J’ai bien moins joué en 2019. C’est un constat sans appel et ce malgré l’achat il y a quelques mois de la dernière console Nintendo afin de pouvoir plonger dans Link’s Awakening, le remake du Legend of Zelda sorti il y a 25 ans sur la Game Boy. Oui, en 2019, mon quotidien est probablement devenu trop sérieux. Trop sérieux en tout cas que pour me lancer dans ce que le monde appel maintenant un « Triple AAA », ces gros jeux développés avec des moyens pharaoniques, qui se vendent par million et qui impliquent d’utiliser ses 4 mains pour dompter la manette !
C’est définitif, je ne suis plus ce genre de joueurs, et d’ailleurs rares sont les jeux de ce genre qui parviennent à me distraire. En contre partie, aux cotés des jeux joués avec les enfants, cela reste évidemment le rétrogaming qui garde une place importante dans mes petits moments de détente avec cette année, la console NES de Nintendo et le Commodore 64 à l’honneur !
Avec les Enfants
Jouer est devenu encore plus cette année un moment partagé avec les enfants plus qu’avec madame, comme c’était le cas depuis de nombreuses années. Tous les 4 ont donc suivi une bonne partie de ma progression dans le dernier Zelda tout en y jouant également sur une partie propre, mais ils n’ont pas encore pour l’instant l’autorisation de chiper seul « ma » console.
« Crash » et son relifting de Crash Racing Team, a eu un certain succès, surtout chez Alice et Juliette. De fait, cette année nous n’avons pas joué à Mario Kart sur la WiiU. S’il faut faire avec nos, juste, 2 manettes de la Playstation 4, des parties à quatre ont quand même régulièrement été organisées quand les amis amènent leurs manettes. Ce remake de CTR n’a pas fédéré les anciens comme je l’imaginais, mais les enfants eux l’apprécient grandement avec toutes ces options de customisations et de nouveaux accessoires qu’ils débloquent petit à petit ! Lors des dernières vacances, les filles ont d’ailleurs pu découvrir que de nouveaux circuits avaient été ajoutés, dont un circuit « Noël ! »
CTR – PS4, première course
Je me rappelle des parties folles de CTR avec madame d’il y a 19 ans !! Je découvrais avec elle tout l’univers des jeux Sony : Spyro, Crash, Croc, Medievil… mais clairement les courses endiablées de l’univers de Crash Bandicoot étaient vraiment impressionnantes, fluides, colorées, funs, cooools. (A lire : Crash Bandicoot fait le plein de Nitro)
Just Dance 2017 – WiiU
Aux côtés de ces deux incontournables, la WiiU n’a pas encore tiré sa révérence. Minecraft reste le jeu le plus joué par les enfants, au point que le stick gauche du GamePad aura probablement besoin d’une réparation cette année. Just Dance, qui a fait son entrée aura également mis l’ambiance lors de nombreuses soirées !
The Legend of Zelda : Link’s Awakening (Switch) – Crash Team Racing (PS4) – Monument Valley (Android/iOS) – Just Dance 2017 (WiiU) – Sonic Mania (PS4) – LEGO Harry Potter (PS4) – Puyo Puyo Tetris (PS4)
Puyo Puyo Tetris (PS4)
Puyo Puyo Tetris – PS4 (Sega – Sonic Team, 2017)
Un croisement entre l’incontournable Tetris et la série Puyo Puyo. Difficile à prévoir, je vous l’accorde. Et pourtant voilà qui offre autant de fun à ce genre de battle puzzle qui avait fait les beaux jours il y a 20 ans avec Disney Magic et autres Bust a Move. Pour peu de disposer de 4 manettes, il est même possible de jouer à quatre sur le même écran !
Depuis un peu plus de 10 ans, je tente de tenir à jour mon TOP 50 de jeux-vidéo intergénérationnel. Ce dernier est évidemment plus que subjectif et n’y figure pas spécialement les « meilleurs jeux », mais plutôt ceux qui m’ont marqué à une époque donnée et le sentiment magique, difficile à décrire parfois qu’il m’inspire encore aujourd’hui. Dès lors, aujourd’hui, pour qu’un titre s’y glisse, il lui faudra me faire un sacrée effet « Waouw ». Ces 5 dernières années, x titres s’y sont donc distingués : le reboot de Tomb Raider (10°), Horizon Zero Dawn (17°), Final Fantasy XV (35°), Beyond two Souls (36°), Monument Valley (38°) et Detroit : Become human (50°).
