Un an plus tard, voilà enfin Resogun sur PS3

Un an plus tard, voilà enfin Resogun sur PS3

Déboulé sur le Playstation Store de la Playstation 4 fin 2013, ce Shoot’m up moderne me fait de l’oeil depuis le tout début, pour la bonne et simple raison qu’il est mis magistralement en musique par : Ari Pulkinnen, musicien finlandais extraordinaire à qui l’on doit les bandes-son de Super Star Dust, Angry Birds, Trine ou plus récemment AG Drive dont je vous parlerais prochainement sur Press Start.

J’ai bien évidemment attendu l’arrivée d’une version PS3, et quand j’attends, je tâche de le faire tout en me laissant la surprise, à savoir donc, sans chercher à en savoir trop ! Ce n’est donc qu’il y a quelques semaines que j’ai découvert la mise à disposition du portage tant attendu !

Et ce Resogun, il est terrible !

Bon, il m’aura fallu le temps de comprendre ce qu’il faut faire, mais cela fait franchement partie du plaisir des jeux à l’ancienne. On se retrouve donc dans un Shoot’m up à scrolling horizontal non imposé, un peu comme Uridium sur C64 ou Defender si vous préférez une référence plus classique. De nombreuses waves d’ennemi sont alors à éliminer, avec des projectiles à éviter, jusqu’à là c’est assez classique, même si cette effets visuelles de donner l’impression de tourner atour de la zone d’action amène clairement une dimension novatrice.

Resogun - PS3Mais les choses ne s’arrêtent pas là, vous devez sauver du monde ! Rappelez-vous Choplifter, et bien c’est un peu le même concept. À divers moments, des humains se retrouvent perdus dans l’action, vous devez voler à leur secours et les ramener dans une zone de téléportation. Cela apporte indéniablement une dose de stress supplémentaires à l’action. Une fois votre sauvetage réussi, vous recevez un upgrade pour votre vaisseau, bien utile pour vous frayer un chemin lors des attaques ennemies et les combats demoscènesques contre les boss !

Michael Guarné : « Faut plutôt y jouer sur PS4 si tu peux« 

L’auteur de l’excellent ouvrage dédié à Rayman me fait évidemment mettre le doigt sur un point important alors que j’étais moi-même en train de comparer les deux versions sur la toile. Sur PS3, tout beau soit-il, le graphisme du jeu fait Shoot’m Up odlschool moderne, mais sur PS4… Je n’y ai pas joué, mais l’esthétique « Tout en cube » (En « Voxel » en réalité, des pixels volumétriques comme nous l’explique SpaceCowboy dans son test chez Press-Start) semble prendre le dessus, un style très Demoscène qui donne semble-t-il une dimension évidemment encore plus géniale en permanence, là où je n’ai ressenti cela que pendant le combat des 4 Boss auxquels je me suis mesuré hier soir !

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Le printemps est là, les brocantes aussi !

Le printemps est là, les brocantes aussi !

Avec un beau 17°, nous étions motivés à trouver une petit brocante pour ce dimanche matin ! La première de l’année. Première étape dans une petite bourse à Tilff, où sans être trop certain de mon achat, je laisse filé un Dragon Ball Z Origins DS vendu pour pas grand chose… Nous repartons assez vite pour la Brocante « Vintage » de Sprimont. Pas simple de s’y garer, il faut marcher difficilement avec les enfants.. puis faire la file et payer un droit d’entrée… Mwouais, je n’étais guère motivé,… mais une fois à l’intérieur ! Wouw, mais c’est « trop génial » ici : )

J’en serais ressorti avec un G&W Mickey & Donald en pas trop mauvais état et le petit robot Tbob de la série MASK, tout deux vendu à un prix plus que démocratique pour un évènement dédié !

