Archives de
Author: cyborgjeff

Chroniques vidéoludiques : Maestro! Jump in Music

Chroniques vidéoludiques : Maestro! Jump in Music

Voilà un an que je me suis appliqué à retrouver quelques jeux qui m’avaient marqué durant les années Nintendo DS tout en agrémentant ma petite collection d’une belle Nintendo DS XL jaune que vous avez déjà pu découvrir ces derniers postes et qui me permet de profiter sur écran plus large. Mais durant toutes ces mois de chine, j’ai à nouveau boudé un titre qui avait pourtant marqué ma vie de joueur et qui, après vérification, était à peine mentionné dans ce blog !

En effet, c’est durant l’été 2010 que mon frangin Pype m’a fait découvrir Maestro! Jump in Music, un jeu musical de la ludothèque Nintendo DS du petit studio français Pastagames.

A cette époque, je me lasse de la portable de Nintendo, découvrant alors les premiers jeux Mobile sur les iPhones. Si le frangin est clairement emballé par ce nouveau jeu, pour ma part, il ne restera que quelques jours au programme, soulignant il est vrai un style graphique réussi et un peu d’originalité, bien que jouer avec un Stylet me semble déjà désuet face à la mode des jeux tactiles qui débarquent.

Resté longtemps absente de ma ludothèque, j’ai enfin attrapé en 2024 la cartouche du jeu pour m’y replonger et il faut vraiment souligner que le soin apporter par le studio Indé Pastagames sur ce titre est incroyable. C’est très joli, avec des animations soignées, mais également de nombreux effets spéciaux qui exploitent à merveille la Nintendo DS. Les animations du Boss par exemple, l’araignée tissant sa toile, sont vraiment réussies et créent une belle ambiance. Les niveaux sont également parsemés de très belles fresques exploitant le double écran…

Maestro : Jump in music (Neko Ent. - Pastagames, 2009)
Les fresques numériques qui rythme les niveaux sont particulièrement réussies et bien intégrées sur le double écran de la Nintendo DS.

Alors, c’est beau, mais est-ce que c’est fun !?

Lire la suite Lire la suite

Un été à Los Angeles avec Aloy

Un été à Los Angeles avec Aloy

Hier nous avons terminé l’arc narratif complémentaire de Horizon II entamé cet été sur la PlayStation 5. Oui, je sais, on dit plutôt un DLC.

Horizon II : Forbidden West - Burning Shores - PS5 (Sony - Guerrilla Games, 2023)
Le DLC Burning Shores est déjà sorti depuis le printemps 2023 !

En plus de nous offrir une belle manière de prolonger le plaisir de cette grande épopée vidéoludique, le voyage vers Burning Shores (soit Los Angeles dans le futur) apporte donc une belle manière de patienter avant l’arrivée du Némésis sur Terre qui devrait occuper Aloy dans un prochain Horizon III….

Ce contenu complémentaire était déjà sorti depuis plus d’une année, au printemps 2023. A cette époque, nous venions tout juste de terminer l’aventure principale, et l’envie était plutôt de se lancer dans un nouveau jeu, plutôt que de rallonger l’aventure… Nous aurions même pu ne jamais y jouer, comme ce fut le cas avec The Frozen Wild, l’extension proposée pour le premier jeu.

Je dirais même que faire l’impasse de ce morceau de l’histoire pourrait rendre difficile la compréhension de la suite de l’aventure, tant il y a apprendre sur les Zeniths. Difficile également d’imaginer maintenant la suite des aventures d’Aloy sans Seyka… il faut bien admettre que la scène proposée par l’épilogue donne à notre héroïne un côté moins « bourru ».

La scène inattendue (ou pas) de l'épilogue de Burning Shores
La scène inattendue (ou pas) de l’épilogue de Burning Shores — © Sony – Guerrilla.

