Je crois qu’il est temps de prendre la décision radicale de supprimer mon compte Twitter. Depuis le changement de position pris par « X » le réseau social absorbé par Elon Musk est devenu un outil de propagande plus encore que tous les autres. Certes Facebook, Instagram, Google et cie ne sont probablement pas mieux, mais il se gardent bien de s’afficher de la sorte.
« Le président élu a annoncé qu’il comptait nommer le patron de Tesla, Space X et X, conjointement avec l’homme d’affaires républicain Vivek Ramaswamy, à ce tout nouveau ministère. Sa mission: « envoyer des ondes de choc dans le système » en dérégulant à tout va et en faisant des coupes drastiques dans le budget fédéral. Reste à savoir comment deux personnalités notoirement égocentriques telles qu’Elon Musk et Donald Trump vont s’entendre à long terme. » (Extrait de l’info relayée par la RTBF le 13 novembre 2024)
Entendu à la radio, se sont plus de 300.000 postes qui devraient être supprimé dans les institutions américaines.
EVIV BULGROZ !
Me restera à trouver comment suivre Sylvain Martin, Johan Vinet, Sarah Jane Avory et surtout Lazycow d’une autre manière….
Comme d’habitude, le Liège Bastogne Liège passe par chez nous ! Sans être un grand amateur de courses cyclistes, j’ai décidé de ne pas rouspeter parce que notre quartier est bouclé tout le dimanche et englué d’amateurs le samedi… Voyons les choses de manière positive, et allons encourager les dames à l’approche de la côte de la Roche aux Faucons.
Mais Papa, pourquoi les filles elles ne passent pas à la Télévision quand elle fait font la course en vélo, en voiture du course ou en football !
C’est qu’elles n’ont pas tord mes miss, mais hé, regardez ! La course des dames passe sur la RTBF !
Cette sortie était également l’occasion pour moi de tester un peu les performances de l’autofocus intelligent de notre hybride Nikon Z6 II équipé du nouvel objectif 70-200 2.8
Si vous ne connaissez pas encore l’application #JustWatch, elle vous permet de centraliser les contenus disponibles sur vos plateformes VOD payantes ou gratuites ( Be tv, Netflix, Disney+, RTBF Auvio,…)
A vous d’y cibler les abonnements que vous avez souscrits et il n’y aura plus qu’à vous assoir dans votre canapé sans fouiller des heures après le film de votre soirée !
Si plusieurs de mes amis me disent en souriant que mon bureau est un véritable musée, je n’aurais pas la prétention d’en dire autant, même si je suis conscient aujourd’hui d’avoir si pas quelques trésors, un large spectre de l’histoire du jeu vidéo que je peux montrer, partager voir brancher pour la faire découvrir à d’autres !
La thématique de l’archivage du jeu vidéo et de sa patrimonialisation abordée cette semaine dans le cadre du certificat en culture vidéoludique m’aura donc mené à me questionner : « Pourquoi m’entourer d’archives de jeux-vidéo ? »
Ce qui m’anime dans cette passion n’est pas disposer d’éditions rares, de rassembler l’ensemble de toutes les cartouches d’une console, ni toutes les consoles, mais plutôt de m’entourer d’objet physique en lien avec le jeu qui sont pour moi, tels de jalons mémoires, un petit morceau de ma vie, une vie dans laquelle le jeu vidéo a toujours pu trouver une place, comme j’avais eu l’opportunité d’en parler avec Valentin Boigelot lors de la séquence du JT de la RTBF en décembre dernier.
Quand je prends en main l’un de ces jeux, prenons la boîte de Final Fantasy VIII – PlayStation (Squaresoft, 1999), ce n’est pas vraiment dans l’idée de me replonger dans cette aventure de plusieurs dizaines d’heures dans des arènes en 3D qui évidemment ont fortement vieilli. J’aurais d’ailleurs pu, si pas à moindre coût, de manière plus aisé acheté la ré-édition dématérialisée de celui-ci sur le magasin en ligne de ma console moderne de salon. Non, quand je prends en main mon boitier de Final Fantasy VIII, c’est tout une histoire que j’ai à raconter…
C’est tout d’abord une époque dans laquelle je me replonge. Les premiers partages de passions communes avec ma future épouse. C’est avec elle que je vais découvrir plusieurs jeux de l’univers PlayStation, sa console. Tout en découvrant les jeux qui nous plaisent à tous les deux, nous achèterons ensemble ce Final Fantasy. A l’époque, je n’ai eu l’occasion que de tester quelques aventures Super Nintendo en émulation voire sur la Game Boy et j’ai le sentiment que nous pourrions apprécier ce mélange d’aventure réflexion et aventure action. De fait, nous y passerons des longues nuits blanches.
