J’ai découvert Scoop.it il y a quelques années déjà. Cet outil de « curration » était pour moi très précieux. Il me permettait de pouvoir organiser tout une série de liens web d’articles ou blog, de les partager directement tout en y ajoutant quelques lignes personnelles. Je pouvais ensuite m’en servir pour écrire un article plus profond sur mon blog ou simplement retrouver plus tard des informations nécessaires. Aux fils des années, quand je le présentais à l’époque dans la formation Web 2.0 de Dominique Verpoorten et Jean-François Van de Poël, Scoop.it était devenu un élément primordiale à mon cycle de veille personnelle.
Malheureusement, ces dernières années, Scoop.it semble avoir choisi de faire rentrer les Dollar$ dans sa manne. Les comptes gratuits ont tout d’abord été limités en nombre de catégories, l’export de flux RSS a été supprimé, le nombre de Scoop par catégorie limité à 5 par jour pour enfin depuis quelques jours nous sortir une limite de 50 posts par catégorie… Veuillez supprimer vos anciens posts ! S’en est trop !
Non, je ne paierais pas 150€ par an pour continuer à scooper. J’ai déjà du passer par un compte payant chez Evernote,… Dropbox ne cesse de me pousser à prendre un compte payant également, sans parler de mes différents hébergements pour mes site-internet… Dire qu’il y a 10 ans, payer un service web était totalement inutile… Avec Netvibes qui est de moins en moins pratique et totalement inutilisable sur environnement Mobile, je vais repenser toute ma logique curration. Il me faudra trouver un interfaçage efficace avec les réseaux sociaux autour d’un outil centralisé tant sur ordinateur que sur Device mobile… Pocket+ pourrait peut-être faire partie de l’équation… Dès que j’ai une solution efficace, je reviendrais vers vous !
Janvier 1998, pour mes vingts ans, mes amis s’étaient rassemblés pour une petite fête surprise à la maison. Cela me faisait vraiment plaisir de les revoir tous près de moi, car il y a 20 ans, j’étais parti découvrir le monde en kot à Louvain La Neuve. Etudiant, futur ingénieur du son à l’Institut des Arts de Diffusion (IAD), je m’étais envolé de la maison, j’avais quitté les pots du haut de Seraing pour apprendre un peu la vie !
Et à cette époque, ma vie c’était la musique ! Très vite j’allais faire de belles rencontres. Mon ami Didier Rombauts bien sur qui allait partager cette grande aventure avec moi. Une grande amitié allait se construire, remplie de grands projets. Sa culture musicale était bien différente de la mienne. Piano, Basse, Metal, symphonie… il allait m’ouvrir à d’autres choses que la musique carrée de mon soundtracker. Avec Damien Bruindonckx, Antoine Reekmans et Damien Deville allait naitre l’Expérimental Association From LLN entre deux parties de Worms.
Les études d’ingénieurs du son étaient passionnantes et allaient elles aussi faire évoluer ma manière de faire de la musique, expérimenter, utiliser d’autres outils avec notamment l’achat d’un Tascam Porta Studio II qui allait me permettre d’améliorer l’enregistrement des voix pour les morceaux chantés grâce à ce multipiste portable sur K7. Le concert de Luc Baïwir aux fêtes de la musique ou encore la découverte du magasine Future Music Magasine allaient également donner de nouvelles impulsions à mes créations sur mon nouvel ordinateur, un Cyrix 166mhz acheté à mon ami Cédric Vanrutten.
Cyborg Jeff en mode IAD – 1997
Fin de l’année 1997, je commençais à préparer mon nouvel album Esperanza, un titre porteur d’espoir de bien de choses et notamment celui de faire carrière dans la musique, que les nombreuses rencontres faites jusque là finissent par porter leur fruit, qu’un jour du Cyborg Jeff passe à la radio et s’achète dans les magasins… A l’époque, faire un album CD n’était pas encore si facile. Le premier album Divagation avait été réalisé sur le nouvel ordinateur de mon ami Vivien, mais avait nécessité une complexe organisation pour arriver stocker l’ensemble des pistes sur sa machine. Pour le second ‘Summer Island’, Valentin et moi avions fait appel à un ‘Piratedébrouillard’ à l’équipement dernier cri pour faire la gravure de la maquette. Ce troisième album fut une belle surprise que Val avait choisi de me faire… et pour la petite anecdote, il y manquait un titre que j’imaginais alors comme la pièce maitresse de mon futur album et qui n’apparaitra que dans l’album suivant.
Aujourd’hui ce 3° album fête ses 20 ans. Je lui avais déjà offert une nouvelle pochette il y a 10 pour sa ré-édition en ligne sur Jamendo, j’ai cette fois retravaillé l’ensemble des morceaux pour qu’ils soient en stéréo (ce qui n’était pas le cas à l’origine) et retravaillé un peu le mastering pour leur donner un peu plus de peps que le son original d’Impulse Tracker. J’ai également profité de l’occasion pour ajouter quelques morceaux bonus qui n’avaient pas trouvé place dans l’album CD original.
