Début 2000, je découvrais avec intérêt le monde d’Internet et tout particulièrement le site F1-Live.com ! Grâce cette incroyable avancée, plus besoin de chiper le journal du paternel afin de découper les articles dédiées à la F1. Inutile d’attendre les infos de moins en moins à la page des magasines spécialisés hebdomadaires. Des nouvelles de toutes mes stars du petite monde de la F1, je peux en avoir à chaque fois que je me rends au CyberCafé chez Wan !
Devenu, il y a quelques années ESPNF1, le site francophone tire sa révérence sans autre forme de procès, tout comme Marussia et Caterham, F1-Live/ESPNEF1 rentre définitivement au stand : (
L’occasion de ressortir quelques souvenirs de l’époque pré-internet avant l’ouverture de ma 21° saison complète de F1 ?
L’heure de rentrer au stand,… c’était donc cela !
Début 2000, je découvrais avec intérêt le monde d’Internet et tout particulièrement le site F1-Live.com ! Grâce cette incroyable avancée, plus besoin de chiper le journal du paternel afin de découper les articles dédiées à la F1. Inutile d’attendre les infos de moins en moins à la page des magasines spécialisés hebdomadaires. Des nouvelles de toutes mes stars du petite monde de la F1, je peux en avoir à chaque fois que je me rends au CyberCafé chez Wan !
Devenu, il y a quelques années ESPNF1, le site francophone tire sa révérence sans autre forme de procès, tout comme Marussia et Caterham, F1-Live/ESPNEF1 rentre définitivement au stand : (
Série : Soda
Auteurs : Warnant – Tome – Gazzotti – Dan
Editions : Dupuis (1987)
Albums : 1-13 (14)
La collection d’album de Soda
J’ai découvert la série Soda vers 14-15 ans. Mi Flic, Mi Pasteur, ses aventures font partie de mon passage de l’enfance à l’adolescence et l’envie de suivre des histoires plus matures, avec une action soutenue, quelques tabous,… En 1997, je me suis même acheté d’occasion l’intégrale des numéros sortis à l’époque en entrant à l’IAD, c’était avant de connaitre Thorgal et Largo Winch qui allaient petit à petit prendre le pli sur la série Soda.
A partir du tome 10, j’ai commencé à sentir un essoufflement, au point qu’à lecture du tome 12, en 2005, je m’étais dit que j’allais arrêter…
Soda, tome 13 – Résurrection
C’est avec surprise que j’ai constaté la semaine dernière, à la sortie du tome 13, qu’il n’y avait plus eu de nouvel album depuis lors. Soda tentait donc une résurrection, toujours sous la plume de Tome, mais cette fois dessiné par Dan. Un nouveau dessinateur qui reste à 100% dans le style. L’histoire s’est montré beaucoup plus agréable, actualisée, certes sans surprise !
On parle de machination de l’après 11 septembre, d’attentat terroriste et de drone de surveillance, des sujets régulièrement utilisés dans les séries et films ces dernières années, mais des sujets qui donnent à notre pasteur Solomon une petite vague de fraicheur. Les nouveaux lecteurs pourront d’ailleurs apprécier une volonté de nous replonger calmement dans l’ambiance, prenant le temps de remettre en avant, la particularité de notre flic nerveux, qui se fait passer pour pasteur au près de sa veille maman chez qui il vit toujours.
Enfin, point extrêmement intéressant, l’ouvrage se termine par quelques notes de Tome. Il y explique pourquoi Soda a disparu si longtemps. Fortement affecté par le drame du 11 septembre. Il a longtemps chercher comment Soda allait pouvoir vivre dans ce nouveau New York. Les situations un peu folles qu’avaient vécues DAvid SOlomon, était devenues presque réels. Une prise de recul qui fut longue et qui donne plus d’intérêt encore à ce nouvel album !
Halloween, halloween, cette étrange fête dont personne ici ne parlait encore il y a 15 ans. Je n’oublierais d’ailleurs jamais la fascination que j’avais lorsque mon ami Len Sapp, venu de l’autre côté de l’océan, nous avait raconté comment se vit Halloween aux États-Unis, c’était en 1996 et je n’en avais jamais entendu parler à l’époque ! Il est bien certain qu’ici en Belgique, la fête d’Halloween ne repose pas vraiment sur des traditions, mais plus sur des arguments mercantiles, cependant, devenu parent, je lui trouve certains points positifs.
