Super Mario Advance 2, le portage de Super Mario World sur la portable de Nintendo.
Il y a quelques mois, j’ai récupéré les versions GameBoy Advance de Donkey Kong Country 2 et Super Mario World, deux grands classiques des années 90 sur Super Nintendo… Très rapidement, j’ai d’abord plutôt été déçu par le portage de ceux-ci… Les musiques tout d’abord, devenues beaucoup plus criardes que les sonorités si spécialement douces qu’offraient la Super Nintendo. Je ne me suis pas vraiment attardé sur DCK, pretté à Pype, dont la critique était assez sévère… Mais petit à petit, j’ai su me faire à ce scrolling légèrement clippant et une prise en main sur les contrôle de la Nintendo DS, un poil moins ergonomique que sur le pad SNES….
Ma fois, avec la possiblité de pouvoir sauver sa progression à tout moment, l’expérience et le challenge s’adaptait parfaitement à mes petites sessions de jeux… Et sur le dos de mon Yoshi, j’avais de quoi m’amuser plutôt que de rêver aux autres épisodes de Mario sur Wii…
Super Mario Advance 2 – GBA (Nintendo, 2002)
Mais diable, était-il si difficile ce Super Mario World,…. Il y a des moments où je me demande si je n’ai pas hérité d’une partie en mode HARD… J’ai eu bien du mal à passer à la Vanillia Lake,… et je suis ici attaqué par de géant Bubble Gum dans une maison fantôme vraiment difficile… Je ne me souviens avoir eu tant de difficulté à l’époque !!! Mais bon, je ne perds pas espoire… Et j’apprécie grandement au final l’expérience,.. peut-être aurais-je la chance de trouver Zelda Link to the Past une prochaine fois ?
Quand j’étais jeune (ça le fait toujours ça !), on ne parlait pas d’Halloween ! à l’arrivée du 31 octobre, alors qu’il faisait un froid,… toute la famille se rendait sur la tombe de mon grand père, dans un immense cimetière plus glacial que jamais… Après le grand nettoyage, un retour parmi les roulotte de fleuristes et grilleurs de marons, nous descendions tous chez Tante Lisette manger de bonnes gauffres ! Quand j’étais jeune c’était ainsi… Il y a 15 ans, mon ami Len d’outre Atlantique, alors en voyage scolaire dans notre petit pays, nous raconta lors d’un cours d’anglais inoubliable, comment chez lui, on vivait la soirée d’Halloween,… les déguisements, les légendes, tout ce drôle de manège pour jouer à se faire peur… Et maintenant, la fête d’Halloween s’est bien imposée… enfin, au moins dans les magasins, histoire de faire du chiffre d’affaire, mais oui… on peut dire que citrouilles et costumes ont un certain charme !
Jeudi, alors que je décompressais enfin de longues soirées de travail en retard,… j’avais allumé ma Playstation, un peu poussiéreuse… deux drôle de petits bonhommes attendaient que je pousse sur (X) afin de tester Costume Quest ! J’aurais pu passer outre, des démos à tester j’en ai vraiment beaucoup, et avec un titre pareil, il est presque assez étrange que je me sois laissé séduire… et pourtant, en quelques minutes, j’allais rentré dans un petit univers étrange et sympatique… la nuit d’Halloween !
« Allé zou les enfants, cessez vos chamailleries » dit maman, « tout à fait » répondit papa derrière son journal… allez vous amuser ! Moi, c’est Wren, la seul de cet imbécile de Reynold, mais tout aurait pu être l’inverse au fond… La nuit d’Halloween, je l’attends chaque année avec impatiente !! Et je vais devoir me coltiner ce fardeau au déguisement stupide toute la soirée… Mais qu’ai-je fait pour mériter cela !!!!!!
Toc toc, « Des bonbons ou un mauvais tours » … Ouw, j’allais vous offrir un tas de bonbons, mais là, ce déguisement est vraiment … hum comment dire… CLAP …. Ca commence bien, quel crétin ce frangin… à ton tour, Reynold ! Toc, toc….
« Mmmmm, un bonbon »…. Lachez-moi, lachez-moi…. Lachez mon frère…. Voilà qu’un troll s’est emparé de mon frère…. s’enfuit vers le parc, parlotte avec la gargouille de la grille et le balance de l’autre coté…. pour le maître !!!! Mais, qu’est ce que c’est que cette histoire…. Mmmmm REEENDDDEEEZ MOOOI MOOON FRERE !
