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Tag: Super Mario Land

XmasGift for a Geek, version 2023

XmasGift for a Geek, version 2023

Oui, je suis Père Noël, je suis en retard, encore en retard ! Mais bon, j’avais pris l’habitude que tu aies toujours de bonnes idées, que tu suives mon Pinterest, et mes bons plans…. j’ai donc commencé à dépoussiérer la liste de l’année dernière… Je n’ai pas vraiment réfléchi à de grandes nouvelles idées, mais malgré tout, j’ai vu quelques geekeries sympathiques, si des fois tu en avais besoin…

La magie d’Harry Potter

Vous avez eu l’occasion de le lire il y a peu, le monde magique de Harry Potter continue de m’émerveiller et j’ai été plus que comblé avec la sortie du jeu L’Héritage de Poudlard sur la PlayStation 5. Je ne suis pas spécialement attiré par tous les gadgets, baguettes et pulls, mais je dois bien admettre que pour l’avoir pris en main, je trouve le Guide Officielle du jeu assez instructif et réussi. Il offre une belle manière de poursuivre l’aventure sans allumer la console, tout en offrant une série d’informations intéressantes pour avancer dans le vaste univers du jeu. Ce n’est pourtant pas en général le genre d’ouvrage vidéoludique sur lequel je m’attarde.

On retrouve régulièrement des nouveaux sets LEGO dédiés à l’Univers d’Harry Potter. Je ne les trouve pas toujours fantastique,  mais la version « Mini » du chateau de Poudlard, remplie de petits secrets sort du lot. Je m’amuserais très certainement à la construire… en revanche, je ne sais pas trop où je pourrais ensuite l’exposer !

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Les secondes aventures d’Astérix sur la Game Boy

Les secondes aventures d’Astérix sur la Game Boy

C’était il y a déjà 10 ans, alors que je commençais à agrandir ma collection de jeux rétro et tout particulièrement sur Game Boy, je reçois un appel du fin fond du Condroz d’une famille qui a retrouvé une veille Game Boy et quelques jeux. Depuis lors, j’avais un peu boudé la cartouche d’Astérix & Obélix que j’avais ramené ce jour là dans ma petite collection.

Sorti plus tardivement en 1995, le second épisode d’Astérix, cette fois accompagné d’Obélix n’avait donc jamais jusqu’ici eu l’occasion de passer entre mes doigts.

Les premières aventures du héros de bande dessin gaulois s’étaient montrées plutôt réussies sur Game Boy, parvenant à se faire une place entre les dernières nouveautés de l’époque : Super Mario Land 2, Kirby’s Dreamland et Legend of Zelda : Link’s Awakening.

Le gameplay classique du jeu de plateforme était porté par des graphismes dans le ton de la BD à la sauce « Super Mario » et des musiques particulièrement réussies signées José Gonzalez Pedraza. Il faudra rester précis dans ces mouvements, car le baffes à remettre aux romains et autres sangliers demandent d’être bien positionné.

Asterix - GB (Infogrames - New Frontier, 1993)
Les premières aventures d’Astérix sur Game Boy avaient un petit goût de Super Mario !

2 années plus tard, Infogrames ne change en rien la recette. Dès le début de l’aventure le joueur pourra cette fois choisir entre Astérix et Obélix. A l’écran le jeu se montre toujours fluide et visuellement encore plus sympathique avec des graphismes détaillés pour une petite console 8 bits monochrome. Cela n’empêchant de garder une très bonne lisibilité et de l’action !

Nos héros vont devoir sillonner l’Europe afin de rejoindre César, s’inspirant de donc de quelques albums emblématiques, l’histoire commencera d’ailleurs en Grande Bretagne.

Aujourd’hui, malgré les qualités indéniables de cette épisode, j’ai bien du mal à le trouver plus intéressant que celui auquel j’ai joué tant de fois étant jeune. Les musiques me semblent bien moins inspirées et ne me restent pas en tête. On sent pourtant que José Gonzalez, toujours aux commandes à chercher à offrir un coté musicale d’époque.

Les niveaux, pourtant plus jolis, sont parfois frustrant à parcourir. Avec des pièges vaches et énervants et des baffes qui se perdent… On sent pourtant que les décors sont beaucoup plus ambitieux que le premier épisode sans pour autant perdre en lisibilité, un peu particulièrement important sur la Game Boy.

 

Si j’aurais eu tendance à lui donner un 6/10 pour le plaisir de jeu, je me dois de redresser ma note, pour ses nombreuses bonnes intentions et soin apporté à Astérix & Obélix qui ont dû ravir un bon nombre de jeunes joueurs à sa sortie.

