Le Scorpion
Auteurs : Marini – Desberg
Editions : Dargaud (2000)
Albums : 1-11 (14)
Quels étaient les chances que je me plonge moi dans une BD de capes et d’épées tout seul, assez peu. Merci à mon paternel pour cette chouette découverte dont le héros m’a tout de suite convaincu, en tant que chasseur de relique religieuse, a l’image d’un mélange d’Indiana Jones, Don Juan et Prince of Persia le tout dans un univers de pouvoir de l’église et d’embrouilles assez proche de la série Borgia. L’ensemble dessin scénario reste dans le ton d’un Largo Winch sans être vulgaire ou inutilement sanglant. Plus qu’à acheter le tome 2 (Merci Vincent), puis les 3 et 4 (encore merci Papa)… De fil en aiguille, l’histoire est devenue plus profonde, les personnages intrigants et je garder ce plaisir à entamer de nouveaux albums !
2018, lecture du tome 6, L’aventure se poursuit avec la découverte du “trésor des templiers”. L’histoire est toujours autant passionnante, on en découvre un peu plus sur Rochman, mais le nombre de personnage est un peu plus important, ce qui rend la lecture d’album en album un tout petit peu plus difficile.