C’est l’occasion donc de vous inviter à redécouvrir ces musiques et à nouveau remercier tout ceux qui avaient participé à cette belle aventure :
Simon Boigelot, Valentin Boigelot, Damien Bruindonckx, Damien Deville, Stéphanie Dricot, François Janssen, Pierrick Hansen, Delphine Jacqmard, Marie Martin Nadine Martin, Sylvain Martin, Bruno Quoidbach, Antoine Reekmans, Didier Rombauts, Jacques Siroul, La chorale Tétracorde et Cédric Vanrutten.
Et voilà, c’est parti ! J’entame donc le chapitre 40 de ma vie. Certes, je dois bien admettre que ma barbe grisonne, et que je prends un peu d’âge, mais cela me semble être tout de même un beau chapitre à écrire. Voir grandir les enfants, assoir de grands projets, s’entourer des personnes qui comptent…
Et quelle belle surprise ma Snorkys a encore réussi à me faire. J’étais heureux de faire la fête avec vous tous, retrouver la bande de Virtual Music et rejouer quelques morceaux… et partager cela avec ceux qui n’ont pas connus cette époque ! Cette soirée est passée tellement vite, j’ai à peine sorti le nez du Synthé de Xavier pour aller cherche un si bon Burger que l’on m’appelait pour ouvrir le bal sur « Ce Rêve Bleu », le slow de notre mariage dont nous fêterons les 10 ans cette année. Le temps de parler à l’un ou l’autre et déjà la soirée se terminait. Ah bien sur j’aurais aimer vous faire danser sur du Confetti’s, Technotronic, Haddaway et 2 Unlimited… mais on aura à peine eu le temps de mettre un pied dans les années 90 avec Benny B que déjà s’était l’heure des bons desserts d’Une Gaufrette Saperlipopette ! Quel beau souvenir, bon, ça manquait d’un Viens Au Soleil avec mon P’tit Val… Mais on ne devient pas papa 2x tous les jours non plus : )
La 40aine ne me changera pas, je ne vais pas moins vous ressortir les souvenirs d’antan ! Les musiques d’il y a 20 ans, les jouets de notre jeunesse,… J’en ai encore des choses à raconter, mais pour l’heure, profitons de ces quelques photos souvenirs !
La quarantaine approche, difficile étape qui n’a que l’avantage de voir de nombreuses références à mon enfance prendre vie autour de moi. Entre la série Stranger Things : apologie aux années 80, la ré-édition de la Mini NES de Nintendo ou encore des Playmobils Ghostbuster, j’ai découvert il y a quelques semaines, une série de documentaires signés Netflix qui s’attardent sur les jouets qui ont fait de nous ce que nous sommes : Toys that made us.
Si les 4 premiers épisodes s’attardent sur les figurines Star Wars, Barbie, les Maîtres de l’Univers et G.I. Joe… J’ai pour ma part envie de m’attarder sur les Micro Machines, c’est toutes petites voitures qui se sont invitées dans les cours de récré chez nous au cours de l’année 1988. C’était en 1987 que la société américaine Galoob lançait sa gamme de véhicule « micro », 10x plus petit que les Matchbox, Majorettes et Hotwheels avec lesquels les enfants jouaient jusque là !
Janvier 1989, mon anniversaire avec les copains. Merci pour les Micro-Machines !
Je me souviens très bien avoir reçu ma première série de 5 Micro Machines après une longue journée à l’hôpital à prendre des décharges électriques dans les jambes. En sortant, ma maman m’avait proposé d’aller chercher un petit cadeau dans la boutique et j’y avais choisi un set de voitures classiques, plus que probablement la City Super Collection #2. Dès 1989, les Micro-Machines allaient être mon « cadeau » de prédilection. Tant pour l’anniversaire de mes 11 ans que sur la liste de Saint Nicolas.
Très vite, la mode des Micro Machines devient virale et les « échanges » entre copains s’imposent ! Je me souviens avoir très rapidement échanger mes véhicules de constructions reçu de ma petite voisine Annick pour mon anniversaire contre d’autres voitures. Non pas que je n’appréciais pas ces derniers… Les échanges, j’adorais cela ! Cela faisait partie de la Micro Machines Mania !
Janvier est déjà bien avancé et nous voilà donc les deux pieds dans 2018. Après de longues semaines de mauvais temps, cela faisait du bien de voir le soleil sortir le bout de son nez… pour ensuite le weekend suivant se retrouver sous les flocons de neige. Drôle de météo que ce mois de janvier 2018 ! Ici, on se remet dans l’action et on pense à ce qui nous attend… Heureusement, il y a ces 4 morticos pour nous donner de l’action ! 8X8, 6X6,… j’en avais mare de faire des tables de multiplication moi !