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Tag: PlayStation

La saison des brocantes est ouverte !

La saison des brocantes est ouverte !

Maliki - Strip Brocante
©Maliki – Strip Brocante

Depuis un long, très long moment, j’ai envie de vous parler d’une de mes « nouvelles » passions. Depuis bientôt un an je ne sais jamais trop par quel coté entamer le sujet et mon frère m’a dégoté hier un BD-Strip de Maliki tout à fait de circonstance. Je vous en livre quelques extraits, mais je vous invite vraiment à le lire entièrement sur le site de Maliki !

Depuis un peu plus d’un an maintenant, nous visitons les petits villages de Belgique le dimanche matin, avec la Kangoo, la poussette et les enfants… On s’en va à la Brocante ! 1€, 2€, 4€ me raconte Charly ! Ce sont de chouettes moments en famille, de chouettes balades qui s’accompagnent le plus souvent d’un bon pain saucisse… Je fouille, je scrute, je chine… et je reviens bien souvent avec de chouettes trouvailles !

BDs, Playmobil, Lego, livres pour enfants… et bien sur de vieux jeux vidéo. Oui, comme Maliki j’ai pris cette passion de retrouver ces jeux souvenirs de moments incroyables de ma jeunesse, passés avec les copains, CHEZ les copains… Puisque bien souvent, mes parents avaient fait le blocus des Nintendo et autres MegaDrives !

Oh, bien sur, on en trouve aussi sur les sites de vente, dans les Cash Converter… Mais à des prix « exorbitants ». Que ce soit pour les jeux vidéo anciens ou pour tout ce qui touchent au vintage des années 80, M.A.S.K., MicroMachine et compagnie… Cela reste sur les brocantes que l’on peut faire de belles découvertes… je préfère ce terme à « de bonnes affaires ».

Maliki - Strip Brocante
©Maliki – Strip Brocante

D’ailleurs, même en vacances je me note quelques brocante à faire. L’année dernière, lors de nos vacances en Normandie, j’avais trouvé une belle édition de Tomb Raider et Heart of Darkness pour quelques cents.

Nous avons repris la saison cette année avec la grande brocante de Crisnée. Et après une dur hiver où je voyais grimper la cotte des GameBoy à bien plus de 25€, je suis content d’un retour à la norme entre 5 et 7€…

Je commence à avoir une jolie collection de souvenir, il faudra d’ailleurs que j’en fasse une belle liste entre les jeux PC, Playstation, Megadrive, Super Nintendo, Gameboy, NES, GBA, GBC, Atari, C64,…

Pacman Syndrome : A la sauce rétro

Pacman Syndrome : A la sauce rétro

Leikki Super nintendo
Leikki fait revivre la Super Nintendo

La sauce rétro commence à prendre. Si j’ai la chance d’avoir trouvé NES, Super Nintendo, Megadrive ou Game Boy juste avant que cela ne se transforme en mode, on commence à voir émerger divers projets dans cet esprit avec notamment la société Leikki, qui après avoir remis au gout du jour de vieux téléphone Nokia, propose des consoles Super Nintendo et Game Boy Color renettoyées et repeintes… mais à un tarif encore un peu salé, soit 140€ pour une SNES ou 80€ pour la GameBoy Color… Quand je pense que j’ai acheté la mienne 5€ il y a quelques mois !

En réalité, c’est Lekki qui sort une version remasterisée de la console culte de Nintendo. Après s’être attaqué aux téléphones, la firme passe maintenant aux consoles, avec cette SNES repensée et assez réussie. Lekki propose la console en 4 couleurs : jaune, vert, bleu et orange, pour un look vintage kitch à souhait. Vendue dès aujourd’hui au prix de 140 €, la Super Nintendo version Lekki est livrée avec une manette et le jeu culte Super Mario World. Elle est disponible sur le site officiel ou dans les boutiques partenaires. (A lire dans le Journal du Geek)


J’ai également constaté que la vague rétro vibrait toujours sur Commodore 64. En effet, l’entreprise RGDC encourage et édite la création de nouveaux jeux pour le mythique micro-ordinateur, sur port cartouche ! C’est le cas de Get’Em DX, un genre de Pacman like qui me fait grandement penser à notre projet de Slurp ‘n Burp que mon frangin et moi avions en tête à la fin des années 90.

 

D’ailleurs, c’est assez amusant, mais je suis également tombé sur Chompston qui dans le même esprit, lui dispo sur PC gratuitement. On cette fois dans un mélange entre Bomberman et Pacman !