Lassé du schémas répétitifs que prenaient Final Fantasy VII – Partie 2 début de l’été, j’avais eu envie de profiter de la petite promo pour nous replonger dans Horizon II : Forbidden West en achetant cette histoire complémentaire. Je ne suis pas vraiment amateur de ce genre de pratique, je l’avais expérimentée pour la première fois début d’année avec le premier DLC de Final Fantasy XV qui s’était montré peu intéressant et finalement court. Avec Burning Shores, j’ai vraiment eu le sentiment d’en avoir pour mon argent, d’avoir pu me replonger avec plaisir dans l’univers de notre jeu préféré avec néanmoins suffisamment de nouveautés dans le gameplay, l’histoire et les lieux à visiter… Et je dois bien admettre que pouvoir s’évader de la sorte nous aura fait grand bien !

Les Sisters

Les Sisters

Auteurs : Gazenove, William
Editions : Bamboo Edition (2008)
Albums : 1-17, 19 (19)

1. Un air de famille
2. A la mode de chez nous
3. C’est elle qu’a commencé
4. C’est Nicole crème
5. Quel chouchoutte
6. Un Namour de Sister
7. Mon coup de soleil c’est toi !
8. Tout pour lui plaire !
9. Toujours dans les pattes
10. Survitanimés
11. C’est dans sa nature
12. Attention tornade
13. Kro d’la chance
14. Juré, craché, menti
15.
16. Cap’ ou pas cap’
17. Dans tes rêves.
— 18
19. Ça déménage


Titres : Les Sisters Auteurs : Gazenove, William Editions : Bamboo Edition Année : 2008
Les Sisters – Bamboo Edition, 2008

Voilà déjà quelques années qu’Alice et Juliette ont ramené les premiers albums BD des Sisters de la Brocante de Tilff. C’est vrai que longtemps c’était à contre coeur que je les voyais trainés dans leur chambre. J’aurais préféré qu’elles lisent des BDs plus « intéressantes », comme les Boule & Bill, les Schtroumpfs, Gargouilles ou encore Monster Allergy

Mais j’avoue, je n’avais jusqu’à aujourd’hui, jamais ouvert un album de cette série, et c’est finalement les nombreux épisodes à la télévision qui m’ont poussé à leur chipper un album pour me mettre à jour. J’ai choisi au hasard le 7° album qui trainait sur la table du salon. Et très vite j’ai compris ce qui pouvait tant leur plaire.

Dans notre famille de 4 enfants. Le grand frère, les deux jumelles et la petite dernière, chacune des situations des albums des Sisters peut trouver un écho à leur quotidien. Bien évidemment, avec beaucoup d’humour et d’exagération.

Alors, c’est vrai. Je préfèrerais parfois qu’elles imitent un peu moins Marine et Wendy quand elles se chamaillent à la maison… Mais cela leur donne, j’en suis certain aussi, un peu à réfléchir…

Lire la suite Lire la suite

Flash et technologie HSS

Flash et technologie HSS

©Godox

En mars dernier, j’avais commencé à envisager le remplacement du Flash principal de notre studio photo, un Godox SK300II. Voilà déjà quelques années que nous disposons de ce modèle, mais pour plusieurs raisons, madame réfléchissais à un nouveau modèle. En effet le Godox AD600 Pro, certes plus couteux permet beaucoup plus de possibilités quant à sa puissance en autre. S’il peut monter à 600w de puissance, il peut surtout descendre à 1/256 de celle-ci, contre les 1/16 du précédemment modèle. L’AD600 dispose également d’une option « rafale ».

Mais un autre élément est également à prendre en compte dans le projet d’investissement d’un nouveau modèle. Depuis plusieurs années, j’avais constaté que les différents Flashs que nous avions achetés limitaient le boitier photo à une vitesse de 1/200s voire 1/250, ce qui pour certain cas de figure est un peu lent pour obtenir une photo d’un sujet un peu plus mobile, parfaitement nette ! Je pensais la limitation propre au boitier, ce n’est pas tout à fait exact, il faut en réalité un boitier ET un flash compatible avec la technologie HSS : High Speed Synchronisation. (Synchronisation à haute vitesse)

Notre Nikon Z6II dispose de cette option, pas le Godox SK300II. Avec l’achat d’un Godox AD600 Pro, nous pourrions descendre techniquement jusqu’à 1/8000s, probablement moins, en fonction des réglages du Flash.

