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Tag: SmartPhone

Scoop : Dropbox nous impose de passer à la caisse.

Scoop : Dropbox nous impose de passer à la caisse.

En cherchant ce matin la raison de pourquoi les photos de mon smartphone ne se synchronisaient plus vers mon compte Dropbox, j’ai constaté dans les menu de l’application, en rouge, que je dépassais mon quota d’appareils connectés !? Sur mes 23 devices, seuls 3 me sont autorisés à mon compte « Basic », le compte gratuit de l’application web de synchronisation de fichiers dans le cloud que j’utilise depuis plus de 10 ans !

D’une rapide recherche sur la toile, je découvre donc que depuis la mi-mars, Dropbox a décidé de limiter le nombre de machines synchronisables sur les comptes gratuits, rendant pour ma part son utilisation totalement impossible telle quel.

https://www.clubic.com/dropbox/actualite-851868-dropbox-compte-gratuit-limite-3-appareils.html

Ai-je d’autres alternatives que de passer à un abonnement « Plus » à 99€/an ? Si à titre professionnel, je dispose d’un équivalent à Dropbox propre à mon employeur, j’ai malgré tout besoin pour mes autres activités besoins de pouvoir accéder à mes contenus « Dropbox » à tout moment sur 2 smartphone, 2 tablettes et un minimum de 5 ordinateurs… Mais quoi qu’il en soit, la force de Dropbox était que je pouvais avoir sur n’importe lequel des ordinateurs, tablettes ou smartphone que j’utilise au quotidien tout une série de document et surtout de photo « mémo » ainsi que l’assurance que tout les contenus que je crée depuis mes Smartphones s’y retrouvent automatiquement ! Difficile de trouver mieux ailleurs.

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Mon Mobile et Moi : Un Google Pixel 3a moins cher

Mon Mobile et Moi : Un Google Pixel 3a moins cher

Voilà un peu plus d’un an que j’encense mon Google Pixel 2 qui fait partie des meilleurs Photophones, non pas grâce à un capteur photo défiant la concurrence mais bien grâce aux prouesses des algorithmes et intelligences artificielles développés par Google. Des éléments parfaitement intégrés dans ce Smartphone.

Deux points fachent cependant. Tout d’abord, les deux premiers Google Pixel n’étaient disponibles que dans une poignée de pays. Le dernier Pixel 3 quant à lui, n’est toujours pas officiellement disponible en Belgique. Ensuite, là où l’approche de Google à l’époque du Google Nexus pour contrer ses rivaux étaient de proposer un Smartphone à un prix modéré sans concession de technologie  avoisinant les 400€, les Googles Pixels à leur sortie fleurtent les 1000€.

Le Google Pixel 3a
Mon Google Pixel 3a – Les Mondes de Cyborg Jeff, 2019

Mais voici une bonne nouvelle ! Des rumeurs persistantes annoncent « déjà » un Google Pixel 3a qui devrait tomber sous les 500€ pour ce printemps !

Le Google Pixel 3a, modèle milieu de gamme du Pixel 3, serait vendu au prix de 450 euros en Europe. Un tarif agressif qui rappelle le positionnement du Nexus 5 à son époque. Une version XL sera aussi de la partie. Est annoncée une disponibilité dans les coloris noir, blanc et violet au printemps 2019. (Une info Phonedroid)

Les quelques infos que l’on peut déjà retenir serait un écran OLED de 2220 x 1080 pixels (5’6 et 6′ pour le XL). un processeur Snapdragon 670, 4go de RAM une batterie 3000Mha un capteur photo 12MP à l’avant, 8 à l’arrière. La finition du Smartphone pourrait être un peu moins « noble » afin de réduire les coûts. Bien évidemment, l’un des éléments important sera de savoir avec plus d’exactitude si Google aura misé sur le même capteur photo ou s’il aura là aussi tenté de réduire les coûts.

