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Tag: Pix’n Love

Video Games, jusqu’à la dernière page.

Video Games, jusqu’à la dernière page.

Et voilà, je viens de terminer les dernières pages du roman Video Games, un livre présenté un peu avant Noël comme le « Twilight » pour Geek fan de jeux vidéo et mettant bien en avant sa paternité par le scénariste de la série en vogue : Game of Thrones.

Commencé il y a seulement 2 mois, j’ai été assez rapide pour venir à bout des 300 pages de ce roman. Il me faut bien admettre que le début m’avait plutôt bien attiré, et j’avais enfilé les chapitres rapidement pendant mes vacances à Montpellier. Mais rapidement l’ambiance qui me plaisait s’est évaporé et fil des chapitres la motivation à pour suivre la quête d’Adam Pennyman n’était plus là.

C’est vrai que j’avais pourtant bien accroché à l’approche métaphysique étonnante proposée sur Pacman ou Donkey Kong. A la relation ambiguë entre le singe, la princesse et le charpentier… à l’espace intemporel que parcours Pacman lorsqu’il traverse le tunnel,… mais hormis cela, de nombreux éléments ont commencé à me déranger.

Je pense que tout d’abord, le plus difficile est de pouvoir s’identifier à Adam. Ses réflexions entre sa quête aux motivations tordues et le monde autour de lui, son boulot, « les femmes » est tellement bizarre que l’on ne peut s’y retrouver. J’ai même eu de fil en aiguille un besoin de me désolidariser complètement de toute ressemblance éloignée à quelqu’un comme lui.

On sent également fortement une grosse différence de qualité et d’intérêt dans la narration entre certains chapitre. Et pour cause ! A l’origine, il s’agit d’une nouvelle « Lucky Wander Boy » écrite au début des années 2000. Elle raconte l’histoire d’Adam qui part à la recherche désespérée de la conceptrice d’un jeux-vidéo très rare qui l’avait marqué quand il était gamin… Autour de cette dernière, D.B. Weiss à broder une histoire un poil plus complexe,… juste un poil. Alors que je m’attendais à une histoire « moderne », on sent très vite des références à un univers « Geek » qui n’a existé qu’une fraction de seconde dans notre monde…

En effet en 2013, une histoire qui se place à l’époque de l’arrivée des d’Internet et des Start up à la Yahoo et Caramail, fait bien vieillotte.

Bref, très rapidement, le concept du catalogue de jeux obsolète, laisse place à des délires sur des jeux qui n’existe pas en réalité, tel que Eviscerator et Lucky Wander Boy… Et j’ai un peu de mal à vraiment accroché à tout cela.

Bref, Video Games reste pour moi une déception. Je dois bien dire que je préfère mille fois lire un bon Pix n Love pour rester dans le sujet. Mais au moins suis-je arrivé au bout !

Je passe donc maintenant au roman Les Âmes Vagabondes, qui vient d’être transposé au Cinéma.

Joyeuses Fêtes !

Joyeuses Fêtes !

Si d’aventures il vous arrive encore de venir vous perdre sur mon Blog, et ce Noël et Nouvel An, je vous souhaite de Joyeuses Fêtes ! Plein de bonheur avec vos enfants, conjoints et famille. De la réussite dans vos projets et toutes ces autres choses qui donnent le sourire. Je sais qu’il en faudra beaucoup !

A l’heure où Facebook perd de plus en plus de visibilité et où la consommation d’informations Web est de plus en plus rapide et jetable, j’ai toujours autant de difficulté à trouver ma place en tant qu’acteur du Web et ce sans y insérer l’ingrédient financier. A savoir sans payer pour être vu ou sans être payé lorsque je suis lu. Peut-être devrais-je tirer plus parti de Twitter, même si je ne l’aime pas ou m’investir dans Google+ … ou tout simplement enfin donner un peu de fraicheur à mon thème graphique, qui a tout de même plus de 5 ans !

C’est un peu aussi le temps qui me manque. Comme vous le voyez la famille est bien garnie, et même vous en parler, histoire de faire profiter par exemple les futurs parents de jumeaux n’est pas si simple…. Je me retrouve bien souvent, moi aussi un consommateur de fastfood du web derrière ma tablette, ne pouvant pas souvent faire plus que de survoler l’information.

