Pour l’heure, j’ai toujours tâché de garder une cohérence de production depuis la migration du montage PC vers FCPX et Mac. Néanmoins, récemment, dans mon équipe, nous avons dû analyser la faisabilité de récupérer un nombre important de projets entamés sous Adobe Première. J’avais déjà eu écho de la possibilité de pouvoir convertir un projet de l’un vers l’autre, mais c’est évidemment sur la tas que l’on peut mettre les solutions à l’épreuve.
Premiere Pro CC: Transfer Projects to Final Cut Pro X — Source : Larry Jordan
En récupérant les projets Adobe, nous avions en partie les Rushs intégrés (les fichiers vidéo brut). Mais nous disposions également d’une archive externe avec l’ensemble des fichiers vidéos. En analysant le document anglais assez complet de Larry Jordan j’avais pu interpréter que l’on pouvait récupérer des données XML à l’intérieur des bibliothèques d’Adobe. Bien que détectés comme tels dans Notepad++ tant FCPX que l’outil magique « SendToX » qui permet la conversion d’Adobe à Apple ne considèrent pas directement les fichiers renommé en XML. Il faudra donc ouvrir les projets depuis Adobe Première pour exporter ces derniers au format XML.
Si vous ne disposez pas d’Adobe Première, vous pouvez simplement installer la version d’essai 7 jours pour faire ces conversions et ensuite utiliser SendToX pour les convertir et importer directement dans de nouvelles bibliothèques FCPX.
Cela fonctionne, il vous faudra probablement recibler et importer certains fichiers sources de vos Rushs dans les nouvelles bibliothèques, mais oui, cela fonctionne pour récupérer une architecture de montage.
Néanmoins, le keychroming, d’éventuelles réglages de colorimétrie ou même simplement des mots clés incrustés ne seront pas importer en tant qu’objets FCPX, parfois juste en tant qu’image. Il ne s’agit pas d’une solution miracle qui va convertir un projet de l’un à l’autre, mais bien de pouvoir récupérer un pré-montage.
C’est l’histoire du jeune Fred qui, en voyage aux Etats Unis avec ses parents découvre dans un magasin toute une série de jeux vidéo pour sa console Nintendo qu’il n’avait jamais vu jusque là. Batman, Terminator, Robocop, Snoopy, Roger Rabbit avec des prix bien moindre de ce que l’on trouve alors chez nous en Belgique. Imaginez l’excitation que l’on peut ressentir quand on est gamin car bien sur c’est d’un alléchant. Le voilà donc de retour chez lui qui enfourne une première cartouche dans sa console,… ça clignote, rien ! Une deuxième, encore une autre. Rien à faire, tous ces jeux auxquels il a rêvé jouer tout au long de son séjour refusent de démarrer… Diable, il va lui falloir recommencer encore son Legend of Zelda.
Ce n’est pas la première fois que l’on me raconte cette histoire, je me souviens d’ailleurs que mon voisin avait également une cartouche Megaman, venue de l’autre coté de la planète qui ne fonctionnait… Et la raison à cela est que la console NES de Nintendo est zonée, c’est à dire qu’elle ne peut lire que des jeux européens chez nous ou américains outre-atlantique. Au Japon, la NES est une Famicom aux formes bien différentes de ce que nous connaissons et propose des petites cartouches qui physiquement ne rentreraient pas dans nos consoles.
Super Mario Bros, l’icone de la console NES
A la fin des années 80 et 90, bien évidemment. Nous n’avions aucune idée de cette problématique ou de comment résoudre le problème. J’étais pour ma part bien au courant qu’une console japonaise Super Nintendo tournait en 60hertz avec des titres donc plus nerveux, et qu’il était possible de la « switcher » mais, sans en comprendre plus la problématique.
Aujourd’hui, retrouver sa NES dans le grenier de chez ses parents, c’est, après ce sentiment joyeux qui rappelle tous les bons moments passés à jouer à Super Mario, Les Aventures de Picsou ou peut-être les premiers donjons de Zelda,… bien souvent une grande frustration de voir la LED rouge clignoter sans ne faire démarrer plus aucun jeu… En effet, la NES vieilli mal !
