Difficile d’être passé à coté de l’info : ces dernières semaines ChatGPT s’est emparé de la Une des journaux. D’abord la presse spécialisée en Technologie et Numérique avant de devenir, si pas un phénomène de société, un gadget que tout le monde essaie. Mais il questionne également le monde de l’enseignement !
En effet l’Intelligence Artificielle est depuis le début de cette année sur toutes les lèvres depuis l’arrivée du phénomène ChatGPT qui permet aujourd’hui à tous de pouvoir tester et utiliser l’I.A. dans son quotidien !
On peut dire que la technologie me met à l’épreuve ces derniers temps. Après de longues semaines avec mon ordinateur en panne, l’inquiétude d’avoir perdu tout une série de mail,… je découvre aujourd’hui que le seul fichier important que construisait via le service Google Drive a disparu.
Grrr… de nombreuses années à produire ce document… j’avais migré vers une solution “cloud” via Google Sheet en 2016… j’avais encore intégré de nombreuses données dedans cet été… Depuis l’approche “brol” qui concentre tous les produits Google dans le même espace de stockage, aurais-je appliqué une action “faire de la place” de Google Photo qui aurait été dégommer mon fichier dans Google Sheets : (((
La situation est particulièrement étrange. Depuis la fin 2016, j’avais migré mon tableur Excel dans lequel j’encode la liste datée des près de 2.000 compositions musicales que j’ai réalisées intégrant entre autre les URLs où il est possible de télécharger les fichiers. C’est un travail de fourmi que je complète sporadiquement, et c’était encore le cas l’été dernier !
Ce fichier se trouvait sur mon compte Google Drive, via l’application Google Sheet… et c’est d’ailleurs le seul que j’utilise dans le service de Google, j’ai toujours trouvé ce dernier assez bordélique. En revanche, cela me permettait de pouvoir facilement mettre à disposition une version facilement accessible de cette liste, en lecture seule, à tous.
Mais aujourd’hui, plus rien ! Tellement plus rien, qu’il n’y même plus aucune mention de ce document nulle part sur mon compte, y compris dans le suivi des activités de mon compte…
J’ai déjà passé en revue les différentes options permettant en principe de récupérer des données, y compris contacter le SAV de Google.
Si l’opératrice était plutôt confiante, elle m’a d’abord signalé que le fichier avait été supprimé depuis plus d’un an. Ce qui me semble erroné. Elle m’a dit lancé une procédure de restauration de mon Google Drive qui pouvait durer 48h, mais je n’ai reçu finalement aucune confirmation par mail, ce qui est étonnant. Puis elle m’a dit qu’il lui semblait que rien n’apparaissait….
Bref, voilà qui m’apprendra à faire confiance aux nuages… D’autant que ce n’est pas la première fois que me repensant sur la facilité et l’immédiat de pouvoir accéder de partout et modifier du contenu de cette manière me joue des tours.
Il est en tout cas certain que l’archivage de toutes mes créations musicales va en prendre un sacré coup. La version physique la plus récente remonte à 2017, aucun liens, aucune statistique de téléchargement, et le contenu se terminait en 2006. Oh joie, oh désespoir.
Aujourd’hui la technologie Flash d’Adobe est abandonnée depuis déjà plusieurs années. Cependant, depuis le 1° janvier 2021, le player Flash s’est auto-désinstallé de la plupart des ordinateurs pour des questions de sécurité. Il n’est donc plus possible de jouer ou découvrir en ligne tout ce patrimoine propre aux Serious Games de cette génération. J’ai donc utilisé l’outil en ligne Ruffle qui permet d’émuler un fichier .SWF afin de garder un souvenir sur Youtube de notre projet de Noël développé il y a 11 ans.
Je me garde la référence ici, elle me sera utile pour trouver des solutions aux nombreuses petites applications et animations eLearning développées au cours des ces 20 dernières années…
Voilà un peu plus d’un an que j’encense mon Google Pixel 2 qui fait partie des meilleurs Photophones, non pas grâce à un capteur photo défiant la concurrence mais bien grâce aux prouesses des algorithmes et intelligences artificielles développés par Google. Des éléments parfaitement intégrés dans ce Smartphone.
