Le temps est à l’urgence pour transformer toute une série de cours et de contenus pédagogiques qui étaient donnés de manière traditionnelle en classe ou en amphi pour en faire des contenus numériques. S’il est un peu moins l’heure actuellement de réfléchir à la meilleure approche pour proposer un contenu multimédia pédagogique efficace, il peut être intéressant de ré-utiliser et adapter du matériel existant qui parfois est stocké sur des formats devenus moins fréquents, tels que par exemple les DVD Vidéo.
Le contenu de la structure d’un DVD Vidéo
Un DVD Vidéo contient une série de fichiers de données stockés dans un répertoire VIDEO_TS. Les données vidéos se trouvent dans des conteneurs .VOB, ceux-ci contenant donc des données vidéos et audio au format MPG2 et quelques autres metadatas supplémentaires. Le format DVD Vidéo datant des années 90, il implique de couper une même vidéo en plusieurs morceaux de manière automatisée, par fichier de +/- 1go. S’il suffit de renommer un fichier .VOB en .MPG pour l’exploiter, De nos jours, un nombre important de players vidéo et outils de montage ne gèrent plus nativement le format MPG2, car son utilisation implique la paiement d’exploitation d’un ancien brevet, comme pour l’exploitation du MP3 ou MP4 par ailleurs, réduction des couts !
Considérons ici que vous devez récupérer des données issus d’un DVD Vidéo personnelle dont vous disposez des droits. En effet, un grand nombre de DVD copyrighté dispose d’un protection qui rend les fichiers .VOB qu’il contient erroné. Il existe des solutions pour contourner ce problème, mais ce n’est pas le sujet du jour.
Bon évidemment, chez les sorciers, tout semble plus simple. Il suffit d’attendre le hibou qui vous déposera la lettre d’invitation à l’école de Poudlard. Le Choixpeau magique s’occupera de vous trouver la bonne maison ! Aux parents de faire les achats de matériel dans le Chemin de Traverse et d’être à l’heure sur le quai 9 3/4. Mais pour nous Moldus, les choses sont un peu plus compliquées… ou pas ?
Si mon grand rentrait à l’école secondaire en septembre prochain, j’aurais dû avoir rentré mon document officiel complété dans l’école de mon choix avant aujourd’hui, vendredi 6 mars. Et je vous avoue que fort heureusement, il ne rentre pas en septembre prochain, mais en 2021 ! Néanmoins, j’ai déjà pu me plonger dans toutes les inquiétudes que nous, parents, pouvons avoir dans ce qui sera peut-être le dernier grand choix que nous poserons concernant l’avenir de nos enfants.
Depuis de longues années déjà, la Belgique a mis en place un « décret inscription » qui doit favoriser les chances de chaque famille d’accéder à l’école de son choix. Il est vrai que je me souviens qu’il y a plus de 10 ans, mon ami Jeff avait fait la queue toute la nuit pour obtenir une place dans une école très courtisée de la ville de Liège. Avec le nouveau décret, chacun doit maintenant rentrer le dossier d’inscription dans l’école de son premier choix, cette année avant le 6 mars. S’il n’y a pas plus d’inscrit que de places disponibles, alors Bingo, on vous informe rapidement que votre enfant est inscrit à l’école ! Sinon, c’est à l’indice composite et les algorithmes de déterminer l’inscription ou la mise en file d’attente. On choisira alors d’attendre au moins jusqu’au début des vacances, ou d’opter l’école placée en second choix sur le document, si celle-ci dispose de place.
Lors des dernières élections, la Région Wallonne avait annoncé en finir du système actuel. Mais qu’aurons-nous à la place en 2021 ? Plus que probablement une version un peu remaniée des algorithmes actuels plutôt qu’un changement complet. Faudra-t-il encore que celui-ci soit réellement prêt pour 2021 ! Il est donc plus que probable que les indices composites actuels soient toujours de mise : l’école de préférence, fratrie déjà présente dans l’école, partenariat pédagogique avec l’école primaire, distance entre le domicile et l’école (primaire et secondaire), poursuite d’un programme d’immersion…
Tout ceci crée évidemment du stress pour les parents et l’enfant qui va déjà voir chambouler toutes ses habitudes, d’autant qu’il n’y a pas que sur Bruxelles que parfois, le choix espéré n’est pas retenu. Je suis donc plutôt content de nous être mis, avec notre fiston à aller visiter des écoles, s’informer et s’imaginer comment sera fait demain !
