Désactiver les applications au démarrage du MAC

Désactiver les applications au démarrage du MAC

C’est quelque chose qui m’énerve souvent lorsque j’allume l’un des mes ordinateurs MAC, un nombre impressionnant d’application qui se lance inutilement au démarrage. Que ce soit Zoom et Teams sur certains ou Les Sims et Steam sur d’autres.

Souvent, comme dirait mes enfants, j’ai la flemme de chercher où supprimer cela. D’autant que d’une version à une autre de mes OS Apple, l’accès à changer. Ceci dit sur mon OS MAC Sunoma, c’est assez rapide à modifier. Il suffit de rentrer dans les réglages systèmes > général > ouverture.

Vous retrouverez alors les différentes applications qui s’ouvre en démarrage de session ainsi que ce qui démarre en arrière plan. Il ne restera plus qu’à faire le ménage.

Cette information se trouve facilement sur le site d’Apple, mais ainsi je pourrais la retrouver plus aisément dans mes notes.

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Les heures fragiles

Les heures fragiles

Avec déjà trois romans engloutis en ce début d’été, je n’avais pas envie de sortir de cette bulle. J’avais trouvé un rythme, une ouverture nouvelle à des lectures plus fluides, plus modernes. Parmi les quelques titres qu’on m’avait soufflés, « Les heures fragiles » avait retenu mon attention. Le résumé m’était sorti de la tête, mais je savais qu’il y était question d’une mère et de sa fille ado, d’une première rupture,… Thèmes qui, au moment de l’achat, m’avaient fait penser à un roman que Madame aurait pu aimer… même si, pour l’instant, elle avait mis ses lectures de côté.

C’est finalement moi qui ai ouvert le livre en premier, découvrant ainsi mon premier Virginie Grimaldi. Et très vite, j’ai compris pourquoi on m’en avait parlé : une écriture incroyablement fluide, qui alterne les chapitres entre Diane, la mère et Lou, sa fille. Mais j’ai aussi compris tout aussi vite que le sujet ne serait pas aussi “léger” que je l’avais imaginé. Lou a seize ans, et derrière son sourire d’ado, Diane découvre des indices inquiétants dans son téléphone. Quelques chapitres plus loin, Lou est placée dans un centre spécialisé.

Je ne m’attendais pas à ça. Un roman qui parle d’idées noires, de mal-être adolescent, de suicide… j’avoue que je n’étais pas préparé. Moi qui ai tendance à rester dans mes lectures où tout va bien — si ce n’est la fin du monde, je me suis retrouvé à devoir accepter ce virage. Mais finalement, j’ai lâché prise. Je me suis laissé toucher, sincèrement, par ce que traversent Diane et Lou. L’angoisse d’une mère qui se sent impuissante. Le vertige d’une adolescente qui ne trouve plus sa place dans le monde. C’est fort, ça sonne vrai.

Et puis, il y a ce fil du passé, qui se glisse doucement et qui donne une autre profondeur à l’histoire et qui amène à cette fin que je n’avais pas vue venir. Peut-être ce genre de petit détail qui fait la renommée de l’auteure française.

En refermant le livre, j’avais l’envie de poursuivre, de me replonger, dès le lendemain, dans un nouveau roman.

In a pouring rain

In a pouring rain

Voilà des années que je n’avais plus écrit et composé une chanson. Pas juste quelques notes de musique qui sonnent. Pas simplement des mots qui s’entremêlent. Mais un morceau qui me prend là, dans le ventre, qui me donne des frissons et qui m’emmène loin, bien loin dans ma tête et sur lequel je poserais finalement ma voix pour accompagner ce voyage.


C’était une fin de journée d’avril. Le fiston Charly, à l’avenir musical brillant avait sorti sa guitare toute neuve. Il avait une idée, une série d’accords, et deux premières strophes.

« Because you don’t know how much I love you
And how I feel alone tonight ».

Cela sonne, un petit coté qui me rappelle Oasis, ma jeunesse, celle où j’étais sur la scène avec mon groupe… d’emblée je lui propose spontanément un…

« Well you don’t see, how i play the fool
But sure i am not in your mind »

suivi d’un…. « On tient un tube, je vais écrire la suite ».

