Zut, pas de chance, vous venez d’installer votre nouveau Mac, vous avez bien précisé au vendeur de ne surtout pas faire la mise à jour sur le tout nouvel MacOS X « Big Sur » encore trop récent, abandonnant le 32 bits et non compatible avec les version 10.4.6 de Final Cut Pro X… mais pas de chance, les mises à jour automatisées étaient activées sur la machine, le système de backup Time Machine n’a pas eu le temps de faire un premier backup du système, et vous voilà donc sur l’infâme nouvelle version de Mac OSX.
Il va donc falloir se lancer dans une procédure de « Downgrade » de Big Sur vers Catalina, la précédente version de MacOS X et vous verrez qu’Apple a rendu la procédure encore plus compliquée que précédemment… Il faudra d’ailleurs se farcir les bugs d’accès aux mode boot Repair récalcitrant de la nouvelle version de l’OS ! Quoi qu’il en soit, cet article n’a pas la volonté d’être un tuto à suivre à la lettre ou la seule solution pour régler le problème, mais un aide mémoire qui reprend toutes les moments particulièrement problématiques de la procédure.
Depuis quelques années, les smartphones de Google, la série Google Pixel avaient un petit (voire grand) cran d’avance côté photo face aux fleurons de chez Apple. Ici, nous avons donc enchainé des Google Nexus 5 et Nexus 5x au Google Pixel XL, Google Pixel 2 et Google Pixel 3a. L’année dernière, le Google Pixel 4 s’est montré plutôt discret, alors qu’Apple rattrapait son retard. Aujourd’hui, il semble interessant de pencher sur la question Google Pixel ou iPhone ?
Les deux photophones compacts sont de belles propositions. À moins d’être un fervent défenseur d’Android, l’iPhone 12 est dans la globalité un meilleur produit que le Pixel 5, mais cela s’explique facilement par la différence de prix entre les deux appareils : le Pixel 5, avec plus de stockage, est presque 300 euros moins cher, le tarif d’un bon milieu de gamme. Nous apprécions tout de même les efforts consentis par Google au niveau de l’autonomie. L’iPhone 12 lui, impressionne avec sa puce surpuissante A14 Bionic gravée en 5nm et ses capacités en vidéo. Si vous cherchez avant tout un photophone ou un appareil pour consommer du multimédia, le Pixel 5 fait très bien l’affaire pour son tarif grâce à son logiciel performant et à son écran OLED 90 Hz sans encoche. L’iPhone 12 conviendra à ceux qui cherchent la rapidité avant tout ou qui refusent de se séparer d’iOS. (Un comparatif à lire sur Phonadroid)
Tant que les performances photos des Googles Pixels étaient au dessus de la concurrence, la question ne se posaient pas. Pourquoi passer à iOS. Cependant, Google semble vouloir rester un peu en retrait et ne se montre pas aussi audacieux que les nouveaux iPhones avec son Google Pixel 5.
La bataille sur le terrain de la photo est vraiment intéressante. En effet, le Pixel 5 fait honneur à sa lignée et s’est déjà imposé comme l’une des références en la matière, mais il ne peut pas vraiment prétendre au titre de roi de la photo cette année tant la concurrence a su affiner ses armes. Et autant dire que l’iPhone 12 mini a de quoi lui opposer une belle compétition. (Un autre comparatif à lire sur Phonadroid)
Sans entrer trop dans les détails, l’iPhone 12 se présente sous 4 déclinaisons. Le Mini, le « normal », le Pro et le Pro Max. Chacun étant déjà un produit de haute qualité, les modèles pro offrant 3 objectifs photos.
Chez Google, le Pixel 5 se décline également en un Google Pixel 4a aux performances photo similaires dans une coque plus basique et ne proposant qu’un seul module photo contre 2 sur le Pixel 5.
Force est de constater que cette année, l’iPhone a pris un jeu d’avance sur Google… La question se posant alors,…
Peut-on facilement migrer d’un système Androïd vers Apple ?
Apple propose la possibilité d’importer des données depuis un téléphone Android, il faudra alors télécharger une application sur le Google Store afin de mettre ne liaison les deux smartphones.
Le résultat se montre assez peu convaincant. Le nouvel iPhone a récupérer une grande partie des photos du précédent téléphone pour les importer dans l’App Photo d’Apple. Elles semblent cependant un peu mélangée… Quid de la possibilité maintenant de pouvoir synchroniser Google Photos avec l’iPhone, les photos vont-elles resynchronisées en double dans le sens inverses ?
Les agendas Google ou Contacts ne se sont pas importé par défaut, il aura fallu finalement que je m’attarde sur l’option manuelle.
Sur le terrain.
C’est madame qui a fait le grand saut, et elle s’est finalement très rapidement adaptée à l’usage de cet iPhone. Son utilisation étant moins complexe que la mienne. Sur le terrain, c’est essentiellement côté photo que l’attente était la plus importante et de fait la qualité des photos de l’iPhone 12 pro n’ont pas déçu comparativement à nos précédents Photophones connus pour être particulièrement efficaces : les Google Pixel 2 et 3a.
