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Category: Multimédia

« Je Veux Danser » – Faire un tube avec un iPad.

« Je Veux Danser » – Faire un tube avec un iPad.

Faire un tube dans son salon avec un iPad et Garage Band, mon nouveau synthé IK Multimédia iRig i/o 25 contrôlant l’application gratuite Audiokit Synth One et le micro du fiston. Voilà l’objectif que je m’étais donné !

Les vacances sont proches. Maintenant que Charly a terminé son CEB, j’ai sorti mon nouveau mini clavier IK Keys de 25 touches pour tenter de voir si l’on pouvait vraiment faire un tube avec un son iPad et Garage Band. J’ai chipé le micro du fiston et pris un peu mes marques sur ce genre d’approche linéaire que je connais moins… Il y a eu cette basse qui m’a rappelé le premier studio de musique dans lequel mon ami Pierrick Hansen m’avait emmené. Dans sa cave, avec un Amastrad qui chante Danser/Bouger… Depuis ce jour je me suis dit que moi aussi je pouvais faire de la musique ! »

Prise en main du Nikon Z6II et problématique MAC

Prise en main du Nikon Z6II et problématique MAC

Avec près de 15 années dans la photo, nous arrivons à un moment critique d’achat d’un nouveau boitier photo. Vous l’aurez déjà lu sur ce blog, je garde toujours un oeil sur les nouveaux boitiers afin de ne pas rendre ce moment trop difficile à prendre et l’année dernière j’analysais déjà le nouveau Nikon D780, le D850, les modèles hybrides de Sony dans la gamme Alpha7 et les nouveaux Z6 et Z7 de Nikon.

Après quelques nouvelles mise à jour de mes recherches, et la comparaison entre le Z6II et le Z7II, nous faisions le pas de passer du Reflex numérique à la technologie hybride avec le Nikon Z6II, Nikon proposant de très agressives offres de prix en ce moment !

Nikon Z6 II vs Z7 II - Photographylife.com
Nikon Z6 II vs Z7 II – Photographylife.com — © Nikon

À moins que vous n’ayez vraiment besoin de la résolution supplémentaire du Z7 II, le Nikon Z6 II est clairement un meilleur choix pour la plupart des photographes. Il est nettement moins cher, a de meilleures capacités de mise au point automatique et de prise de vue en continu, une grande mémoire tampon qui s’adapte à plus d’images (puisque les fichiers sont plus petits) et il fonctionne mieux dans des situations de faible luminosité. Gardez à l’esprit que 24 MP est un résolution idéal pour la plupart des types de photographie, y compris la photographie de portrait, de mariage, de voyage et d’événement, donc si vous photographiez principalement dans ces genres, optez pour le Z6 II et ne regardez pas en arrière. Si vous avez 1 000 € de plus qui traînent, placez-le vers un excellent objectif Nikon Z prime comme le Z 50mm f/1.8 S. Cependant, si vous trouvez que 24 MP est limité pour les impressions plus grandes ou le travail demandé par vos clients, le Z7 II sera un excellent choix.  (Un article à lire en anglais sur Photographylife.com)

Prise en main du Nikon Z6II

Le Nikon Z6II monté de son 24-70 2.8 Z en main
Le Nikon Z6II monté de son 24-70 2.8 Z en main

Dès sa prise en main, le Z6II, ici équipé de son objectif 24-70 2.8 en monture Z fait impression. Plus compact que les reflex de la marque, l’hybride Full Frame de Nikon est également plus léger tout en proposant des objectifs dédiés plus large, donc laissant entrer plus de lumière.

L’autre force de ce boitier, un auto-focus hyper intelligent de près de 270 points d’analyse, contre les 51 pour mes anciens boitiers. Clairement, on se trouve ici dans une approche assez différente, à l’image de que Sony propose déjà depuis un moment avec sa ligne Alpha7. Cela demande un peu de changement dans les habitudes, d’autant que l’on ne trouve plus de bouton pour switcher rapidement d’une mise au point AF-S, AF-C ou manuelle ainsi que l’option 51 points ou point centrale. Il faudra probablement jongler entre la détection de visage, d’animaux ou le mode multipoint. Spontanément, j’ai eu eu peu de mal à trouver le raccourci prévu à cet effet, caché entre la poignée et l’objectif….

Plus qu’à tester le résultat des photos ?

Arf, les fichiers ne sont pas reconnus sur le MAC !

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Forcer les Sous Titres dans GatherTown.

Forcer les Sous Titres dans GatherTown.

La semaine dernière, avec notre équipe, nous avions l’occasion de mettre à l’épreuve GatherTown, un outil en ligne permettant d’intégrer de la gamification dans un colloque ou une formation. Voilà plusieurs semaines que l’onglet était ouvert sur mon ordinateur, nous en avions parlé en mars durant l’un des cours du certificat en culture vidéoludique que j’ai suivi cette année, et c’était avec un peu de surprise et beaucoup de motivation que j’avais découvert que cet outil nous était proposé pour organiser la présentation du dispositif MOOC de l’Université de Liège à quelques partenaires étrangers.

Le concept de GatherTown, immerger les participants dans un espace virtuel à l’image d’un espace dédié à un colloque, une université, voire même une ville ! L’environnement joue la gamification en se présentant visuellement comme un jeu d’aventure de l’époque 16 bits des années 90, à la « Zelda » ou « Final Fantasy » pour les fins connaisseurs. On pourra y définir des lieux propres pour y faire des présentations, des échanges en plus petits groupes ou des discussions en privé, ces différentes zones activants alors micro et webcam avec les personnes proche de vous.