Bon, je clôturerais ce petit post de Noël  par la liste des très nombreux articles entamés cette année et que je n’ai pas pu terminer : Le Test du Fuji X100, trouver de l’espace dans la maison ou ailleurs, quelques mots d’encouragement pour notre Jérome d’Ambrosio national, quelques mots avant les vacances d’été, l’attente inexorable de ma NES et SNES, un Pix n Love dédié à Monkey Island, la problématique des fichiers M2T dans FCPX, un test de Rolo the Rescue et Wario Land 2, mes impressions sur la 3DS, des soucis avec Pinnacle Studio et quelques autres réflexions…

Et moi, je jouais à Moktar !

Et moi, je jouais à Moktar !

Les aventures de Moktar – écran de titre

Hé oui, pendant que vous étiez devant votre télévision à trouver les diamants cachés de Sonic et la Star Zone cachée de Super Mario World, moi je partais au secours de la Zoubida sur mon tapis volant ! Comme je vous en avais déjà parlé, quand CJ était petit, les consoles de jeux n’étaient pas admises à la maison. J’avais eu le privilège d’être l’un des premiers équipé informatiquement dans le quartier, avec mon super Commodore 64, mais il fallait bien admettre qu’en ce début des Nineties, il commençait à faire pâle figure au coté des Megadrive et Super Nintendo…

Ceci dit, mes deux meilleurs amis n’avaient pas plus de consoles que moi chez eux à cette époque… Allait commencer la grande aventure du jeu sur PC ! Bon, il fallait bien admettre que celui que nous avions à la maison était loin de me donner envie. Avec son écran monochrome et son beeper intégré, il n’avait pas grand chose pour rivaliser coté jeu avec le commodore 64, si ce n’est un chargement un peu plus rapide. Mais fallait-il encore en trouver, puisque le paternel avait choisi de brider l’appareil avec un lecteur 5’1/4 à l’ancienne.

The Blues Brothers – Titus

C’est donc avec mes amis Alain, Julien et Vivien que j’allais partir en quête de substituts de Super Mario, et l’un des premiers titres à faire son effet sera Blues Brothers réalisé par les français de Titus. Plus que probablement très inspiré par Tic & Tac : Rangers du Risque sur NES, ce jeu de plate-forme en utilise une mécanique assez similaire, la possibilité de contrôler deux personnages en même dans un jeu de plate-forme, où nos deux héros peuvent ramasser des caisses, qui leur serviront d’armes contre leur ennemis ! Graphiquement le jeu est bien réussi et offre en mode VGA, un style graphique un poil au dessus des jeux NES. Les musiques reprennent les thèmes de Blues Brothers, et même en mode PC Speaker, le résultat est attractif. Séduit par la qualité du jeu, je serai alors à l’affut des jeux suivants que seront notamment la série Prehistorik et Les Aventures de Moktar.

Moktar, Moktar, mais oui bien sur ! C’était l’amoureux de la Zoubida, celle-là même qui offrait une nouvelle place dans le TOP 50 à l’humoriste français Vincent Lagaff. Si pour moi à l’époque Moktar était le meilleur jeu de plate-forme de tous les temps, sur mon PC, du coté de chez Titus le projet Moktar était un projet tout ce qu’il y a de plus alimentaire. Réaliser un jeu vidéo sur ce que nous appellerions maintenant un buzz, en 2 ou 3 mois, en reprenant le code déjà pondu dans Prehistorik et Blues Brothers, dixit le chouette article publié dans le Pix n Love #15, dont j’ai terminé la lecture pendant mes vacances.

http://www.youtube.com/watch?v=54YE868-LLw

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SEGA, c’est plus fort que toi !

SEGA, c’est plus fort que toi !

Bien qu’aujourd’hui je sois un grand fan de Mario et Nintendo, si je me pose un moment sur la grande époque du début des années 90 où le combat SEGA VS Nintendo battait son plein, Il me faut bien admettre que j’avais plus d’intérêt pour la Megadrive que la Super Nintendo. Plusieurs raisons à cela :

Tout d’abord, les courses folles de Sonic le hérisson avaient de quoi donner le tournis. Peut-être bien plus que les sauts calculés d’un Super Mario qui avaient déjà peut-être perdu de son effet « nouveauté ».

Autre élément important, l’attaque des foyers. SEGA, c’est plus fort que toi ! Et comment, la Mega Drive avait fait son entrée chez mes petits voisins Greg & Joe, chez Benoît le fils de ma marraine ou encore chez mon ami Bruno. Alors que longtemps, seul notre Julien avait une Super Nintendo. Ma passion des jeux vidéo a toujours été un mélange de moments forts passés avec mes amis. C’est ça qui a fait devenir cultes pour moi les voyages au cœur du labyrinthe englouti des aventures de Sonic, les combats endiablés de Streets of Rage II ou là découverte des mondes secrets de Kid Chameleon.