Les films du mois : Une merveilleuse histoire du temps

Les films du mois : Une merveilleuse histoire du temps

Une merveilleuse histoire du tempsUne merveilleuse histoire du temps (2015) 10/10

Voilà un film à ne pas louper ! Difficile de vous donner une explication raisonnable, concrète, ciblée tant d’un bout à l’autre de l’histoire j’ai été emporté. Ce qui est certain ce que vous n’y perdrez pas votre temps. Le monde estudiantin tel qu’on peut le voir dans ce genre de film m’a toujours fasciné, les décors de Cambridge en mode Sixties et tout l’univers qui tourne autour sont magiques. De manière générale le soin porté à rendre vintage l’ambiance du film est une vrai réussite que ce soit dans les couleurs, les scènes super 8, les décors, les costumes,.. .
Tout d’abord, je n’avais pas compris que l’on suivait une histoire vraie. De ce fait, j’ai pu me laisser surprendre par les évènements. On sent tout à fait que l’on est dans un film british, avec des acteurs et un humour raffinés. Des acteurs par ailleurs dont le jeu vraiment excellent ! Que l’on soit à la recherche d’une histoire vraie, d’une histoire d’amour ou d’une biographie scientifique, chacun y trouvera pour son compte. Une très belle surprise qui donne à réfléchir sur la vie à bien des points !

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Aspic, détective de l’étrange

Aspic, détective de l’étrange

Auteurs : Gloris – Lamontagne
Editions : Boussole (2010)
Intégrale : 1 (3)


Aspic, détective de l'étrange - Intégrale
Aspic, détective de l’étrange – Intégrale

Kathy Wuthering a disparu !
De la plus célèbre des médiums parisiens que consultait le tout-Paris de ce XIXe siècle, ne reste aujourd’hui que deux globes oculaires sanguinolents. Auguste Dupin, fin limier et scientifi que pointilleux va faire la lumière sur cette horrible affaire. N’en déplaise au rigoriste « enquêteur phénoménologue », pour y parvenir, Dupin aura besoin de son extravagante assistante, Flora Vernet.

Ambiance : Paris au début du siècle dernier, des enquêtes bien tordues sur fond spectres et autres ectoplasmes le tout dans un style graphique plutôt inspiré. J’avais été séduit par la couverture de l’édition « 1° Carnet » il y a 2 ans, et je n’ai pas été déçu de cette découverte. Le finale de ces deux tomes me plait totalement.. là où le méchant s’enfuie en angleterre sous le nom Mauriarty, et ou l’héroinne, envoi un rapport à son cousin… Sherlock Holmes ;)


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Le Scorpion

Le Scorpion

Auteurs : Marini – Desberg
Editions : Dargaud (2000)
Albums : 1-11 (14)


Le Scorpion - 1. La marque du diable
Le Scorpion – 1. La marque du diable

Quels étaient les chances que je me plonge moi dans une BD de capes et d’épées tout seul, assez peu. Merci à mon paternel pour cette chouette découverte dont le héros m’a tout de suite convaincu, en tant que chasseur de relique religieuse, a l’image d’un mélange d’Indiana Jones, Don Juan et Prince of Persia le tout dans un univers de pouvoir de l’église et d’embrouilles assez proche de la série Borgia. L’ensemble dessin scénario reste dans le ton d’un Largo Winch sans être vulgaire ou inutilement sanglant. Plus qu’à acheter le tome 2 (Merci Vincent), puis les 3 et 4 (encore merci Papa)… De fil en aiguille, l’histoire est devenue plus profonde, les personnages intrigants et je garder ce plaisir à entamer de nouveaux albums !

2018, lecture du tome 6, L’aventure se poursuit avec la découverte du « trésor des templiers ». L’histoire est toujours autant passionnante, on en découvre un peu plus sur Rochman, mais le nombre de personnage est un peu plus important, ce qui rend la lecture d’album en album un tout petit peu plus difficile.


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Extrait de Le Scorpion – 1. La marque du diable - © Dargaud
Extrait de Le Scorpion – 1. La marque du diable – © Dargaud