Il faudra également envisager l’achat d’un tube de remplacement par sécurité ainsi que l’adapteur secteur pour ne pas être uniquement dépendant de la batterie.

Godox Ad600 dans mon panier
Godox Ad600 dans mon panier

Lire la suite Lire la suite

Plongeons dans la pyramide de Montezuma’s Return

Plongeons dans la pyramide de Montezuma’s Return

Toujours à l’affût de nouvelles cartouches à découvrir sur Game Boy Color, j’avais été intrigué par Montezuma’s Return qui avait un petit coté « Rétro » qui me faisait penser à, excusez mes références, Rick Dangerous ou encore Pharaoh’s curse sur mon Commodore 64.

Montezuma's Revenge - Atari 8bits (Parker Bros. - Utopia Software, 1984)
Montezuma’s Revenge – Atari 8bits (Parker Bros. – Utopia Software, 1984) — source : Wikipedia

En réalité, le titre de Tarentula Studio propose en 1998, un revival de Montezuma’s Revenge de Robert Jaeger pour le compte de Utopia Software, édité par Parker Bros en 1984 sur les différents micro-ordinateurs de l’époque. On y contrôle Panama Joe, un explorateur tombé dans la tombe du roi aztèque Montezuma II, devant récupérer des trésors et traverser de nombreuses salles piégés. Le titre était visuellement très simple, rappelant Hunchback et Manic Miner. Pour ma part, je n’en avais jamais entendu parler jusqu’ici, bien qu’il soit sorti également sur le Commodore 64.

Montezuma's Return - GBC (Take Two - Tarantula Software, 1997)
Le travail visuel de la version Game Boy Color est particulièrement réussi

Dans cette nouvelle version sur Game Boy Color, les graphismes se sont un peu améliorés. Exit le coté gros pixels, nous avons cette fois droit à un style 8bits plus proche de la NES, ce qui offre à Montezuma’s Return un coup d’oeil qui lui permet de sortir du lot dans la ludothèque de cette console, hormis peut-être son affreux écran d’accueil !?

Une fois pris en main, les choses se corsent. Sans connaitre l’origine du jeu, on sent très vite que la progression sera régulièrement ponctuée de mort subite. On ne peut pas tomber de sa plateforme, on ne peut toucher aucun ennemi. Pas d’armes, pas d’objectif… Il va falloir explorer, être rapide et surtout précis !

Partie terminée !

Non d’un crâne de Crystal, ne réfléchissez pas trop longtemps, où une chauve souris viendra vous occire ! Ne sautez ni trop tôt, ni trop tard et surtout sur le bon timing. On comprend pourquoi on nous offre tant de vies !

Les niveaux sont vaches, pour ne pas dire vil lama. Aaah, le coup de cette corde à laquelle je m’accroche et dont le bout est enflâmés ! Que c’est vil, que c’est vil !

On sent donc dans ce retour de la licence, une volonté des créateurs du jeu d’offrir du plaisir au joueur et de l’emmener, avec eux, dans un un petit moment de nostalgie, le plaisir d’un jeu qui 15 années plus tôt, leur avait plu, sans pour autant frustrer le joueur. Car, bien que les écrans de « Partie Terminée » se succèdent, on remarquera assez vite qu’un système de progression permet à chaque perte d’un aventurier de ne pas recommencer au début, mais à l’entame d’une série de tableaux, ce qui est motivant pour la suite.

Avec son côté exploration qui invitent à essayer d’ouvrir différentes portes avec une clé, à tuer un ennemi pour passer par un côté plutôt qu’un autre, je me suis finalement retrouvé à prendre plaisir à rejouer plusieurs parties, là où en général le « Dead & Retry » n’a jamais été mon truc !

Une belle surprise donc que ce Montezuma’s Return !


 

Lire la suite Lire la suite