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Author: cyborgjeff

Mon Mobile et Moi : Un Google Pixel 3a moins cher

Mon Mobile et Moi : Un Google Pixel 3a moins cher

Voilà un peu plus d’un an que j’encense mon Google Pixel 2 qui fait partie des meilleurs Photophones, non pas grâce à un capteur photo défiant la concurrence mais bien grâce aux prouesses des algorithmes et intelligences artificielles développés par Google. Des éléments parfaitement intégrés dans ce Smartphone.

Deux points fachent cependant. Tout d’abord, les deux premiers Google Pixel n’étaient disponibles que dans une poignée de pays. Le dernier Pixel 3 quant à lui, n’est toujours pas officiellement disponible en Belgique. Ensuite, là où l’approche de Google à l’époque du Google Nexus pour contrer ses rivaux étaient de proposer un Smartphone à un prix modéré sans concession de technologie  avoisinant les 400€, les Googles Pixels à leur sortie fleurtent les 1000€.

Le Google Pixel 3a
Mon Google Pixel 3a – Les Mondes de Cyborg Jeff, 2019

Mais voici une bonne nouvelle ! Des rumeurs persistantes annoncent « déjà » un Google Pixel 3a qui devrait tomber sous les 500€ pour ce printemps !

Le Google Pixel 3a, modèle milieu de gamme du Pixel 3, serait vendu au prix de 450 euros en Europe. Un tarif agressif qui rappelle le positionnement du Nexus 5 à son époque. Une version XL sera aussi de la partie. Est annoncée une disponibilité dans les coloris noir, blanc et violet au printemps 2019. (Une info Phonedroid)

Les quelques infos que l’on peut déjà retenir serait un écran OLED de 2220 x 1080 pixels (5’6 et 6′ pour le XL). un processeur Snapdragon 670, 4go de RAM une batterie 3000Mha un capteur photo 12MP à l’avant, 8 à l’arrière. La finition du Smartphone pourrait être un peu moins « noble » afin de réduire les coûts. Bien évidemment, l’un des éléments important sera de savoir avec plus d’exactitude si Google aura misé sur le même capteur photo ou s’il aura là aussi tenté de réduire les coûts.

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Ludo, inspecteur Castard et Barbaza, précurseurs de Petit Poilu

Ludo, inspecteur Castard et Barbaza, précurseurs de Petit Poilu

Voici les vacances de Pâques qui démarrent, et je me suis dit que je prendrais un peu de temps pour lire mes nombreuses BDs en retard. Alors que je surveillais les enfants qui jouaient dans la chambre de Charly, j’ai mis la main sur le 2° tome de la série Ludo que je lui avais trouvé en brocante il y a quelques années.

Découverte à un mauvais âge, (j’avais déjà 20 ans), les premier album de Ludo se montraient pourtant très sympathiques. Mélangeant l’histoire d’un petit garçon à travers la lecture de son « Castard Magasine », une série BD à l’intérieur de la BD. Ce mélange de narration qui d’une certaine manière s’entremêle était original à l’époque et reste une approche intéressante aujourd’hui. Graphiquement, Ludo osait quelque chose de différent face à la suprématie « Petit Spirou », « Kid Paddle » ou encore l’arrivée du héros de Zep. La relecture de cet album m’avait d’ailleurs donné envie de découvrir les autres aventures de Ludo…

Ces donc sur le tome 2 que je me suis arrêté aujourd’hui de cette série oubliée ? Après la lecture de celui-ci, je me suis souvenu que c’était au travers de ce 2° tome « Tubes d’aventure » que j’avais découvert les aventures de Ludo à la fin des années 90 dans le magasine de Spirou. C’est d’ailleurs avec surprise que je fais aujourd’hui le lien avec l’illustrateur de Ludo, Pierre Bailly qui dessine aujourd’hui les aventures du héros préféré des enfants : Petit Poilu !

Dans ce second tome de Ludo nous invite à rencontrer pour la première fois de ses aventures, des êtres « magiques », les Barbaza, qui emmèneront le petit garçon et sa BD de l’inspecteur Castard à résoudre une nouvelle enquête, de quoi offrir un petit soupçon de magie supplémentaire au premier tome qui posait avec réussite l’univers de Ludo. Avec l’arrivée des Barbaza, on découvre donc des personnages étranges qui font inévitablement penser, une fois le lien établi, à la patte graphique du Petit Poilu !

Petit Poilu, la BD préférée d'Alice.
Petit Poilu, la BD préférée d’Alice.

