Aaah les courses de voitures !! Si beaucoup d’hommes sont fans de foot, ma Snorkys a la chance que je ne soit vraiment, vraiment pas intéressé par ce sport(bon j’ai d’autres vices,… mon PC par exemple)… Mais par contre les courses de voitures, ca c’est autre chose… surtout en jeu. Souvenez vous, début de l’été je vous parlais de Need For Speed et consort… je lui ai trouvé depuis le mois passé un jeu bien plus à mon goût : Sega Rally !
Allé hop, encore un plongeon dans la passé, je vous présente ma 2° compilation des meilleures mélodies de jeux vidéo au travers des âges. On commence loin, loin dans le temps en 1978 avec les sonirités de Space Invaders (piste 1) remises en musique dans un arrangement rock par le japonnais Toshihiro Nishikado pour le 20° anniversaire de la série.
The Legend of Zelda – NES (Nintendo, 1987)
Nettement plus tard (1985 et 1987), la console NES de Nintendo s’illustre avec de très belles compositions de Konji Kondo qui suivra d’ailleurs les séries Super Mario Bros (piste 2) et Legend of Zelda (piste 4) aux fils des années. Toujours sur cette console vous pouvez vous rappeler au bon souvenir de l’oncle Picsou à la recherche de trésors dans la forêt amazonienne dans Duck Tales de Capcom composé par Yoshihiro Sakagushi en 1990.
En paralèlle à cette époque, le C64 s’illustre également avec des compositeurs européens talentueux tel que Rob Hubbard dont je vous présentais hier la bande son du jeu Warhawk (piste 3) édité par Firebird en 1986, ou encore Chris Huelsbeck mettant en musique l’adpatation de R-Type (piste 5), une des séries Shoot’m up les plus connues, avec ici une musique de son cru composée en 1988.
Les sonorités 8 bits par la suite, commenceront à disparaitre petit à petit, hormi sur le console portable de Nintendo, ou quelques sons plus épurés feront encore les beaux jours nottament de Super Mario Land 2 (piste 13) composé par le japonnais Kazumi Totaka en 1992.
Publicité pour le Commodore 64 dans le Bild de mai 1986 — source : Frankie’s C64, 2004
1983, peut-être 84, j’ai alors 6 ans… Je ne sais rien des ordinateurs, ni même des jeux-vidéos, je me contente alors de mes LEGO et PLAYMOBIL… Jusqu’au jour ou mon paternel ramène à la maison un ordinateur dernier cri : un Commodore 64 ! J’ai longtemps d’ailleurs cru qu’il avait gagné à un concours chez GB, car il est vrai qu’il s’arretait souvent chez Maxitec dans le stand de démonstration.
Le C64, ordinateur mythique de la génération 80, vous aurez pu le lire, est souvent cité parmi mes références vidéoludiques, graphiques et musicales… Mais je n’avais jamais pris le temps de lui consacrer quelques lignes, mais je me suis enfin décidé à le faire après avoir passé la soirée d’hier sur le blog d’un autre passionné à l’autre bout de… la Belgique : http://c64charleroi.skynetblogs.be/
A défaut de pouvoir ressortir le mien, ni même ses disquettes (bien que j’ai relancé quelques pistes), j’ai dû donc faire fonctionner la machine à souvenir, histoire de vous faire redécouvrir les jeux qui ont donc bercés mon enfance, celle de mon frère d’un an plus jeune, … et ma petite soeur, pourtant née en 83.
Youhou, au bout de plusieurs années de discutions avec l’équipe du site Lost Treasure, voici qu’apparait aujourd’hui ma première contriubtion jeu : BC Racers… Il s’agissait d’un Mario Kart like dans l’univers des Pierre à Feux… sous MS-Dos.. bon c’était loin d’être un méga jeu, mais c’était qd même comique ! Et le lendemain, on enchainait avec la version PC de Altered Beast de SEGA, un Beat’m all.
S’il n’y a pas grand chose de plus à dire sur BC Racers, Altered Beast à lui une place plus importante dans mon passé vidéoludique, ce qui mérite un petit ajout sur le sujet !! ;)
Il me semble qu’à la base ce jeu est une adaptation d’une version Borne d’arcade, pour les modeste PC de l’époque.. nous sommes alors en 1990 ! et je jouais donc à une version EGA 16 couleurs sur PC Speaker.. chez Alain & Annick… Assez simple au bout du compte, on incarne un guerrier grec qui combat des zombies,… il faut guetter les lions bleus, car lorsqu’on en tue un, un petit « diablotins » s’envole, il faut alors l’attraper… Au bout de 3 coups réussits (sur 4 possibles), notre héros se transformera alors en bête féroce aux forces décuplées…