Zooooooufffffff, me voilà transformé en super robot en carton de combat, prend ça, et un coup de missille lunaire sale troll,…
Bon, vous voyez un peu le tableau ?? Le costume d’Halloween de ma petite Wren semble avoir cette nuit des pouvoirs inatendu…. Ceci dit, j’ai beau avoir fait la peau à ce troll,… il est partit se cacher, et j’ai perdu mon costume… Il va falloir que je parte à la recherche des morceaux de cartons histoire de le réparer… Rooh, et puis zut, la police à monter un barrage vers l’entrée du parc… va falloir que je me trouve tout de même quelques bonbons aussi, et ces imbéciles qui se dispute là dans la rue… Tiens, dit, il est joli ton costume de chevalier, avec ce bouclier… Tu me l’échange ??
Waouw… en quelques minutes, j’ai été conquis par ce petit jeu, que j’imagine pas trop long…. Madame a vraiment dû faire de grand effort pour me faire lâcher la manette, d’autant que, version démo oblige, je ne pouvais pas sauvegarder ! … Est-ce que je paierais 12€ pour y rejouer ??
En tout cas, la sensation d’être perdu dans un autre univers a été aussi forte qu’avec ce si mystérieux jeu Earthbound sur SNES… je n’y ai jamais été bien loin… rapidement coincé, mais cette petite histoire avec une bande de copain, qui découvre leur petite ville réveillée par une étrange météorite tombée dans les collines était vraiment chouette…
Non, je ne vous parlerais pas du dernier ouvrage paru aux éditions Pix n Love, mais bien Scott Pilgrim vs the World… le jeu ! Il me faut bien l’admettre, je joue de moins en moins, et ce malgré mon long mois de vacances, hormis quelques rares parties pour avancer dans Heavy Rain, le début de Chrono Trigger en attendant un rendez-vous chez le dentiste et quelques petits tests de la dernière version de l’interpreteur DOS pour la DS, afin de faire tourner Flashback, Monster Bash et Chicago 90… il n’y a pas eu grand chose de plus… si ce n’est hier soir !
Car si je ne joue pas, je consulte néanmoins chaque mercredi la liste des nouveautés disponibles sur le Playstation Store, et en début de moi, j’avais donc téléchargé la démo de Scott Pilgrim, sans en avoir le temps d’y jouer ou juste tout simplement de voir de quoi il en retournait ! « Tu vas adoré, de la bonne 2D et de la chiptunes… » m’annonçait P@r@. J’étais très très intrigués, mais j’avais à préparer mes vacances en Bretagne…
Hier donc, en alllumant ma PS3, je revois la petite icone sympathique qui m’attend… allé hop !!! « Allé hop ».. si j’avais su où j’allais être emporté !! Mais c’est ainsi qu’ils devraient être tous les jeux vidéo !!! Du magnifique PixelArt et effectivement des chiptunes endiablées, dans un jeu dans la lignée de Double Dragon et Street of Rage,… en plus moderne ! Disons que la mécanique des jeux est similaire, c’est du beat’m all ! Mais il y a franchement quelques choses en plus… avec de l’EXP à gagner, des achats à faire dans les magasins et des nouvelles techniques de combat à prendre… il y a donc une petite dose de RPG dans l’affaire…
Je n’ai bien sur accès qu’au premier niveau, dans la neige, suivi du combat contre mon premier bosse… mais c’est bien suffisant pour se faire une idée de l’extraordinaire ambiance qui ressort de ce jeu !!! Quelques choses proche de certains d’un jeu sur SNES qui m’intriguait fortement… mélangé avec les idées de mon ami Toad (Sylvain Sarrailh) dans divers de ces projets tel Heatown…
Je reste subjuguer par le choix fait de créer un jeu tel que celui-là… et j’en suis fan… Je ne connaissais absolument pas l’univers de Scott Pilgrim,… issu d’un BD comics américaine et dont un film vient d’être réalisé… le jeu est lui excellent… Le concept, Scott Pilgrim est FOU amoureux de la belle Ramona… mais il va devoir affronter les 7 ex-fiancés de cette dernière s’il veut pouvoir lui compter fleurette tranquillement !
Bon, on peut jouer jusqu’à 4, alors si madame veut bien se prendre la peine de prendre la 2° Dual Shock… allons mettre de l’ordre dans tout cela ??