Oui fils, tu viens d’avoir 16 ans, tu vis pour la musique comme je l’ai vécu à ton âge, mais tu as aussi les deux pieds dans les sentiments et l’amour. Et à ce moment ceux-ci se montrent tellement puissants, palpables, ils peuvent te retourner, te faire un mal de chien autant et parfois rendre tout le reste inutile.

En écrivant le texte de cette chanson que j’imaginais t’offrir. J’ai cherché à replonger dans ces années tout en donnant de la maturité à mon histoire. J’y ai travaillé près de 3 mois à chercher les justes mots, le lyrisme d’un coté British Pop, que ce soit Oasis ou Fools Garden

J’ai laissé venir cette histoire, ce sentiment de marcher sous la pluie battante, dans l’espoir qu’elle revienne ou peut-être, simplement, qu’elle te remarque et retrouver les beaux jours attendus.

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Seulement si tu en as envie

Seulement si tu en as envie

En d’autres temps, je ne me serais sans doute jamais plongé dans un tel roman. Trop éloigné de mes lectures habituelles, trop « romance » pour celui qui préfère d’ordinaire la fantasy et les mondes dystopiques, voire même un thème que j’aurais tout simplement évidé. Mais cet été, j’avais envie de me laisser séduire par quelque chose de différents et finalement, beaucoup plus fort au point de me retrouver à lire deux romans en même temps !

Dès les premières pages, je me suis laissé happer par le quotidien de Camille. Son travail, son mariage qui s’étiole, ses enfants, ses doutes… Autant de petits fragments de vie dans lesquels il est facile de se reconnaître, d’une manière ou d’une autre. Et puis bien sûr, ce premier amour qui resurgit après tant d’années, ce tourbillon de sentiments qui bouscule tout. Bruno Combes sait parfaitement doser tout cela, écrire de telle sorte que l’on se laisse emporter avec elle sans résistance.

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Un été la tête dans les pages – La probabilité statistique de l’amour au premier regard

Un été la tête dans les pages – La probabilité statistique de l’amour au premier regard

Cela fait des années que je répète que j’ai envie de me remettre à lire, mais je trouve toujours mille excuses pour repousser. La première étant que je lis lentement et qu’il me faut du temps pour me projeter dans les pages, pour visualiser vraiment ce qu’il se passe. Longtemps, j’ai privilégié les univers dystopiques, la fantasy ou la science-fiction, mais pour ces vacances j’avais envie de tenter quelque chose de plus léger… et voilà qu’en fouillant dans ma bibliothèque, ce roman m’est tombé presque littéralement sur le pied.

Je me souvenais d’avoir vu l’adaptation Netflix de La probabilité statistique de l’amour au premier regard, sortie en 2022, et d’avoir pensé à l’époque : « Ce film doit bien être tiré d’un bouquin sympa à lire. » Même si je n’avais plus tous les détails en tête, pas de surprise à retrouver Hadley, l’héroïne américaine, coincée à l’aéroport, et Oliver, l’étudiant britannique au charme irrésistible. Elle se rend en Angleterre pour le mariage de son père, qu’elle n’a pas digéré de voir partir refaire sa vie de l’autre côté de l’Atlantique. Elle déteste les avions, lui est du genre pince-sans-rire, et une bonne partie du roman repose sur leurs échanges à la fois cocasses et tendrement romantiques.

Puis vient le moment de la séparation à l’aéroport. L’histoire bascule alors davantage sur le passé d’Hadley, sa relation compliquée avec son père, les souvenirs qui refont surface… C’est là que, pour moi, le roman a un peu perdu en intensité. J’avais envie de quelque chose de plus fort, de plus prenant, peut-être aussi parce qu’en parallèle j’avais déjà entamé un autre livre qui m’absorbait davantage.

Il n’empêche : j’ai beaucoup aimé le début, ce côté léger et romcom aéroportuaire –– où roman de gare comme disait mon paternel, probablement renforcé par mes souvenirs du film. La suite s’avère plus douce, plus tournée vers l’introspection, ce qui m’a un peu moins accroché, mais qu’importe : ce roman aura eu le mérite de faire partie de ce processus de changement et mon envie de lire cet été… et rien que pour ça, il mérite sa petite place dans mes souvenirs de vacances.