Petite pause ce soir pour vous parler du 5° album de musique parmi mes préférés : Final Fantasy X – Piano Collections !
Début de ce millénaire, grâce à Internet je découvre qu’il existe de nombreux albums des meilleures musiques de jeux vidéo, c’est que l’on appelle des OST (Original Sound Track). Depuis toujours la musique de jeux vidéo me passionne et cette découverte va fortement modifier les morceaux de mes CDs rewritable MP3 que j’écoute alors dans le bus !
Quelques albums ressortiront du lot, et il me semble que celui que j’écoute encore aujourd’hui le plus souvent est la bande originale du jeu Final Fantasy X dans son édition Piano Collections. Si les musiques originales du jeu composées par Nobuo Uematsu pour la Playstation 2 sont déjà magnifiques, chaque épisode de la série a également droit à une « Piano Collections » qui reprend l’ensemble des musiques du jeu ré-arrangées au piano et interprétées par Aki Kuoda.
Ce que j’aime par dessus tout dans les musiques de jeux vidéo, c’est évidemment qu’elles me contextualisent dans une autre époque en me faisant revivre le sentiment d’évasion vécu à ce moment là, plusieurs années au par avant, dans un autre fauteuil, une autre télévision, parfois avec des amis, un autre vécu,… Avec celui-ci, c’était notre toute petite maison, mon fauteuil bleu roi et la nouvelle télévision grise. On était à même pas 1m du meuble.. On allumait la console, on oubliait notre quotidien peu amusant de l’époque pour se plonger dans une grande aventure !
… Nous nous sommes mariés sur At Zanarkand qui ouvre cet album, je nominerai donc ma Snorkys à nous présenter ces 10 albums de musique les plus marquants. Elle pourra suivre ou pas la règle de ne proposer que la pochette sans rien dire de plus… Je serais bien curieux de découvrir ceux qu’elle aura choisi !
Confinés, depuis deux mois. Voici en fin de quoi nous évader une fois le soir venu : Final Fantasy VII : Remake !
Voilà de quoi occuper les soirées déprimantes de (dé)confinement
Un petit peu d’histoire tout d’abord. Madame et moi avons découvert la série des Final Fantasy en septembre 2000 avec l’épisode VIII, second volet de la saga à sortir sur la console PlayStation un an plus tôt. A l’origine donc, Final Fantasy VII est le premier épisode de ce grand classique des jeux RPGs japonais de Squaresoft, sorti en exclusivité sur la console de Sony en 1997. Après une série d’épisodes conçus sur les consoles de Nintendo, cette nouvelle aventure troquait pour la toute première fois sa vue du dessus de la génération 16bits pour proposer des personnages animés en 3D vectorielle intégrés dans des décors fixes et des arènes de combat en 3D.
Pour une grande partie des amateurs de la série Final Fantasy, ce 7° opus était considéré comme le meilleur avec son univers Cyberpunk à la Blade Runner, ses mélodies envoutantes et près de 60 minutes de cinématiques le tout sur 3CDs !
Néanmoins, la découverte de cet épisode ne s’est jamais présentée. Finissant tout juste l’épisode VIII, arrivait l’épisode IX dans un univers Fantasy bien différent, puis l’arrivée de la PlayStation II avec Final Fantasy X, X-2 et plus tard XII. Le décevant épisode XIII sur la PlayStation 3 et un retour plutôt réussi avec Final Fantasy XV sur la PlayStation 4 il y a deux ans,… C’est donc avec un interêt marqué que j’attendais l’arrivée de ce Final Fantasy VII : Remake !
FFVII PS1 VS FFVII Remake PS4
FFX PS2 VS FFX HD Remaster PS3/PS4
D’autant qu’il ne s’agit pas ici d’un simple portage en HD comme Square Enix nous l’a proposé ces dernières années pour les épisodes sortis initialement sur la PlayStation 2.