La Game Boy débarque enfin sur Nintendo Switch

La Game Boy débarque enfin sur Nintendo Switch

Enfin, après plus d’un an de spéculation, la Game Boy et la Game Boy Advance débarque enfin sur Nintendo Switch !

Un temps envisagée comme « Console-Mini » à l’instar de la MiniNES et MiniSNES, la possibilité de retrouver les perles vidéoludique des portables de Nintendo de manière officielle se sont fait attendre. C’est avec une certaine frustration d’ailleurs que le catalogue rétro de l’abonnement Nintendo Online n’a que peut évoluer l’année dernière, ajoutant quelques maigres nouveautés aux titres NES et Super Nintendo. Big N lançait à ces côtés une version « premium » dites « Pack Additionnel » qui permettait d’accéder à une série de titre de la ludothèque Nintendo 64 et … SEGA Megadrive !

Il aura donc dû attendre jusqu’à ce mois de février pour voir enfin arriver la possibilité de rejouer Kirby’s Dreamland, Link’s Awakening DX ou encore Mario & Luigi : Super Saga. Mais gardez à l’esprit que le catalogue Game Boy Advance ne sera accessible qu’aux abonnés qui auront souscrits au Pack Additionnel !

Même si je dispose d’une grande partie des titres maintenant accessible sur leur support originale, je trouve bien agréable de retrouver ceux-ci sur ma console ! Mon seul regret ! Impossible d’y jouer en vacances lorsque je n’ai pas accès une connexion internet pour valider mon abonnement : (

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Super Vision et Game Master

Super Vision et Game Master

Petit détour au début des années 90. Je suis certain que vous vous souvenez tous de la Game Boy de Nintendo, la première console de jeu portable à cartouches interchangeables qui aura marqué les joueurs, même si d’autres s’y étaient déjà tentés bien avant. Nintendo avait réussi un véritable coup de génie avec cette dernière alors que, comme le raconte magistralement Florent Gorges dans son 4° tome de l’histoire de Nintendo, le chemin fut semé d’embûches ! Aujourd’hui, qui n’a pas joué à la Game Boy ? Tetris, Super Mario Land, Ducktales, Legend of Zelda, Pokemon, Astérix,…

On a tous joué à la Game Boy !
On a tous joué à la Game Boy !

Peut-être vous souvenez-vous également de sa rivale, la Game Gear de SEGA. Très proche des performances de la console de salon 8bits, la Master System, elle se démarquait essentiellement par un écran couleur et une grande consommation de piles ! Mais elle n’était pas pionnière du genre non plus, la Lynx d’Atari également proposait une expérience nomade en couleur, même si cette dernière a trouvé assez peu de joueurs de ce côté de l’Atlantique.

La Game Gear fête ses 30 ans !
La Game Gear fête ses 30 ans !

Non, aujourd’hui je voudrais vous parler la console portable asiatique, la Super Vision fabriqué par Watara. Déclinée en deux version, le modèle qui débarque en Asie et Europe en 1992 n’a pas cherché à se démarquer de la Game Boy de Nintendo. Les formes en sont très proches, seule la croix directionnelle, brevet de Nintendo manque à l’appelle et la Super Vision s’annonce même équipée d’un écran LCD de grande taille face à sa rivale !

Soyons clairs, la Super Vision ne se veut pas être une copie chinoise mais bien une console concurrente qui sera moins cher (un peu moins que la moitié du prix) et proposera également de nombreuses cartouches de jeux à prix moins élevés que la concurrence !

Arrivée sur le marché européen début 1992 avec une dizaine de jeux dont Crystball, un casse-brique dans lignée de Break Out vendu avec la console, la Super Vision annonce la disponibilité d’un catalogue de 50 jeux d’ici la fin de l’année afin de pouvoir vraiment se positionner comme outsider ! C’est que Watara n’en est pas à son premier essai.  L’entreprise basée à Honk Kong aurait plus que probablement fabriqué la console Game Master, une autre console un peu cheap, (et même plus qu’un peu) qui sera distribuée en 1990 par d’autres marques tels que Hartung en Allemagne ou Vidéojet en France. (sources lues sur Gamopat)

Voilà plusieurs années que je suis à la recherche de cette Game Boy qui n’en est pas une ! Ce n’est pas pour la qualité ou l’originalité de ces jeux, ni même pour sa singularité dans ma collection mais tout simplement parce qu’elle me rappelle le souvenir de mon ami d’enfance, Xavier Strivay, bien trop tôt disparu !

Retour donc entre 1992 et 1993, tous les enfants mon âge ont une Game Boy. Au moins, une Game Boy, diable qui n’a pas eu de Game Boy à cette époque, je vous le demande ? Oui, pourtant chez nous pas de Game Boy à la maison. Pas encore, le forcing arrivera plus tard, mais je n’en suis pas frustré à l’époque. Tous mes copains en ont une, qui plus est avec une nombre de cartouches grandissantes. Si j’ai donc le loisir d’y jouer très souvent chez eux, j’ai même la grande chance que l’un ou l’autre me la prêtent pour quelques semaines !!!

