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Month: juillet 2020

Les Polly Pockets d’avant et celles d’aujourd’hui

Les Polly Pockets d’avant et celles d’aujourd’hui

Tiens, je m’étonne de ne vous avoir jamais parlé des jouets Polly Pocket ici. Vous le savez j’ai cette petite tendance à aimer les vieux jeux vidéo et jouets. Si bien évidemment en grand garçon que je suis, Playmobil et LEGO ont bercé ma jeunesse, j’aime aussi retrouvé d’autres jouets de cette époque dont les Micro Machines et MASK, mais du côté du rayon « filles », je suis sous le charme des Polly Pocket !

Je me souviens qu’enfant, je regardais avec beaucoup d’insistance ces « bijoux Transformers » dans lequel se cachait des petits personnages dans un leur univers, à l’image des Minipouces. Certes, c’était un jouet de fille, mais je trouvais le concept très chouette de pouvoir emporter n’importe où des petits univers à jouer dans son lit, dans la voiture, chez Mamy… Mais de ces Polly Pocket, je n’aurais l’occasion que d’en prendre en main de temps à autre dans la cours de récréation.

Lors d’un brocante il y a 4 ans, nous avons eu la chance de trouver un ensemble de Polly Pocket assez bien conservé que revendaient deux jeunes filles. C’était ce genre de brocante pas bien grande, perdue dans un petit quartier pourtant bien loin de chez nous. J’étais aussi excité à découvrir tout cela qu’Alice et Juliette, une fois rentré à la maison. On pouvait donc y retrouver deux générations de Polly Pocket. La première avec des petits personnages assez simple vivant dans des médaillons ou des petits maisons dont le toit s’ouvre. Puis la seconde génération en collaboration avec Disney qui propose de magnifiques châteaux de Princesse avec Cendrillon, La Belle au Bois Dormant, La Belle et la Bête, mais également des univers autour de Winnie L’ourson, Aladdin ou encore les 101 dalmatiens.

 

Depuis lors, je n’ai guère une l’occasion d’en trouver de nouvelles. Ce sont souvent ces grands châteaux de l’époque Disney que je retrouve sur ma route. Mais évidemment, la taille des petits personnages rend, comme pour les Micro Machines, le chinage difficile !

Il y a deux ans, la marque Polly Pocket avait fait son retour. Créée par Chris Wiggs pour sa fille dans un poudrier en 1983, le concept devient jouet en 1989 par Bluebirds Toys, très vite distribué par Mattel qui en fera l’acquisition quelques années plus tard. Les Polly Pocket tels que je les connais seront vendues jusqu’en 2002, Mattel continuant alors à vendre des personnages plus grands sous cette marque. Après plusieurs tentatives de relancer celle-ci, en 2018, le concept de petits personnages et leur univers dans une « petites boites » sera à nouveau proposé. J’ai fini par en trouvé une en promo afin de me faire idée plus précise. Sur catalogue, on pouvait clairement constaté que les nouveaux personnages étaient plus grand, que les détails étaient moins nombreux et que les couleurs étaient un peu moins poétiques. Une fois ouvert, il faut bien admettre que le personnage est bien plus grand que le petit univers… ce dernier dans un plastique assez moyen. Les normes de construction de jouets d’aujourd’hui font qu’ils seraient impossible de vendre des jouets avec d’aussi personnages de nos jours, bien évidemment…

Polly Pocket d'aujourd'hui
Polly Pocket d’aujourd’hui
Poly Pocket d'hier
Poly Pocket d’hier
Quelques clichés de plus de la NES

Quelques clichés de plus de la NES

Durant le confinement, souvenez-vous, j’avais mis en place dans le studio photo de madame tout une thématique autour de la première console de Nintendo dans nos contrées. Je vous avais déjà partagé une bonne partie de ces clichés, tout en prenant le temps de (re)découvrir Tortue Ninja, Batman, Duck Hunt, Al Unser Jr, Solomon’s Key et Legend of Zelda II. Mais il me restait encore quelques photos d’autres titres de ma collection que je pouvais appareiller avec les pages des magazines du Club Nintendo prêtés par mon ami Fred. Avec la reprise, je n’avais pas eu le temps de me lancer dans les retouches de ces dernières,… alors que la Master System avait été, elle, installée dans le salon.