Tenant longtemps, la 1° position, la série Résident Evil, menée par le 4° opus auquel j’avais joué sur Game Cube en 2005 a fini par se faire détrôner par l’inoubliable Final Fantasy X. C’est ici la vague de nostalgie et les diverses ré-éditions qui ont eu un impact. Ces dernières années, les nouveaux épisodes du survival horror de Capcom n’ont plus réussi à me faire frissonner et les ré-éditions ne m’ont pas permis de retrouver le plaisir ressenti à l’époque. Peut-être le visiblement très réussi reboot de Résident Evil 2 aurait-il pu changer la donne, mais je n’ai pas eu le courage de m’y mettre.
A coté de cela, il y a déjà quelques années maintenant, nous avions replongé un temps dans le remaster HD de Final Fantasy X sur Playstation 3 avec de belles heures de plaisir à revivre l’aventure de Tidus et Yuna qui nous avait transporté par le passé madame et moi et ce malgré, un remaster HD assez sommaire.
Dès lors, je m’étais imaginé revivre le même genre de sensation à tentant de nous replonger dans Final Fantasy XII avec la version Zodiac Age ré-éditiée sur PS4 l’année dernière.
Je me rappelle des parties folles de CTR avec madame d’il y a 19 ans !! Je découvrais avec elle tout l’univers des jeux Sony : Spyro, Crash, Croc, Medievil… mais clairement les courses endiablées de l’univers de Crash Bandicoot étaient vraiment impressionnantes, fluides, colorées, funs, cooools.
CTR – Playstation (Sony – Naughty Dogs, 1999)
Playstation et l’équipe de Naughty Dogs avaient réussi là où les magasines présentant Mario Kart 64 n’avaient jamais su me faire rêver pour un sous. Avec CTR, j’oubliais les après-midi chez mon ami Julien à attendre de pouvoir enfin jouer à Super Mario Kart sur sa Super Nintendo.
En ce début de millénaire, le succès de CTR allait faire fleurir de nombreux autres titres du genre à la ludothèque Playstation, jamais aussi géniaux, mais malgré tout amusants : Disney Magical Tour, Speed Freaks, Chocobo Racers ou encore Looney Tunes Racing… Etrangement, le passage à l’ère Playstation 2 et suivante ne laissera aucun prététendant sérieux aux Mario Kart Double Dash, Mario Kart Wii et Mario Kart 8.
Mario Kart 64 – Nintendo 64 (Nintendo, 1997)
A ce jour, j’ai eu l’occasion de faire le tour de Mario Kart 8 sur ma WiiU. Seul, à deux, entre ami, avec les enfants… et c’est donc avec grand enthousiasme que j’avais appris le remastering important mis en place par Activision. Un remastering qui esthétiquement serait du même niveau que la trilogie Crash Bandicoot sortie il y a 3 ans et celle de Spyro l’année dernière. L’idée de revivre quelques belles batailles sur la piste entre Crash et Crashette (oui en principe c’est Coco) pour les vacances était excitante !
Je suis depuis plusieurs mois la sortie de ce nouveau remaster d’un des épisodes de la série Final Fantasy. Après avoir pris plaisir à revivre l’épisode FFX, mon préféré en remaster HD sur la PS3, c’est autour de FFXII de débarquer sur PS4. A sa sortie en 2007, j’avais acheté une nouvelle Playstation 2 plutôt que la nouvelle PS3… rien que pour ce nouveau Final Fantasy XII.
Il tranchait grandement avec les précédent et j’avais moyennement accroché… Pourtant, avec les années, j’ai gardé des souvenirs très précis de cette aventure et des lieux visités ! Il semble que son relifting HD sur PS4 soit une belle réussite…. Comme on peut le découvrir dans le test de Press-Start.