Deux points fachent cependant. Tout d’abord, les deux premiers Google Pixel n’étaient disponibles que dans une poignée de pays. Le dernier Pixel 3 quant à lui, n’est toujours pas officiellement disponible en Belgique. Ensuite, là où l’approche de Google à l’époque du Google Nexus pour contrer ses rivaux étaient de proposer un Smartphone à un prix modéré sans concession de technologie avoisinant les 400€, les Googles Pixels à leur sortie fleurtent les 1000€.
Mais voici une bonne nouvelle ! Des rumeurs persistantes annoncent “déjà” un Google Pixel 3a qui devrait tomber sous les 500€ pour ce printemps !
Le Google Pixel 3a, modèle milieu de gamme du Pixel 3, serait vendu au prix de 450 euros en Europe. Un tarif agressif qui rappelle le positionnement du Nexus 5 à son époque. Une version XL sera aussi de la partie. Est annoncée une disponibilité dans les coloris noir, blanc et violet au printemps 2019. (Une info Phonedroid)
Les quelques infos que l’on peut déjà retenir serait un écran OLED de 2220 x 1080 pixels (5’6 et 6′ pour le XL). un processeur Snapdragon 670, 4go de RAM une batterie 3000Mha un capteur photo 12MP à l’avant, 8 à l’arrière. La finition du Smartphone pourrait être un peu moins “noble” afin de réduire les coûts. Bien évidemment, l’un des éléments important sera de savoir avec plus d’exactitude si Google aura misé sur le même capteur photo ou s’il aura là aussi tenté de réduire les coûts.
Il y a des choses auxquels on ne s’attend pas toujours… Partir en reportage vidéo une semaine au Japon en faisait clairement partie. De retour depuis quelques jours maintenant, il ne fait aucun doute que ce voyage m’aura marqué, tant pour l’intensité du projet que nous y réalisions que pour la découverte de ce nouveau monde à l’autre bout de la planète.
Depuis bien longtemps le Japon me fascinait tant pour sa culture du Jeux-Vidéo que pour les mangas,… mais aussi son architecture, ses voitures, sa culture, sa musique, ses produits multimédia ! Le Japon m’a toujours donné l’impression d’être une destination de pèlerinage numérique !
Certes, avec des journées de travail de parfois près de 18h, je n’ai pas vraiment eu l’occasion de flâner dans la ville. Néanmoins, travailler à 200 à l’heure m’a par contre permis de vivre à la même vitesse que la ville et mon esprit n’a cessé d’analyser et ramener des souvenirs, des mémos de cet univers quasi futuriste aux côtés de notre civilisation européenne encroûtée…
J-1 Let’s flight to Tokyo
12h de vols + 7h de décalage horaire, encore un train à prendre pour arriver à la gare de Tokyo et nous étions déjà à pied d’oeuvre pour tourner les capsules MOOC de la journée dédiées à “L’esprit Kyocera“. Nous le savions, la semaine serait intense pour boucler notre planning et ce rythme intense aidait aussi à ne pas succomber à la fatigue… Bref, il était déjà tard lorsque nous arrivions ensuite à l’hôtel, nous laissant une fin de soirée pour découvrir la cuisine locale, les galeries souterraines de magasins improbables et rapporter les premières images d’Akihabara, le quartier historique du jeux-vidéo japonais. Je pensais y “perdre” des albums de musique made in Cyborg Jeff, mais force m’est de constater qu’il est impossible de perdre quelque chose au Japon,… On viendra toujours vous le rapporter !
Dès cette première journée, le choc était impressionnant. Nous avions la grande chance d’avoir Claire à nos cotés qui parle le japonais couramment et connait parfaitement la ville. Sans cela, il aurait été impossible d’être autant efficace dans l’organisation de nos déplacements… ou tout simplement choisir notre repas ! J’espérais partir sur place avec mon “Apprends le japonais” sur Nintendo DS, mais ce dernier s’est perdu dans un bureau de poste. Je n’avais donc en poche qu’un Moshi Moshi, Konishowa et Sayonara issu de mes lectures de Yoko Tsuno… Et ce n’est guère très utile ! Si il y une phrase à retenir, ce serait plutôt : 有難うございます。(à prononcer : Arigatougozaimaaaas) qui veut dire qqch du genre : Un tout grand merci ou Au revoir et merci beaucoup…