Bon, voilà un problème récurrent que j’ai enfin réussi à régler efficacement. Voilà déjà plusieurs années que je change de machine Apple tout en conservant le même système de sauvegarde reposant sur la solution internet Time Machine. Cette solution se montre particulièrement efficace, mais un élément est néanmoins lors du changement de machine, toutes les sauvegardes de la machine précédente restent encombrer mon disque.
Par exemple, j’ai changé de portable en juin 2022. Mon TimeMachine de l’époque pouvait me permettre de remonter près d’un an en arrière. En redémarrant ma solution de backup sur le même disque, je n’ai en général que quelques mois sur la nouvelle machine, puisque près de 1to de données de l’ancienne machine restent sur ce disque, dont certaines en doublon…
D’expérience, supprimer les données en les plaçant à la corbeille depuis le disque de sauvegarde Time Machine est à proscrire. J’avais tenté l’expérience par le passé, et cela a créer des problèmes permanents de message d’erreur et fichier impossible à supprimer.
En 2018, j’avais ciblé cette solution qui implique en revanche de disposer encore de son ancienne machine. Mais j’ai enfin trouvé une solution simplement permettant de nettoyer proprement les fichiers d’une sauvegarde Time Machine en provenance d’un ancien ordinateur dans le forum anglophone d’Apple.
Wouw, je n’en reviens pas. Ma collègue m’avait signalé qu’elle n’arrivait plus à se connecter à sa session sur son ordinateur MAC. Impossible de retrouver son mot de passe, erreur de saisie, nous avions déjà par le passé essayé plusieurs combinaisons, sans succès.
D’une rapide recherche ce matin, je tombe sur un descriptif dans le support d’Apple qui explique comment ré-initialiser un mot de passe depuis le Terminal, en y accédant au départ du menu de restauration d’un ordinateur MAC équipé d’un processeur Apple. La procédure semble tellement facile, tapez : resetpassword
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’en 15 minutes, je lui avais assigné un nouveau mot de passe et qu’elle pouvait récupérer les données de son profil. Tellement facile, que j’avoue que cela fait même un peu peur !
La procédure implique de pouvoir disposer d’une connexion Internet pour « valider » la procédure. Est-ce que cela aura un impact sur la réussite de l’opération. Apple vérifierait-il des données dans la procédure, comme par exemple une géolocalisation ? Semble-t-il pas le réseau WiFi utilisé, j’ai dû m’accrocher à un point temporaire créer sur mon smartphone auquel la machine n’avait jamais été connectée.
Tiens, ce n’est pas la première fois que je me retrouve confronté à ce problème. Lorsque je télécharge des vidéos issues de mon Google Photo, ces dernières ont été recompressées dans un autre format et les fichiers MP4 ne peuvent plus être importé dans mon logiciel de montage Final Cut Pro X !
Si VLC arrive bien à les lire, il est un peu fastidieux de les convertir une par une. En réalité, mes vidéos se retrouvent compressées avec le codec Google on2’s vp9 video qu’Apple a décidé de ne pas supporter.
Finalement, c’est encore Handbrake, dans sa version MAC qui arrivera en 3 clics à me tirer d’affaire !
2024 est derrière nous, déjà les pieds au froid dans l’année 2025 qui, je l’espère ne pourra être que meilleur que les souvenirs, encore frais, que me laisse l’année 2024.
Voir passer le tram, c’est bien Avoir bien chaud, c’est mieux !
Cette dernière se devait être une année de changement, avec entre autre un changement de taille, celui de mon lieu de travail, puisqu’après 22 années passées sur le site du Sart Tilman, mon équipe des MOOCs de l’Université de Liège prenait place, durant l’été dans un Nouveau Centre névralgique rassemblant différents acteurs du numérique et de la formation en périphérie de la ville de Liège, au Val Benoît.