Le Pacte d’excellence grave dans le marbre l’apprentissage du numérique (et par le numérique) à l’école. Le codage y trouvera aussi sa place parmi les nouvelles compétences à acquérir. « Il est essentiel que progressivement l’enseignement adapte ses pratiques et ne rate pas le tournant du numérique », nous dit la ministre de l’Enseignement, Caroline Désir. (Un article à lire dans l’écho)
Faire le bon choix
Je me souviens que de mon temps, au début des années 90, le choix avait été très simple. J’habitais à 10 minutes à pied de mon école primaire et l’Athénée de l’Air Pur de Seraing était à 10 minutes à pied également. La majorité de mes camarades de classe allait également se rendre dans cette école qui avait par ailleurs excellente réputation. Pourquoi diable envisager d’aller prendre le bus pour me rendre dans une autre école ?
Ici, nous habitons dans un petit endroit un peu isolé ou aucun transport en commun ne passe. Le choix de l’école est d’autant plus important qu’il faudra alors continuer à conduire les filles à l’école primaire en même temps pendant encore 6 années. La distance et complexité du trajet seront donc des éléments primordiaux du choix de l’école. J’ai bien du mal à m’imaginer déposer mon garçon à la gare tous les matins pour qu’il prenne le train jusqu’à la grande ville de Liège pour se rendre à l’école…
La taille de l’école est pour moi également un élément important. L’Air Pur où j’ai fait mes études accueille maintenant près de 2000 élèves, là où il y en avait probablement moins de 1000 à mon époque. Je préférerais une école plus modeste, ou mes enfants ne seront pas un numéro. C’est un élément particulièrement subjectif, j’en conviens, certains d’ailleurs préféreront une grosse école où son enfant sera mieux préparé au vrai monde !
Les parents peuvent aussi éduquer aux jeux vidéo, ce qu’il nous manque, ce sont les outils bien comprendre le jeu vidéo et sa culture
J’en parlais plus haut, le choix de l’école secondaire est peut-être le dernier choix que nous portons concernant l’avenir de notre enfant. J’aimerais donc pouvoir lui proposer la meilleure école, celle qui pourra lui ouvrir les portes aux meilleures études supérieures ! Il n’aura pourtant qu’une peu moins de 12 ans au moment de ce choix, impossible de savoir s’il sera architecte, ingénieur informaticien, imprimeur 3D, instituteur ou l’un de ces métiers qui n’existent pas encore. Néanmoins certaines écoles préparent mieux que d’autres à des études demandant des compétences très poussées en mathématiques ou chimies… Même si d’ici là, l’Université de Liège aura mis en place un package complet de MOOCs socles afin de se préparer à ces matières de manière autonome.
L’école numérique, un autre dossier intéressant lu dans le Ligueur
Enfin, j’ai envie de lui trouver une école où il rencontrera des enseignants motivés, qui lui donneront de pouvoir apprendre de manière innovante, avec le numérique comme le fait Laurent Di Pasquale à l’Air Pur ou Gaël Gilson à l’Athénée de Chênée, mais également un apprentissage où il pourra créer, expérimenter, découvrir…
« Les parents peuvent aussi éduquer aux jeux vidéo, ce qu’il nous manque, ce sont les outils bien comprendre le jeu vidéo et sa culture ». Travailler le français en jouant à Tower Assault en classe, une belle manière d’utiliser le jeu vidéo comme outil pédagogique, non ? Cette petite vidéo est en lien avec l’article que je suis justement en train de lire à la maison dans Le Ligueur des parents – Ligue des familles dont la thématique est actuellement « L’école numérique ».
Manette en main, on joue, on progresse, on voyage, on meurt, on sauve la princesse et on recommence.
Peut-être, comme moi, êtes-vous absorbés dans ce monde des jeux vidéo depuis de longues années, là où certains l’auront découvert avec Pokemon, Minecraft, Super Mario…. voire Space Invaders !
Je vous propose de poser un autre regard sur ce loisir qui nous tient à cœur. Je vous propose de poser votre manette un moment pour vous présenter ce projet de MOOC « Introduction à la culture vidéoludique » auquel j’ai participé, un cours en ligne, gratuit et ouvert à tous réalisé par l’Université de Liège et le Liège Game Lab.
C’est ici l’occasion de découvrir le jeu vidéo non plus comme un simple loisir, mais comme un objet culturel en montrant comment celui-ci est raconté, critiqué, détourné, apprécié, trituré ou célébré…
En plongeant dans ce MOOC Bjorn, Boris, Fanny, Pierre-Yves, Julie et Bruno vous accompagneront pendant 6 semaines au travers de nombreuses capsules vidéo. D’autres experts tels que Alexis Blanchet, Fanny Rebillard, Pipomantis ou Maria Kalash viendront apporter leurs éclairages et vous serez même emmené jusqu’à l’Université Ritsumeikan de Kyoto qui dispose d’un centre de recherche sur le Jeu Vidéo.
Cela vous tente, envie de poser un nouveau regard sur le jeu vidéo ? Il ne vous reste plus qu’à vous inscrire sur la plateforme FUN à la deuxième session !
