Vacances en Provence avec le nouveau VW Multivan

Vacances en Provence avec le nouveau VW Multivan

J’avais presque commencé à désespérer tant la lenteur administrative de l’arrivée de notre nouveau VW Multivan Hybride commençait un peu à peser, mais « Pfiiiuh »,il a fini par arriver à deux semaines de nos vacances de printemps en Provence. De quoi se familiariser un peu avec notre nouveau carrosse avant de se lancer dans un premier 1000 bornes dans le Sud !

Cette année, nous avions effectivement décidé de repartir dans le Sud-Est de la France afin notamment de retourner dans le joli port de Cassis qui avait su, il y a 5 ans, nous séduire lors d’une courte course après le soleil. Vacances en Mai allaient-elle rimer avec soleil ? Ce n’était pas gagné avec cette météo bien capricieuse qui touchait l’Europe ces derniers jours.

Mais d’autres petites inquiétudes étaient là avant le départ. Si le nouveau VW Multivan est bien séduisant en terme de confort tant pour les passagers que pour le conducteur, son coffre (469m3) se montre moins généreux que celui de notre ancienne VW Caddy Maxi (530m3) qui pouvait engloutir sans broncher toutes les valises de notre famille de six !

Mais où a-t-on glissé la GROSSE Valise ? Entre les sièges : )

Si Cassis et les autres « Plus Beaux Villages de France » nous ont toujours séduit, je redoutais malgré tout la difficulté de trouver des places de parkings dans lesquels faire rentrer notre grande familiale, longue de 4m97, large de 1m94 et haute de 1m91. Soit 9cm de plus à l’arrière, 15cm en largeur et est 8cm en hauteur.

3h30 du matin, il est temps d’embarquer toute la famille pour prendre la route vers notre Camping de la Malissonne – Capfun situé à un gros quart d’heure de la Mer Méditerranée. Vous embarquez avec nous ?

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Championnes !!

Championnes !!

Bravo les filles !!

Pour le dernier match en vert d’Alice Martin, j’avais pris notre matériel de chasse afin de lui laisser quelques beaux souvenirs de cette magnifique année avec ses amies du Basket.

Tu nous a offert une fin de match à 100%, nous montrant, si cela était encore nécessaire combien tu prenais du plaisir dans ce sport, car comme je le racontais il y a quelques semaines, il y a un an, tu jouais « simplement » au Basket dans la cours des 6°… quel incroyable progrès tu as fais avec cette équipe, lors de chaque entrainements, puis matchs.

Impossible de ne pas remercier ton coach Marc Jérome qui a su te mettre en confiance, te permettre de trouver ta place sur le terrain, de parler basket, de jouer en équipe, intégrer une tactique…

Vous terminez ainsi en beauté cette saison avec le titre de championne U14 provinciale !

Rendez-vous en rouge pour l’année prochaine, tu es, quoi qu’il en soit, prête à rebondir !

 

Aux sources de la série Extreme-G

Aux sources de la série Extreme-G

La Nintendo 64 est une console que j’ai totalement boudée pendant de longues années. Je n’ai donc pas suivi l’arrivée de la licence Extreme G de Probe et Acclaim lorsque le titre sortira en 1997 sur la console.

A cette époque, je joue sur PC et dans le créneau, ce sont des titres tels que Wipe Out et Hi Octane auxquels je me suis essayé, je l’avoue sans grande réussite.


Ce n’est qu’en 2002 que je découvrirai la série Extreme G avec l’épisode 3 puis Association sur ma Playstation 2. Des courses endiablées et folles de motos futuristes, le tout sur des bandes son électro particulièrement géniales, de quoi à l’époque m’occuper en attendant de pouvoir découvrir quelques années plus tard F-Zero GX sur GameCube.

XGIII : Extreme G Racing (Acclaim, 2001)
XGIII : Extreme G Racing (Acclaim, 2001)

Trouvé pas hasard chez chez Mario Shop, XGIII : Etreme G Racing de course de moto futuriste super rapide était vraiment très sympa. Difficile à prendre en main, mais une belle alternative à F-Zero chez Nintendo… Les environnements étaient bien réalisés et surtout les musiques Trance entrainantes… Bref, ça décoiffe !

Je me plonge aujourd’hui dans ce premier Extreme G en tâchant de le regarder avec le regard d’un joueur de la fin des années 90. Lorsque le titre sort sur la Nintendo 64, il vient offrir une autre vision du jeu de course que ce que propose Mario Kart 64, d’autant qu’à l’époque, le nouvel épisode de F-Zero n’est pas encore sorti.

Graphiquement, les motos en 3D sont particulièrement rigides, bien plus que les vaisseaux de WipeOut. Ce n’était peut-être pas très attractif en 1997, aujourd’hui, je trouve que cela apporte un effet rétro assez amusant.