Tout d’abord, les enfants adorent se déguiser, et c’est une occasion pour le faire, voir d’inclure plus qu’à Carnaval, papa et maman dans la fête et les décorations. Si par le passé je trouvais énervant les enfants qui viennent chercher des bonbons à la porte… lorsque le quartier est un peu plus vivant, c’est assez différent, comme ce fut le cas près d’Anthisnes l’année dernière.
Autres éléments qui me semble importants, démystifier auprès des enfants toute une série de peurs ! Fin septembre, Charly s’est fait un blocage sur les Loups Garou ! Je pense qu’une fille un peu plus grande à l’école, lui a raconté qu’elle était moitié fille et moitié loup-garou et que la nuit elle venait le voir dans sa chambre… Depuis, il doit mal et s’inquiète beaucoup la nuit. De ce fait, j’ai décidé de le déguiser en loup-garou pour Halloween, lui expliquer ainsi que, cela n’existe pas vraiment, mais que c’est amusant de faire croire que cela existe, de jouer un peu à se faire peur, mais qu’il faut à moment de donner faire la part de choses… Le résultat fut assez efficace, même si pour les nuits, d’autres éléments sont encore à travailler, puisque monsieur s’est promené régulièrement dans la maison ces dernières nuits…
Sans avoir vraiment préparé le projet, j’ai lancé l’idée à madame de décorer notre nouveau studio photo aux couleurs d’Halloween pour une ou deux journées de shooting thématique. L’occasion également de tenter une première expérience avec l’artiste spécialisée en grimage Grimlinn rencontrée quelques jours plus tôt. Le résultat des préparatifs fut très positif ! Les enfants ont adoré la séance dans le studio Petite Snorkys et tous les trois se sont montrés coopératifs pour leur maquillage ! Je vous laisse donc quelques souvenirs de la journée, et qui sait peut-être serez vous là pour le shooting spécial halloween, il reste encore des places pour le lundi 27 au prix promo de 65€.
The Legend of Zelda : Link’s Awakening – GameBoy (Nintendo, 1993)
Il y a bientôt vingt ans, je découvrais pour la première fois les aventures de Link avec Legend of Zelda sur la Nintendo GameBoy de mon ami Alain. Ce n’était certes pas le premier épisode de la série, mais c’était pour moi une première rencontre, et même le premier jeu d’aventure que j’allais découvrir. L’épisode GameBoy était magnifique, probablement l’un des plus beaux jeux sur cette console, avec une ambiance toute particulière que je n’ai d’ailleurs jamais plus retrouvée dans les autres aventures de la série… Pour moi qui avait alors 16 ans, toutes ces mécaniques de jeux étaient nouvelles. Se promener dans les villages, la forêt, discuter avec les personnages comme j’avais à le faire dans un Monkey Island pour résoudre des énigmes… tout en devant trouver une épée pour combattre les ennemis, une plume pour sauter au dessus des trous, un gant pour porter des cailloux bloquant le chemin, un coquillage pour une petite sirène,… Legend of Zelda arrivait à mélanger tous les styles de jeux que je connaissais jusque là, de l’action, de la réflexion (avec des énigmes dignes du pousseur de caisse de Sokoban), de la recherche d’objet, de l’amélioration de pouvoir, une histoire enivrante et des personnages attachants.
Au printemps dernier, Nintendo annonçait un tout nouvel épisode des aventures de Link développé sur la console portable 3DS. Abandonnant le concept graphique des épisodes précédent Phantom Hourglass que je ne trouvais pas vraiment sympathique, le style ce veut être en hommage aux épisodes du début des années 90, plus spécialement l’épisode sur Super Nintendo : A Link to the past qui fut développé en parallèle de la version GameBoy.
The Legend of Zelda : Link between worlds – 3DS (Nintendo, 2013)
Bref, en début de semaine, j’allais pouvoir trouver un petit 1/4 d’heure pour enfin déballer Legend of Zelda – A link beetween worlds, la suite spirituelle de l’épisode Super Nintendo de 1992. Comme à mon habitude, j’avais essayé de ne pas trop suivre les actus sur le jeu, histoire de me réserver le plaisir de découvrir, d’ailleurs c’était même un peu surpris que j’avais vu qu’il sortait le 22 novembre, à un prix très compétitif de 32€ sur Amazon ! En quelques secondes, j’étais déjà sous le charme.