Dans mes vagabondages sur le net, je suis tombé sur l’un des jeux les plus beaux jeux GB, mais également très difficile à se procurer : Trip World. Le jeu est d’autant plus étonnant qu’il n’y a pas réellement d’ennemis…

Développé par Sunsoft en l’an de grâce 1992, Trip World est à première vue un petit jeu de plate-forme comme il y en a beaucoup (trop ?) sur game boy. Certes c’est super beau vu les limites du support, rien que le premier écran en jette un max je trouve, mais si on se contente des screenshots difficile de déceler le côté « expérimental », voire franchement culotté de ce qui semble être un petit jeu pour collégienne fan de Hello Kitty. (…) Contrairement à 99,9% des jeux de plate-forme depuis Mario, Trip World ne vous jette pas dans un environnement hostile : la plupart des animaux que vous croiserez ne sont tout simplement pas agressifs, et vous ne prendrez jamais de dégât par simple contact et ce même contre les boss. En fait tant que vous ne les attaquez pas la majorité se contenteront de se balader en vous poussant gentiment (ce qui peut toutefois être dangereux s’ils vous poussent dans une fosse remplie de piques…). Vous pouvez même les utiliser par exemple pour atteindre un bonus inaccessible. (Un article à lire ici)


Si difficile à se procurer, la solution pouvant alors nous orienter vers l’émulation ! Et justement Nikopik sur son blog nous présente RetroArch, une application Android qui permet d’émuler à peu près toutes les veilles consoles sur son smartphone !

Vous avez dépensé des sommes folles en piécettes sur les bornes d’arcade, passé des heures à vous user les pouces sur Nes, Master System, Megadrive, PC Engine, Super Nintendo, Playstation 1, et vous avez joué dans les transports sur Gameboy, Color et Advance, Neo Geo Pocket et Wonderswan ? Difficile de trimbaler une pareille collection de rétrogaming avec vous pour que vous puissiez y jouer n’importe où n’est-ce pas ? Et bien avec le multi-émulateur que je vais vous présenter, vous allez pouvoir bénéficier de toutes ses consoles et ses bornes d’arcade directement dans votre poche si vous avez un smartphone Android. ( A lire sur Nikopik)

 

Resident Evil 6, premières sensations.

Resident Evil 6, premières sensations.

Et oui, bienvenue en 2013, papa de trois jeunes enfants, bientôt 35 ans, encore l’âge pour combattre du Zombie et sauver le monde des bêtises d’Umbrella corporation ?

Et bien, c’est clairement la question que je me suis posée après avoir attendu si longtemps l’arrivée du 6° volet de la série Resident Evil disponible sur Playstation 3. Dire qu’il y a 13 ans, je parcourais pour la première fois les rues de Racoon City afin d’échapper au Nemesis !

Resident Evil fait partie des titres qui ont marqué mon retour aux jeux consoles au début de ce siècle avec en apogée les épisodes Rebirth (le remake du premier) et Resident Evil 4, tous deux sur Nintendo GameCube. Depuis lors, la série a tenté de s’adapter aux nouvelles générations de joueurs. Beaucoup n’avaient pas vraiment été enthousiasmés par Resident Evil 5, premier titre de la série sur console « Next-Gen ». De mon coté, j’avais trouvé le résultat plutôt convaincant et poursuivant l’évolution déjà apportée par le 4° volet à savoir quitter les rues de Racoon City remplies de zombie et les Manoirs aux nombreux secrets. L’action prenant petit, un peu plus de place que l’aspect Survival pourtant lié aux origine de la série.

Depuis lors, Resident Evil s’est tenté un peu partout. Sur console portable, avec dit-on une certaines réussites, au cinéma avec de trop médiocres aventures, en jeu 100% orienté online et en épisodes rétro HD reboostés pas des plus réussis. Il est claire que pour beaucoup, Resident Evil 6 était attendu au tournant, d’autant que Capcom le présentait comme un retour aux sources.

Déjà pas mal de critiques fusent à son sujet sur le net ! A titre personnel j’avais trouvé la démo assez intéressante, et j’étais assez content de le recevoir sous le sapin… Ce n’est pourtant que ce Weekend que j’ai pu m’y essayer… et oui, 3 enfants et des semaines de fou, cela ne laisse pas vraiment l’occasion de jouer à la console !

Je n’y ai joué ici que 44 minutes, incluant peut-être une pause pour remonter voir si tout va bien. De quoi parcourir ce que j’appellerais le prologue, puis le début de l’aventure avec Leon. Suffisamment pour me donner l’impression d’avoir jouer à deux jeux différents !

Plus dynamique face à l’habituel rigidité de la série, le prologue se rapproche très fort de titres tels que Uncharted 3 et Heavy Rain. Si dans un premier temps je me suis dit, bon cela ne fait plus tant Resident Evil, j’ai été assez vite pris dans le bain de l’action, à protéger ma partenaire d’une menace inconnue. Car coté scénario, cette mise en bouche manque de clarté, j’imagine que l’on se retrouve plutôt vers la fin de l’aventure, et que l’on retrouvera ce dénouement par la suite… Je n’aime pas vraiment aimé ette manière de raconter une histoire, mais pour se faire au gameplay, c’est plutôt réussi.