Tout d’abord, mécaniquement son système pour insérer la cartouche en mode dit « grille-pain » force sur le système de connections entre la cartouche et les connecteurs, ce qui rend difficile le passage des informations. De plus, avec le temps les pins de connexion ont tendance à s’oxyder et toutes ses petites usures ne sont pas aider par la puce « NES 10 » 3195A. En effet, c’est cette dernière qui est présente pour vérifier l’authenticité du jeu, s’il fait bien partie des jeux originaux de Nintendo et qui plus est qu’il s’agit d’une jeu adapté au zonage de la console. Historiquement là où le marché du jeu-vidéo s’était effondré à l’époque de la console Atari qui était envahie de mauvais jeux conçu par n’importe quel studio, Nintendo avait imposé un accès trié sur le volet d’éditeurs devant payer une licence d’exploitation afin de faire partie du catalogue de jeux pour sa console Famicom, dénommée NES dans nos contrées. Avec cette puce, Nintendo s’assurait qu’aucun jeux non-officiel ne soit mis en vente, pouvant ainsi réduire le prix de vente de la machine tout en s’assurant de juteux bénéfices sur la vente de jeux. L’empire Nintendo s’était en place pour de longues années !
Grâce à Internet, il est maintenant facile de savoir qu’il est possible de régler ses soucis de difficulté de lecture des cartouches dans sa console NES et de dézoner cette dernière en coupant l’une des patte de cette puce 3195A. Mais cela fonctionne-t-il vraiment, est-ce sans risque ? Je vous avoue que jusqu’ici, je n’avais pas eu trop besoin de me pencher sur le sujet, ma console NES avait reçu tout un nouveau système de pin de connexion et était déjà dézonée par le roi KingSteph. Par cette technique ou une autre, puisqu’il réside sur sa face avant un petit trou qui rappelle la présente d’un switch qui devait à l’époque permettre déjà la lecture de jeux américains.
Ce cher Fred, lui, a finalement retrouvé sa console, mais cette dernière restait muette. Même pas de LED rouge qui clignote. Démontée, rien d’anormal à l’horizon et pour cause, c’est son alimentation qui ne fonctionnait plus. Un petit test avec la mienne aura permis de faire démarrer quelques-uns de ces jeux !
Diable, début de semaine, mon brave robot Gardena R70Li ne veut plus fonctionner. Lorsque je le démarre, au bout de quelques secondes me donne un message « Pas de signal de cable ». La base confirme un soucis de boucle de retour avec un clignotement bleu… ce qui implique qu’il y a un soucis dans le cable qui fait le tour du jardin pour délimiter la zone de tonte.
Si j’avais dans un premier temps suspecter mes ‘chons trop gourmands, après avoir inspecter de fond en comble leur espace, je ne trouvais aucun cable apparent. Je me vois donc dans l’obligation de creuser, et retourner une partie de mon gazon pour retrouver où se cache le fil dans la zone suspectée, mais ce dernier est toujours bien intacte… Diable, je ne vais quand même pas tout déterrer pour trouver ce qu’il ne va pas.
M.A.J. : Bien évidemment, c’était au réalité un peu plus complexe … puisqu’au bout de deux jours, le mouton était à nouveau en panne !
