Les réseaux sociaux n’ont eu de cesse de me rappeler qu’hier, 26 novembre 1991, sortait l’album Dangerous de Michael Jackson !
A cette époque je commençais à écouter de plus en plus régulièrement la radio et m’ouvrir de nouveaux genre. Mais, croyez le ou non, j’ai découvert la musique de Michael Jackson avec le titre Black or White que l’on retrouve sur cet album, mais que j’écoutais sur le Maxi-CD de mon meilleur ami Vivien.
Justement, Il y a quelques mois, j’ai eu l’occasion de récupérer cet album sur Vinted, alors que les enfants avaient vu un spectacle de sosie du King of the pop en vacances !
Quelle claque cet album, un pur concentré des sons de ma jeunesse, de ma génération « fluo ». Comme on dit de nos jours, un MasterPiece !! Un style qui donnera le ton à l’album Do the Batman des Simpson autant qu’aux musiques de The Lost Vikings et Sonic the Hedgehog 3, d’étonnantes références, j’en conviens, mais qui collent à mes goûts musicaux !
Bref, un vrai plaisir et de belles découvertes à écouter dans la voiture depuis cet automne !
J’ai déjà eu l’occasion de le raconter, je ne suis pas un dévoreur de roman. Néanmoins, depuis la découverte d’Harry Potter, j’ai pris un plaisir certain à m’évader avec un bouquin entre les mains, même si je reste encore fort difficile quant au style d’écriture. Alors que nous allions tomber dans la « seconde vague » en novembre dernier, ma p’tite sœur nous avait prêté le 4° tome de la trilogie Hunger Games, fraichement débarqué en librairie.
Découvert début 2012, le premier roman de la série de Suzanne Collins avait su me donner l’élan nécessaire à apprécier autre chose que Harry Potter, en mettant en avant par ailleurs, mon intérêt pour la thématique de la dystopie. De l’ouverture des 74° Hunger Games, les jeux de la faim impliquant Peeta et Katniss tiré au sort comme candidat du district 12. La mise en avant de la pauvreté des habitants des districts et la débauche de richesse des habitants de Panem. La ludification, digne d’un grand jeu de télé-réalité où des 24 tributs, il ne restera qu’un seul survivant, et la romance entre les deux personnages principaux. Le second tome offrira son lot de rebondissements, d’alliances, avec le lancement des 75° Hunger Games aux règles inhabituelles. Et enfin, un affrontement finale, une rébellion contre le pouvoir de Panem représentée par le président Snow, dans un dernier tome que j’avais trouvé un peu moins agréables à lire, un peu trop « militaire » et stratégique.
Avec une trilogie clôturée, l’annonce d’un 4° tome était étonnante. La presse avait très vite fait savoir que celui-ci se poserait sur le personnage du Président Snow, et l’on pouvait craindre une approche « la même histoire vue d’un autre personnage », comme Stephanie Meyer l’avait amorcé afin de rentabiliser un peu plus l’univers de son roman Twilight.
Mais il n’en est rien, ce nouveau roman « La Ballade du Serpent et de l’Oiseau chanteur » se concentre sur la jeunesse de Coriolanus Snow. Sans trop spoiler, mais un peu quand même, je vous partage mon appréciation du roman.
Paf, le verdict est tombé la semaine dernière, afin de rattraper une situation sanitaire proche de devenir incontrôlable, notre gouvernement a remis notre pays en confinement, y compris ce bon vieux Saint Nicolas ! Je n’entrerais pas aujourd’hui dans un vaste débat de ce qu’il fallait ou ne pas faire, mais le fait est que les magasins de jouets et rayons de super marché ont fermé leurs portes en début de semaine venant mettre un beau désordre parmi tous les agents top secrets travaillant pour notre cher Saint Nicolas.
Et si même celui-ci parvient à réorganiser ses troupes, misant sur de formations en urgence de ces équipes d’elfes et nains se retrouvant non plus dans les ateliers mais à augmenter la taille du serveur afin de pouvoir tenir bon à l’assaut de lettres, Saint Nicolas nous le rappelle, ne succombez pas à la tentation des Robots Amazon, ne succombez pas !
Oki boss, j’ai une grosse pile de catalogues, nous sommes prêts à découper ce weekend et préparer les 4 lettres de Saint Nicolas de Charly, 11 ans, Alice & Juliette, 9 ans et Rose 5 ans. (Oui, les âges sont calculés au dessus de la virgule). On va tâcher de donner du travail, à tes équipes liégeoise des Jouets Broze à Boncelles et celle de JouéClub Nandrin sans oublier Le Long Courrier à Tilff !
Je vous invite donc dans un premier temps à découvrir vers quoi chacun aura été tenté, mais également quelques bons plans et surprises vus pendant nos phases préparatoires des anniversaires et Noël qui rythment nos derniers mois de l’année !