De notre coté, nous avions choisi d’aller un peu plus loin, en invitant les participants à se promener dans les lieux où nous avions disposer une série d’éléments avec lesquels interagir. Des télévisions et ordinateurs où retrouver des capsules vidéo produites en studio, plutôt que de faire des présentations en « live ». Des livres pour rassembler les questions. Des Pinboards, pour que chacun puisse se présenter et s’épingler sur une carte du monde. Ainsi que divers autres documents déposés stratégiquement dans des bibliothèques, sur des panneaux d’affichage, des posters au mur… Bref, finalement nous avions transposé et gamifié dans GatherTown l’équivalent d’un module d’une formation de type MOOC.

Le Mapmaker de GatherTown
Le Mapmaker de GatherTown

Sans entrer plus dans les détails, un élément important de notre approche était d’intégrer au sein de GatherTown toute une série de ressources vidéo existants en français que nous avions fait sous-titrer en anglais ! Et là, horreur, à 48h de l’ouverture de notre monde virtuelle, je découvrais que le player vidéo intégré dans la plateforme ne gère pas les sous-titres !

Il aura donc fallu ruser, et avec un petit coup de pouce de Lucie, pour trouver une solution et forcer GatherTown à afficher les sous-titres. En effet, dans la ressource suivante, on peut trouver une commande à ajouter à la suite d’une URL de vidéo hébergée sur Youtube qui permet d’obliger l’affichage des sous-titres, voire même la langue dans laquelle l’activer : https://www.youtuberlink.com/forcer-affichage-sous-titres/

Mais, pas de chance, cela ne fonctionne pas dans GatherTown. Vimeo propose également ce genre d’option, mais là non plus, pas de résultat.

Finalement, la tactique que nous avons appliquée en poussant non pas simplement l’URL de la vidéo Youtube dans le champs « Embed Vidéo » de GatherTown mais en y glissant tout le code « iFrame » auquel nous avons ajouté la ligne de code pour forcer l’affichage des sous-titres en anglais « &hl=en&cc_lang_pref=en&cc_load_policy=1″.

<iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/z-6RvOcwSho&hl=en&cc_lang_pref=en&cc_load_policy=1" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>

Cette solution, permet alors d’afficher les sous-titres dans GatherTown… dans la langue préférée de l’utilisateur. Il aura encore donc fallu encore s’assurer de supprimer les sous-titres en français de nos vidéos, pour forcer l’affichage en anglais ! Ouf !

Un petit coup de pouce de Stoffel Vandoorne pour préparer le CEB !

Un petit coup de pouce de Stoffel Vandoorne pour préparer le CEB !

Le samedi 2 mai se déroule les 6h de Spa Francorchamps.

Le circuit fait environ 7km et Stoffel Vandoorne roule en 1m54 et 767 centième.  Quelle est la vitesse horaire de sa voiture sur un tour ?

Et bien ça tombe bien comme exercice de préparation au #CEB , n’est-ce pas Charly !

On prépare le CEB
On prépare le CEB

 

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Mon mobile et moi : Le Pixel 5 et la navigation par gestes.

Mon mobile et moi : Le Pixel 5 et la navigation par gestes.

Il est temps pour mon Google Pixel 3a de passer le flambeau au nouveau Google Pixel 5 lancé l’automne dernier, de quoi le mettre par ailleurs en concurrence avec l’iPhone 12 Pro de madame.

Avec le Pixel 5, Google réalise un coup de maître, proposant un smartphone compact, léger, compatible 5G, et dont la qualité photo impressionne toujours. Le tout à un tarif très abordable.

Déjà mis en place depuis Android 10, la navigation dîtes par geste a pris le pli sur les traditionnelles 3 boutons qui permettent sur votre Smartphone de retourner en arrière, revenir à l’écran principal ou voir l’ensemble des applications actives.

La nouvelle approche imposée sur mon nouveau Google Pixel 5 offre quelques pixels de lecture en plus, mais à l’usage, il m’arrive bien souvent de soit perdre du temps pour retourner en arrière, soit de retourner en arrière de manière non volontaire. Par ailleurs, le geste pour visionner les applications en cours est le même que pour le retour à l’écran… mais avec une pause plus longue. Bof, là aussi… je suis pas fan.
La bonne nouvelle est qu’il est tout à fait possible de revenir à l’ancienne approche dans les réglages de votre smartphone !
Comment utiliser la navigation par gestes sur son Android
Comment utiliser la navigation par gestes sur son Android

La navigation par gestes c’est une nouvelle manière de se déplacer dans les menus de votre smartphone. Il s’agit en fait de dire adieu aux trois boutons en bas de l’écran pour gagner un peu de place. Il faudra néanmoins passer par une période d’adaptation pour maîtriser cette navigation par gestes, mais Android propose un entraînement pour commencer à s’y faire. Voyons comment accéder à cette fonctionnalité et quelles sont les différences entre les surcouches des fabricants. (Une astuce à découvrir sur Android-MT)

Désactivée dans un premier temps, j’ai néanmoins fini par m’habituer à cette option et à la sensibilité de cette dernière.