Bon, je cherchais à l’instant un vieux site où j’avais référencé quelques packs de musiques… et je suis tombé sur un projet assez « original » ou je me retrouve acteur sans le savoir… c’est là évidemment le résultat des licences « libres »… Quelques créations que mon frère et moi avions réalisées à l’époque pour le jeu d’aventure La Guerre des Pâquerettes se retrouvent être la bande son du livre audio : La bouille de la comtesse d’Alexandre Dumas, téléchargeable gratuitement et réalisé par AudioCité.net …
Du noir, du « sépia verdâtre »… et 2 tramages différents pour nuancer le tout. Des petits blip bip sur 4 voix stéréo très inspirés, 4 piles AA pour 2 heures de jeux au mieux… et un jeans aux poches, très très larges si l’on veut le ranger dans sa poche… Voilà le topo de ce que permettait à la Gameboy de nous fournir de pourtant d’excellents jeux dont je vous parlerais dans cette 2° partie.
Tetris – GB (Nintendo – Bullet Proof Soft. 1989)
Vous l’avez vu dans mon premier billet, des jeux pour Gameboy, j’en ai eu énormément entre les mains et faire un choix pour vous parler de ceux qui m’ont marqué le plus n’est pas simple. Par exemple, faut-il que je vous parle de Tetris ?? Au fond que dire de Tetris de plus que ce que tout le monde sais ? A quoi bon vous raconter l’histoire des droits d’auteur de ce jeux… Et ma fois, que vous dire de plus si ce n’est que j’ai été moi aussi un accroc de Tetris, que je faisais des concours pendant les heures d’études avec les pots pour voir qui feraient le meilleur score, et que j’ai vraiment pris mon pied en monde « Linked » avec Alain Dierckx, le paternel de Greg & Joe qui était très fort à ce jeu… Au fond… Tetris, c’est Tetris… Pourtant, aucune autre version n’est aussi prenante que ce Tetris en 4 couleurs, avec ces musiques qui vous restent en tête jusqu’à votre trépas ! (Tetris 1989 Nintendo)
Warhawk… un des premiers jeux dont j’ai vraiment été accroc sur mon C64… Je l’avais ramené de mon stage sport/informatique à Huy… sous le nom de P1. Ce qui marque tout d’abord dans Warhawk, c’est l’excellentissime musique de Rob Hubbard ! Ce shoot’m up de Firebird / Proteus sorti en 1986 était très prennant. L’action était parfaitement rhythmée et les enemmis très variés pour l’époque… Mouvements différents, dont les surnois vaisseaux Pacman… des attaques de météorites… et enfin le « boss » finale, une attaque groupée de différents vaisseaux tournoyant vers notre Warhawk sur écran fixe…
Warhawk, version originale sur Commodore 64
Faire un remake de Warhawk était un beau défis, et c’est ce que Headsoft réussi là ! Tout d’abord ce qui marque dans cette version Homebrew, c’est une volonté de ne pas faire une explosion de couleurs, mais bien rester dans des tonalités C64/Amiga qui mettent parfaitement dans une ambiance rétro. Les musiques ingame, réalisées par Space Fractal reprenant le thème du jeu sont plutôt réussies, par contre, je trouve que l’arrangement, pourtant bien réalisé de Press Play on Tape ne colle pas à la « cartouche ».
Warhawk DS v1.02 (c) Copyright 2009 Proteus Developments and Headsoft
Coté gameplay… On retrouve assez bien le plaisir de la version originale. L’action est tout aussi soutenue, et des vaisseaux ennemis un peu plus imposants viennent s’adjoindre aux vagues d’attaques à l’ancienne… Le grand plaisir de Warhawk comparativement à un R-Type par exemple, est que notre vaisseau dispose d’une jauge de vie importante (présentée sous forme de petit triangle), qui diminue à mesure des impacts de votre Warhawk. C’est du coup tout de suite moins frustrant… assez rare pour l’époque ! La difficulté est bien présente… Une rapide partie ne m’a menée qu’au level 2… Sur commodore c’était un peu pareil, il me fallait une bonne dose de concentration et d’entrainement pour atteindre le Level 8. Enfin, les niveaux sont ici terminés par de vrai boss !
