Mwouaip, il y a quelques temps, je m’étais dit que je testerais le concept de carte de crédit prépayée, histoire de ne pas à avoir à lier une vraie carte de crédit à mes comptes Playstation, Apple, Google et Nintendo et pour avoir quelque chose de transversal plutôt que des coupons propriétaires. Après plusieurs recherches en super-marché, j’ai finalement choisi la carte de bpost, liée au service de la poste belge. Loin d’être un coup de cœur, d’autant qu’il faut comme pour une vraie carte de crédit se farcir des frais annuelles à ce service…
Hier, découvrant enfin une réduction de prix substantielle du chouette jeu indie Limbo sur le Playstation Store, je me suis dit que c’était le bon moment pour rapidement encoder la carte à mon compte… le soucis étant que je n’y suis jamais parvenu. J’ai bien constaté que Sony avait puisé 0,12€ sur ma carte prépayée pour la valider, mais je suis resté sur un message d’erreur dans les options de porte-monnaie.
Après quelques aller-retour désagréables parmi les différents SAV Sony et Bpost, je suis finalement tombé sur un bonhomme Playstation pas très sympathique, qui m’a fait savoir que ma carte était de toute manière bloquée pour 7 jours… trop de tentatives ! Ben oui, trop de tentative, … ça ne marche pas, je réessaie, moi je suis comme cela ! Pas besoin de vous exciter sur moi Mr Playstation !
Bref,… mauvaise pioche :(
Pour info, le SAV Sony Belgique est le : 011.516.406
On vous rappellera… ben oui, je suis curieux d’entendre cela !
Depuis longtemps, les ordinateurs ont pris beaucoup de place dans ma vie… il faut bien l’admettre… cela a commencé avec un Commodore 64 arrivé en 1983 à la maison et est resté ensuite dans ma chambre jusqu’en 1995-96. Entre temps, un premier PC est arrivé à la maison, d’abord un 8088, que j’ai peu utilisé, puis en 1992 un puissant 80386 DX 40mhz avec 1mb de mémoire et une carte Hercule 2 couleurs… ainsi qu’un disque dur de 20mo. Pas de lecteur 3’1/2, juste un lecteur 5’1/4… Pour l’époque, il s’agissait d’une jolie bombe bridée pour ne pas que nous jouions avec… Mes amis avaient bien souvent un 80286, mais disposait par contre d’une carte son, d’un écran 256 couleurs et d’un lecteur 3’1/2… mais pas de disque dur, ou un bien plus petit… Mais en 1994 couleurs et son apparaitront, grâce au finance du petit frère… afin de faire progresser le développement de nos jeux Bilou et Calimero…
1993-1996
PC 386 DX 40
Processeur : 80386 DX 40mhz
Mémoire : 1mo
Disque dur : 20mo
Lecteur : 5'1/4 -> 3'1/2
Carte graphique : Hercules 2 couleurs -> Trident VGA 256 couleurs
Ecran : monocrhome -> VGA 14'
Carte Son : PC Speaker -> Master Boomer -> Sound Galaxy Pro 2
OS : MS-DOS / Windows 3.11
Magasin : CHG
Musique : Scream Tracker III
Image : Delux Paint
Vidéo : /
Jeux : Grand Prix Circuit, Keen Commander, Moktar, Formula One Grand Prix, Prehistorik 2, Monkey Island, Day of the Tentacle, Game Maker
Bon alors, qui ne connait pas les Giana Sisters !? Non, il ne s’agit pas de mes deux petites jumelles, notez-que cela aurait été évidemment assez comique si je les avais appelées Giana et Maria. La série Giana Sisters doit évidemment parler à tous bons joueurs sur Micro Ordinateur de la fin des années 80. Imaginez donc, alors que depuis plusieurs mois, je rêvais moi aussi de pouvoir jouer à Super Mario Bros sur ma télévision, j’allais découvrir une disquette qui allait changer ma vie : The Greatest Giana Sister se présentant à l’époque comme un clone de Super Mario Bros pour Commodore 64. Pendant de longues années, Giana Sister est resté pour moi la référence en jeu de plate-forme et s’il fallait un jour m’annoncer une bonne nouvelle vidéo-ludique c’était bien le retour des sœurs Giana… Chose d’ailleurs qui fût faites en 2009 sur la petite Nintendo DS. Graphiquement réussi, l’épisode portable manquait toutefois de challenge pour un amateur de jeux de plate-forme. D’autant que les premières aventures étaient d’un niveau à mon avis plus corsé que le premier Mario.
