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Month: mai 2013

FCPX (Final Cut Pro X) très lent, j’approche de la solution !

FCPX (Final Cut Pro X) très lent, j’approche de la solution !

Depuis la fin de l’année 2012, et le passage à la version 10.0.5 de FCPX, je rencontre d’importants problèmes de lenteur d’export des mes montages vidéo. Je cherche régulièrement des réponses sur Internet et je pratique de nombreux tests. Si j’ai pensé tout un temps que le problème était uniquement lié à ma génération d’iMac sous OSX 10.6.8 (Core i7, 8go RAM, ATI 6770M 512mo). Après des tests plus approfondi sur mon Mac Book Pro de génération suivante (OSX 10.7.5, Core i7, 8go, ATI 6770M 1go), je me rends compte que mon soucis n’est pas uniquement lié à ma machine.

Pour résumer depuis le passage à la version 10.0.5 de FCPX, le temps de rendu des mes vidéos montée en HD prenait plus de 8 heures pour des montages de moins de 10 minutes… Parfois montant jusqu’à 72 heures lorsque j’appliquais mon plugin de correction d’image RedGiant Magic Bullet Looks. Au par avant les temps de rendu était beaucoup plus correcte, jamais plus de 2 heures. Les tests étaient claire, les processeurs du Core i7 étaient peu sollicité et les accès disques anormalement faible. Il semble effectivement que les nouvelles versions de FCPX privilégient plus le calcul du rendu sur le processeur GPU (carte graphique) que sur celui du CPU, mais malgré cela, j’ai eu beaucoup de difficulté à collationner les témoignages d’autres personnes rencontrant un problème similaire.

Hier pourtant, j’ai pu lire de nouvelles données qui ont pu sensiblement me faire avancer. Plutôt que de choisir l’option de sortie « Dispositifs Apple 720p », j’ai choisi l’option « Render Master ». Une option apparue entre temps dans ce menu qui exporte un fichier imposant (1go/minutes) mais qui se montre beaucoup plus rapide. Mon projet en cours de 15 minutes avec effets Looks en était à 40% au bout de 24h par la méthode utilisée jusqu’ici, il s’est exporté en 8 heures.

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Combien de billets dans la vieille édition belge du Monopoly ?

Combien de billets dans la vieille édition belge du Monopoly ?

Et si on découvrait le monopoly avec l'édition 1960 de papy des villes !
Et si on découvrait le monopoly avec l’édition 1960 de papy des villes !

Ah oui, j’y joué et joué au Monopoly quand j’étais gamin ! Tellement joué que je n’avais probablement pas trop dû me tracasser des règles à l’époque, je connaissais par cœur le nombre de billets à distribuer… Le soucis c’est que bien des années plus tard, impossible de me souvenir du nombre exacts… Et bien que le sujet soit souvent évoqué sur la toile, impossible de tomber sur mon édition belge de 1993. Une édition un peu spéciale qui conservait toutes les valeurs des terrains d’origine ainsi que leur nom (Bruxelles rue neuve, Liège rue Saint Léonard,…) mais dont les valeurs de billets ont été modifiées pour ressembler plus aux billets belges de l’époque… Bref une mauvaise idée, les billets de 400 et 200 et 100 passant à 500, 100 et 50, alors que la plupart des montant reposent toujours sur des multiples de 20, 200 et 400. Au final le billet de 50 ne sert presque pas ! Rien de tel que les versions originales et non les milliers de déclinaisons possibles. Peut-être à l’exception de la version jeux vidéo sur la toute première Playstation ;)

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La saison des brocantes est ouverte !

La saison des brocantes est ouverte !

Maliki - Strip Brocante
©Maliki – Strip Brocante

Depuis un long, très long moment, j’ai envie de vous parler d’une de mes « nouvelles » passions. Depuis bientôt un an je ne sais jamais trop par quel coté entamer le sujet et mon frère m’a dégoté hier un BD-Strip de Maliki tout à fait de circonstance. Je vous en livre quelques extraits, mais je vous invite vraiment à le lire entièrement sur le site de Maliki !

Depuis un peu plus d’un an maintenant, nous visitons les petits villages de Belgique le dimanche matin, avec la Kangoo, la poussette et les enfants… On s’en va à la Brocante ! 1€, 2€, 4€ me raconte Charly ! Ce sont de chouettes moments en famille, de chouettes balades qui s’accompagnent le plus souvent d’un bon pain saucisse… Je fouille, je scrute, je chine… et je reviens bien souvent avec de chouettes trouvailles !

BDs, Playmobil, Lego, livres pour enfants… et bien sur de vieux jeux vidéo. Oui, comme Maliki j’ai pris cette passion de retrouver ces jeux souvenirs de moments incroyables de ma jeunesse, passés avec les copains, CHEZ les copains… Puisque bien souvent, mes parents avaient fait le blocus des Nintendo et autres MegaDrives !

Oh, bien sur, on en trouve aussi sur les sites de vente, dans les Cash Converter… Mais à des prix « exorbitants ». Que ce soit pour les jeux vidéo anciens ou pour tout ce qui touchent au vintage des années 80, M.A.S.K., MicroMachine et compagnie… Cela reste sur les brocantes que l’on peut faire de belles découvertes… je préfère ce terme à « de bonnes affaires ».