Alors que j’étais bien dans l’ambiance… Poum, un gros logo Resident Evil 6, veuillez choisir votre campagne, si vous souhaitez jouer en réseau, munition illimité et compagnie… Ah là franchement, ça casse tout ! Et zoup, me revoilà dans le bureau du président se transformant en zombie, comme dans la démo d’octobre dernier.

Et là, quelle surprise, je me retrouve avec un personnage bien plus rigide dans sa démarche, sans pouvoir donner du coup pied aux zombies, beaucoup plus lent,… bref, du bien plus classique pour un Resident Evil, si ce n’est qu’en quelques minutes, je m’étais tout à fait adapté à ce que l’on venait de me proposer !

Que me réserve donc la suite de ce Resident Evil 6 ? Je vous en dirais plus lorsque j’aurais fini de m’arracher les cheveux avec mon Pinnacle Studio !

Nathan Drake à repris du service.

Nathan Drake à repris du service.

J’ai décidé de ne plus me perdre dans des articles kilométriques. Juste m’arrêter sur des choses de mon quotidien. Il y a bientôt un moi, madame m’a offert pour mon anniversaire le troisième volet des aventures du chasseurs de trésors Nathan Drake, Uncharted 3 sur la PS3.
Mélange d’action et d’aventure extrêmement scenarisé, la série Uncharted fait clairement partie de mes jeux préférés de cette nouvelle génération… Si pas la seule ! Le premier épisode m’avait conquis et prouvé que ma nouvelle console était vraiment incroyable, l’année suivante je découvrais de nouvelles aventures aux mécanismes bien huilés et aux décors bien plus variés…

Uncharted 3 : L'Illusion de Drake - PS3 (Naughty Dog, 2011)
Uncharted 3 : L’Illusion de Drake – PS3 (Naughty Dog, 2011)

Dans ce troisième épisode le gameplay reste similaire. De l’action sans trop se prendre la tête, les cabrioles de Nathan sont bien plus prévisibles que celle de Lara Croft. Quelques énigmes pour se creuser les ménages tel un vrai chasseur de trésor et des phases de combats toujours aussi sympathique avec un peu plus de combat rapproché. Le scénario est poil moins original que dans Uncharted 2, mais il reste digne d’un bon blockbuster à la Indiana Jones. Quand à l’action et les effets spéciaux… Woooauw. Les décors sont vraiment bluffant, les textures sont riches et variées. C’est clairement le plus beau jeu auquel je n’ai joué. Alors ma fois j’apprécie le mode « Très facile » qui me permettra peut-être cette fois d’en finir un épisode !

Bref, voilà de quoi un peu distraire mes fins de soirée avec madame quand enfin le calme est revenu à la maison, histoire de nous défouler un peu !

Rayman revient à ses origines !

Rayman revient à ses origines !

Graphiquement, Rayman Origins est splendide. L’un des plus beaux jeux du moment et vu depuis longtemps. La finesse et les détails des décors est fantastiques, beaucoup d’éléments sont interactifs et cachent des secrets et mécaniques de jeux à apprendre. Les animations sont époustouflante et pas uniquement celles des personnages.

Certes moins connu que Super Mario et Sonic, Rayman a su se faire une jolie place dans le monde du jeu vidéo au milieu des années 90, même si j’imagine que pour certains, celui-ci n’est qu’un héros parmi d’autres, d’ailleurs non, Rayman n’est pas un lapin Vinch ;). Sorti de la tête du jeune français Michel Ancel, il existe de chouettes ouvrages sur la vie de Rayman aux éditions Pix n Love, dont sa biographie qui est déjà dans ma bibliothèque. Les premières aventures de Rayman sont arrivées sur la toute fraiche Playstation en 1995 après un chemin remplis d’embuches qui aurait dû faire de lui le jeu phare de la console Jaguar ou un jeu de plate-forme de plus sur Super Nintendo,… quoi qu’il en soit Rayman est arrivé à une époque où les jeux de Plate-forme en deux dimensions avaient déjà saturé le marché et où le public s’émerveille alors sur les courbes anguleuses des jeux en 3D près à envahir les foyers… Rayman pourra donc puiser dans des mécaniques de jeux bien rôdées depuis des années par Mario, Sonic, Donkey Kong, Bubsy et tous les autres et surtout se permettre les plus beaux graphismes pour ce genre de jeux vu jusque là. Les animations de Rayman sont également incroyables, et ce grâçe aux choix faits sur le personnage de Rayman, sans bras ni jambe, pouvant ainsi être animé très simplement en utilisant des sprites pour les mains et pour les pieds. Un concept d’ailleurs qui ne manquera pas mon frère et moi de nous secouer, puisque notre petit projet de jeux vidéo d’ado : Bilou’s Adventure était également basé depuis de nombreuses années sur un personnage aux même spécificités morphologiques.

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