La création de contenus vidéo en ligne de commande se concrétise avec la présentation de Sora développé par OpenAI (ChatGPT), soit la création de contenus vidéo produits par intelligence artificielle au départ de texte.
Tout cela est encore en anglais, mais cela donnerait grosso-modo : « Un chat essaie de réveiller son propriétaire qui dort pour recevoir son repas. Le propriétaire essaie d’ignorer le chat but le chat essaie de nouvelles tactiques. »
extrait vidéo créé par l’intelligence artificielle SORA
Si cela parait assez drôle et impressionnant, d’autres « prompt » permettent de créer des contenus où ils devient difficile de distinguer le vrai du faux : « Une vidéo historique qui présente la Californie durant la ruée vers l’or« .
extrait vidéo créé par l’intelligence artificielle SORA
A cela évidemment on peut ajouter une question de plus en plus sensible, quel avenir pour les métiers créatifs, artistiques et même techniques autour des média et du numérique, lorsque l’on regarde ce que donne : « Un monde en papier magnifiquement rendu représentant un récif de corail, regorgeant de poissons colorés et de créatures marines« …
extrait vidéo créé par l’intelligence artificielle SORA
Bien sur, ce que nous présente OpenAI est bluffant, mais au regard des performances parfois encore peu convaincantes de la création d’image par Intelligence artificielle, je me demande quel est le gap entre la création pure de contenu vidéo et la construction de vidéo au départ d’une base de donnée de clips…
Après avoir sorti des archives la Super Vision et la Game Master ces deux dernières années, je poursuis donc ma découverte des consoles tentant de concurrencer la Game Boy de Nintendo au début des années 90, toujours à la recherche de celle que possédait mon ami Xavier…
Puisqu’il ne s’agissait d’aucune de ces deux consoles, me restait à mettre la main sur une Gamate et/ou une Mega Duck.
Je me suis donc concentré sur la première, qui avec sa forme de SEGA Game Gear, se rapproche le plus de mon souvenir : console noire, allongée, monochrome et proposant des jeux plus basiques que la Game Boy.
Effectivement, une fois en main, la Gamate se montre clairement moins « noble » que les consoles de SEGA et Nintendo, même si elle repose sur une technologie d’écran DOT MATRIX LCD comme annoncée sur la Game Boy de Nintendo. Bien que proposant un écran d’une résolution de 160×152 pixels, un peu plus grand que celui de la Game Boy, la console se montre moins imposante.
La Gamate de BIT Corp, un air de Game Gear, des composants copiant la Game Boy.
J’ai cru un moment que cette console était poussée par l’un des studio anglais B.I.T.S. ayant développé des jeux pour la Game Boy et la Super Vision. Ce qui me faisait dès lors imaginer une console, certes moins folichonne que la Game Boy, mais qui serait de qualité honorable. Malheureusement, j’ai confondu le studio B.I.T.S. avec la société Taiwanaise BIT Corp. qui va donc concevoir la Gamate. Il ne s’agit pourtant pas pour celle-ci d’une première apparition sur le marché des jeux-vidé ! Après avoir réalisé quelques jeux pour l’Atari 2600 et la Coleco Vision, BIT Corp. avait par exemple conçu pour le marché asiatique une console pouvant lire les cartouches Coleco Vision ainsi que les Cards de la console SEGA SG-1000.
Dans l’ouvrage A la découverte de Consoles Insolites d’Anthony Boudin chez Third Edition, on évoque d’ailleurs l’idée que la Gamate aie été développée par rétro-engineering, soit en analysant le mode de fonctionnement de la Game Boy de Nintendo, les composants des deux machines étant particulièrement proche.
A l’image de la Game Master et de la Super Vision, ce sont plusieurs sociétés qui vont s’occuper de la distribution de la console sur le marché Européen au tout début des années 90, dont GIG en Italie et en Belgique, une entreprise bien établie dans l’importation de jouets, comme par exemple les Micro Machines ! Lancée en 1990, la Gamate sera accompagnée de pas moins de 50 jeux là première années, et en proposera un peu plus de 100 avant de petit à petit disparaitre.
Avec un prix moindre que la Game Boy, sa poussée sur le marché italien a probablement permis à la Gamate de se démarquer parmi les autres clones de Game Boy dans cette partie de la Belgique !
Le packaging italien proposé par GIG du jeu Marauder pour la Gamate.
Ah pour sur, avec la série Final Fantasy, quand tu termines le jeu, il n’y a jamais d’heureux dénouement, et ce n’est pas ce dernier volet Final Fantasy XVI qui dérogera à la règle.
Les flashback sont nombreux dans Final Fantasy XVI et construisent petit à petit la narration.
Si le jeu nous a ponctué tout au long de l’aventure de nombreux retour en arrière dans le passé des personnages Clive, Jill ou même notre compagnon canidé Talgor, je dois bien admettre que je m’attendais à minima à quelques choses de plus ambitieux, qui nous fassent voyager de contrées en contrées… voir peut-être d’un retour du héros, Clive, malgré la mort de son jeune frère… mais que nenni, ce Final Fantasy restera dans le même courant que les précédents… avec des sentiments qui semblent difficile à faire sortir entre nos protagonistes principaux, là où l’honneur, la foie et le devoir semblent tellement prendre le dessus. Des valeurs évidemment plus fortes chez nos amis japonais qu’ici en Europe…
La séquence de fin en soit n’est pas entièrement loupée, elle cache même un clin d’oeil plutôt réussi sur le monde en devenir de Valisthéa. En réalité, les éléments que j’aurais aimé voir rassemblé pour clôturer mon aventure sont distillés aux travers des quêtes annexes. …
Voilà déjà probablement déjà 5 années maintenant que j’ai pris le pli de la prise de note numérique grâce à l’efficacité de l’Apple Pencil utilisé sur un iPad couplés à aux outils Penultimate et Evernote.