Il me reste de fait, encore bien des jeux de ma collection NES à prendre le temps de découvrir. Robocop, World Cup, Paperboy ou Gremlins 2 n’auront droit qu’à un portrait. Je m’étais déjà essayé à Snakerattle n’ Roll et Bayou Billy il y a quelques années. Impossible évidemment de ne pas prendre quelques dizaines de minutes pour jouer à Ducktales, mais j’étais particulièrement curieux de voir à quoi ressemblait Little Nemo : Dream master. Avec les décors boisés du premier niveau, il y avait un petit air de Bilou, ce jeu que mon frère et moi ne cessons de faire vivre depuis près de 30 années. Si cette forêt est plutôt jolie, le gameplay reste pour ce rapide essai, encore assez rigide…

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Moi, je préférais Google Play Music

Moi, je préférais Google Play Music

Encore une fois, je vais devoir m’adapter. En ce début d’été, Google m’a gentiment informé que d’ici quelques mois, son service Google Play Music fermerait ses portes passant le relais à Youtube Music. Voilà près de 5 ans que j’avais trouvé refuge sur le steamer de musique de Google depuis que Spofity m’avait pris en traitre. Je suis évidemment conscient que mon profil mélomane et mercantile est loin de représenter le quidam moyen. Je n’utilise que la version « gratuite » de Google Play Music, comme je le faisais au par avant avec Spotify et je suis resté conscient depuis ma migration qu’un jour, les choses finiraient par changer.

Pourquoi tant de haine ?

Google Play Music
Mes playlists Google Play Music

Tout d’abord, musicalement, j’ai des goûts très originaux ! Vous me direz que c’est justement la force des abonnement musicaux tels que Spotify de s’adapter au gout de chaque utilisateur pour pouvoir lui proposer les musiques qui lui correspondent. Mais dans mon cas, cela ne fonctionne pas ! Une partie non négligeable de ce que j’écoute est de la musique issue de la démoscène et du monde du jeu-vidéo. Si certains auteurs ont commencé petit à petit à proposer certaines de leurs oeuvres sur les catalogues de musique en ligne, cela reste encore fort marginale hors de ma collection de musique construite depuis 20 ans sur ce créneau. Il y a ensuite toutes les musiques de mes compilations électro/dance des années 90. Les grands classiques se retrouvent disponibles, mais là aussi cela représente un pourcentage assez maigre.

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Aujourd’hui, 20 ans.

Aujourd’hui, 20 ans.

Aujourd’hui, 20 ans… C’était un 12 juillet de l’an 2000 que tout a commencé…

Vingt années… 20 années,… 20 ans que ce 12 juillet de l’année 2000 nos destins se croisaient, scellés d’un premier baisé, pour ne plus jamais nous séparer.

Se rencontrer sur Caramail depuis un Cybercafé, passer des nuits à se promener dans les rues de la ville, regarder les étoiles au sommet du terril… prendre le bus, 2 heures pour aller manger un Mac Do’, terminer la ludothèque de la PlayStation louée chez Maria Vidéo, louer notre toute petite première maison pour y fêter notre première année ensemble. Adopter notre premier chat, Chocobo, et faire nos premiers pas d’adulte dans le monde du travail, puis nos premières vacances en Espagne, tous les deux, à l’aventure…

Et petit à petit, l’envie d’agrandir notre nid.. et de le remplir aussi. Notre première maison à nous sera plus grande, nous en aurons visités beaucoup mais il faudra attendre quelques années encore avant que notre Charly ne vienne y mettre un peu de vie ! Le temps d’y faire des travaux, acheter notre première voiture, organiser notre mariage et voir encore un peu le monde, mais oui, nous étions devenus parents !

Le chemin parcouru, d’un coup d’oeil en arrière était déjà long, mais bien des aventures nous attendaient encore.

Le reste de l’histoire, tu t’en souviens encore trop bien que pour en écrire des paragraphes. Plus d’amour, une plus grande maison et des photos, beaucoup de photos et en encore et toujours plus d’amour autour de nous.

Aujourd’hui, nos merveilles sont au camp, nous avions rêver nous envoler à la découverte de l’Ecosse. Juste tous les deux. Sur les traces de Jaime et Claire dans ces paysages magnifiques et ces rues pittoresques qui nous font rêver depuis plusieurs années. Mais cette étrange année 2020 nous oblige à rester chez nous. A fêter nos 20 ans simplement… A rêver de ce que sera notre demain pendant que nos pirates sont au camp et que Rose tourne déjà en rond.

Rever à demain et regarder d’en haut tout ce chemin parcouru…. Un chemin qui n’aura jamais été « tout droit », mais probablement un sacré serpentin digne du métro de Paris, ah oui, tu t’en souviens de notre belle escapade à Paris ! Nous en ferons encore de belles escapade.

