L’hiver semblait encore bien là. Je prenais du plaisir à chipoter à mon nouveau C64-mini reçu pour mon anniversaire et nous avions même commencé à tenter de comprendre la complexe aventure de Sora, Donald et Dingo héros de Kingdom Heart 3.
Oui, du haut de ma sage quarantaine, j’étais dans de bonnes dispositions pour me dire que Rien ne presse pour « Switcher ». C’est que je l’admets, je dispose actuellement d’une grosse partie des meilleurs jeux de la WiiU. Si seul Mario Kart et Minecraft faisaient tourner cette dernière, depuis le début de l’année, voici que Charly, Alice et Juliette prennent plaisir à jouer régulièrement à Nintendo Land, New Super Mario U ou encore Pikmin 3. De plus, jusqu’ici Nintendo n’a eu de cesse que de sortir des ré-éditions de ces titres trop peu connus du public sur sa nouvelle console. Seul, Super Mario Odyssey sortait du lot mais n’avait pas vraiment sur rendre le Switch à la Switch indispensable à mes yeux et… je me voyais donc encore attendre au calme.
Attendre au clame… Voilà qu’au hasard d’une avance rapide sur la vidéo du dernier Nintendo Live de ce 14 février, je vois apparaitre un petit Link tout mignon entre les remakes de Yoshi et Mario Maker. Ai-je bien vu, serait-ce… <3<3 Legend of Zelda : Link’s Awakening!? <3<3
I don’t need a Nintendo Switch
I don’t need a Nintendo Switch
I don’t need a Nintendo Switch
What ? Link’s Awakening is back !!! <3<3<3
I NEED A NINTENDO SWITCH
Oui, je sais c’est un comportement pas très adulte que j’assume totalement. Je ne suis pas de ceux qui achète tout parce que c’est nouveau, qui doivent tout posséder et en général je pèse longtemps le pour, le contre…. Et puis il y a ces émotions fortes auxquels on ne peut pas rien faire. Mais pourquoi diable un « nouveau remake de Zelda » peut-il me mettre dans cet état d’esprit ! Pourquoi soudain, je me réjouis de vivre l’excitation de ce moment où je pourrais le faire tourner entre mes mains…
Un voyage dans le temps s’impose ! Direction décembre 1993, j’avais presque 16 ans. La Gameboy, console portable de Nintendo s’était insinuée dans bon nombre de maisons, éclipsant bien souvent les mondes colorés de Super Mario World, les courses folles de Sonic the Hedgehog, les prémices de la 3D isométriques ou les décors chatoyant des jeux Point ‘n Clic des jeux PC…
Il y a quelques semaines, la série Jazz JackRabbit soufflait les 20 ans de la sortie de son 2e épisode. Pour l’occasion les fans musicos du lapin vert offraient à la communauté un très bel album d’arrangements modernes des thèmes musicaux de la série ! Ah, que me racontes-tu là, Franqui… « personne ne connait Jazz JackRabbit !? » Une petite séquence Playhistoire s’impose donc… Je vais vous parler de ce temps où Epic Mega Games n’était ni synonyme d’Unreal Engine et encore moins de Fortnite.
Début des années 90, bon nombre de mes copains de classe reçoivent une Megadrive pour jouer à Sonic le hérisson, devenu le symbole des jeux vidéo « cool ». Moi, je fais partie de ceux qui ont à la maison un ordinateur et non une console. Si graphiquement les PC de l’époque proposent des expériences vidéoludiques novatrices avec des simulations en 3D vectorielle toujours plus réussies et des jeux d’aventure Point & Clic aux couleurs chatoyantes, je suis bien forcé de constater que les jeux de plate-forme que j’affectionne tant y sont bien moins fréquents. En effet, l’une des difficultés du monde PC à l’époque est que ces machines embarquent des composants relativement disparates dont notamment les cartes graphiques. Cette diversité de performances rend difficile la réalisation d’un scrolling concluant des sprites à l’écran. À l’époque par exemple, les versions MS-DOS des jeux français de Titus reposent alors sur une technique d’écrans qui scrollent brutalement lorsque le personnage se rapproche du bord (je vous invite au besoin à relire mon test des Aventures de Moktar). Ce sera l’arrivée des titres de la génération « sharewares » américains qui viendra bouleverser le paysage PC avec le premier épisode de Keen Commander signé Apogee – ID Software et Jill of the Jungle, proposé par le « studio concurrent » Epic Mega Games.
