A la maison, c’est encore et toujours Hogwart Legacy qui tourne sur notre console, poursuivant la recherche de Demiguise autour du château.
Le mois d’avril est lui aussi relativement inspirant, je m’étais dit qu’il serait amusant de faire découvrir Sackboy a Big Adventure, le dernier titre de la série Little Big Planet, mais à nouveau, ils se sont concentrés sur leurs titres favoris de la Nintendo Switch.
J’ajouterais néanmoins Tails of Iron dans mon armoire virtuelle à découvrir plus tard… plus tard mais quand ?
Grid Legends
Si j’ai eu l’occasion de découvrir ces dernières années quelques titres des grosses licences de course de voiture des dernières générations, bien loin est le temps où je me laissais emballer par Need For Speed Underground, Burnout 3 et TOCA Race Driver.
En effet, depuis lors ces licences renouvelées annuellement, n’ont jamais su me redonner l’envie de piloter, manette en main.
Je me souviens encore, il y un peu plus de 10 ans, lorsque Codemasters, studio bien connu pour ces simulations de course a proposé le premier jeu de la série Grid sur la PS3. Je l’avais trouvé trop vaste et difficile à prendre à main face à mon peu de temps à pouvoir dompter les commandes. Je n’y retrouvais pas le plaisir des titres qui m’avaient marqué sur la génération précédente de console. Toca Race Driver, en autre, lui aussi signé Codemasters était alors le premier titre de course de voiture à intégrer une narration. Ce petit quelques chose qui vous scénarise votre aventure de pilote… ce que je m’inventais jusque-là dans ma tête entre chaque course.
Si cette approche s’est retrouvée dans à peu près tous les titres de ces dernières années, je me suis laissé prendre au jeu de l’approche « Drive to Survive » proposée dans Grid : Legends, titre proposé gratuitement durant le mois de mai aux abonnés PlayStation Plus
Drive to Survive, c’est l’approche docu/série que réalise depuis quelques années Netflix pour rendre séduisantes les saisons de Formule 1. On y ponctue les différentes courses, d’interview exclusives en mettant en scène pilotes, managers, concepteurs,…
Dès le départ, le jeu nous emmène dans une histoire narrée de cette manière, et même si le résultat et le jeu des acteurs sont parfois digne des premiers jeux vidéo cinématographiques, à l’image de Wing Commander III ou Phantasmagoria… Moi je me sens tout de suite dans un univers à la sauce Michel Vaillant et cela me donne envie de me dépasser, manette à la main
Et justement, des dépassements, j’arrive à en réaliser. Bien qu’en mode « moyen », le niveau de plaisir de course est extrêmement présent. Les circuits sont très sympas, et la découverte des différentes disciplines motorisées propres aux Grid Championship ne sont plus une tare, mais un atout !
Clairement, la sélection de jeu tout au long de l’année aura été particulièrement éclectique. Alors que j’approche de la fin de mon abonnement (Je pensais d’ailleurs qu’il s’agissait de mon dernier lot de jeu) voici entre autre que s’ajoute NBA 2K23 et Jurassic World Evolution II.
Sans être fan de jeu de sport, je dois bien admettre que c’est avec le sourire que je vois arriver la toute dernière mouture du jeu de Basket Ball d’Electronic Arts proposé gratuitement ! « Tu as vu Gaëtan, on va pouvoir se faire des petits matchs sur la console pendant nos congés ! » Et même mon Alice qui s’intéresse à ce sport pourrait à terme s’intéresser à NBA 2K23, mais il va me falloir jongler avec le disque de ma console qui se rétrécit.
Quant à Jurassic World Evolution II, ce n’est clairement pas moi qui y jouerait, mais Charly ne s’est pas privé pour rapidement installer le jeu sur la console et commencer à construire son Parc de Dinosaure tout en suivant les missions. D’un œil, je vois que le titre manque un peu de grandiose et sans surprise, il n’aura pas vraiment fait le poids face à Cities Skyline et toutes les extensions auquel il joue sur son ordinateur.
Endling : extinction is for ever
Sorti l’année dernière, Endling est le premier jeu du studio Herobeats et très vite il ouvre avec intérêt ma dernière sélection de jeux proposées via mon abonnement PlayStation Plus Essential. Dans un titre à l’essence Indie Game remarquable, on contrôle une maman renard devant survivre aux différents dangers qui l’entourent. Forêt en flamme, braconnier et le froid de l’hiver ne sont déjà pas de tout repos pour elle, mais bien vite, elle devra s’occuper également de ses jeunes renardeaux.
Dans une ambiance visuelle remarquable, le jeu parvient à nous perdre dans un environnement hostile et pourtant onirique, où se ponctuent nos différentes sorties nocturnes pour trouver de quoi manger.
Endling est l’un de ces bijoux vidéoludiques qu’il faut un jour essayer, même s’il ne fera pas le poids face au début de notre aventure dans Final Fantasy XVI.
Alan Wake : Remastered
Pas plus de Call of Duty que de Battlefield ou de Destiny pour moi, le 3° titre offert, Alan Wake faisait déjà partie de ma ludothèque, j’avais en effet succombé à sa sortie à cette ré-édition HD.
Difficile néanmoins de découvrir cet Alan Wake, bien que remasterisé aujourd’hui. Sans coneste, il mérite bien plus que les 6 étoiles que je lui offre aujourd’hui. Si je l’avais découvert à sa sortie, il aurait été indéniablement une belle aventure, largement devant les Silent Hill 6 et Resident Evil 5 qui m’avaient alors déçu… Mais aujourd’hui, sur la génération PlayStation, le jeu se montre fort rigide et bien que remasterisé, la 3D et les cinématiques sont bien fades… Très vite alors, le jeu était resté dans le fond de l’armoire, alors que je rêvais de me trouver une PlayStation 5.