Alors, vous me demanderez pourquoi diable le fan de Giana Sisters que je suis ne se met à jouer que maintenant au nouvel épisode Twisted Dream, alors que le jeu est disponible sur PC depuis près de 8 mois. C’est vrai, c’est une bonne question ! D’autant que j’ai suivi avec un intérêt extrême la réalisation du projet lancé sur KickStarter et que j’ai régulièrement envisagé d’y contribuer histoire de bénéficier de quelques goodies collector, comme par exemple le CD de la bande son ! La vérité est que c’est dans mon salon que je peux m’octroyer du temps pour jouer. Papa Gamer de 35 ans, je n’ai plus de PC pour jouer, j’ai donc attendu, prier et attendu l’arrivée des Frangines sur ma Playstation 3 !
C’est donc le cœur battant qu’après avoir téléchargé pas moins de 1,5go de données, je lance le jeu… Chargement un peu longuet pour arriver sur l’écran de démarrage du jeu,… sans musique. Une mini animation, puis enfin un peu de musique et zoupla me voilà déjà dans le premier niveau. Ce n’est pas que je ne sois pas pressé de découvrir enfin ce Giana Sisters, mais tout de même j’aurais voulu me sentir déjà dans l’ambiance dès le début… Avec l’adrénaline des premières notes. Sur ce coup-là Black Forest Games me laisse un peu sur ma faim. D’autant que coté mise en situation, l’histoire est bien maigre. D’accord, Giana c’est Giana… Elle doit retrouver sa sœur attrapée dans le vortex d’un diamant magique, c’est grosso modo le même topo que pour l’épisode sur la portable de Nintendo… mais tout de même, je n’aurais pas été contre une petite cinématique, un truc en animation ou que sais-je pour me faire vibrer… Je me retrouve juste au bout d’une prise en main rapide de mon personnage devant un gros monstre qui englouti ma sœur avant de continuer l’aventure. Mwoui… un peu déçu de la mise en bouche !
Giana Sisters Twisted Dreams – C’est beau !
D’un autre côté, graphiquement, c’est franchement beau ! L’animation visuelle de tout l’univers du jeu lorsque l’on passe du monde « cool » au monde « punk » est vraiment bien réussie et fluide. Dès le début de l’aventure Giana dispose de plusieurs compétences, sauter, casser des blocs, faire des dashs enflammés, double saut, ralentir sa chute… la prise en main de tout cela est assez rapide et surtout pas trop guidée. C’est vraiment intuitif et on s’amuse tout de suite…
Ceci dit, au bout d’un ou deux niveaux, je me pose tout de même la question suivante : Pourquoi avoir tous ces pouvoirs directement accessibles ? Cela n’aurait-il pas été plus intéressant d’en disposer petit à petit ? Évidemment, les niveaux sont construits pour devoir jongler avec tout cela,… mais la question mérite réflexion ? Quoi qu’il en soit, les niveaux sont très sympas à parcourir au début de l’aventure et l’on sent le niveau du jeu plus proche de l’épisode sur Commodore 64 et Amiga. Il faudra assez vite réfléchir un peu pour arriver au bout des niveaux.
Et bien voilà quelques jours que j’ai commencé à jouer à The Last of Us, le nouveau hit Playstation 3 réalisé par la bande de Naughty Dog à qui l’on devait d’ailleurs le premier gros hit sur cette même console avec Uncharted : Drakes Fortune en décembre 2007. Je dois bien vous avouer que cela faisait des mois que mes temps de jeux-vidéo étaient d’une part très courts et surtout très espacés, seul Resident Evil 6 parvenant à me redonner envie de jouer une petite heure lors de rares soirées de détente.