Chez mon ami Xavier, qui a alors une douzaine d’années, débarqua un jour, cadeau de son parrain si mes souvenirs sont exactes, une autre console portable ! Cela restera pour moi, un souvenir trop vague. Elle ressemblait à une Game Gear, ou peut-être pas. Etait-ce la forme ou la couleur ? Il y avait un casse brique, un clone de Tetris et surtout, un petit jeu de char auquel nous avons beaucoup joué tous les deux. Voilà les souvenirs qu’il me reste de ce qui étaient nos premières après-midi. Si j’ai donc d’abord pensé à la Game Master, pour sa forme similaire à la portable de SEGA, la ludothèque me confirmera plus tard qu’il s’agissait plutôt de la Super Vision !

Super Vision et Game Master ayant aujourd’hui rejoint mon petit musée, je me suis attaqué en début d’année à (re)découvrir Hero Kid, l’un des titres de la portable de Watara qui tentait donc alors de se faire une petite place entre la Game Boy de Nintendo et la Game Gear de SEGA. En souhaitait proposer rapidement une 50aine de jeux sur le marché, l’originalité des jeux proposés étaient assez simples, tentant de singer les premiers titres disponnibles au Japon sur la Game Boy. Si la plupart sont développés directement par Watara, le studio anglais B.I.T.S déjà impliqué dans le développement de jeux Game Boy, proposera quelques titres parfois signés sous d’autres pseudonyme !

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Hommage à la NES de Nintendo

Hommage à la NES de Nintendo

La NES de Nintendo fêtera cette année ses 35 ans. Le système initiale conçu par Nintendo arrive sur le marché japonais en 1983 sous le nom de Famicom avec une console qui visuellement ne ressemble en rien à la console NES, Nintendo Entertainment System… ou tout simplement dans nos contrée, la Nintendo, qui sera présentée en juin 1985 aux Etats-Unis et qui arrivera seulement chez nous durant l’automne 1987. C’est donc une belle occasion pour ressortir mon exemplaire et lui offrir un petit shooting au studio pendant que nous sommes tous confinés. J’ai pour ma part longtemps joué à cette console sur la console de démonstration de l’hyper marché où mes parents faisaient leurs courses tous les samedi. Si bien évidemment nous espérions y retrouver Super Mario Bros. puis Super Mario Bros. 3, il fallait souvent s’adapter avec le jeux sélectionnés par le responsable de rayon : Tic & Tac si l’on avait un peu moins chance ou Les Tortues Ninja, Dragon Ball ou Baloo dans son avion…

La ‘Nintendo’ a rejoint ma collection en 2012 avec quelques chouettes jeux assez classiques et je n’ai qu’assez peu eu l’occasion de lui trouver de belles pièces pour envisager un shooting plus tôt. J’ai bien récupérer une trentaine de grosses cartouches grises dont un nombre important de jeux de la première génération plus que des grands classiques, mais cet été, mon collègue Fred a retrouvé chez lui une série de jeux de son enfance dans un état impeccable ainsi qu’une série de magasine Nintendo Club d’époque, de quoi pouvoir créer une chouette ambiance autour d’une vieille télévision Phillips parfaitement adaptée à la scène.

Shooting Retrogaming - NES - Teenage Mutant Ninja Turtles

Teenage Mutant Ninja Turtles (Palcom – Konami, 1989)

Quand j’étais gamin, ce jeu m’exaspérait ! Il faut dire qu’à l’époque, ma seule option pour jouer à la NES était au rayon Maxitec ! J’espérais chaque samedis pouvoir jouer à l’incroyable Super Mario Bros. Mais marketing oblige, il fallait aussi vendre d’autres licences comme Tic & Tac, Dragon Ball ou les Tortues Ninja !

Pourtant, ce jeu que je considérais comme bien trop difficile porpose une série d’éléments de gameplay bien pensés. A l’époque, je n’avais pas imaginé qu’en appuyant sur SELECT, je pouvais à tout moment changer de tortue afin d’optimiser ma méthode de combat, puisque Donatello, Raphaello, Michelangello et Léonardo maitrisent chacun une discipline différente. Ce changement de personnage permet également gérer l’énergie restante de mes tortues… Les quelques astuces en anglais, si j’avais pu les traduire à l’époque auraient pu également m’aiguiller dans les tactiques à utiliser. Bref, j’ai donc pu apprécier à sa juste valeur ce titre assez commun de la console Nintendo dans nos contrées.

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