Les aventures de Keen Commander, Jill of the Jungle, Duke Nukem et autres Bio Menace reposent sur ce modèle économique du shareware qui n’a évidemment pas eu le même impact chez nous. Les studios proposent en « téléchargement » gratuit le 1er épisode de ce qui se présente souvent comme une trilogie. Les autres titres pouvant ensuite être téléchargés sur un BBS, l’ancêtre d’internet, et ce de manière payante voire commandés par vente par correspondance. Ici en Belgique, ces jeux « gratuits » se retrouvent en cadeau dans des magasines spécialisés, dans des packagings à bas prix de grande surface ou un peu plus tard dans des compilations de jeux sur CD-Rom.
Bien entendu, les influences du monde console sont importantes. Si Keen Commander tente de reproduire avec suffisamment de distance les mécaniques de gameplay et surtout le scrolling efficace du premier Super Mario Bros, Jill of the Jungle se rapproche plutôt de Metroid et Bio Menace de la série Contra… Mais nous sommes bien loin d’envisager l’équivalent d’un Sonic sur PC, d’autant que la plupart de ces titres se limitent à exploiter les 16 couleurs du mode graphique EGA pour offrir un scrolling fluide.
L’arrivé de Sonic the Hedgehog en 1991 va bousculer le monde du jeu de plateforme. Là où la majorité des héros avaient une forme humaine, les mascottes vont petit à petit inverser la tendance comme nous le raconte William Audureau dans son excellent ouvrage « La Guerre des Mascottes » édité chez Pix’n Love en 2016. Un singe chez Nintendo, un renard chez Titus, un chat chez Accolade, une chauve-souris chez Sunsoft, un écureuil chez Ocean, une fourmi chez Gremlin Graphics, un lézard chez Crystal Dynamics aux cotés des nombreux personnages de Disney et autres Looney Tunes, les rayons de jeux vidéo se retrouvent envahis !
Alors qu’Epic Mega Games assoit un temps sa réussite sur une série de jeux de flipper très réussi (Epic Pinball), elle recrute dans son équipe Arjan Brussee. Democoder talentueux, il s’attaquera depuis les Pays-Bas à un projet reposant sur un moteur graphique proposant une action très rapide à l’instar de Sonic bien entendu, mais également de Zool sorti sur Amiga et PC. Au début du projet, le héros pressenti devait être le cosmonaute hollandais Wubbo Ockels, afin d’offrir un titre dans l’esprit de Megaman, mais en plus nerveux. Cependant le thème spatial n’était alors plus aussi vendeur que la déferlante de mascottes… Notre cosmonaute se transforme alors en lapin vert repoussant l’invasion de tortues de l’espace ayant kidnappé Eva, la princesse de Karotus. Un lapin vert créé par le comparse de Arjan, Cliff Bleszinski.
Vous le savez, fin 2017, Nintendo nous sortait une ré-édition miniature de la Super Nintendo embarquant 20 jeux de la belle époque du début des années 90. Il faut bien admettre que la SNES est une des consoles rétros qui offrent les plus beaux jeux à redécouvrir de Super Mario World à Donkey Kong Country en passant Legend of Zelda, Megaman X ou Super Metroïd. Cette dernière est vendue 80€, un peu plus cher que l’édition NES de l’année précédente.
Ici à la maison, j’ai bien sur une vraie Super Nintendo. Pas de boite, un peu jaunie, mais elle avait été restaurée il y a déjà quelques années par l’ami Kingstef et j’ai pu grappiller de nombreuses cartouches au fil du temps. Impossible de trouver un Legend of Zelda ou Metroïd, dont les prix ont explosé, mais j’ai tout de même une série de titres pas fréquents à redécouvrir ! Alors que s’enchaine deux weekend un peu moins chargé, j’ai donc branché la console sur la TV.
A ce propos, sachez que si vous disposez d’une Nintendo 64, le cable de connexion RVB est compatible avec la Super Nintendo, ce qui permet d’avoir une bien meilleure image que via le cable peritel antenne d’époque. Pensez aussi à régler le mode image de votre téléviseur. Mon écran 4K Sony par défaut m’offrait une image aux pixels tranchant, alors qu’en activant le mode « cinema », ceux-ci sont un peu plus lissés et proche d’une image de l’époque.
Ce sont d’abord les enfants à qui j’ai proposé de choisir à quoi jouer. Les Schtroumpfs, Astérix, Micro-Machine et Super Mario ont eu leur faveurs. Ce sont des titres qui visuellement n’ont pas vieilli. Les Schtroumpfs reste malgré tout frustrant à souhait, mourir quand on marche dans l’eau ou quand un Schtroumpf jette de l’eau par la fenêtre, pour un enfant, c’est loin d’être logique. Alors que même si Super Mario World est loin d’être simple, on n’y meurt pas sans raison ! Il est tout de même fou de constater comme ce jeu reste intemporel. Pour l’époque c’était une explosion de nouveauté à découvrir de niveaux en niveaux, un sentiment jamais égalé en jouant aux autres Mario.