Maliki - Strip Brocante
©Maliki – Strip Brocante

D’ailleurs, même en vacances je me note quelques brocante à faire. L’année dernière, lors de nos vacances en Normandie, j’avais trouvé une belle édition de Tomb Raider et Heart of Darkness pour quelques cents.

Nous avons repris la saison cette année avec la grande brocante de Crisnée. Et après une dur hiver où je voyais grimper la cotte des GameBoy à bien plus de 25€, je suis content d’un retour à la norme entre 5 et 7€…

Je commence à avoir une jolie collection de souvenir, il faudra d’ailleurs que j’en fasse une belle liste entre les jeux PC, Playstation, Megadrive, Super Nintendo, Gameboy, NES, GBA, GBC, Atari, C64,…

Tueurs de mamans

Tueurs de mamans

Auteurs : Zidrou – Ers
Editions : Dupuis (2013)
Albums : 1-2 (2)


Tueurs de maman
Tueurs de maman

Béatriz, Marie, Valentine, Kom Piu et Toronto sont cinq ados qui se retrouvent régulièrement dans leur cachette secrète : la chapelle désaffectée de leur école. Ce qui les a rapprochées, c’est une caractéristique commune : l’absence de père à la maison. Du coup, même si elles adorent leurs mères, elles ont, comme tout ado qui se respecte, des tonnes de reproches à leur faire. Un jour, elles tombent par hasard sur un site de « punisseurs » qui propose de châtier les parents pas cool. Par jeu, elles passent commande. Mais les punitions commencent à arriver réellement. De la plus anodine à la plus grave… Paniquées, les cinq filles vont commencer une course contre la montre pour essayer de protéger leurs mères de la folie vengeresse de ces mystérieux « justiciers » !

Intrigué par un titre provocateur et un dessin qui me rapelle Soda et Seuls… je me suis offert le premier tome de cette nouvelle série. L’histoire est au rendez-vous et colle très bien au dessin… Un genre de thriller / teenage pas mal du tout et qui donnerait même quelques frissons par moment. Je suis pressé de lire la suite qui est annoncée dans un peu de temps. J’imagine qu’il s’agira d’une série courte (2 ou 3 titres). Bonne pioche !


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Video Games, jusqu’à la dernière page.

Video Games, jusqu’à la dernière page.

Et voilà, je viens de terminer les dernières pages du roman Video Games, un livre présenté un peu avant Noël comme le « Twilight » pour Geek fan de jeux vidéo et mettant bien en avant sa paternité par le scénariste de la série en vogue : Game of Thrones.

Commencé il y a seulement 2 mois, j’ai été assez rapide pour venir à bout des 300 pages de ce roman. Il me faut bien admettre que le début m’avait plutôt bien attiré, et j’avais enfilé les chapitres rapidement pendant mes vacances à Montpellier. Mais rapidement l’ambiance qui me plaisait s’est évaporé et fil des chapitres la motivation à pour suivre la quête d’Adam Pennyman n’était plus là.

C’est vrai que j’avais pourtant bien accroché à l’approche métaphysique étonnante proposée sur Pacman ou Donkey Kong. A la relation ambiguë entre le singe, la princesse et le charpentier… à l’espace intemporel que parcours Pacman lorsqu’il traverse le tunnel,… mais hormis cela, de nombreux éléments ont commencé à me déranger.

Je pense que tout d’abord, le plus difficile est de pouvoir s’identifier à Adam. Ses réflexions entre sa quête aux motivations tordues et le monde autour de lui, son boulot, « les femmes » est tellement bizarre que l’on ne peut s’y retrouver. J’ai même eu de fil en aiguille un besoin de me désolidariser complètement de toute ressemblance éloignée à quelqu’un comme lui.

On sent également fortement une grosse différence de qualité et d’intérêt dans la narration entre certains chapitre. Et pour cause ! A l’origine, il s’agit d’une nouvelle « Lucky Wander Boy » écrite au début des années 2000. Elle raconte l’histoire d’Adam qui part à la recherche désespérée de la conceptrice d’un jeux-vidéo très rare qui l’avait marqué quand il était gamin… Autour de cette dernière, D.B. Weiss à broder une histoire un poil plus complexe,… juste un poil. Alors que je m’attendais à une histoire « moderne », on sent très vite des références à un univers « Geek » qui n’a existé qu’une fraction de seconde dans notre monde…

En effet en 2013, une histoire qui se place à l’époque de l’arrivée des d’Internet et des Start up à la Yahoo et Caramail, fait bien vieillotte.

Bref, très rapidement, le concept du catalogue de jeux obsolète, laisse place à des délires sur des jeux qui n’existe pas en réalité, tel que Eviscerator et Lucky Wander Boy… Et j’ai un peu de mal à vraiment accroché à tout cela.

Bref, Video Games reste pour moi une déception. Je dois bien dire que je préfère mille fois lire un bon Pix n Love pour rester dans le sujet. Mais au moins suis-je arrivé au bout !

Je passe donc maintenant au roman Les Âmes Vagabondes, qui vient d’être transposé au Cinéma.