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Kingdom Hearts III, le 9° épisode d’une saga complexe

Kingdom Hearts III, le 9° épisode d’une saga complexe

Merci ma Valentine, je viens donc de commencer l’aventure après quelques hésitations. En effet, j’avais acquis Kingdom Hearts premier à sa sortie sur ma PS2. Madame et moi étions assez enthousiasme à ce concept qui mélait nos héros de Final Fantasy et le monde de Disney, mais très vite nous allions déchanter d’un gameplay un peu erratique lors d’un combat contre plein de petites bestioles noires… Las, je n’ai pas été plus inspirés par la sortie du second épisode, il y a déjà près de 15 années, malgré une si belle bande originale signée Yoko Shimomura.

Décus, nous n'avons jamais pas rencontré Anna et Elsa !
Décus, nous n’avons jamais pas rencontré Anna et Elsa !

Les bandes annonces de ce 3° volet, des années lumières plus tard me donnait vraiment envie de me plonger dans l’univers de Kingdom Hearts aux cotés des enfants. Mais, on m’a tout de suite fait comprendre que l’histoire impliquait d’avoir vu non pas les 2 autres jeux mais toutes la saga… Je dois bien admettre que les vidéos d’archives, proposées pour recontextualiser l’histoire, ne sont guerre jolies à regarder dans un genre de 3D reflitées et bien vide… Elles montrent une histoire très complexes avec des personnages qui se transforment et qui se croisent…. des vidéos qui par ailleurs restent éloignées de l’univers de Disney… voilà qui fait un peu peur lorsque l’on se rend compte que ce Kingdom Hearts III n’est pas simplement le 3° volet de l’histoire, mais le 9° hors d’une sage initiée en 2002 autour d’épisodes sortis sur PlaySation 2, PSP, GameBoy Advance, Nintendo DS et 3DS !

Commencer l’aventure donne il est vrai l’impression de tomber dans la soupe sans savoir ce que l’on va manger. Les mécaniques de jeux sont très simple à comprendre, la difficulté semble trop simple et je il faut bien l’admettre, j’ai l’impression d’être dans un film interactif plus que dans un jeu pour l’instant. J’aurais également préféré commencer ailleurs que dans l’univers du film Hercules, probablement le seul Disney que je n’ai pas vu. Cependant graphiquement, c’est beau ! Nous verrons pour la suite !

Mais la suite reste bien tarabiscotée. On continue à rencontrer des personnages propre à la série, que l’on est en principe censé reconnaitre, construire et customiser son vaisseau, lire ses messages sur son smartphone,… Mais quand diable arriverons-nous dans le monde de La Reine des Neige ou de Raiponce, histoire que les enfants accrochent… Au bout de longues errances dans la ville afin de trouver les ingrédients demandé par l’Oncle Picsou… Nous avons fini par abandonner l’aventure…

Un Kit « MicroVideo »

Un Kit « MicroVideo »

Tiens, voici quelques demandes répétitives de conseils que l’on me demande pour l’achat d’un équipement autonome, simple, à bon prix, facile à utiliser pour faire des capsules vidéo. La réponse n’est pas simple, car ma réponse est souvent dans un premier temps « Pour quoi faire ? » et l’on me répond le plus souvent : « Un peu de tout ! » 

Kit Micro Vidéo - Vlogging
Kit Micro Vidéo – Vlogging

Il n’y a évidemment pas de produit miracle et il faudra donc d’une certaine manière faire des concessions. Difficile de trouver une solution qui permet de filmer 3h de conférences, dans une salle très mal éclairée, avec un orateur éloigné, en son d’ambiance et pour un tout petit budget !

Par exemple, dans l’idée de pouvoir faire un petit reportage, s’autofilmer et faire des interviews, là j’ai de quoi vous faire une proposition plutôt convaincante autour de d’un MicroKit vidéo nommé également kit de vlogging (contraction de vidéo et blogging), kit orienté pour être utilisé par un non-spécialiste qui aurait été coaché un minimum.