Je suis heureux d’être à tes coté, et je me réjouis de ce qui nous attend encore. Je t’aime

Nos premiers rendez-vous (2000) et notre premier chez nous (2001)
Nos premiers rendez-vous (2000) et notre premier chez nous (2001)
Nos premières vacances, à l'aventure en Espagne - 2003
Nos premières vacances, à l’aventure en Espagne – 2003

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Continuons à jouer à la Master System

Continuons à jouer à la Master System

Depuis un mois, la Master System, 8bits de SEGA est branchée sur la télévision. Voilà qui aura été l’occasion de tester plus en détail, seul, avec les enfants ou mes amis les quelques cartouches glanées aux fils des années. J’ai notamment été surpris par Rastan dans un gameplay un peu similaire à Castlevania. Cela aura aussi été l’occasion de mettre mon expérimenté ami Santo à me faire découvrir Wonder Boy in Monsterland et Shinobi, afin d’en voir un peu plus que ce que je n’arrive à progresser par moi même…

Bref, je vous partage ce petit aperçu…

Rastan (SEGA – Taïto, 1989) 8/10

Rastan - Master System (SEGA, Taïto, 1988)
Rastan – Master System (SEGA, Taïto, 1988)

Reprenant le concept Plateforme/Action de la borne d’arcade sortie à la même époque que je ne connais pas, je découvre cette version Master System en 2020. Si les décors sont un peu pauvre et le premier niveau assez linéaire, très vite Rastan montre un certain intérêt à se plonger dans l’aventure. Des nouvelles armes à ramasser, un changement de luminosité (jour, pénombre et nuit), quelques tunnels à explorer et une musique assez réussie.

Le jeu n’est pas trop punitif, ce qui m’aura permis d’affronter le premier boss et découvrir 3 environnements, la montage, le château et la forêt… Les ennemis, sont peut-être un peu redondant, limitation de cette version 8 bits ? Quoi qu’il en soit, il a au moins de quoi rivaliser avec Castlevania sur la NES non ?

Alex Kidd in miracle worlds (SEGA, 1986) 7/10

Alex Kidd in miracle world (Master System)
Alex Kidd in miracle world (Master System)

Plus qu’à jouer à Alex Kidd… Enfin, après avoir optimisé l’imagé en 4:3 et avec un petit filtre « sport » histoire d’avoir une image un peu baveuse et vintage plutôt que flashie et rugueuse.

Dit, on jouait encore comment à Alex Kidd, avec la bague là ?

C’est que madame était experte en son temps à Alex Kidd, la Master System avait été sa première console de jeux alors que de mon coté, je devais me contenter d’y jouer « à défaut » chez GB Maxitec pendant plutôt que de faire la file pour la version Megadrive de Sonic le hérisson ! Dès lors, nous n’avions pas accès au bouton « Pause », situé sur la console, permettant d’activer les différents pouvoir ramassés par notre petit héros. Quoi qu’il en soit, rien à faire… la reprise en main n’est pas si facile ! Est-ce Alex ou la manette qui manque un peu de réactivité ?

J’ai donc essayé de m’y remettre moi aussi à cet Alex Kidd. Bien évidemment, avec la possibilité d’utiliser la bague, le premier niveau est un peu plus facile, mais reste que ce diable d’Alex Kidd patine plutôt qu’il ne coure et qu’il fait des sons particulièrement difficile à contrôler… Délicat ! Sous l’eau, le petit coup de point pour tuer les poissons, gros ou petit, ce n’est pas le plus facile… J’arrive évidemment plus facilement qu’étant gamin au stage suivant, ou sur ma petite moto, je finis toujours par retomber sur un scorpion pour petit Game Over… Rooh, Alex Kidd, tu m’énerves !

Wonderboy in Monsterland (SEGA – Escape, 1988) 7/10

Wonder Boy in Monsterland - Master System (SEGA, 1988)
Wonder Boy in Monsterland – Master System (SEGA, 1988)

Diable, je suis surpris de découvrir que l’épisode Master System de Wonder Boy in Monster Land est issu d’une adaptation d’un jeu initialement sorti sur borne d’arcade tant le concept plateformer / aventure ne se prette pas à jouer en mode « insert coin » ! Je constate également qu’avec surprise, cette aventure de SEGA avait même eu droit à un portage sur Commodore 64. Si je connaissais bien le tout premier Wonderboy, avec Skateboard et dinosaure, c’est en réalité le 3° épisode sur la Game Gear qui m’avait impressionné à l’époque. Avec ce second opus « Wonder Boy in Monster Land », on sent encore les mécanique un peu vétustes des jeux de plateforme de SEGA qui tout comme dans Alex Kidd proposent des niveaux souvent qui n’ont pas la magie de Nintendo avec son Super Mario.
Il n’empêche que ce mélange d’aventure et plateforme est assez chouette, même si sans l’aide d’un expert à mes cotés, je n’en aurais pas vu tant !

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