Rien à faire, la musique dématérialisée, cela ne me parle pas sous ce format payant.
Entre 119€ et 179€ par an (en fonction de l’abonnement 1 utilisateur ou famille) !!! A ce prix vous pensez écouter ce que vous voulez. En réalité vous écoutez les propositions que Spotify ou autre vous propose.
Pour 119€, vous pouvez vous achetez facilement 10 albums CD neufs des artistes qui vous plaîsent, ou des compilations. On trouve les dernières nouveautés pour 15€ contenant parfois 100 hits.
Si vous voulez écouter un peu de vieux trucs, c’est encore mieux. Brocantes, Cash Express, Vinted… Il y a moyen de trouver de bons albums à 1 ou 2€ pour toute la famille.
Vos CDs, vous les ripper légalement en MP3 sur votre téléphone, iPad et autoradio, sur les appareils de chacun des membres de la famille intéressés, voilà qui est bien moins coûteux que les 179€ d’abonnement famille non ?
Vous pourriez même encore en revendre quand vous avez fait le tour du sujet.
Alors , ou donc est l’avantage de ces Abonnements musicaux !?
Ceci n’est pas une Game Gear,ceci n’est pas une GameBoy ! cette portable est une catastrophe de maniabilité avec sa croix directionnelle en travers et les jeux qu’elle propose sont loin d’être fantastiques… Mais surtout cette Game Master est un souvenir qui me lie à mon ami Xavier S. , trop tôt disparu…
Il y a, dans un coin de ma mémoire, quelques moments passés avec mon ami Xavier, trop tôt disparu, sur une atypique console de jeu monochrome. Une console proposant des jeux d’un niveau bien en dessous de ceux la Game Boy de Nintendo mais à la forme de la Game Gear de SEGA. Parmi ces jeux, un casse brique, une copie de Tetris, un titre avec un petit char d’assault dans un labyrinthe. Rien de bien folichon, je vous l’accorde, mais depuis plusieurs années, je me suis à la recherche de cet artéfact perdu !
En 2018, j’ai pu mettre la main sur la Game Master, une console qui aura tenté sa chance au tout début des années 90 de se faire une place dans un nouveau marché, celui des consoles portables. Il est encore difficile aujourd’hui d’être certains de la paternité de ce projet, puisqu’elle sera distribuée en Europe via différents distributeurs qui s’en attribueront la paternité, lui changeant parfois son nom et sa couleur. Le plus souvent appelée Game Master chez Hartung, Vidéojet ou Virella Electronics, on la retrouve au Royaume Unis sous le nom de Systema 2000 via le revendeur Systema. Il semble bien que ce soit via Hartung en Allemagne que le produit est initialement mis sur le marché, voire imaginé, on finira par la retrouvée en Asie, distribuée par Wattara !
C’est un élément intéressant à prendre en compte, tout d’abord, parce que les cartouches et certains éléments d’alimentation de la Game Master (1990-1991) sont similaires à ceux de la Super Vision, une autre console portable qui tentera de se frotter à SEGA et Nintendo dès 1992, fabriquée par Wattara ! En grattant un peu sur la toile, on se rend compte qu’il y aurait un partenaire financier commun entre les deux projets, Bon Treasure Industrial
Mais il faudra se contenter de ces quelques rares informations, la Game Master est assurément l’une des pires consoles de jeux de son époque et a probablement poursuivi sa carrière dans chez les forains en cadeau bonus !
Sous les traits d’une Game Gear, allongée, elle propose une grosse croix directionnelle décentrée et très basse et deux énormes boutons trop proche du bord. Mais finalement, ce sont les performance de la machine qui sont les plus catastrophiques, probablement moins efficace qu’une Atari 2600 de la fin des années 70 ! Alors que la Game Boy vient de sortir, nous avons droit ici un écran des 80 pixels sur 80 pixels et d’un processeur NEC similaire à ce que l’on retrouve dans les imprimantes de l’Amstrad CPC. Rappelez-vous, sir la Super Vision n’apprécie qu’assez modérément les piles rechargeables de notre époque, la Game Master ne pardonne pas, elle ne s’allume qu’avec 6 volt et pas un de moins, il lui faudra donc des piles alcalines neuves !