Ce jeu, je l’attends depuis la fin de l’automne 2011 ! A l’époque quelques informations avaient été dévoilées faisant fortement référence au film « Je suis une légende » joué par Will Smith, qui fait partie clairement de mes films cultes ! On reste bien sur dans un ptich à mon gout, une super-contamination à rendu tout le monde entre zombie et méchant, notre civilisation s’effondre et l’on se retrouve dans un univers pots-apocalyptique où la survie devient difficile ! Si bien sur Resident Evil nous propose des histoires assez proches du genre, elles finissent toujours par se ressembler, et du sang neuf était donc très motivant. D’autant plus que The Last of Us serait signé Naughty Dog.
En 2008 quand je me suis acheté la Playstation 3, je ne savais pas encore vraiment de quoi serait capable cette nouvelle génération de console. Après avoir été très déçu par mon premier achat (Assassin Creed), la démo de Uncharted allait rapidement me faire prendre ma voiture pour aller acheter le jeu en magasin, tant les graphismes et le gameplay étaient excellents ! Les épisodes suivants sortis en 2009 (Uncharted 2 : Among Thieves) et 2012 (Uncharted 3 : Illusion of Drake) allaient être à chaque fois un coup de massue incroyable !
The Last of Us est tout, sauf une déclinaison d’un Uncharted en mode Zombies. Officiellement présenté comme un survival-action, le titre prend son temps pour nous plonger dans une ambiance oppressante. On est finalement plus proche de l’univers de Walking Dead que de celui de Resident Evil… (Minilob – JeuxVideo.com)
Il est certain que je suis un joueur moderne difficile, j’ai des références moi Môsieur,… et puis je suis assez mauvais aussi, et je peux assez vite me décourager ! En gros ne me parler pas de Call of Duty, Naruto et Call of Naruto in the Dutiness of Arkham Fantasy IX.
(Article laissé à l’abandon)
LE PLEIN DE JEUX EN 2013 !
Coté gameplay les phases de combat alternent avec les phases d’exploration dans des décors apocalyptiques incroyablement bien réalisés qui ne manquent pas de me faire penser à S.O.S. the Final Escape, mais également à la série Revolution. Là où le jeu se démarque de ce qui existe déjà, c’est qu’il faut arriver à gérer d’une part des minutions en très faible quantité, mais également des objets à ramasser pour voir ensuite confectionner de quoi se soigner ou se protéger… avec des temps de confection et de soin qui nécessitent de se trouver des caches pendant les conflits. (A lire : ma critique de The Last of Us)
Combien de billets dans la vieille édition belge du Monopoly ?
Et si on découvrait le monopoly avec l’édition 1960 de papy des villes !
Ah oui, j’y joué et joué au Monopoly quand j’étais gamin ! Tellement joué que je n’avais probablement pas trop dû me tracasser des règles à l’époque, je connaissais par cœur le nombre de billets à distribuer… Le soucis c’est que bien des années plus tard, impossible de me souvenir du nombre exacts… Et bien que le sujet soit souvent évoqué sur la toile, impossible de tomber sur mon édition belge de 1993. Une édition un peu spéciale qui conservait toutes les valeurs des terrains d’origine ainsi que leur nom (Bruxelles rue neuve, Liège rue Saint Léonard,…) mais dont les valeurs de billets ont été modifiées pour ressembler plus aux billets belges de l’époque… Bref une mauvaise idée, les billets de 400 et 200 et 100 passant à 500, 100 et 50, alors que la plupart des montant reposent toujours sur des multiples de 20, 200 et 400. Au final le billet de 50 ne sert presque pas ! Rien de tel que les versions originales et non les milliers de déclinaisons possibles. Peut-être à l’exception de la version jeux vidéo sur la toute première Playstation ;)