De cette époque, je me souviens aussi que nous achetions nos jeux dans une boutique de seconde main dédiée au jeux vidéo, Mario Shop à Seraing. C’était l’endroit parfait pour acheter des jeux récents sans se ruiner… Ce Final Fantasy VIII nous aura effectivement coûté 600Fb…. Et quelques années plus tard, j’en ferais cadeau à mon beau frère, afin que lui aussi puisse profiter de l’aventure.
Je pourrais aussi vous parler de notre manière de jouer à deux, l’un à la manette, l’autre scrutant les HP et MP, un œil sur le site ETAJV pour ne pas rater l’occasion de trouver de nouvelles chimères pour améliorer nos stratégie de combat
Je pourrais encore vous embarquer dans notre passion pour la saga, pour les autres jeux de Squaresoft, ou encore une ouverture à l’écoute d’OST, bandes son composées pour les jeux vidéo auxquels j’ai commencé alors à m’intéresser.
Bien évidemment, tout ce dont je m’entoure ici n’a pas une histoire aussi riche, mais il a malgré tout une histoire qui illustre de manière plus ou moins forte une époque. Que ce soit comment la Formule 1 a évolué dans le monde du jeu vidéo, comment des petits studios que j’appréciais ont évolué ou les derniers représentants du jeu de plateforme,…
Tiens, voilà que me fait penser que lorsque je donnais ma formation à l’utilisation du logiciel de montage vidéo Pinnacle Studio, je faisais travailler les enseignants à créer un petit clip au départ des bandes annonces des Sims ou de Final Fantasy : )
Parmi toute une série de héros de Bande Dessinée découverts quand j’étais gamin au début des années 80, il y avait Yakari le petit indien qui parle aux animaux.
Mes parents aimaient tout particulièrement le dessin et l’univers créé par Derib et Job que j’ai toujours pensé être belges d’ailleurs tant le dessin de Derib était dans l’esprit de la BD bien de chez nous !
Dès 1983, le petit indien et son univers, son cheval Petit Tonnerre, ses amis Arc-en-Ciel et Graine de Bison, Tilleul le castor,… se retrouvait dans une série de dessin animé sur l’émission pour enfant Récré A2, suivant les traces des Schtroumpfs de Peyo. En 2005, la RTBF s’associe à différents studios d’animation belges et français pour offrir aux enfants un vent de fraîcheur pour notre petit indien.
De mon coté, au début des années 2010, j’avais tenté de partager entre autres les aventures de Yakari à mes 3 grands, qui malgré toute la poésie et la magie des rencontres que font Yakari avec les bisons, Grand Aigle, Petit Tonnerre, les castors, les ours, les loups, le pélican et j’en passe… Les enfants n’ont jamais accroché à tout ce qui tourne autour des Indiens… Playmobil compris !
Cet été, sortait dans nos salles le premier long métrage de Yakari, toujours produit par ces mêmes équipes, il offre une ré-écriture de la rencontre de Yakari avec Grand Aigle, lui conférant le pouvoir de parler et comprendre les animaux… ce qui pousse encore un peu plus Yakari à devenir l’ami de ce jeune mustang fougueux, Petit Tonnerre !
Je vous avoue que la bande annonce m’avait plutôt enthousiasmé, j’y retrouvais tout l’univers du jeune papouse, avec cette petite pointe d’humour que l’on retrouve parfois dans les dessins animés d’Astérix… Si les 3 grands, n’étaient qu’à moitié emballés, ma petite dernière, elle était sous le charme… Et ce Week-end, malgré cette crise du Coronavirus qui ne donne vraiment pas envie d’aller se cacher dans un cinéma, le masque sur le nez,… coincé par une course cycliste, toute la famille s’est retrouvée devant le grand écran pour découvrir Yakari – La Grande Aventure !