Non, une version entièrement remaniée avec les performances du moment, on en parle depuis 2005, alors qu’un film d’animation autour de l’univers de Final Fantasy VII : Advent Children venait de sortir, un projet qui reposerait sur les performances de la nouvelle PlayStation 3. Le projet resta silencieux jusqu’en 2015, alors que l’on nous présentait le prochain Final Fantasy XV sur la PlayStation 4, l’info d’un portage sous un format épisodique de Final Fantasy VII était à nouveau évoqué.
La démo téléchargée fin février, un démo particulièrement bien fournie, ne laissait aucun doute quant à la qualité de ce Remake. Il allait donc falloir attendre jusqu’au début avril, pour la sortie du jeu, livré par Amazon quelques heures avant de passer eux aussi en lockdown… Et pourtant, ce n’est que depuis quelques jours que nous nous avons mis les pieds à Midgar !
Cloud entre dans le réacteur Mako, FFVII, 1997
Bienvenue à Midgar, FFVII Remake, 2020
Il ne faut guère y jouer longtemps pour être happé par cette nouvelle aventure. Tout d’abord, l’univers que je qualifierais de Néo-Tokyo plus que de Cyberpunk, peut-être un peu sombre au début, est vraiment réussi. Egalement parce qu’en quelques minutes, on se sent pris dans l’histoire de Cloud, un ancien soldat de la Shinra venu prêter main forte à une bande d’éco-terroristes dont la mission est de faire exploser l’un des réacteurs Mako de la mégalopole de Midgar.
Pourquoi êtes-vous là, quelles sont les motivations de tout ce petit monde, pourquoi tant d’animosité autour de la Shinra et son contrôle de la Mako. Ce sont évidemment les questions que l’on se pose, mais de manière parfaitement maitrisée tous ces éléments vont trouver des réponses au fil de l’aventure sans que cela ne perdre le joueur. C’est un aspect important, car il faut bien admettre que par moment les équipes en charge des scénarios de la série Final Fantasy avaient cette mauvaise manie de concevoir des univers politiques tellement tordus que l’on avait bien du mal à comprendre l’histoire !
Pour le coup, Cloud et son sale caractère énigmatique se retrouve entouré de différents autres personnages particulièrement charismatiques. De Barrett qui fera évidemment à penser à Mister T à Biggs et son air d’Obélix et bien évidemment les trois jeunes demoiselles, Tifa, Aerith et Jessie qui gravitent autour de notre héros. On prend plaisir à découvrir les liens entre tous. Bref, sans pouvoir comparer avec l’épisode originale, je ne peux que confirmer que Square Enix se reposer avec ce Remake sur un univers et une histoire qui vous scotcher dans votre canapé, manette à la main !
Cloud rencontre la vendeuse de fleurs au début de l'aventure, FFVII Remake, 2020
Cloud rencontre la vendeuse de fleurs au début de l'aventure, FFVII, 1997
L'impressionnant Barrett, FFVII Remake, 2020
L'impressionnant Barrett, FFVII, 1997
Jessie, fille ou garçon ? FFVII, 1997
Pas de doute, Jessie est bien une fille ! FFVII, 2020
Tifa, un style très Tomb Raider, FFVII, 1997
Tifa, peut-être le personnage auquel j'accroche le moins, FFVII 2020
Madame qui joue, madame qui s’approprie la manette de la nouvelle Switch. Je n’y croyais plus tant. Confinés à la maison, voilà qui bouleverse un peu l’organisation du quotidien. Le studio photo est à l’arrêt et aujourd’hui le soleil s’est caché. Voilà une bonne raison de se planter devant l’écran pour cultiver sa ferme, pêcher des poissons et chercher de l’or dans la mine !
