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Tag: Apple

Protections parentales sur l’iPad Mini avec l’option « Temps d’écran »

Protections parentales sur l’iPad Mini avec l’option « Temps d’écran »

Depuis quelques années, j’ai choisi l’iPad Mini comme premier outil numérique à mettre en les mains des enfants. Je n’entrerais pas ici dans le débat du bien ou du mal de la chose,.. quoi que. Pour moi, il est important que nos enfants ne soient pas handicapés du numérique, c’est à dire qu’il soit capable de pouvoir manipuler ce genre d’outil et s’en servir de manière intelligente. En revanche leur mettre en les mains une tablette, un smartphone, un ordinateur, qu’importe la forme, c’est aussi leur donner une porte ouverte sur un univers et des dépendances, des tentations. Il faudra donc les accompagner à cela mais aussi mettre des règles, voire mettre des verrous !

Souvenez-vous, il y a deux ans, je dressais un bilan désastreux de ma tentative d’utilisation de la version payante de QuStodio, une application de contrôle parentale multiplateforme. Je me suis donc concentré sur les options proposées entre temps en interne dans iOS le système embarqué sur les iPad Mini de mes monstres.

Sans être « LA » solution, cette option permet de programmer des plages d’utilisation quotidienne de la tablette (Temps d’arrêt), de limiter l’utilisation de certaines catégorie d’application (Limites d’app) ainsi que les communications vers l’extérieur et enfin de limiter l’accès à certains contenus soit via internet ou via certaines applications.

Il est évidemment nécessaire d’activer un mot de passe à 4 chiffres différents de celui de la tablette pour limiter les accès.

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Prise en main du Nikon Z6II et problématique MAC

Prise en main du Nikon Z6II et problématique MAC

Avec près de 15 années dans la photo, nous arrivons à un moment critique d’achat d’un nouveau boitier photo. Vous l’aurez déjà lu sur ce blog, je garde toujours un oeil sur les nouveaux boitiers afin de ne pas rendre ce moment trop difficile à prendre et l’année dernière j’analysais déjà le nouveau Nikon D780, le D850, les modèles hybrides de Sony dans la gamme Alpha7 et les nouveaux Z6 et Z7 de Nikon.

Après quelques nouvelles mise à jour de mes recherches, et la comparaison entre le Z6II et le Z7II, nous faisions le pas de passer du Reflex numérique à la technologie hybride avec le Nikon Z6II, Nikon proposant de très agressives offres de prix en ce moment !

Nikon Z6 II vs Z7 II - Photographylife.com
Nikon Z6 II vs Z7 II – Photographylife.com — © Nikon

À moins que vous n’ayez vraiment besoin de la résolution supplémentaire du Z7 II, le Nikon Z6 II est clairement un meilleur choix pour la plupart des photographes. Il est nettement moins cher, a de meilleures capacités de mise au point automatique et de prise de vue en continu, une grande mémoire tampon qui s’adapte à plus d’images (puisque les fichiers sont plus petits) et il fonctionne mieux dans des situations de faible luminosité. Gardez à l’esprit que 24 MP est un résolution idéal pour la plupart des types de photographie, y compris la photographie de portrait, de mariage, de voyage et d’événement, donc si vous photographiez principalement dans ces genres, optez pour le Z6 II et ne regardez pas en arrière. Si vous avez 1 000 € de plus qui traînent, placez-le vers un excellent objectif Nikon Z prime comme le Z 50mm f/1.8 S. Cependant, si vous trouvez que 24 MP est limité pour les impressions plus grandes ou le travail demandé par vos clients, le Z7 II sera un excellent choix.  (Un article à lire en anglais sur Photographylife.com)

Prise en main du Nikon Z6II

Le Nikon Z6II monté de son 24-70 2.8 Z en main
Le Nikon Z6II monté de son 24-70 2.8 Z en main

Dès sa prise en main, le Z6II, ici équipé de son objectif 24-70 2.8 en monture Z fait impression. Plus compact que les reflex de la marque, l’hybride Full Frame de Nikon est également plus léger tout en proposant des objectifs dédiés plus large, donc laissant entrer plus de lumière.