Voilà déjà quelques mois que j’en parle, la marque Micro Machines devait faire son retour en 2020. Les toutes, toutes petites voitures créées par Galoob à la fin des années 80 avaient poursuivi leurs aventures pendant de longues années lorsque la marque fut rachetée par Hasbro à l’approche du nouveau millénaire. Chez nous, depuis plus de 10 ans, nous ne trouvions plus que tout ce qui touche à la licence Star Wars, elle aussi entre les mains de Hasbro. Mais depuis le début de l’année dernière, Hasbro et Wicked Cool Toys avaient annoncé le retour des Micro Machines dans les magasins de jouets !
Si chez nous, il faudra probablement encore attendre la fin de l’automne pour les voir apparaitre dans les catalogues de Saint Nicolas, aux Etats Unis, la chasse aux éditions « collectors » est déjà lancée, malgré la crise du Coronavirus, puisque celle-ci sont disponibles depuis le mois de juin en exclusivité via la chaine Wallmart !
Ce matin, le facteur vient de me déposer un colis qui me tient particulièrement à coeur, que mon ami Len m’a envoyé depuis l’autre coté de l’Atlantique et j’ai donc l’incroyable chance de pouvoir découvrir en primeur à quoi ressemblent ces nouvelles Micro Machines autrement que depuis les photos qui circulent sur les groupes de passionnés.
J’ai donc ici le plaisir de pouvoir découvrir trois des quatre premiers sets qui ont été diffusés dans les magasins : Muscle Cars, Farm et Construction. Ces premiers sets proposent 3 Micro Machines. Entre temps, des sets de 5 Micro Machines ont commencé à arriver dans les rayons, ce qui correspond au nombre de voitures miniatures qui composaient ceux de notre jeunesse.
Tiens, je m’étonne de ne vous avoir jamais parlé des jouets Polly Pocket ici. Vous le savez j’ai cette petite tendance à aimer les vieux jeux vidéo et jouets. Si bien évidemment en grand garçon que je suis, Playmobil et LEGO ont bercé ma jeunesse, j’aime aussi retrouvé d’autres jouets de cette époque dont les Micro Machines et MASK, mais du côté du rayon « filles », je suis sous le charme des Polly Pocket !
Je me souviens qu’enfant, je regardais avec beaucoup d’insistance ces « bijoux Transformers » dans lequel se cachait des petits personnages dans un leur univers, à l’image des Minipouces. Certes, c’était un jouet de fille, mais je trouvais le concept très chouette de pouvoir emporter n’importe où des petits univers à jouer dans son lit, dans la voiture, chez Mamy… Mais de ces Polly Pocket, je n’aurais l’occasion que d’en prendre en main de temps à autre dans la cours de récréation.
Lors d’un brocante il y a 4 ans, nous avons eu la chance de trouver un ensemble de Polly Pocket assez bien conservé que revendaient deux jeunes filles. C’était ce genre de brocante pas bien grande, perdue dans un petit quartier pourtant bien loin de chez nous. J’étais aussi excité à découvrir tout cela qu’Alice et Juliette, une fois rentré à la maison. On pouvait donc y retrouver deux générations de Polly Pocket. La première avec des petits personnages assez simple vivant dans des médaillons ou des petits maisons dont le toit s’ouvre. Puis la seconde génération en collaboration avec Disney qui propose de magnifiques châteaux de Princesse avec Cendrillon, La Belle au Bois Dormant, La Belle et la Bête, mais également des univers autour de Winnie L’ourson, Aladdin ou encore les 101 dalmatiens.
Depuis lors, je n’ai guère une l’occasion d’en trouver de nouvelles. Ce sont souvent ces grands châteaux de l’époque Disney que je retrouve sur ma route. Mais évidemment, la taille des petits personnages rend, comme pour les Micro Machines, le chinage difficile !
Il y a deux ans, la marque Polly Pocket avait fait son retour. Créée par Chris Wiggs pour sa fille dans un poudrier en 1983, le concept devient jouet en 1989 par Bluebirds Toys, très vite distribué par Mattel qui en fera l’acquisition quelques années plus tard. Les Polly Pocket tels que je les connais seront vendues jusqu’en 2002, Mattel continuant alors à vendre des personnages plus grands sous cette marque. Après plusieurs tentatives de relancer celle-ci, en 2018, le concept de petits personnages et leur univers dans une « petites boites » sera à nouveau proposé. J’ai fini par en trouvé une en promo afin de me faire idée plus précise. Sur catalogue, on pouvait clairement constaté que les nouveaux personnages étaient plus grand, que les détails étaient moins nombreux et que les couleurs étaient un peu moins poétiques. Une fois ouvert, il faut bien admettre que le personnage est bien plus grand que le petit univers… ce dernier dans un plastique assez moyen. Les normes de construction de jouets d’aujourd’hui font qu’ils seraient impossible de vendre des jouets avec d’aussi personnages de nos jours, bien évidemment…