Après plusieurs réflexions sur le sujet ces derniers mois, je ne suis pas convaincu par exemple qu’une telle solution soit à faire reposer sur un Smartphone ou une tablette. Surtout si l’idée est de la faire reposer sur « celle de l’utilisateur » dont l’état, l’âge et la qualité sera aléatoire. Un bon smartphone peut certes tout à fait offrir une image de qualité, mais dans l’optique de disposer d’un kit dédié, le prix d’un bon smartphone sera à peine moins cher que la solution que je vais vous présenter avec une série d’avantages supplémentaires.

©Sony

Après une série d’échanges avec d’autres spécialistes, je suis plutôt enthousiaste à faire reposer ce kit autour du Sony RX100 VI Sony RX100 VII(*), un petit appareil compact disposant d’un capteur 1′ plutôt grand pour ce genre d’appareil compact. Il dispose par ailleurs d’un écran amovible permettant de se filmer ainsi que d’un système de Eye Tracking permettant de faciliter les réglages et faciliter la captation vidéo.

Grâce à l’écran inclinable à 180 degrés, le vlogueur peut se suivre en continu, ce qui lui évite les mauvaises surprises par la suite. Le vlogging est encore facilité par la technologie de stabilisation d’image SteadyShot qui maintient les éventuels mouvements parfaitement sous contrôle. L’appareil est en outre doté d’un écran LCD avec mise au point tactile et mise au point automatique par pavé tactile pour indiquer les points focaux souhaités et utiliser l’appareil en toute simplicité. (…) L’appareil est équipé d’un système de mise au point automatique hybride rapide pour une mise au point en seulement 0,03 seconde. Ce modèle est en outre doté d’une mise au point à détection de phase de plan focal avec 315 points AF qui couvre 65 % de la zone de l’image. (Un article à lire en profondeur dans les chroniques de Photogalerie.com)

Le deuxième point crucial sera alors la captation du son, point trop souvent négligé car difficile à intégrer sur un petit appareil numérique ou un smartphone. L’idée serait alors ici d’utiliser un système de captation audio autonome centré sur le ZOOM F1LP. Equipé d’un micro cravate, l’orateur pour alors déclenché lui même l’enregistrement du son sur son recorder audio Zoom. La piste audio de qualité pourra alors être re-synchronisée avec la piste vidéo au montage. En fonction de l’orientation, il pourrait tout à fait être possible de prévoir deux kits en fonction du format d’interview à réaliser.

©zoom

!! Un point important à peut-être tenir à l’oeil, l’entrée MICRO !!

(MAJ) Comme je le précise, la captation du son est importante. Une solution « Zoom » permet de pouvoir enregistrer le son de manière séparée, mais cette approche implique alors de pouvoir re-synchroniser image et son au montage, et cela pourrait être un point handicapant pour certain. Dès lors, il faudra brancher le son du micro sur l’entrée Micro de la caméra/appareil photo, et sur ce point, les nombreuses variations du Sony RX100 que l’on trouve sur le marché n’en sont pas toutes équipées. A ce jour, on retrouver encore les modèles III, IV, V, VI et VII, hors seul la dernière mouture du boitier de Sony dispose d’une entrée Micro !

Autour de ces éléments centraux, il vous faudra encore investir dans un pied pas trop lourd, voir un micro-pied tel que le VCT-SGR-1 ainsi que d’une valisette de transport pour votre kit. Néanmoins un autre élément me semble pertinent, adjoindre à votre équipement une solution de prompteur. Je trouve la solution développée par Autocue « Prof. Hornet » pour iPad assez efficace, nous l’utilisons régulièrement dans la production de nos MOOCs. Il vous restera alors à ajouter un bras articulé pour pouvoir accrocher votre tablette à côté de votre objectif, dans une configuration assez similaire à ce que j’avais fait pour notre reportage au Japon.