J’ai ensuite tenté de leur faire découvrir le premier Super Mario Kart, plus difficile à prendre en main que les versions modernes, il faut bien l’admettre ! La sauce n’a pas pris. Moi même je me suis senti un peu rouillé, trop habitué aux glissades des épisodes plus récents. Charly appréciant beaucoup les jeux de voitures en ce moment, j’ai donc testé avec lui Micro Machine 2, Pole Position 2, Nigel Mansell et Top Gear. Lui a trouvé son plaisir dans Nigel Mansell. Choisir ses pneus et ses réglages, c’est ça qui l’intéresse. Moi je suis resté scotché sur la qualité de Top Gear qui bien plus abouti que Lotus Challenge dont je pensais qu’il n’était qu’un simple portage dédié à la SNES… Mais j’y reviendrais une prochaine fois.
Sortir une veille console et des vieux jeux, cela fait toujours un peu d’animation. Les JulietteS s’affrontent à Super Mario Kart, on redécouvre les vieux pixels avec Matteo et Romeo et puis on approfondi le sujet avec Pype, de quoi mettre des images sur certaines de nos lectures communes aux éditions Pix’n Love, tel que La Guerre des Mascottes.
En grand amateur de jeux de plateforme, j’avais fait le plein de cartouches les années précédentes : Chuck Rock, Zool, Bubsy, Cool Spot, Indiana Jones, Pitfall et même Aero the Acrobat et Ardy Lightfoot. La Super Nintendo regorgent de ce genre de jeux qui avaient d’ailleurs la cotte à cette époque. Moi je m’étais attaqué seul à découvrir Chuck Rock dont les gros sprites m’avaient impressionnés quand je lisais les magasines de l’époque. Mais une fois la manette en main, la construction des niveaux m’a un peu déçu… Les filles ont assez bien apprécié Zool, nerveux et colorés et clairement plus maniable que la version PC à laquelle je jouais quand j’étais ado.
Plutôt content d’avoir déniché Aero the Acrobat, le « Sonic » the Sunsoft, je dois bien admettre qu’il n’est vraiment pas amusant à jouer et difficile à prendre en main avec ses pirouettes. Reste cet excellent Bubsy… Lui aussi descend du Hérisson de SEGA qui venait créer un nouveau genre de jeu dans la catégorie plateforme. Chat, Caméléon, Chauve-Souris, Lapin… les mascottes débarquaient en force avec plus ou moins de réussite. Bubsy ramassant des boules de laines dans des niveaux nerveux, colorés et avec un scrolling rapide avait tout pour se porter en concurrent de Sonic sur la Super Nintendo. Ce n’est pas pour rien que j’y ai tant joué… Il est pourtant bien plus difficile, car au moindre contact avec un ennemie, un chute de trop haut, c’est le petit gimmick d’une vie en moins. Malgré cela, j’ai probablement dû réussir à avancer dans le jeu aussi loin que dans Sonic à l’époque.
Si au jour d’aujourd’hui, j’ai pas mal de cartouches, je manque cruellement d’éléments pour envisager un shooting studio autour de la Super Nintendo. Les jeux étaient à l’époque distribuer dans une boite en carton, ce qui a rendu leur conservation plus rares que les boitiers « plastiques » à la sauce VHS des jeux Megadrive. Magasines, posters ou même boite de consoles sont également difficile à trouver.
Hé oui, pendant que vous étiez devant votre télévision à trouver les diamants cachés de Sonic et la Star Zone cachée de Super Mario World, moi je partais au secours de la Zoubida sur mon tapis volant ! Comme je vous en avais déjà parlé, quand CJ était petit, les consoles de jeux n’étaient pas admises à la maison. J’avais eu le privilège d’être l’un des premiers équipé informatiquement dans le quartier, avec mon super Commodore 64, mais il fallait bien admettre qu’en ce début des Nineties, il commençait à faire pâle figure au coté des Megadrive et Super Nintendo…
Ceci dit, mes deux meilleurs amis n’avaient pas plus de consoles que moi chez eux à cette époque… Allait commencer la grande aventure du jeu sur PC ! Bon, il fallait bien admettre que celui que nous avions à la maison était loin de me donner envie. Avec son écran monochrome et son beeper intégré, il n’avait pas grand chose pour rivaliser coté jeu avec le commodore 64, si ce n’est un chargement un peu plus rapide. Mais fallait-il encore en trouver, puisque le paternel avait choisi de brider l’appareil avec un lecteur 5’1/4 à l’ancienne.