Prise de note avec Penultimate
Cette solution m’a demandé avec les années de passer à la caisse en prenant un abonnement Evernote afin de pouvoir m’adapter à leurs modifications de stratégie, puis à leurs augmentations de tarif. Le besoin de pouvoir accéder à mes notes sur plus de 3 appareils m’a donc poussé vers l’abonnement « Personnal » qui aux fils des années est passé de 39€/an à 69 puis encore tout récemment 99€/an !
En parallèle le support de Penultimate, racheté depuis plus de 10 ans par Evernote n’a qu’assez peu évolué. En 2022, je devais d’ailleurs composer avec un support du produit mis en berne. Si la « nouvelle » version d’Evernote intègre toujours bien l’importation automatique de mes notes prises via Penultimate, il ne m’est par exemple plus possible de renommer celles-ci depuis Evernote. Signe déjà d’une volonté de ne plus trop s’occuper de Pentultimate.
Cette année, j’ai le plaisir de renouveler mon équipement avec un nouvel iPad Pro équipé de la nouvelle génération d’outil de prise de note, l’Apple Pencil 2. Quand je dis nouvelle génération, il faut tout de même remarquer que celle-ci est sortie fin 2018, soit quelques mois après l’achat de mon premier Apple Pencil 1° génération, mis sur le marché en 2015 !
Et là, mauvaise surprise, impossible d’utiliser l’Apple Pencil 2 avec l’application Penultimate ! Lors de ma tentative de prendre des notes, mes traits s’effacent. L’année dernière je devais déjà composé avec des outils mal placé depuis la mise à jour iOS qui permettait de décomposer la zone d’écran en balayant le haut de l’écran. Cette fois, c’est l’application qui est complètement inutilisable ! Et cherchant sur la toile, plusieurs retours d’utilisateurs sur le forum d’Evernote rapportent des soucis restés sans réponses d’utilisation de Penultimate…
En réalité, bien que ce dernier se soit ré-installé automatiquement lors de la migration d’une tablette à l’autre, Penultimate a disparu de l’Apple Store, depuis quand ? aucune idée ! Il me faut donc envisager une alternative !
Des alternatives à Penultimate ?
Prendre des notes manuscrites directement dans Evernote
Et bien l’air de rien, cela fait maintenant 10 ans et quelques semaines que je fais confiance à Google et ses téléphones Nexus / Pixel sans le moindre regret.
Pendant 10 ans, j’ai toujours eu en main ce qui ce faisait de mieux au moment « T » en matière d’efficacité numérique, de nouveautés technologiques et de photo via Smartphone. Des Smartphones construits autour des nouveautés des nouveaux OS Android, des modules photos dopés à l’IA et le juste milieu des nouveautés vraiment utiles sans faire exploser les couts.
Le design a souvent été réussi, quoi que régulièrement au plus simple, et tout cela dans des budgets en dessous des poids lourds d’Apple et Samsung… même si la gamme Pro chiffre plus que les premiers modèles.
Oh, pour être complet, je ne peux passer sous silence que les deux Google Nexus 5x achetés chez Media Markt ont du passer sous garantie pour résoudre un problème de « Loop of the Death » après 22 mois d’utilisation, ils ont ensuite pu terminer leur seconde vie deux années de plus.
Google Nexus 5X Juillet 2016 – Février 2018
En décembre 2019, mon Google Pixel 2 a pris froid lors d’un barbecue hivernal… exposition trop longue aux températures négatives ? En poche, la lampe torche s’est allumée, l’écran s’est éteint… retour sous garantie avant une seconde vie de près de 15 mois supplémentaires.
Nexus 5 en décembre 2013, Nexus 5X en juillet 2016, Pixel 2 et Pixel XL en 2018, Pixel 3a en décembre 2019, Pixel 5 en avril 2021, ce n’est donc un saut dans l’inconnu lorsque j’ai choisi fin de l’année dernière, mon choix sur le nouveau Google Pixel 8 Pro.
Google Pixel 5 Avril 2021 – Novembre 2023
Le Google Pixel 5 m’aura donc accompagné plus longtemps que de nombreux autres smartphones.
Il se démarquait alors avec un capteur photo « grand angle » qui me permettait d’élargir mon spectre d’utilisation. L’IA déjà présente dans sa gestion des images offrait de manière encore plus efficace, et ce bien avant ses concurrents, des photos avec une profondeur de champs parametrable ainsi que de la retouche assez avancée. Côté vidéo, le Pixel 5 se montrait un cran supérieur à mon précédent modèle.
Les années passant, les modèles 6 et 7 ne m’ont pas semblé apporter de grande révolution, même si petit à petit l’iPhone 12 Pro de madame a parfois permis d’obtenir de meilleurs résultats grâce à son 3° objectif de Zoom optique.
Au quotidien, le Pixel 5 ne décevait pas, il me proposait tout le numérique dont j’avais besoin… Jusqu’à l’épuisement de la batterie. Il me faut bien reconnaitre que depuis l’été, l’autonomie commençait à faiblir. L’utilisation de Waze, me glissant inévitablement en situation critique… tout comme les moments où j’utilisais un peu plus l’appareil photo. Un compromis par moment frustrant à trouver.
L’automne dernier, je savais donc qu’il était temps de me préparer à changer de modèle mais entre les Pixel 6 et 7 qui se bradent et l’arrivée d’un Pixel 8 / 8 Pro. Il allait falloir tenir tout cela à l’oeil, d’autant que pour la toute première fois en Belgique, les téléphones Google allaient être disponibles à l’achat un peu partout, avec même de grande publicité dans les galleries commerçantes, tels qu’à Belle Île !