L’effet de profondeur, offrant un bokeh artistique s’active de manière automatique, il est parfois plus prononcé que sur Android, mais il peut être adouci au besoin en post-pro. En extérieur, le piqué est assez réussi, et lorsque l’on réalise une photo de type Marco, l’objectif offre naturellement une belle nuance sur le sujet.
J’ajouterais petit à petit quelques photos intéressantes.
Portrait en "selfie" avec le soleil face à l'objectif.
Le bokeh I.A. d'Apple en action sur ce portrait en intérieur lumineux.
Il y a quelques mois, j’avais repéré un article qui présentait un outil de type TBi (Tableau Blanc Interactif) libre, gratuit et multiplateforme : OpenBoard. Cela fait quelques années que je n’ai plus accès à un TBi pour pouvoir tester ce dernier, mais il pouvait au moins remplacer la version « démo » d’Active/Inspire sur l’ordinateur du fiston. Cependant OpenBoard pourrait tout à fait être utilisé non pas au départ d’un TBi, mais bien via le stylet d’une tablette graphique type Wacom, permettant alors de faire des schémas et annotations en direct et pourquoi pas un screencast en faisant tourner Camtasia en arrière plan.
Open Board tournant sur une tablette Wacom ?
Le logiciel de TBI peut être lié à votr matériel, et il en existe un grand nombre… Promethean, Smartboard, Starboard, Epson… Tous ne se valent pas mais proposent peu ou prou les mêmes fonctions de base. Je vais vous proposer ici le logiciel libre StarBoard, car celui-ci a l’avantage d’être gratuit, libre, et donc distribuable et installable pour tout le monde quel que soit son matériel ! Il est téléchargeable à cette adresse : http://openboard.ch/. L’interface du logiciel est relativement simple, mais nécessite un temps d’adaptation, car c’est un logiciel spécifique. On peut le comparer à la version numérique d’un paperboard. (A lire sur Formations et Ressources Numériques)
Avec 4 enfants qui touchent aux tablettes et ordinateurs de respectivement 10, 8, 8 et 4 ans. Il est devenu primordiale pour moi de trouver une solution de gestion tant du temps que de l’utilisation qui est faites de ces « Devices » avec un suivi parentale. J’avais par le passé testé l’outil en ligne QuStodio dans sa version gratuite qui permettait une utilisation ‘light’ de ses outils sur 1 seul appareil. C’était suffisant tant qu’il n’y avait que la tablette de Charly, mais la multiplication et personnalisation des besoins et moyens a fait que j’ai donc envisagé naturellement de passer à la version payante.
Gestion du temps, surveillances des applications, blocages de site, surveillance Youtube et réseaux sociaux, le tout avec un rapport détaillé par enfants, voilà qui était séduisant venant d’un outil déjà éprouvé et dans une interface efficace. Mais malheureusement, sur le terrain, QuStodio échoue complètement dans sa tâche, tout au moins pour surveiller un Device sous iOS tel qu’un iPad.
Liste des problèmes principaux
Rapport QuStodio par mail, 1h d’utilisation et peu d’informations
Tout d’abord, les derniers changement imposé par iOS font qu’au final, QuStodio est incapable de faire un réel suivi de l’activité faites sur la tablette. Si les enfants peuvent l’utiliser 1h, j’aurais droit à l’équivalent de 7 minutes d’utilisations. Les recherches passées sur le net, quelques applications mais à peine 10% de celles qu’ils utilisent. Sur iOS, QuStodio ne peut pas surveiller Facebook, Messenger ou les recherches effectuées sur Youtube. Bref, hormis pour interdire l’accès à certains sites et recherche sur le web depuis le navigateur ou SIRI, QuStodio échoue dans la base de ce que j’attends de lui.
L’autre éléments important était de pouvoir gérer du temps d’utilisation et des horaires, et là encore, sous iOS depuis 2019, QuStodio est une vraie passoire. Toutes les applications non reconnues (soit 90% des jeux des enfants passent à travers les mails, les outils internes d’Apple comme le Chat ou iTunes par exemple ne sont pas bloqués. Et qui plus est si j’active l’option « bloqué la connexion internet », c’est la gestion des horaires qui ne fonctionne plus correctement et je suis obligé de faire un reboot pour que la vérification des accès soient recontrolées.
Accès à Messenger
Il semble que Messenger soit considérer comme « Facebook » pour l’application, dès qu’une restriction sur les applications est posées, Messenger ne fonctionne plus mais n’affiche pour autant aucun message d’erreur. Il ne reçoit plus de nouveaux messages, il n’affiche plus les photos, mais vous laisse croire que vous continuer à envoyer des messages à autrui… Par moment, il informe que le compte n’est pas connecté.