La série Harvest Moon fait peau neuve… et se transforme en Story of Seasons. – 11 Janvier 2016
Non, ici, nous n’avons pas succombé à la folie des millions de joueurs sur Nintendo Switch qui font prospérer leur petite île dans le tout nouveau Animal Crossing, car depuis près de 20 ans maintenant, la série jeux-vidéo d’aventure/gestion/crafting qui plait à madame s’appelle Harvest Moon, devenue depuis 2016 avec son épisode 3DS « Story of Seasons« … Bon en réalité, c’est un peu plus compliqué que cela, c’est évidemment une histoire de droit, Marvelous a récupérer les droits sur l’ensemble des précédents épisodes et s’occuper de la diffusion de la localisation des épisodes chez nous. Néanmoins, Natsume est toujours propriétaire du nom « Harvest Moon », les nouveaux épisodes de la série sortent donc sous le nom « Story of Seasons », mais certains épisodes réalisé de A à Z par Natsume garde le titre d’Harvest Moon… Il y a de quoi s’y perdre !
Avant de revenir sur les différents épisodes de la série qui sont passés par chez nous, je dois bien admettre que cette étonnante aventure de la série Harvest Moon intégrant des personnages du dessin animé japonais Doraemon que nous ne connaissons par ailleurs pas du tout a pris une direction artistique particulièrement jolie !
Doraemon : Story of Seaons - Switch (Namco Bandaï - Brownies - Marvelous, 2019)
Doraemon: Story of Seasons - Switch (Namco Bandai - Brownies - Marvelous, 2019)
Doraemon: Story of Seasons - Switch (Namco Bandai - Brownies - Marvelous, 2019)
Doraemon: Story of Seasons - Switch (Namco Bandai - Brownies - Marvelous, 2019)
Doraemon: Story of Seasons - Switch (Namco Bandai - Brownies - Marvelous, 2019)
Doraemon: Story of Seasons - Switch (Namco Bandai - Brownies - Marvelous, 2019)
Doraemon et ses amis, on trouvé une graine, ils l’ont plantée, un arbre gigantesque a poussé (oui, cela me fait penser à Mon Voisin Totoro que je viens de découvrir), et les voilà emporter dans un étrange village ou chacun va devoir trouver du travail. Notre petit héros Nobi Nobi héritera d’une ancienne ferme où il devra s’occuper de cultiver de nombreuses choses avant de pouvoir par la suite partir à la pêche, à la mine et accueillir des animaux. Un concept récurrent à la série. Il faudra évidemment apprendre à connaitre les différents habitants de la ville afin de pouvoir leur rendre service, voir leur offrir de jolis cadeaux qui vous permettront de les compter parmi vos amis. Avec son esprit enfantin lié à la série Doraemon, certains aspects qui demandait de courtiser gentiment les jeunes filles du village afin de trouver sa future compagne ne se retrouvent pas dans cette épisode.
En mode #Stayhome depuis bientôt 4 semaines, je n’ai guère trop le temps de me rouler les pouces. Entre les devoirs, les enfants, le télétravail… j’ai surtout mis à profit les moments de temps libre pour occuper les p’tits monstres ou m’occuper du jardin baigné de soleil ! Ceci dit, je n’ai pas trop envie de lire trop d’actualité… COVID19, COVID19… j’ai besoin de penser à autre chose. Je me suis dit donc dit que ce serait le bon moment pour sortir de sa pochette la console portable de Sony, la PSP. Mon joli modèle fuchsia était venu s’ajouter à ma collection il y a déjà deux ans. A cette époque j’en avais juste fait un tour d’inspection avant de partir vers le sud avec en « poche » quelques jeux à faire découvrir à Charly.
Etonnement, je ne m’étais que très peu intéressé à cette console qui arrivait chez nous durant l’automne 2005, près d’un an après sa sortie au Japon. Cette première console portable du fabricant Sony fut donc la rude concurrente de la populaire Nintendo DS. Chez nous, c’est la portable de Nintendo qui avait eu nos faveurs dès sa découverte en 2006 et jusqu’à il y a peu encore avec les premières consoles des enfants. En main, la PSP est pourtant un bel objet qui rappelle l’élégance des téléphones de la marque ! On est loin du style « GameBoy », Sony a créé, comme il l’avait fait avec la console PlayStation, une portable mature et dont l’une des originalité est le stockage des jeux et films sur support UMD, une évolution des Minidiscs que la marque avait tenté d’imposer sur le marché HiFi à la fin des années 90.