C’est gratuit, et sans achat intégré, alors n’hésitez pas à en parler autour de vous !
Depuis de nombreuses années, je fais cohabiter plusieurs versions de Final Cut Pro X sur une même machine. Devant travailler en groupe, il arrive fréquemment que nous ne pouvions complètement migrer notre version de Final Cut Pro X en même temps, quand l’une des personnes de l’équipe travaille sur un projet plus ancien, entamé dans une précédente version.
De fait, certains changements majeurs du logiciel du montage d’Apple impliquent une mise à jour de bibliothèque qui ne pourra plus être lue sur une ancienne version de FCPX. Voire, évidemment certaines versions du logiciel ne sont pas compatibles avec d’anciens ou nouveaux systèmes d’exploitations. Pour l’heure le grand changement imposé par Mojave, nous invite à rester au mieux sous High Sierra ou sous Mojave en fonction de la date d’achat de l’équipement.
Quoi qu’il en soit, jusqu’ici. Ce n’était guère problématique. Je pouvais très bien avoir sur mon ordinateur la version 10.4, 10.4.2 et 10.4.3 sur la même machine en renommant le fichier de l’application. Leur seul désagrément était de devoir remodifier quelques réglages de préférences d’espace à chaque switch de version.
Cependant, certaines nouvelles machines sous Mojave et Catalina nous ont obligé à passer un peu plus rapidement à 10.4.6 qui fort heureusement tourne sur ces deux versions de l’OS d’Apple, mais également sur High Sierra (en version 10.3.6 de l’OS)
Or étrangement, j’ai rapidement constaté des soucis avec des projets démarrés sous FCPX 10.4.6 dans ce cette situation de multi-version plutôt que de mise à jour de l’outil de montage vidéo. Ces problèmes se présentaient sous forme d’objet manquant ou par exemple de fond de couleurs devenant noir.
En général en exécutant FCPX en mode « suppression des préférences » (soit en appuyant sur OPTION et COMMAND) en même temps, ce genre de soucis se corrigeait, mais le problème est cette fois plus profond. La version 10.4.6 de Final Cut Pro X s’est adapté à la nouvelle interface « Metal » intégrée à Motion, l’outil permettant notamment de modifier des objets dans Final Cut Pro. Il est donc nécessaire que celui-ci soit également mis à jour sur la machine en version 5.4.3 au minimum.
Ce système de versionning ne fonctionne pas avec Motion. De fait, si je fais cohabiter deux versions, même en changeant leur nom, FCPX continue à faire référence à la version précédente et le bug reste donc présent !
— La problématique est bien ciblée, afin de pouvoir retrouver ces informations, je les publie en état. J’affinerais par la suite en profondeur, comment résoudre le problème, mais voici en gros la direction à prendre — …
Diable, ce Weekend, mon fidèle, mon précieux Google Pixel 2 m’a abandonné en traitre. Coup de froid ? Obsolescence programmée ? Difficile à dire, mais ce dernier s’est retrouvé bloqué sur un écran noir avec la torche allumée. Google Black Screen of the Death.
Rien n’y a fait, j’ai bien tenté quelques tuto et simplement essayer de lui imposé un redémarrage, car le système s’active, je peux par exemple constater qu’il est reconnu via le Bluetooth, mais l’écran reste définitivement éteint.
Enfin reconnecté. Le Google Pixel 3a n’a pas la noblesse de ses grands frères Pixel, Pixel 2, 3 ou 4 avec sa finition plastique, mais côté photophone, il reste à mettre la concurrence au défi de faire aussi bien. Sans retouche, ces deux premières photos sont excellentes.
Impossible pour moi de rester sans téléphone plusieurs jours, voire semaines, le temps que ce dernier retourne en Grande Bretagne et ici en Belgique, aucune autre option que la série Google Pixel ne peut me proposer un téléphone parfait coté photo, ce qui est l’une des principales caractéristiques que j’attends d’un smartphone.
Dans la famille Pixel, le Google Pixel 3 est venu prendre le relais depuis l’automne dernier, rapidement complété par un Google Pixel 3a aux performance photo similaire, le tout dans une coque tout plastique mais vendu sous la barre des 400€, soit prêt de deux fois moins cher, et je le tenais à l’œil depuis le printemps.
Entre temps, le Google Pixel 3 a également vu son prix descendre, se rapprochant des 500€ puisque ce dernier a été remplacé en octobre par le Google Pixel 4. Quoi qu’il en soit, ici en Belgique, aucun des Pixels n’est vendu en magasin. Mon importateur habituel se montrant même en difficulté pour m’en dénicher un, je me suis donc reporté sur le site de e-commerce flamand Alternate.be chez qui j’avais déjà profité de quelques promotions intéressantes dans son catalogue de jouets.