Accès à l’AppleStore
Régulièrement, l’accès à l’AppleStore ne fonctionne pas. Soit avec un message qui annonce que l’AppleStore n’est pas disponible, soit simplement l’authentification ne passe pas. On ne sait alors pas s’il s’agit d’un problème « Apple » ou si QuStodio en est responsable. Si nous sommes dans les conditions d’accès à la connexion, tant sur le temps que dans le réglages des applications, alors il est obligatoire de redémarrer la tablette pour débloquer l’AppleStore.
Réglages
Je suis obligé de désactiver l’option « Verrouiller la navigation ». En bloquant l’accès à l’accès à Internet, les réglages de QuStodio ne fonctionnent pas correctement, la gestion des heures d’utilisation et des timing d’utilisation ne sont pas cohérents et réglages et l’appareil se retrouvent inutilisables si je ne le redémarre pas. Or, le verrouillage de l’appareil n’impacte qu’une partie mineur des applications de la tablette, les enfants pouvant donc à leur guise continuer des heures à chipoter voir jouer sur la tablette !!
QuStodio – Réglage iPad
Verdict
Vous l’avouerez pour une service payant, QuStodio ne fait pas le job ! Il est même un problème à gérer au quotidien. Je passe plus de temps à désactiver et ré-activer des options pour pouvoir faire des manipulations de bases que sont : ajouter une nouvelle application, mettre à jour les apps, communiquez sur Messenger.
J’ai commencé donc petit à petit à réduire son utilisation. Je le conserve pour faire le lien avec l’option interne de « gestion du temps » de la tablette d’Apple (j’y reviendrais dans un autre article). QuStodio m’envoyant un rapport mail du nombre de minutes utilisés de manière globale (puisqu’il ne peut le faire en ciblant les applications) et le filtrage web… qui pourrait être fait par d’autres outils gratuits.
Si d’aventures le SAV de QuStodio était efficace à résoudre les problèmes, le constat décevant pourrait être assoupli, mais ce denier, en français traduit par Google se retranche derrière les limitations imposée par Apple. Pour un service payant, ce n’est pas acceptable et j’espère que cet article leur permettra de mieux en comprendre les raisons !
de FCPX 10.4.3 à 10.4.6, problèmes d’effets et fonds
Depuis de nombreuses années, je fais cohabiter plusieurs versions de Final Cut Pro X sur une même machine. Devant travailler en groupe, il arrive fréquemment que nous ne pouvions complètement migrer notre version de Final Cut Pro X en même temps, quand l’une des personnes de l’équipe travaille sur un projet plus ancien, entamé dans une précédente version.
De fait, certains changements majeurs du logiciel du montage d’Apple impliquent une mise à jour de bibliothèque qui ne pourra plus être lue sur une ancienne version de FCPX. Voire, évidemment certaines versions du logiciel ne sont pas compatibles avec d’anciens ou nouveaux systèmes d’exploitations. Pour l’heure le grand changement imposé par Mojave, nous invite à rester au mieux sous High Sierra ou sous Mojave en fonction de la date d’achat de l’équipement.
Quoi qu’il en soit, jusqu’ici. Ce n’était guère problématique. Je pouvais très bien avoir sur mon ordinateur la version 10.4, 10.4.2 et 10.4.3 sur la même machine en renommant le fichier de l’application. Leur seul désagrément était de devoir remodifier quelques réglages de préférences d’espace à chaque switch de version.
Cependant, certaines nouvelles machines sous Mojave et Catalina nous ont obligé à passer un peu plus rapidement à 10.4.6 qui fort heureusement tourne sur ces deux versions de l’OS d’Apple, mais également sur High Sierra (en version 10.3.6 de l’OS)
Or étrangement, j’ai rapidement constaté des soucis avec des projets démarrés sous FCPX 10.4.6 dans ce cette situation de multi-version plutôt que de mise à jour de l’outil de montage vidéo. Ces problèmes se présentaient sous forme d’objet manquant ou par exemple de fond de couleurs devenant noir.
En général en exécutant FCPX en mode « suppression des préférences » (soit en appuyant sur OPTION et COMMAND) en même temps, ce genre de soucis se corrigeait, mais le problème est cette fois plus profond. La version 10.4.6 de Final Cut Pro X s’est adapté à la nouvelle interface « Metal » intégrée à Motion, l’outil permettant notamment de modifier des objets dans Final Cut Pro. Il est donc nécessaire que celui-ci soit également mis à jour sur la machine en version 5.4.3 au minimum.
Ce système de versionning ne fonctionne pas avec Motion. De fait, si je fais cohabiter deux versions, même en changeant leur nom, FCPX continue à faire référence à la version précédente et le bug reste donc présent !
— La problématique est bien ciblée, afin de pouvoir retrouver ces informations, je les publie en état. J’affinerais par la suite en profondeur, comment résoudre le problème, mais voici en gros la direction à prendre — …