A trouver, Ultimate Ghosts’n Goblins sorti 2006
Si la Nintendo DS lui avait été préférée, c’est essentiellement une question de ludothèque ! En effet, la majorité des jeux arrivant sur la PSP sont des adaptations de jeux présents sur la PlayStation 2 : Final Fantasy, Metal Gear Solid, Kingdom Hearts, GTA, Daxter, Ratchet & Klang,… Or, j’ai déjà tout l’équipement nécessaire pour jouer à ce type de jeux sur ma télévision !
Aujourd’hui, c’est avec un tout autre regard que je découvre la console et tout la série de jeu de ma collection. Il s’agit donc d’une PSP de série 3004, console de 3° génération qui débarque en 2008 avec notamment un écran amélioré, qui reste malgré tout un peu fade en pleine lumière. Aujourd’hui, il est assez facile de trouver pour quelques euros de nombreux jeux PSP qui est clairement dans le creux de sa vague d’intérêt, même si bien évidemment certains titres sont plus difficile à trouver, comme par exemple Castlevania : The Dracula X Chronicles ou Ultimate Ghosts’n Goblins.
Gratter le bitume.
Gratter le bitume sans me prendre la tête, sans parader dans les rues, sans tutos et sans leçons de freinage. C’était mieux avant quand mêm
Comparativement à la Nintendo DS et sa puissance 3D largement en retrait, la PSP de Sony propose un très large catalogue de jeux de course de voiture. Sega Rally, Burnout, Motorstorm et les épisodes annuelles de la série Need for Speed, le choix est vaste ! Si à l’époque on faisait évidemment mieux de la PlayStation 2 à la PlayStation 3, se caler dans son fauteuil avec sa PSP à gratter le bitume sans aucune prise de tête plutôt que de lire les statuts confinés sur Facebook est loin d’être déplaisant. Graphiquement, sur le petit écran de la PSP, les titres ne souffrent pas trop d’une 3D vieillissante, même les jeux de la première génération auquel j’ai joué (WRC et Need For Speed : Most Wanted) ne s’en sortent pas trop mal. Néanmoins, les titres réalisés en parallèle à la sortie d’un jeu sur la PlayStation 3 sont clairement un cran au dessus ! La folie des circuits de la série Motorstorm est parfaitement retranscrite dans l’épisode exclusif à la PSP Artic Edge. Burnout Dominator nous invite à des courses endiablées et cascades en tout genre avec autant de réussite que les épisodes auxquels je jouais en fin de vie de ma PlayStation 2. Enfin parmi les titres essayés, c’est clairement SEGA Rally EVO et Need For Speed Shift qui m’ont apporté le plus de satisfaction.
Pour moi, un livre n’est pas juste une histoire à lire. C’est aussi un compagnon que l’on prend en main et qui nous rappelle alors tout ce que l’on a construit dans sa tête en le lisant.
Voilà, plus d’un an que j’ai envie de découvrir l’univers de Mortal Engines, mais le premier tome, difficile à trouver en librairie ne semblait exister qu’avec la couverture à l’effigie du film, que je n’ai pas vu et que je ne voulais pas voir, histoire de me laisser construire moi même ce monde à découvrir.
Bref, la faute à Fred, j’ai installé #Vinted et je l’y ai trouvé pour 3x rien, l’édition que je cherchais !
Cela faisait partie de mes résolutions pour 2020, je vais tenter de transformer certains moments « perdus » sur Facebook par de la lecture. J’ai des tas de BDs à lire, mais ce WeekEnd, j’ai même tenté de lire mon nouveau roman pendant que les enfants jouent dans la maison. C’est chaud, mais j’ai tout de même réussi à me plonger dans la première chasse du premier chapitre… qui me laisse dans la tête un héro à l’image du jeu Dark Chronicle auquel j’ai joué il y a des année sur la Playstation 2.