Remise en place ces dernières semaines au bureau de nos serveur NAS Vidéo QNAP. Le modèle choisis en 2018 permettait de monter un répertoire distant sous MAC via 4 connexion Thunderbolt 3 simultanées.
Cette solution permet de travailler directement des contenus vidéos sur le serveur et des échanges disques particulièrement rapide.
Cependant, durant la phase de déménagement. J’ai été confronté par deux fois à un problème étrange. Lorsque le Pont Thunderbolt est activé sur l’ordinateur MAC, la connexion réseau WiFi est perdue. Plus d’accès vers l’extérieur.
Après quelques rapides recherches dans la nouvelle interface de réglage réseau de MacOS Ventura, j’ai trouvé une petite icône de menu supplémentaire à coté du point d’interrogation qui permet d’accéder au menu “Définir l’ordre des services”. Il est alors possible de faire passer la connexion WiFi devant la connexion Thunderbolt, et retrouver l’accès à Internet ET au serveur NAS !
Difficile d’être passé à coté de l’info : ces dernières semaines ChatGPT s’est emparé de la Une des journaux. D’abord la presse spécialisée en Technologie et Numérique avant de devenir, si pas un phénomène de société, un gadget que tout le monde essaie. Mais il questionne également le monde de l’enseignement !
En effet l’Intelligence Artificielle est depuis le début de cette année sur toutes les lèvres depuis l’arrivée du phénomène ChatGPT qui permet aujourd’hui à tous de pouvoir tester et utiliser l’I.A. dans son quotidien !
On peut dire que la technologie me met à l’épreuve ces derniers temps. Après de longues semaines avec mon ordinateur en panne, l’inquiétude d’avoir perdu tout une série de mail,… je découvre aujourd’hui que le seul fichier important que construisait via le service Google Drive a disparu.
Grrr… de nombreuses années à produire ce document… j’avais migré vers une solution “cloud” via Google Sheet en 2016… j’avais encore intégré de nombreuses données dedans cet été… Depuis l’approche “brol” qui concentre tous les produits Google dans le même espace de stockage, aurais-je appliqué une action “faire de la place” de Google Photo qui aurait été dégommer mon fichier dans Google Sheets : (((
La situation est particulièrement étrange. Depuis la fin 2016, j’avais migré mon tableur Excel dans lequel j’encode la liste datée des près de 2.000 compositions musicales que j’ai réalisées intégrant entre autre les URLs où il est possible de télécharger les fichiers. C’est un travail de fourmi que je complète sporadiquement, et c’était encore le cas l’été dernier !
Ce fichier se trouvait sur mon compte Google Drive, via l’application Google Sheet… et c’est d’ailleurs le seul que j’utilise dans le service de Google, j’ai toujours trouvé ce dernier assez bordélique. En revanche, cela me permettait de pouvoir facilement mettre à disposition une version facilement accessible de cette liste, en lecture seule, à tous.
Mais aujourd’hui, plus rien ! Tellement plus rien, qu’il n’y même plus aucune mention de ce document nulle part sur mon compte, y compris dans le suivi des activités de mon compte…
J’ai déjà passé en revue les différentes options permettant en principe de récupérer des données, y compris contacter le SAV de Google.
Si l’opératrice était plutôt confiante, elle m’a d’abord signalé que le fichier avait été supprimé depuis plus d’un an. Ce qui me semble erroné. Elle m’a dit lancé une procédure de restauration de mon Google Drive qui pouvait durer 48h, mais je n’ai reçu finalement aucune confirmation par mail, ce qui est étonnant. Puis elle m’a dit qu’il lui semblait que rien n’apparaissait….
Bref, voilà qui m’apprendra à faire confiance aux nuages… D’autant que ce n’est pas la première fois que me repensant sur la facilité et l’immédiat de pouvoir accéder de partout et modifier du contenu de cette manière me joue des tours.
Il est en tout cas certain que l’archivage de toutes mes créations musicales va en prendre un sacré coup. La version physique la plus récente remonte à 2017, aucun liens, aucune statistique de téléchargement, et le contenu se terminait en 2006. Oh joie, oh désespoir.
On pourrait croire qu’il suffit de mettre sa carte SIM dans son nouveau numéro de téléphone, et tout fonctionne, et bien non ! Cela ne vaut que pour les “grands opérateurs” belges que sont Proximus, Orange ou Base. Lorsque vous êtes par exemple abonnés VOO, cette automatisation ne fonctionne que sur certaines “grandes marques”, Apple ou Samsung par exemple. Le Google Pixel lui, n’est pas reconnu, et vous aller devoir entrer vous-même tous les paramètres nécessaires à pouvoir utiliser la 4G ! Je vous avoue que je suis resté un peu sur les fesses lorsque le technicien m’a expliqué cela, néanmoins,… celui-ci s’est montré très efficace pour régler tout cela !
J’ai récemment, ajouté un numéro mobile depuis mon abonnement VOO. Voilà près de 20 ans que je suis client Proximus et Mobistar/Orange et c’est donc avec étonnement que j’ai pris la nouvelle du technicien “L’internet mobile sur le réseau VOO, cela ne s’active pas automatiquement !”.
En réalité, chez les deux opérateurs belges principaux, je n’ai jamais eu qu’à pousser ma carte SIM dans le téléphone et zou, tout fonctionnait automatiquement. Chez VOO, c’est un principe en recevant un SMS que les choses s’activent, mais…. cela fonctionne en général uniquement sur les téléphones les plus communs… Comprenez, les Samsung et les Apple !
Bon, je m’inquiète dès lors un peu avec le technicien, ici on est sur des Google Pixel, vous savez, c’est excellents smartphones si difficile à trouver en Belgique ! Et bien no, panique, ceuxi-ci se retrouvent bien dans le “pas à pas” que propose VOO pour un très grand nombre d’appareil, afin de faire les réglages manuellement !
Faire un tube dans son salon avec un iPad et Garage Band, mon nouveau synthé IK Multimédia iRig i/o 25 contrôlant l’application gratuite Audiokit Synth One et le micro du fiston. Voilà l’objectif que je m’étais donné !
Les vacances sont proches. Maintenant que Charly a terminé son CEB, j’ai sorti mon nouveau mini clavier IK Keys de 25 touches pour tenter de voir si l’on pouvait vraiment faire un tube avec un son iPad et Garage Band. J’ai chipé le micro du fiston et pris un peu mes marques sur ce genre d’approche linéaire que je connais moins… Il y a eu cette basse qui m’a rappelé le premier studio de musique dans lequel mon ami Pierrick Hansen m’avait emmené. Dans sa cave, avec un Amastrad qui chante Danser/Bouger… Depuis ce jour je me suis dit que moi aussi je pouvais faire de la musique !”