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Sous MAC, mon Disque Dur Lacie n’affiche qu’une partition de 400mb

Sous MAC, mon Disque Dur Lacie n’affiche qu’une partition de 400mb

Voilà une situation qui se présente de temps à autres sur les dernières versions de MacOSX depuis High Sierra (et Mojave également). Lorsque je plug un nouveau disque dur, notamment de marque LACIE D2 devant en principe faire 6, 8 ou 10to et que je souhaite le formater dans un système de fichier adapté au MAC, soit donc écrasé l’ancienne partition en FAT32 initiale, je ne parviens qu’à recréer qu’un partition initiale de 400mb ! Les instructions que l’on retrouve sur le site de LACIE n’aide pas à régler le problème et par ailleurs, il n’y est pas possible de retélécharger le logiciel « Lacie Setup Assistant ». Quoi qu’il en soit, je préfèrerais faire un formatage par moi-même.

Afficher tous les appareils
Afficher tous les appareils

La solution est en réalité simple à appliquer, encore fallait-il le savoir, sur les derniers OS d’Apple, l’affichage par défaut de l’application « Utilitaire de Disque » est en volume et non en périphérique. A chaque tentative de reformater le nouveau disque, on se borne donc à reformater la partition initiale de 400mb. Il faut donc se rendre dans les menus du haut pour changer la vue en « Afficher tous les appareils » pour pouvoir alors non plus écraser la volume mais l’ensemble du disque ! Problème résolu !

Formater un disque Lacie sous Mac OSX
Formater un disque Lacie sous Mac OSX
Hier, le dernier jour de l’hiver ?

Hier, le dernier jour de l’hiver ?

« Ca ira mieux demain », je ne cesse de me le répéter depuis le début de l’hiver, cet interminable hiver qui m’épuise de jour en jour. Même si je reste confiant — ce sapin a tout de même réussi à tomber dans le seul créneau possible pour ne pas faire de dégat — il me faut bien admettre que chaque jour est un défi à relever et se termine par de nouvelles questions. C’est comme si le passage à 41 ans impliquait d’office de jouer en mode « Hard ». Mais le printemps est là… arrive-t-il avec soleil, chaleur, petits oiseaux et jolies fleurs ? Les congés de Carvanal me semblent encore être hier que je constate que nous sommes fin mars, Pâques, la saison des mariages, les 10 ans de Charly… 10 ans mon dieu… la communion des filles. Pour ne parler que de nous. Puis il y a tout le reste, toutes ces questions, toutes en même temps. Quel est le plan ?

Je vous laisse en vrac, un peu de ces dernières semaines… et une petite pensée à notre grand auto verte dont c’était les derniers tours de roue avec nous…

— Le dernier jour de l’hiver © Tony Di Napoli —

Parlons de culture vidéoludique et des histoires du jeu vidéo.

Parlons de culture vidéoludique et des histoires du jeu vidéo.

Faire se rejoindre ma passion de la culture du monde du jeu vidéo et mon travail de production de vidéos pédagogiques à l’Université de Liège, voilà plus que probablement un cas de figure auquel je ne m’attendais pas il y a encore quelques années. Et pourtant, ce 1er mars démarrait le nouveau MOOC réalisé par l’Université de Liège et le Liège Game Lab, un projet entamé il y a près de 2 ans avec Bjorn Olav Dozo avec qui nous venions de finaliser le MOOC « Il était une fois la littérature jeunesse » et l’équipe du Liège Game Lab.

Quelle histoire du jeu vidéo ?
Quelle histoire du jeu vidéo ?

Mais pour aujourd’hui, je change de chapeau en vous parlant de MOOC et je profite de l’occasion pour approfondir ma culture vidéoludique et partage avec vous mes réflexions liées au premier module de ce cours en ligne ouvert à tous, premier module centré autour de l’histoire du jeu-vidéo… ou plutôt des différentes histoires du jeu vidéo. Dans cette première capsule vidéo introductive du sujet, Bjorn Olav Dozo, enseignant-chercheur à l’Université de Liège, en charge des humanités numériques et des cultures populaires développe en effet qu’il y a bien des manières de raconter l’histoire du jeu-vidéo. Celle de jeux clés, de machines, de licences ou d’auteurs. Et pourquoi au fond pourquoi certaine et plutôt que d’autres.

Quelle(s) histoire(s) du jeu vidéo ?

Amateur de Playhistoire depuis déjà 10 ans, j’ai déjà engloutis de nombreux ouvrages racontant l’histoire du jeu vidéo. Si beaucoup d’éléments clés sont récurrents, chacun d’eux s’arrêtent sur des jeux, des machines, des licences ou des auteurs qui n’évoquent pas toujours avec autant d’intérêt l’histoire du jeu vidéo telle que je l’ai vécue.

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