L’autre force de ce boitier, un auto-focus hyper intelligent de près de 270 points d’analyse, contre les 51 pour mes anciens boitiers. Clairement, on se trouve ici dans une approche assez différente, à l’image de que Sony propose déjà depuis un moment avec sa ligne Alpha7. Cela demande un peu de changement dans les habitudes, d’autant que l’on ne trouve plus de bouton pour switcher rapidement d’une mise au point AF-S, AF-C ou manuelle ainsi que l’option 51 points ou point centrale. Il faudra probablement jongler entre la détection de visage, d’animaux ou le mode multipoint. Spontanément, j’ai eu eu peu de mal à trouver le raccourci prévu à cet effet, caché entre la poignée et l’objectif….

Plus qu’à tester le résultat des photos ?

Arf, les fichiers ne sont pas reconnus sur le MAC !

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Corriger un problème de vidéo saturée de l’iPhone sur FCPX.

Corriger un problème de vidéo saturée de l’iPhone sur FCPX.

Caramba, les vidéos issues du nouvel iPhone Pro 12 de madame m’auront mis quelques bâtons dans les roues. Ah, sur son téléphone, elles sont réussies, mais une fois importée sur mon vieux Mac Book Pro Mid2013 tournant encore sous OSX El Capitan, impossible de les ouvrir ou les prévisualiser ou même dans les importer dans ma vieil version de Final Cut Pro X 10.3

J’ai donc d’abord dû me décider à mettre à jour le MAC en choisissant High Sierra. C’est loin d’être la dernière version de l’OS, mais celle-ci devrait être adaptée à mon ancien ordinateur et me permettra de passer à FCPX 10.4.6 que j’ai l’habitude d’utiliser au quotidien. De fait, cela fait. Je peux maintenant prévisualiser les fichiers .MOV de son téléphone. Cependant, une fois importés dans FCPX , les images sont complètement brulées !

FCPX lors de l’import m’avait déjà donné un premier en m’annonçant que certains rushs étaient au format HRD. De fil en aiguille je constate donc que ces vidéos sont encodées en 1920p REC 2020 HLG. En quelques clics, j’ai donc la confirmation que FCPX par défaut, ne propose pas le bon profil colorimétrique pour ces vidéos, alors que nous sommes pourtant dans le petit écosystème d’Apple.

Dans sa vidéo en anglais, Mark Brown pour Editors Keys cible de fait le problème et comment le fixer. Comme pour les problèmes d’entrelacement, il faut entrer dans les réglages complémentaires du Rushs. Si la vidéo présente la manoeuvre sous FCPX 10.5, sur un FCPX 10.4, il faudra une fois avoir choisi les rushs à corriger sur la ligne du temps cliquer sur l’icone (i) de la fenêtre « inspecteur », puis en dans le petit menu discret du bas changer les métadonnées initialement sur « élémentaire » pour afficher le mode « réglages ». vous aurez alors accès à la possibilité de modifier les LUT et ce qui nous intéresse ici, la colorimétrie. Dans mon cas, elle était sur « Désactivé ». Nous aurions tendance à la mettre sur REC 2020 HLG, mais cela reste saturé, la bonne réponse sera : REC 2020 !

Merci, Mark.

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Downgrade de Big Sur à Catalina !

Downgrade de Big Sur à Catalina !

Zut, pas de chance, vous venez d’installer votre nouveau Mac, vous avez bien précisé au vendeur de ne surtout pas faire la mise à jour sur le tout nouvel MacOS X « Big Sur » encore trop récent, abandonnant le 32 bits et non compatible avec les version 10.4.6 de Final Cut Pro X… mais pas de chance, les mises à jour automatisées étaient activées sur la machine, le système de backup Time Machine n’a pas eu le temps de faire un premier backup du système, et vous voilà donc sur l’infâme nouvelle version de Mac OSX.

Il va donc falloir se lancer dans une procédure de « Downgrade » de Big Sur vers Catalina, la précédente version de MacOS X et vous verrez qu’Apple a rendu la procédure encore plus compliquée que précédemment… Il faudra d’ailleurs se farcir les bugs d’accès aux mode boot Repair récalcitrant de la nouvelle version de l’OS ! Quoi qu’il en soit, cet article n’a pas la volonté d’être un tuto à suivre à la lettre ou la seule solution pour régler le problème, mais un aide mémoire qui reprend toutes les moments particulièrement problématiques de la procédure.

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Un iPhone après près de 10 ans d’Androïd ?

Un iPhone après près de 10 ans d’Androïd ?