C’est donc avec mes amis Alain, Julien et Vivien que j’allais partir en quête de substituts de Super Mario, et l’un des premiers titres à faire son effet sera Blues Brothers réalisé par les français de Titus. Plus que probablement très inspiré par Tic & Tac : Rangers du Risque sur NES, ce jeu de plate-forme en utilise une mécanique assez similaire, la possibilité de contrôler deux personnages en même dans un jeu de plate-forme, où nos deux héros peuvent ramasser des caisses, qui leur serviront d’armes contre leur ennemis ! Graphiquement le jeu est bien réussi et offre en mode VGA, un style graphique un poil au dessus des jeux NES. Les musiques reprennent les thèmes de Blues Brothers, et même en mode PC Speaker, le résultat est attractif. Séduit par la qualité du jeu, je serai alors à l’affut des jeux suivants que seront notamment la série Prehistorik et Les Aventures de Moktar.
Moktar, Moktar, mais oui bien sur ! C’était l’amoureux de la Zoubida, celle-là même qui offrait une nouvelle place dans le TOP 50 à l’humoriste français Vincent Lagaff. Si pour moi à l’époque Moktar était le meilleur jeu de plate-forme de tous les temps, sur mon PC, du coté de chez Titus le projet Moktar était un projet tout ce qu’il y a de plus alimentaire. Réaliser un jeu vidéo sur ce que nous appellerions maintenant un buzz, en 2 ou 3 mois, en reprenant le code déjà pondu dans Prehistorik et Blues Brothers, dixit le chouette article publié dans le Pix n Love #15, dont j’ai terminé la lecture pendant mes vacances.
Bon, avec la découverte de DSx86, ma Nintendo DS n’a jamais autant chauffée depuis des mois ! Grâce à ce petit émulateur (nouvelle version 0.11 à télécharger !) je peux transformer ma console portable en mini PC oldschool du début début des années 90… L’émulateur fonctionne chaque semaines un peu mieux, pouvant reproduire des performance assez proche d’un 80286 et d’une carte graphique type EGA se rapprochant un peu plus du mode VGA,… Le son quant à lui reproduit à merveille les sonorités de la carte Adlib ou les sons digitalisés de la Sound Blaster… En contact avec P. Aalto je réalisé pas mal de tests hors de ma jolie ludothèque d’époque, mais actuellement, je me concentre pleinement dans le 4° épisode de Keen Commander ! « Joues-y en mode Normal » ne cesse de me répéter mon frangin Pype… Mais c’est que déjà en mode EASY, j’ai bien du mal à faire fonctionner mes souvenirs pour terminer les niveaux… Tidju, pas si simple ce Keen Commander, mais je prends un plaisir fou à y jouer, un ptit stages de temps en temps… J’ai terminé hier la 2° pyramide, après avoir longtemps galéré dans le château des glaces…
Si vous jetez un oeil dans mon Hit Parade intergénération de Jeux Vidéo, vous pourrez constater que de nombreux jeux MS-DOS de cette époque y ont trouvé une jolie place : 3° Day of the Tentacle, 5° Formula One Grand Prix, 10° Keen Commander 4 & 5, 11° Worms, 12° Monkey Island, 15° Legend of Kyrandia, 16° Les Aventures de Moktar, 20° Simcity, 23° Civilization, 42° Stunt 4D Driving, 46° Fury of the Furries, 47° Duke Nukem 3D. Bref, toute une époque où petit à petit nos braves petits PCs se rapprochaient de ce que l’on trouvait sur les consoles de jeux… Cela fait 10 ans maintenant que je fais la chasse aux vieux Abandonwares, mais très souvent par pure nostalgie, sans même y jouer réellement… Mais avec DSx86, je retrouve le plaisir d’y jouer… Et je me suis dit qu’il était amusant de voir quels jeux avaient reçu les faveurs d’être transférer sur ma Carte MicroSD dans l’espoir de m’offrir une petite séquence souvenir ! Mais également ceux qui n’ont pas eu ces faveurs… Notamment justement Monkey Island, Legend of Kyrandia et les autres jeux déjà supportés par l’émulateur Scumm !
Alors, je prends la peine de faire une petite pause et de regarder au fond, après 20 ans presque, quels jeux j’ai choisi,… et qui donc ont un petit quelques choses qui me donnent envie de les ressortir… Je vous les classes en 3 sections, ceux qui fonctionnent sur l’émulateur, ceux qui semblent ne pas être loin de fonctionner, et ceux qui ne fonctionne pas… encore ?