Jamais loin de ceux que j'aime... merci Jeff Van de Poël pour la photo
Jamais loin de ceux que j’aime… merci Jeff Van de Poël pour la photo
De retour à Monument Valley.

De retour à Monument Valley.

Il y a bientôt un an déjà, j’emportais dans ma valise pour le Japon le deuxième volet de Monument Valley, ce poème vidéoludique pour appareil tactile… Et voilà que je termine, après une longue pause, ce second voyage. Petit retour en arrière pour vous présenter le concept de cette franchise Indie à laquelle je décernais en 2015 sur Press-Start mon gros coup de cœur ! C’était donc l’occasion pour moi de partager cette expérience sur Press-Start.

Monument Valley - iPad (Ustwo Games Ltd, 2014)
Monument Valley – iPad (Ustwo Games Ltd, 2014)

Des petits jeux à se gratter les méninges sur appareils tactiles, ce n’est pas ça qui manque et cela est d’ailleurs parfois bien difficile de trouver quelque chose de vraiment chouette dans le genre, tant il y a de trucs sur les stores d’Apple et Google. Découvert en 2015 donc, Monument Valley offre un concept très simple : diriger un petit personnage, la princesse Ida, dans un décor labyrinthique jusqu’à la sortie. Soutenu dès ce premier épisode par une ambiance visuelle grandiose, le jeu repose sur les concepts d’objets géométriques impossibles de Maurits Cornelis Escher. De ce fait, en modifiant la position de certains objets, de nouveaux chemins s’offrent alors à vous.

Aux côtés de son gameplay, l’aventure repose également sur toute une atmosphère et une narration qui tournent autour des 10 niveaux à traverser. Dès le départ, le joueur est questionné. Que fait-il là ? Pourquoi poursuit-il son chemin, qui sont ces êtres étranges qu’il rencontre ? Des interrogations qui semblent anodines, mais qui transportent le joueur dans une œuvre artistique qui paraît plus profonde qu’un simple jeu vidéo, probablement l’une des forces du courant « Indie ». Reste un regret : 10 niveaux, cela se parcourt vite et je restais alors un peu sur ma faim, même si la fin de l’histoire, toute simple, était parfaitement maîtrisée.

Graphiquement un bon cran au-dessus du premier voyage, Monument Valley 2 nous offre une nouvelle histoire et de nouveaux lieux à explorer tout en conservant son concept d’énigme à résoudre autour de ces illusions d’optique. C’est au tour de Ro, un nouveau personnage, de se présenter à Monument Valley. Ro n’est pas seule, et nous comprenons très vite qu’elle est accompagnée de sa petite fille à qui elle va devoir enseigner les règles qui régissent Monument Valley, apprendre à se séparer d’elle et la voir prendre son propre envol. Un sujet étonnant à ressentir dans un jeu qui montre à nouveau toute la poésie narrative qui tourne autour de cette licence… Si comme vous le recommandent les auteurs, vous vous êtes coincé dans un petit coin calme, avec le son activé afin de vous immerger parfaitement dans ce voyage, ce nouvel épisode vous fera ressentir de jolies émotions autour du concept parent / enfant. Cette relation mère / fille sera évidemment, pour quelques tableaux, aussi prétexte à apporter un peu de nouveauté dans le gameplay, lorsqu’il faudra résoudre des énigmes à deux.

Reste que ce deuxième épisode, pourtant un peu plus long que le premier, me laisse un goût de trop peu. Les tableaux m’ont paru moins complexes à résoudre, plus prévisibles, et même si l’histoire se termine au fond de manière assez prévisible, j’aurais espéré un petit quelque chose en plus… Quoi qu’il en soit, si vous deviez n’acheter que deux jeux sur votre smartphone/tablette, c’est sur Monument Valley que vous ferez le meilleur investissement !

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