Illustration promotionnelle – ©Apple, 2020

Depuis quelques années, les smartphones de Google, la série Google Pixel avaient un petit (voire grand) cran d’avance côté photo face aux fleurons de chez Apple. Ici, nous avons donc enchainé des Google Nexus 5 et Nexus 5x au Google Pixel XL, Google Pixel 2 et Google Pixel 3a. L’année dernière, le Google Pixel 4 s’est montré plutôt discret, alors qu’Apple rattrapait son retard. Aujourd’hui, il semble interessant de pencher sur la question Google Pixel ou iPhone ?

Les deux photophones compacts sont de belles propositions. À moins d’être un fervent défenseur d’Android, l’iPhone 12 est dans la globalité un meilleur produit que le Pixel 5, mais cela s’explique facilement par la différence de prix entre les deux appareils : le Pixel 5, avec plus de stockage, est presque 300 euros moins cher, le tarif d’un bon milieu de gamme. Nous apprécions tout de même les efforts consentis par Google au niveau de l’autonomie. L’iPhone 12 lui, impressionne avec sa puce surpuissante A14 Bionic gravée en 5nm et ses capacités en vidéo. Si vous cherchez avant tout un photophone ou un appareil pour consommer du multimédia, le Pixel 5 fait très bien l’affaire pour son tarif grâce à son logiciel performant et à son écran OLED 90 Hz sans encoche. L’iPhone 12 conviendra à ceux qui cherchent la rapidité avant tout ou qui refusent de se séparer d’iOS. (Un comparatif à lire sur Phonadroid)

Tant que les performances photos des Googles Pixels étaient au dessus de la concurrence, la question ne se posaient pas. Pourquoi passer à iOS. Cependant, Google semble vouloir rester un peu en retrait et ne se montre pas aussi audacieux que les nouveaux iPhones avec son Google Pixel 5.

La bataille sur le terrain de la photo est vraiment intéressante. En effet, le Pixel 5 fait honneur à sa lignée et s’est déjà imposé comme l’une des références en la matière, mais il ne peut pas vraiment prétendre au titre de roi de la photo cette année tant la concurrence a su affiner ses armes. Et autant dire que l’iPhone 12 mini a de quoi lui opposer une belle compétition. (Un autre comparatif à lire sur Phonadroid)

Sans entrer trop dans les détails, l’iPhone 12 se présente sous 4 déclinaisons. Le Mini, le « normal », le Pro et le Pro Max. Chacun étant déjà un produit de haute qualité, les modèles pro offrant 3 objectifs photos.

Chez Google, le Pixel 5 se décline également en un Google Pixel 4a aux performances photo similaires dans une coque plus basique et ne proposant qu’un seul module photo contre 2 sur le Pixel 5.

Force est de constater que cette année, l’iPhone a pris un jeu d’avance sur Google… La question se posant alors,…

 

Peut-on facilement migrer d’un système Androïd vers Apple ?

Migrer les contenus
Migrer les contenus – © Apple

Apple propose la possibilité d’importer des données depuis un téléphone Android, il faudra alors télécharger une application sur le Google Store afin de mettre ne liaison les deux smartphones.

Le résultat se montre assez peu convaincant. Le nouvel iPhone a récupérer une grande partie des photos du précédent téléphone pour les importer dans l’App Photo d’Apple. Elles semblent cependant un peu mélangée… Quid de la possibilité maintenant de pouvoir synchroniser Google Photos avec l’iPhone, les photos vont-elles resynchronisées en double dans le sens inverses ?

Les agendas Google ou Contacts ne se sont pas importé par défaut, il aura fallu finalement que je m’attarde sur l’option manuelle.

Sur le terrain.

C’est madame qui a fait le grand saut, et elle s’est finalement très rapidement adaptée à l’usage de cet iPhone. Son utilisation étant moins complexe que la mienne. Sur le terrain, c’est essentiellement côté photo que l’attente était la plus importante et de fait la qualité des photos de l’iPhone 12 pro n’ont pas déçu comparativement à nos précédents Photophones connus pour être particulièrement efficaces : les Google Pixel 2 et 3a.

L’effet de profondeur, offrant un bokeh artistique s’active de manière automatique, il est parfois plus prononcé que sur Android, mais il peut être adouci au besoin en post-pro. En extérieur, le piqué est assez réussi, et lorsque l’on réalise une photo de type Marco, l’objectif offre naturellement une belle nuance sur le sujet.

J’ajouterais petit à petit quelques photos intéressantes.