En solo, la prise en main est excellente ! On ressent cette vitesse folle, bien plus que sur le Pentium 120 MHz et ma petite carte graphique de l’époque. Ce sentiment de vitesse qui fera d’ailleurs partie de l’essence de la série.
Côté musique, Extreme G offre déjà une B.O. électro de qualité, totalement dans la mouvance de l’époque, une approche plus à mon goût que le côté underground de Wipe Out.

Oui, ce premier Extreme G me donne une bonne impression, les circuits essayés sont réussis, tortueux, plongeant, et j’y retrouve le plaisir de jeu que j’ai pu avoir avec les épisodes sur PlayStation 2.

Il semble qu’à l’époque le multijoueur pêchait de ralentissement…. Cela a-t-il été corrigé avec l’arrivée du jeu dans le catalogue du Nintendo Online ?

Après avoir été emballé par ce premier épisode sur le Nintendo Online, je suis maintenant content d’ajouter la cartouche à ma modeste collection de jeux sur Nintendo 64.

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Parents d’une famille nombreuse, sacré Weekend !

Parents d’une famille nombreuse, sacré Weekend !

Parents d’une famille nombreuses implique parfois de sacrés défis d’organisation… Ce Weekend ne manquera pas de piment !

Aujourd’hui, pendant que l’équipe A se rend à Sambreville avec Charly et Rose pour une nouvelle représentation de leur spectacle « Le Temps d’un accord » avec Honypop, l’équipe B déposera Juliette au Palais des Congrès de Liège pour une grande répétition avant le gala de ce soir où elle présentera son spectacle de PomDance et de Cheerleading aux côtés des autres élèves de l’école de danse Dancelikeme.

Il faudra pour se faire composer avec les milliers de cyclistes amateurs qui participent ce samedi au Liège-Bastogne-Liège, rendant les sorties de notre quartier compliquées.

Demain, nouvel journée de Gala ! Cette fois, toute la famille pourra venir voir les performances de Juliette tout en calculant avec précision nos déplacements, car cette fois, la course cyclistes officielle du LBL Messieurs et Dames ferme complètement notre quartier probablement entre 14 et 17h30.

Alors, ma fois, on ne s’en sort pas si mal ! Le dernier match de championnat U14 de Basket d’Alice, initialement prévu dimanche matin à Sprimont a été reporté à la semaine prochaine !

Reste qu’avec tout cela, nous ne pourrons probablement pas nous rendre à l’Ecole de Rose qui ouvrait au public tout ce weekend la grande exposition d’Art, un beau moment qui aurait permis de venir découvrir les créations de notre mistinguette et ses camarades autour d’un grand projet pédagogique.

 

D’autres photos suivront… Mais en ce moment, les photos familiales ont un certain retard.

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Chronique vidéoludique artistique : Titus the Fox sur Game Boy

Chronique vidéoludique artistique : Titus the Fox sur Game Boy

Si le personnage de Lagaff pouvait difficilement trouver sa place dans un jeu vidéo hors France, l’idée du studio français Titus fut donc de simplement remplacer ce dernier par sa mascotte, un Renard devant dès lors retrouver sa dulcinée à Marrakech en traversant, les quartiers mal famés de Paris, les catacombes, les pyramides… Bien évidemment le « scénario » d’origine collait parfaitement au personnage de Moktar devant rejoindre sa Zoubida, à l’image du sketch à succès de l’humoriste français Vincent Lagaff !

D’abord disponibles sur Ordinateur PC, Amiga ou encore Atari, le jeu de plateforme offrait des graphismes colorés très réussis, dès sa sortie en 1991 pouvant rivaliser avec les premiers titres de la Megadrive et Super Nintendo. Le gameplay était plutôt original, tout en poursuivant l’idée proposée dans The Blues Brothers sorti 1 an plus tôt, notre héros peut ramasser des objets, caisses, fléchettes,… pour se débarrasser des ennemis, mais également transporter des trempolins et autres balles magiques pouvant également être utiliser pour accéder à des endroits en hauteurs. C’est dès lors tout la force de ce Titus The Fox, les niveaux sont remplis de passages secrets et autres raccourcis.

Très vite, la difficulté s’élève ! Il faudra évidemment trouver la sortie de chaque niveau, pas tellement linéaire, mais explorer celui-ci jusqu’à trouver le code secret, sésame permettant de reprendre l’aventure à un niveau précis lorsque nos vies sont perdues.

Finalement, le point négatif de ce jeu, comme une bonne partie des titres de Titus, c’est ce scrolling à écrans saccadés…

Titus The Fox Game Boy (Titus, 1993)
La cartouche de Titus The Fox sur Game Boy (Titus, 1993)


Alors, en 1993, lorsque je glisse la cartouche dans la console de mon ami, il faut bien admettre que la Game Boy a déjà eu l’occasion de nous offrir de belles réussites de jeux de plateforme : Astérix vient de sortir, mais nous avions droit durant l’été à l’incroyable Kirby’s Dreamland ! Un an plus tôt Nintendo élevait déjà le niveau de ce que la console monochrome pouvait proposer avec Super Mario Land 2 !

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