« Aufait Pitu, c’est quoi une sauvegarde ? Je suis petit, alors je ne sais pas ce que c’est… »
Rien que par cette petite phrase, je faisais un bon de vingt en arrière… pour me retrouver sur Cocolint, l’île où se déroule les aventures de Links sur GameBoy, où les petits enfants que je pouvais y rencontrer me donnaient des brides d’infos sur les commandes de base avec des expressions bien similaires. Le style graphiques des épisodes SNES et Gameboy étant très similaire, avec ou sans couleur, je replonge vraiment dans les moments magiques où je me calais dans mon lit à jouer à jouer tout l’après-midi à Zelda, jusqu’à ce que mes piles commencent à fléchir…. Mais bon, un petit coup de « girouette » pour sauvegarder, car j’ai des montages vidéos à finir !
Oui, difficile de coupler jeux-vidéo, enfants et boulots, boulots… quoi qu’il en soit, j’ai tout même pu me trouver d’autres petits moments détentes pendant la semaine… le temps de visiter le cimetière et constater que pour un début, les énigmes impliques déjà un peu de réflexion pour une personne ne connaissant pas du tout les mécaniques de Zelda… et de la logique sans s’encombrer d’un tutoriel pour les habitués… Je dois avoir grosso modo 40 minutes de jeux pour l’instant, et j’ai visité la carte d’est en ouest. J’ai déjà dû jongler entre épée, arc à flèche, soulever des cailloux, allumer des torches et me protéger avec mon bouclier. Difficile de comparer avec A Link to the past sur Super Nintendo, je n’ai jamais été très bon à cet épisode, mais comparativement à l’aventure GameBoy, il faut déjà pas mal jongler entre le A,B,Y et R.
Alors à vous dire également, je trouve la 3D vraiment bien utilisée. Elle donne vraiment un effet de profondeur réussi, lorsque l’on soulève des objets, lorsque les ennemis sautent par dessus notre petit héros. En contrepartie, Link n’a pas encore eu recours au fameux pouvoir de se transformer en peinture… ce qui est pour l’instant ma plus grande crainte quand aux modifications du gameplay que cela pourrait apporter.
Bon, vivement la prochaine session ! … et j’espère que j’arriverais à y donner goût à madame.
Depuis longtemps, les ordinateurs ont pris beaucoup de place dans ma vie… il faut bien l’admettre… cela a commencé avec un Commodore 64 arrivé en 1983 à la maison et est resté ensuite dans ma chambre jusqu’en 1995-96. Entre temps, un premier PC est arrivé à la maison, d’abord un 8088, que j’ai peu utilisé, puis en 1992 un puissant 80386 DX 40mhz avec 1mb de mémoire et une carte Hercule 2 couleurs… ainsi qu’un disque dur de 20mo. Pas de lecteur 3’1/2, juste un lecteur 5’1/4… Pour l’époque, il s’agissait d’une jolie bombe bridée pour ne pas que nous jouions avec… Mes amis avaient bien souvent un 80286, mais disposait par contre d’une carte son, d’un écran 256 couleurs et d’un lecteur 3’1/2… mais pas de disque dur, ou un bien plus petit… Mais en 1994 couleurs et son apparaitront, grâce au finance du petit frère… afin de faire progresser le développement de nos jeux Bilou et Calimero…
1993-1996
PC 386 DX 40
Processeur : 80386 DX 40mhz
Mémoire : 1mo
Disque dur : 20mo
Lecteur : 5'1/4 -> 3'1/2
Carte graphique : Hercules 2 couleurs -> Trident VGA 256 couleurs
Ecran : monocrhome -> VGA 14'
Carte Son : PC Speaker -> Master Boomer -> Sound Galaxy Pro 2
OS : MS-DOS / Windows 3.11
Magasin : CHG
Musique : Scream Tracker III
Image : Delux Paint
Vidéo : /
Jeux : Grand Prix Circuit, Keen Commander, Moktar, Formula One Grand Prix, Prehistorik 2, Monkey Island, Day of the Tentacle, Game Maker