Les premiers épisodes de Duke Nukem n’étaient pas spécialement annoncés comme compatible sur le site de l’émulateur, mais je m’attendais bien à ce qu’il fonctionne, puis que Duke 2 lui l’était… D’une qualité un poil supérieur aux premiers Keen Commander, ceux-ci restent toute fois moins passionnant, utilisant très peu de couleurs et uniquement le PC Speaker… J’ai découvert l’épisode 1 version Shareware assez tard.
Duke Nukem 2, postérieur aux derniers épisodes de Keen Commander, lui m’a nettement plus marqué, acheté donc en librairie, il faisait partie des premiers jeux Shareware de qualité que je découvrais à proposer des graphismes plus colorés et surtout des sons digitalisés !! Du coup l’aventure était tout de suite plus tentantes… L’humour « Duke Nukem » était déjà un peu là, les « Babes » en moins, avec les monstres qui tentent de vous attraper de derrières les barreaux, puis ces niveaux post apocalyptiques… Probablement un peu inspiré Probector sur console, avec des items pour changer d’armes et la possibilité de tirer en haut ou en bas… Duke Dukem 2 est une véritable réussite que je me réjouis vraiment de reparcourir !
Keen Commander episode 4 à 6 (ID Software, 91) DOWNLOAD
Je vous ai déjà parlé de long en large de Keen Commander 4, mais à l’époque j’ai rapidement découvert sa suite Keen Commander 5, de retour dans l’espace… Cet épisode est tout aussi passionnant et remplis de passage secret… Au fond, l’armadat de Robot est beaucoup plus cohérent que les ennemis rencontré dans l’épisode précédent… Les mécanismes sont similaires et on prend autant de plaisir sur ce nouvel épisode… Un peu plus tard, j’ai mis la main sur la Démo de Keen Commander 6, Alien ates my Babysitter… Mélange entre l’épisode 4 et 5, je n’avais pas vraiment été convaincu… et je n’ai de toute manière jamais trouvé la version complète, avant de découvrir Internet bien des années plus tard… Ce dernier épisode ne m’a pas du tout inspiré, et visiblement pas tellement plus leur créateur… Peut-être un jour Billy reviendra-t-il dans un Keen Commander HD ??
Prince of Persia (Broderbund Software, 90) DOWNLOAD
Ce tout premier Prince of Persia fonctionne parfaitement sur l’émulateur DSx86. Les petites musiques Adlib me rapellent de bon souvenir, mais je sais que je ne passerais pas beaucoup de temps à y jouer… Le doigté nécessaire à cet épisode me fatiguait déjà pas mal à l’époque, et à choisir, je prefère alors me remettre à son épisode « Remake » que j’avais acheté sur la PS3 l’année passée… Wolfenstein 3D (ID Software, 92) DOWNLOAD
Fierté de la version 0.10 de l’émulateur, ce dernier émule parfaitement le précurseur du FPS : Wolfenstein 3D… Si j’ai passé de long moments à y jouer à l’époque, m’assurant que mes parents ne risquait pas de m’y surprendre… Je dois bien admettre qu’il a bien mal veilli… Lent, et pas vraiment maniable… Je n’ai guère pris de plaisir à tuer, tuer et encore tuer…
Il se passe quelque chose…
Badman 2 : Out of our World (PPP Team Software, 95)
Bio Menace (Apogee, 93)
Crime Waves (Acces Software, 90) DOWNLOAD
Monster Bash (Apogee, 93)
Jill of the Jungle : épisode 1 (Epic Mega Games, 92)
Keen Commander : épisode 1 à 3 (ID Software, 90) DOWNLOAD
Nebulus (STE Cork, 87) DOWNLOAD
Chicago 90 (Microids, 89)
Errors
Croisière pour un Cadavre (Delphine Software, 91) DOWNLOAD
Créature (Cyberlife Technology, 97) DOWNLOAD
Das Boot (Three Sixty Pacific, 92) DOWNLOAD
Elite (Firebird, 87) DOWNLOAD
Epic
Formula One Grand Prix (Microprose, 92)
Flight Simulator 4 (Microsoft, 89) DOWNLOAD
Fury of the Furries (Kalysto, 93) DOWNLOAD
Goblins (Cocktel Vision)
Halloween Harry
Highway Hunter
Indianapolis 500
LHX Attack Copter
Lotus Challenge III
Les Aventures de Moktar
Micromachine
Outrun
Prehistorik
Prehistorik 2
Push Over
Targhan
The Lost Vicking
Worms +
Zool
Flashback
Grand Prix Circuit
Legend of Kyrandia 2 : Hand of Fates
Hocus Pocus
Stunt 4D Driving
Theme Hospital