Je me dis donc qu’il doit bien y avoir une solution pour détecter où se trouve le cable, voir où se situe la panne. Il y a des appareils couteux ou à louer, mais on peut faire cela avec une bonne vieille radio en ciblant la fréquent 700 de la bande AM. Arf, bien évidemment, le seul appareil portatif dont je dispose comme récepteur radio, c’est l’iPod Mini… et ce dernier ne couvre que la bande FM. Me voilà donc à me promener dans le jardin avec le radio-réveil branché sur un allonge de 50m… Oh joie ! Alors, je vous confirme, lorsque l’on branche sa radio sur ce signal en survolant le câble, il y a bien un bruit de bourdonnement. Et idéalement, pour repérer d’où vient le soucis, il faut déconnecter de la station l’un des cotés de la boucle et suivre le signal jusqu’à son arrêt. Je n’ai pas eu le temps d’aller jusqu’à cette étape. En décrochant la base du sol, pour accéder de manière plus aisée au câble… la lumière est passé au vert ! vert, mystère ! Voici mon robot reparti au travail… et à moi de réparer tout le bazar fait dans le jardin : (
Bon, je vous avoue que c’est bien le dernier trucs que je lis. Le mode d’emploi de la machine à lessiver. Parce qu’en principe, qu’importe le nombre de programme, on fait grosso modo le même en changeant juste la température et que l’on mettait toujours là poudre à gauche et adoucissant au milieu. Cela fait 20 ans que cela dure, et encore… Cela ne fait que 5 ans que je m’occupe de manière plus appliquée de cette partie des tâches de la maison… Oui, mais pourtant, il arrive souvent que la bonne odeur de lavande de l’adoucissant… je ne la sent pas ! Et d’ailleurs, pourquoi diable ne se vide pas cette partie du compartiment ?
Hé Donkey, tu as vu mon baril de dash?
Oh joie, un jour madame à rapporter un joli baril vintage de Dash. A l’intérieur, des dosettes 2 en 1 ! Je ne sais pas si c’est tellement mieux écologiquement parlant que les autres solutions, mais j’ai l’impression de moins gaspiller en mettant 4 tonnes de produits… et cela sent bon à chaque fois !
Ceci dit, depuis quelques mois, j’avais choisi de verser l’adoucissant dans le réservoir centrale arrière. Le liquide ne stagnait plus, et cela sentait bon… Mais maintenant que je lis le manuel, cet espace est réservé aux détachants.
Là où cela se complique, c’est que cette fois, madame a ramené de lessive liquide ! Et on met cela où ? Voilà un bon moment que je me demande pourquoi le premier compartiment, celui de gauche est noté II alors que le dernier est noté I… Quoi qu’il en soit, moi je m’étais dit que la lessive liquide se mettait tout à droite… mais non, c’est pour les produits de prélavage (Ne me demandez pas ce qui rentre dans cette catégorie, je n’en sais rien). Bref, il faut changer un petit clapet qui ne sert à mon avis qu’à mettre une limite, pour utiliser du liquide dans le compartiment II, tout à gauche !
Sérieusement, celui qui a déposé le brevet d’un compartiment de lave-linge avait un sacré problème de logique et d’ergonomie !
…. Bon la dernière fois j’avais galéré à trouver comment faire une vidange de l’appareil… Je vais me laisser le manuel de mon lave linge AEG de coté par ici au cas où !
Je me garde ces quelques notes pour ne plus perdre trop de temps à chaque fois que le plugin wordpress Post View Counter se met à jour. Post Views Counter me permet d’afficher le nombre de vue pour chaque article et d’y importer (manuellement) les valeurs de Google Stat. Peu de plugin permette de faire cela hormis l’usine Jetpack que j’ai choisi d’abandonner depuis l’année dernière. J’utilise l’option de positionnement manuelle de ces données dans mon template, mais pour que cela s’intègre proprement, j’ai dû faire également un petite modification dans le template du plugin.
Pour mémoire, je fais un appel de la fonction dans le fichier content.php du template de mon thème (caché dans template-parts) à la ligne 33 au moment de préciser ce que l’on retrouve dans la balise H5 liée au titre d’un article.
Néanmoins lorsque je fonctionne de la sorte, l’ajout d’une balise DIV supplémentaire dans le H5 crée une double ligne dans mon trait ::after assez disgracieuse. Pour corriger le tir, je dois donc supprimer dans le code de l’extension des informations relatives à la manière dont la variable post-views va s’afficher en mode HTML. Ces information se trouvent dans le fichier functions.php rangées dans la section include actuellement autour de la ligne 289 402 et que je vais débarrasser des balises <div > et </div> ainsi :