Si ce changement était en sursis depuis de longues années, j’étais en revanche loin d’imaginer me retrouver un nouveau club de Basket pour notre Alice, prenant tout juste ses marques chez les verts… Si la transition s’est montré humainement difficile dans un premier temps, nous voici maintenant bien installé en rouge, avec même la petite soeur qui joue, soit près de 5 entrainements par semaine dans le nouveau club Alliance Flémalle, de quoi même se proposer comme sponsor de l’équipe U14 ;)
Enfin du changement en voiture, avec l’arrivée de notre carrosse au printemps dernier qui nous emmène de la maison à l’école. De l’école au boulot, du boulot à l’école, de l’école au Basket, à la danse, au chant, au match, avant de rentrer à la maison.
Pourtant de tous changements finalement positifs, me reste le sentiment que 2024 était une « sale année », une année usante, une année pesante,… 2024, l’année où j’ai pris un coup de vieux !
Un sentiment d’avoir plus de responsabilité, un sentiment d’entrer dans un nouveau monde numérique où l’argent a pris le pas sur la magie de l’innovation, d’un rythme de vie où lire une BD, sortir des Micro Machines, jouer à un jeux vidéo… avec ou sans les enfants, toutes ces petites choses qui me donnaient l’impression d’être un « grand enfant » se retrouvent mises au grenier,… à l’image des grands bacs de LEGO et de Playmobil que j’ai remisé lors des précédentes vacances.
Oui, le Papa joueur se retrouve contraint à prendre une autre identité. Les enfants ont grandi. Charly chante, compose, crée, débat, s’affirme. Mes filles se transforment en petite jeunes filles. Encore pleine de contradictions, avec parfois encore l’envie de passer du temps avec moi, mais déjà bien le nez dans un nouveau monde d’ado.
Reste ma petite Rose… Petite ? Elle se joue tellement à faire la grande par moment, que j’ai du mal à me souvenir qu’elle vient seulement d’avoir 9 ans, prise dans le monde de ses soeurs.
Alors que mes 47 ans se rapproche, je ressens, peut-être vraiment pour la première fois, une sensation d’avoir passé le sommet de la courbe. Que les soucis ne seront plus des petits méhins, des petites babioles,… Qu’il va falloir apprendre à avancer dans une nouvelle ère, à un autre rythme,… et que peut-être ce changement était déjà entrain de s’amorcer depuis quelques temps.
Puis je pense à tous ceux qui autour de moi ont traversé une année 2024 bien plus sombre… Barballo, Papy, Claude, Geo,… et ainsi que leurs conjoints, enfants, famille. Courage.
Voilà cher blog ce que j’ai envie de conserver dans mon souvenir, même si pour vous, lecteur perdu ici, tout ceci ne pourrait sembler qu’une complainte d’hiver…
C’était en juin dernier, pour la Fête des Pères,… j’avais répondu : « Hé bien, je ne suis pas contre un aspirateur robot ! ». En effet, j’avais repéré un modèle qui s’intégrait plutôt bien dans la maison et que les amis de Sitegeek avait mis dans le TOP 5 de recommandation : Le Dreame D10 Plus.
Marque qui m’était jusque là inconnue, comme en réalité bon nombre de modèles de robots fabriqués en Chine venant concurrencer via Amazon les marques que l’on retrouve en magasin. Si je ne suis guère enthousiaste, en général, à l’idée d’acheter des appareils chinois, je dois bien admettre qu’en la matière, côté rapport qualité/prix/technologie, je n’ai pas été déçu par mon Dreame D10 Plus !
Notons quand même qu’après de deux bons mois d’utilisation, l’interface m’annonçait qu’il fallait remplacer les balais latéraux. On peut effectivement voir une « durée de vie » pour tout une série de composant de l’appareil. Cela semble un peu énervant, mais finalement, je préfère être informé du besoin de changer des pièces qui s’usent que de constater un mauvais fonctionnement de l’appareil, comme c’était le cas il y a déjà 10 ans avec mon Samsung Navibot.
J’aurais également pu apprendre comment nettoyer les filtres et comment y avoir accès. Tout se trouve bien expliquer dans l’application.
Mais un point est resté à m’ennuyer durant ces derniers mois. Par moment, lorsque le robot a été trop déplacé manuellement, ou si sa base de recharge a bougé (ce qui arrive parfois quand madame fait le ménage), la cartographie des lieux se retrouve légèrement décentrée, le robot ne respectant plus alors correctement sa tournée.