Se déroulant dans le monde envoûtant d’Ivalice (à l’instar des Final Fantasy Tactics et d’une perle de Squaresoft sur PS1, Vagrant Story), Final Fantasy XII nous narre le conflit opposant les empires de Rozarria et Archadia en nous faisant adopter le point de vue de Vaan, un jeune voleur venant de Dalmasca. Dalmasca, c’est un petit royaume récemment annexé par l’empire d’Archadia lors de la guerre, une bataille au cours de laquelle la princesse héritière perd la vie. De fil en aiguille, alors qu’il ne rêve que de devenir Pirate du Ciel et de partir à l’aventure, Vaan va se retrouver enrôlé dans la rébellion contre l’Empire, un mouvement résistant mené par… Si vous n’avez pas joué à FFXII, je vous en laisse la surprise, mais ce rapide pitch doit sans doute vous rappeler quelque chose non ? Un gamin qui ne rêve que de quitter la dure vie qu’il mène actuellement pour s’envoler, un puissant Empire, une Rébellion ? Final Fantasy a toujours baigné dans l’influence de Star Wars, ne serait-ce que par la présence récurrente de personnages nommés Biggs et Wedge, mais avec ce douzième opus Square Enix nous offre une véritable déclaration d’amour à l’univers de Georges Lucas : il n’y a qu’à voir la scène d’introduction pour s’en rendre compte ! (Un test à lire sur Press-Start)
Ce n’est quoi qu’il en soit pas une aventure dans laquelle je me replongerais seul et pour l’heure, madame est toujours accroc à Horizon Zero Dawn et pour ma part, j’ai encore Uncharted 4 que j’aimerais démarré depuis… 1 an !
Wouw, quand j’y pense, voilà un petit plus de 10 ans que nous jouions madame et moi à Final Fantasy XII sur Playstation 2, le dernier épisode de la série auquel nous avions accroché. Il y eu entre temps divers épisodes autour de Final Fantasy XIII que nous avions longuement attendu sur la 3° génération de console Sony, mais dont l’univers froid et le mode de gameplay nous avait assez vite rebuté.
Or donc voilà déjà un sacré moment que le nouveau Final Fantasy fait parler de lui, puisque ce dernier est en production depuis près de 10 ans. Assez vite, je me suis dit que Final Fantasy XV serait un argument pour me pousser à acheter une PS4, mais dans le monde réel, serions-nous motivés à nous lancer dans une aventure d’une telle envergure, dans un monde dit « ouvert » ?
Final Fantasy X – A dos de Chocobo
Début mars, nous prenions place aux cotés du jeune prince Noctis et sa « bande de pote » dans un Roadtrip assez étonnant dans un monde qui mélange habilement les ingrédient « Fantasy » de la licence avec des références à notre monde moderne tel que les Smartphone ou tout simplement des voitures ! Si pour beaucoup de joueurs assidus, Final Fantasy XV a plus repris les bonnes idées de la concurrence qu’innover, pour le joueur que je suis devenu, Final Fantasy XV est une agréable surprise.
Final Fantasy XV – Le monde d’Eos assemblé par NurboyXVI
Le vagabondage à pied ou à dos de Chocobo dans les vastes étendues du royaume offre vraiment l’impression de s’évader. L’environnement n’est pas trop vide, mais j’ai petit à petit l’impression malgré tout qu’il manque un peu de diversité face à d’autres précédents épisodes… Il faut dire qu’au bout de 3 mois de jeux, nous avons sommes restés cantonnés dans la région de Lucis et son caractère très « American Road » durant les 9 premiers chapitres du jeu avant d’embarquer pour la ville Altissia…
Les scénarios de la série Final Fantasy sont souvent alambiqués. le précédent épisodes avaient de quoi perdre le joueur… et dans ce nouvel épisode, il faut admettre que l’histoire commence de manière très rapide, prenant le parti que le joueur aura vu le film d’animation « Kingslaive » qui pose les bases du monde d’Eos, une bonne idée d’univers Cross-Media qu’il faudrait tout de même que je visionne, mais quoi qu’il en soit, il n’est pas obligatoire pour accrocher à l’hisoitre. Il faut dire que la système narratif de Final Fantasy XV est fantastique ! Les 4 personnages principaux sont en permanence entrain de se parler et de raconter des choses. Je dois bien admettre que ce point, qui est pour moi totalement novateur donne l’impression d’être permanence plongé dans un film. Si quelques répliques tendent à ressortir régulièrement « Avec Noctis, c’est presque des vacances ! » Les séquences récurrentes sont suffisamment variées que pour ne pas donner l’impression d’être redondante et surtout sont ponctuées de très nombreuses phases de dialogues en cours de voyage qui permettent de mieux connaitre les personnages, leur mission, leur rôle, leurs pensées,… Un véritable Road Trip !
Final Fantasy XV, bagare de homard
Final Fantasy XV, mon ami Chocobo
Final Fantasy XV - Chasse au monstre Duscae
Final Fantasy XV - Balade dans les bois
Final Fantasy XV - Arrivée à Galdwin Quay
Final Fantasy XV - La bande de pots autour de la Regalia