Pacman Syndrome : Curieux de jeux
Tiens, tiens, je suis tombé sur quelques curieux projets de jeux-vidéo ces derniers temps.
Il y a tout d’abord, Please don’t touch anything, un jeu étrange dispo sur Steam dans un style rétro qui vous propose. Un bouton, et une information. N’appuyez pas sur ce bouton… y résisterez-vous ? Voilà en tout cas un jeu qui vient bouleverser les habitudes !
Votre collègue vient de partir en pause en vous priant de ne toucher à rien. Devant vous, un vieil écran de contrôle, une mystérieuse machine et une note d’instruction a priori indéchiffrable. Rien à faire, le gros bouton rouge posté pile au centre de votre champ de vision vous fait de l’œil. Et au terme d’une interminable lutte intérieure, vous ne résistez plus et appuyez. Aussitôt, la console libère un second interrupteur, que vous vous empressez d’actionner – juste pour voir. Une petite lumière rouge s’allume. Et maintenant, quoi ? (A lire sur Games Magazine.fr)
Début du mois de mai, des anciens du studio anglais Rare ont fait leur retour. Leur nouveau projet Yooka Laylee a atteint son objectif en 40 minutes sur Kickstarter (175.000 livres) et pointe déjà à plus d’un million de livres ! Il n’y a pas à dire, le financement des artistes et projets par le public, cela a dû succès ! Voici un nouveau jeu dans la veine de Banjoo Kazoie, titre phare du studio à l’époque de la Nintendo 64 qui devrait offrir un beau comeback aux jeux de plateforme en 3D.
La série Trine du studio scandinave Frozen Bytes s’offre un 3° volet avec des graphismes toujours plus jolis mais également une approche 2D/3D qui casse les habitude. Pari osé alors que le moteur graphique de Trine 2 était particulièrement efficace.
La grande nouveauté de Trine 3 réside résolument dans le fait que le jeu est maintenant en 2,5D. Ainsi, en plus de parcourir le jeu de gauche à droite comme on en a l’habitude, on peut maintenant faire bouger les personnages en profondeur. Cela ajoute une nouvelle dimension (sans mauvais jeu de mot) au gameplay, ce qui est loin d’être déplaisant. Il vous faudra donc parfois rivaliser d’ingéniosité pour trouver de nouveaux itinéraires qui ne semblent parfois pas évidents à première vue… Petit point positif : contrairement à d’autres jeux similaires, la caméra est plutôt bien gérée et ne gène que dans de très rares cas le gameplay., (Un test à lire sur Press-Start)
Le Weekend dernier, le frangin Pype était passé à la maison pour faire découvrir l’un des nouveaux jeux de Nitrone qui excelle sur la plateforme iOS. Son titre Plateforme Panic est assez original puisqu’il propose des niveaux à l’agencement aléatoire qu’il faudra enchainer sans mourrir. Un sujet qui va encore plus loin que Rick Dangerous ou notre projet de Logic Labyrinth évidemment… C’est le genre de sujet approfondi avec délice sur le Blog de Bilou.
Il ne s’agit pas véritablement ici de créer des niveaux aléatoires au sens d’un roguelike et de son générateur de map. Je pencherais plutôt pour une base de données de salles parmi lesquelles on tire une séquence de salles pour la partie donnée, comme dans Qwak, mais généralisé. Tout comme Spelunky, on est ici dans un jeu à « permadeath » — comprenez que votre mémoire ne vous sera que moyennement utile si vous échouez parce que la partie suivante pourrait très bien ne pas faire ressortir la salle qui vous a donné du fil à retordre. Et c’est du « one-shot », aussi … à la Fury! (A lire sur le Blog de Bilou)