Il y a quelques semaines, je vous en parlais, mon ami Didier m’avait donné son Acer Aspir One, petit Netbook, laissé pour mort par la société Acer… Sans revenir sur l’histoire, le voici à nouveau fonctionnel, sous Ubuntu RC 9.10 (merci Antoine) que j’apprécie plutôt… Mais très vite, je me suis posé la question de l’utilité de ce « jouet » à la maison, au coté des mes 2 gros PCs et mon portable. D’ailleurs, souvenez vous j’avais écris en son temps un article assez agressif sur ces petites machines, article régulièrement consulté d’ailleurs… Bref !
Là non plus sans tirer le sujet en longueur, j’ai fini par m’habituer à une utilisation d’un NetBook au clavier très étroit et à un écran 8′ au final peu aisé pour de la « bureautique » et surf, ce qui est pourtant l’utilisation que l’on s’imagine faire avec ce genre d’appareil…. mais bon allé j’y reviendrais plus tard.
Si vous avez bonne mémoire, j’ai grande envie de puis quelques mois d’une Dingoo, petite console aux airs de Nintendo DS, mais orientée rétro-gaming, faisant tourner de nombreux émulateurs… Mais ceci dit, ajouter une 2° console portable au coté de ma DS colle mal à la situation à la maison, alors m’est venu l’idée de faire de ce NetBook un C64 Pocket !
Non, ne rêvez pas non plus, je n’en suis pas à le démonter pour y souder de nouveau composant issu d’un C64 de récupération… c’est vrai que cela me plairait aussi de pouvoir avoir ce genre d’objet, mais je n’en ai pas du tout les compétences (par contre, je pourrais avoir un C64 à démonter ET une « épave » de PC Portable…) Non, ici, l’idée serait de faire tout simplement tourner un émulateur C64 le plus fidèle possible et y joindre ma panoplie d’image de disquette… Vwouaip, là je vous sent plutôt déçu, mais je vous explique.
Il y a un bon mois sortait le tout nouveau Street Fighter IV. Sans revenir sur la série, j’en avais parlé à l’époque, il était dans le collimateur de mon porte-feuille, mais ce dernier étant un peu malmené ces derniers temps,… j’ai pris la décision de le trouver à moitié prix en deuxième main. Hier donc, je ramenais mon édition cartonnée du dernier né de Capcom.
J’avais déjà vu nombre de photos et vidéo, c’est donc sans surprise que j’allais me mettre sur un jeu de baston animé en 3D mais ce jouant à l’ancienne…
Dès le départ, l’intro du jeu me laisse un peu sceptique, mise en musique sur un titre mélange de Backstreet boys et de J-Pop, finissant au bout de longue minute sur l’air de Street Fighter… heureusement. Une fois dans le menu, le Boysband se remet en route… douteux.
La moitié des personnages est disponibles, c’est de bonne guerre, rien de fulgurant dans le menu de sélection… on a même déjà vu plus joli dans les séries Capcom VS … Je me lance dans le combat avec Ryu, … bien entendu. Petite cinématique « manga »,… pas très réussi, et même mal dessinée. J’attaque Chun Li, en mode easy, après avoir refuser des « new challengers » via le network… option sympa, mais pas dans mon cas.
Combat correcte, Ryu répond moyennement à mes Adoken et autres shoriukup… les décors sont jolis, mais je trouve les expressions de mes combatans pas très réussie. J’enchaine sur un Zangief, plutot coriace me laissant peut de répis… Il me faudra d’ailleurs 20 bonnes minutes pour en venir à bout. Un Zangief vraiment agressif, et équipé dans nouveau coup poing enflamé qui fait des dégats… surtout enchainé à son 360°.
Au bout de 20 minutes, j’ai le pouce qui commence à chauffer sur mon Pad Dualshock III. Un peu rapide il me semble… Je tente une partie en « stick analogique », mais on oublie, c’est impossible, déjà au pad, je n’arrive pas à réussir mes coups comme j’y arrivais sur la manette SNES.
J’enchaine sur un gros gros balour DJ, nouveau venu, mais mon pouce me lache, un cloque… 30 minutes de jeux. Assez que pour me dire que Street Fighter IV n’est pas au niveau coté plaisir de ce que je pouvais trouver sur la version Super Nintendo… Je le garde un peu pour le montrer à Pype et Didier… mais il partira rapidement à l’échange :)