Ce qui par contre me perturbe un peu et que j’apprécie moins c’est le déplacement du vaisseau. En effet le jeu profite du double écran de la console, permettant de voir un peu ce qui va nous tomber dessus, par contre, on peu scroller d’un demi écran à gauche ou à droite… Le vaisseau alors semble moins rapide que lorsque l’on est en bord d’écran… Cela fait un peu perdre de réactivité au jeu.
Néanmoins, on ne peut que féliciter la qualité de ce Homebrew !!!
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Bref, merci Pype de m’avoir un peu poussé à ressortir ma DS qui dormait un peu… en attente de nouveaux trucs sympa… j’ai quelques autres homebrew à approfondir tel que Twitter pour DS, un émulateur Atari 2600,…
Charly n’a encore que 2 mois, et moi, je rêve déjà de lui acheter sa première boîte de LEGO Duplo, de le voir construire et jouer avec les briques et bonshommes qui moi même ont bercés mon enfance. Je vous avais déjà parlé des mes Playmobil il y a quelques temps,… dernièrement, c’était la collection 2009 de la marque danoise LEGO qui était présentée à la galerie de Belle Île Liège… j’avais donc vraiment envie de me faire un petit voyage dans le temps au travers les nombreuses boîtes LEGO que ma belle jeunesse m’a offerts…
Fils, sache que tu verras ici uniquement les boîtes de ton paternel, et aillant longtemps fantasmer chaque années dans le catalogue,… j’ai parfois un peu de mal à me souvenir de celles que j’ai eues, ou voulu vraiment avoir,… sache aussi que ton Tonton Pype était lui aussi friand de LEGO, et qu’il a reçu un bonne série de boites de briques également, … et bien vite des LEGO Technic… enfin, sache que rien n’a été perdu… tout est chez ta mamy :)
Il y a un bon mois sortait le tout nouveau Street Fighter IV. Sans revenir sur la série, j’en avais parlé à l’époque, il était dans le collimateur de mon porte-feuille, mais ce dernier étant un peu malmené ces derniers temps,… j’ai pris la décision de le trouver à moitié prix en deuxième main. Hier donc, je ramenais mon édition cartonnée du dernier né de Capcom.
J’avais déjà vu nombre de photos et vidéo, c’est donc sans surprise que j’allais me mettre sur un jeu de baston animé en 3D mais ce jouant à l’ancienne…
Dès le départ, l’intro du jeu me laisse un peu sceptique, mise en musique sur un titre mélange de Backstreet boys et de J-Pop, finissant au bout de longue minute sur l’air de Street Fighter… heureusement. Une fois dans le menu, le Boysband se remet en route… douteux.
La moitié des personnages est disponibles, c’est de bonne guerre, rien de fulgurant dans le menu de sélection… on a même déjà vu plus joli dans les séries Capcom VS … Je me lance dans le combat avec Ryu, … bien entendu. Petite cinématique « manga »,… pas très réussi, et même mal dessinée. J’attaque Chun Li, en mode easy, après avoir refuser des « new challengers » via le network… option sympa, mais pas dans mon cas.
Combat correcte, Ryu répond moyennement à mes Adoken et autres shoriukup… les décors sont jolis, mais je trouve les expressions de mes combatans pas très réussie. J’enchaine sur un Zangief, plutot coriace me laissant peut de répis… Il me faudra d’ailleurs 20 bonnes minutes pour en venir à bout. Un Zangief vraiment agressif, et équipé dans nouveau coup poing enflamé qui fait des dégats… surtout enchainé à son 360°.
Au bout de 20 minutes, j’ai le pouce qui commence à chauffer sur mon Pad Dualshock III. Un peu rapide il me semble… Je tente une partie en « stick analogique », mais on oublie, c’est impossible, déjà au pad, je n’arrive pas à réussir mes coups comme j’y arrivais sur la manette SNES.
J’enchaine sur un gros gros balour DJ, nouveau venu, mais mon pouce me lache, un cloque… 30 minutes de jeux. Assez que pour me dire que Street Fighter IV n’est pas au niveau coté plaisir de ce que je pouvais trouver sur la version Super Nintendo… Je le garde un peu pour le montrer à Pype et Didier… mais il partira rapidement à l’échange :)