Difficile d’être passé à coté de l’info : ces dernières semaines ChatGPT s’est emparé de la Une des journaux. D’abord la presse spécialisée en Technologie et Numérique avant de devenir, si pas un phénomène de société, un gadget que tout le monde essaie. Mais il questionne également le monde de l’enseignement !
En effet l’Intelligence Artificielle est depuis le début de cette année sur toutes les lèvres depuis l’arrivée du phénomène ChatGPT qui permet aujourd’hui à tous de pouvoir tester et utiliser l’I.A. dans son quotidien !
Bon, je profite de cette journée pour poster ce lien mis de coté… Je commence à l’avoir un peu mauvaise du comportement de Pinnacle / Avid concernant le support foireux de Studio 14, la disparition de produit tel que Liquid 6/Avid 7… A l’heure actuelle, je n’avais pas accroché à Adobe Premiere 6, mais cela date, pas plus à Eidus Canopus. Final Cut me demanderait un Mac, mais pourquoi pas ?… j’avais donc vu ceci qui pourrait être une alternative intéressante : Lightworks !
En principe un projet qui devrait au final proposer un produit « libre » et compatible avec bons nombres de « plugins » et logiciels tiers, eux payant, tel que After Effect par exemple… Je me suis inscris pour faire partie des Beta Testers il y a quelques mois, no news… En tout cas, l’interface de cette image ne rebute pas du tout, que du contraire !
Noël dernier… après un premier étonnement de découvrir sur les ondes de Radio Contact une telle musique, je tombais amoureux des sonorités de Owl City et son morceau Fireflies… entre temps un album est sorti, et depuis cette semaine je cherche sur mon auto-radio les morceaux de l’album n°7 : Ocean Eyes… Je suis dans un état autre, pas second… autre… j’y suis, c’est moi… je suis là derrière mon ordinateur, j’ai composé cette mélodie, je la vis, je la fais vivre… tous ces petits sons électroniques pures vibrent en moi, ils fourmilles et parcours tout mon être… je suis Owl City… c’est à n’y rien comprendre.
Bon vous le savez, je suis musicien depuis longtemps, j’ai de quoi être fier de mes créations, même si ces derniers temps je n’ai plus fait grand chose… mais c’est la première fois que la musique d’un autre me fait cette effet… Mais il est vrai que les musiques de cet album ont un petit quelques choses de « moi »… Les sons, le style, l’ambiance… ce petit quelques choses de Radix, Hunz et autres musiques du monde de la Demoscène qui depuis toujours étaient mon influence principale… Entendre cela à la radio… vivre leur succès… Hier, j’ai regardais sur Youtube une vidéo filmée d’un portable de l’intro de leur concert… cela fait vraiment très Démoscène… Alors Owl City… qui êtes vous !!!
Un petit nuage qui ressemble à un petit cœur bleu. Un style sobre, tendance, Web 2.0… une jolie stratégie : « Rediscover your netbook, the OS your netbook has been screaming for » (Redécouvrez votre Netbook) … voici donc : JoliCloud.
C’est Geert qui m’avait signalé la sortie de ce nouveau système d’exploitation basé sur un noyau Linux, orienté et optimisé pour les Netbook, ces mini Pc Portable à la taille d’écran plus petite et surtout équipé d’un processeur économe et peu puissant… Ce qui est le cas de « mInIcIjI« , mon petit Acer Aspire One propulsé par un processeur Intel de 1,6ghz.
A l’origine, ce petit Netbook devait devenir un miniPC ciblé « émulation de jeux rétro » et découverte du monde Linux… Après une expérience Suse très décevante, je m’étais suffit de la dernière version Ubuntu (9.10) qui au fil des semaines étaient de moins en moins agréable, essentiellement dû à un problème de gestion de mon processeur… L’émulation de jeux n’était pas appropriée à l’architecture de la machine, et rapidement, l’utilisation de Linux hors « surf » était peu agréable et frustrante… (ligne de commande, ligne de commande)… J’étais donc très motivé par la découverte de JoliCloud.
En plus d’être un projet mignon, JoliCloud se targue d’une belle noblesse… développé par l’équipe qui a conçu Netvibes ! Le site de gestion de flux RSS que j’utilise 12h sur 24, ma page de démarrage, ergonomique, esthétique… Bref, la référence Web 2.0… Au bout de quelques heures en compagnie de JoliCloud, j’étais séduit.