Il y a deux, alors que nous allions tous être confiné, je découvrais Vinted qu’il allait pouvoir m’accompagner dans tous ces longs moments de solitude, en autre pour palier à mon plaisir de faire les brocantes. J’y ai fait quelques ventes et surtout quelques super trouvaille pour l’amoureux des vieux souvenirs de ma jeunesse que je suis ! Mais, voici que depuis hier, pour ne raison que l’entreprise lituanienne n’a pas souhaiter commenter, il n’est plus possible de faire d’achat depuis son compte Paypal !
Quelle galère. Hors de question pour moi de cibler mon compte en banque ou ma carte de crédit !
La situation ne semble pour l’instant n’affecter que les utilisateurs non-français, dont la Beglique mais Vinted aurait visiblement prévu un changement de politique pour le 6 avril, sans plus de détail.
Fini le lèche-vitrine virtuelle… Heureusement, le soleil revient, le gouvernement fait tomber les masques et les brocantes vont pouvoir reprendre !?
Le précieux connecté et en attendant l’arrivée de Horizon Forbidden West dans quelques semaines, quels sont les titres déjà sortis qu’il pourrait être intéressant à découvrir sur la nouvelle PlayStation 5 de Sony.
Je me suis donc mis quelques titres à investiguer parmi les offres que l’on retrouvent en seconde main, les jeux PS5 étant assez « bon marché » comparativement au titres PS4 et Switch d’occasion !
En revanche, il y a très peu de versions Démo sur le store en ligne, je n’y ai trouvé qu’en cherchant bien que le titre plutôt sympathique Immortals Fenyx Rising, un jeu d’action/aventure d’Ubisoft qui rappelle un petit peu le style de la série Legend of Zelda : Breath of Wild, emportant le joueur dans un aventure dans la mythologie grec en jouant de manière très amusante dans un double récit entre Zeus et Prométhée. C’est visuellement chatoyant, et même si madame n’a pas été si emballée, je trouve que cette intégration de l’histoire de la Grèce Antique, en version française, dans l’univers vidéoludique m’a plus tout appâté !
La bonne nouvelle, c’est que l’on retrouve le jeu à moins de 20€ sur Vinted.
Déjà les deux pieds plongés dans le mois de novembre, l’anniversaire des filles passés, notre plongeon à Center Park également, il était plus que temps que chacun se lance à écrire sa petite lettre au Grand Saint Nicolas… Même si, j’en suis certain, il ne manquera pas de leur rappeler d’être un peu plus sage et d’être plus appliqué à l’école ! Ouaip !
Et temps, il l’est… De fait, il semble de plus en claire que le grand Saint Nicolas autant que son acolyte le Père Noël ont tous deux de gros soucis dans leurs usines. Difficile de savoir si les causes sont liées à des foyers de COVID chez les lutins, si quelques Pères Fouétards dissidents font du scalping des jouets les plus demandés par les enfants pour les revendre aux marchés noires. Si les grèves des douanes des nuages ont plus d’impact que l’Âne qui ne retrouve plus son pass-COVID….
Allé, cessons le sarcasme, et plongeon nous dans la bonne humeur de ce moment plein de magie… car bien qu’en retard, nos 4 morlocs ont tout de même eu la chance de voir Saint Nicolas et sa parades d’elfes le Week-end dernier !
La Parade de Saint Nicolas – Center Park, 2021
Cette année encore, Papa a bien fait savoir à tous les amis de Saint Nicolas de ne pas oublier d’envoyer à la maison les catalogues d’idées ! JouéClub, Broze, Carrefour, Spirale et Dreamland était donc au rendez-vous pour notre après-midi « Lettre à Saint Nicolas ».
Tout d’abord, chacun découvre et cherche ce qui l’intéresse dans les catalogues avant de faire ses découpages. Il faudra ensuite faire des choix, réfléchir à ce que Saint Nicolas n’a pas déjà apporté, ce qu’il est plus que probable qu’il n’apporterait pas et ce que l’on aimerait tant… afin de ne coller sur la lettre que les bons choix… Le dilemme est parfois intenable ! … Et l’on oubliera évidemment pas d’écrire un petit mot à Saint Nicolas et lui faire un petit dessin, n’est-ce pas ?