Jeune ado de 14 ans, les consoles n’étaient pas autorisées à la maison. Par contre, en lavant régulièrement la voiture, j’arrivais à récolter la somme nécessaire pour m’acheter le magazine Mega Power,  dédié aux consoles SEGA. Je pouvais alors parcourir sur papier les niveaux d’Alien et Batman, rêver d’un jour jouer à Rolo the Rescue et surtout, surtout… faire découvrir les astuces, codes et passages secrets à Greg & Joe !

Puis, rapidement, l’engouement Mega Drive retomba. Peut-être parce que j’ai fini par faire rentrer une Super Nintendo à la maison, ou parce que mon PC s’équipa de couleurs et de son,… puis de 3D même. Ce n’est que plus tard que j’ai appris qu’une Sega Saturn avait vu le jour, et ce n’est qu’en 2006 que j’ai vu ma première Dreamcast…. Bref !

Il y a maintenant déjà quelques mois, j’ai récupéré de la part de KingSteph, une console Mega Drive II. Elle a patienté quelques temps dans la boîte à chaussures qui la protégeait, jusqu’au jour où l’ami Stephane Delsemme m’a généreusement retrouvé de chez lui quelques cartouches de son enfance. C’était pour moi l’occasion de trouver comment brancher la brave à ma super TV Sony Bravia moderne. En mode RF et sans Télédis, j’arrive donc à faire apparaitre l’écran de Sonic the Hedgehog sur le canal C36 norme B. Ce n’est pas le hérisson qui m’intéresse, car honnêtement, ce premier Sonic j’en ai fait le tour déjà pas mal de fois, récemment encore avec les versions de la Virtual Console de la Wii ou la compilation Megadrive sur PS3… Non, ici c’est à Aladdin que je veux jouer !

En effet, les aventures d’Aladdin, sorti en 1993, suivent bien sûr celles du film de Walt Disney de la même époque. J’avais déjà eu l’occasion d’y jouer sur Super Nintendo avec pas mal d’intérêt et j’étais très curieux de découvrir la version Megadrive… bien plus agréable ! En effet, on sent tout de suite qui se cache derrière cette version : David Perry à qui l’on doit les animations incroyables de Cool Spot et Earthworm Jim. Ici aussi, l’animation des sprites est brillante, la musique avec son petit coté FM ne s’en sort pas trop mal, et surtout, le gameplay est bien plus prenant que dans l’épisode SNES. Passages secrets, maniement du sabre, jeux bonus… Aladdin est une vrai réussite !

L’année suivante, fortes de la réussite d’Aladdin, Virgin et Walt Disney s’associent une fois de plus pour la réalisation du jeu vidéo du nouveau Dessin Animé : Le Roi Lion. L’équipe de Disney s’est cette fois impliquée dans la réalisation des animations du petit et du grand Simba pour sortir un jeu de plate-forme absolument incroyable. Remettez-vous donc dans le concept. Oser sortir un jeu vidéo dont le personnage est un… Lionceau, qui saute de caillou en caillou avec son petit rugissement. Franchement, il fallait l’oser et surtout le réussir ! Chose faite.

Bien sûr, il faut s’accrocher, comme dans tous les jeux de l’époque. Jadis, on ne sortait pas un jeu pour les enfants de 3 ans évidemment…

Voilà donc ma petite collection Megadrive qui prend forme, avec quelques dons et trouvailles en brocante : Sonic the Hedgehog 1 & 2, Le Roi Lion, Aladdin, Alien III, Batman, Pacmania et Jurassic Park,… J’espère mettre un jour la main sur un Rolo the Rescue pour enfin découvrir ce titre ou d’autres trouvailles aux hasards de mes brocantes !

Je suis aussi très content de voir que les différentes aventures de Mickey, assez nombreuses sur cette console semble particulièrement plaire à Charly !

Si tout cela ravive en vous des souvenirs forts, alors je vous invite à nous rejoindre sur Be-Games.be !

Les 74° Hunger Games.

Les 74° Hunger Games.

C’est suffisamment rare que pour le souligner. En ce moment je lis un roman ! Durant la dernière décennie, j’avais lu les sept tomes d’Harry Potter. Avant cela, il faut retourner à l’époque de l’école secondaire et ses romans imposés. Pourtant à la suite des aventures du petit sorcier, j’avais imaginé lire d’autres romans, l’expérience m’avait vraiment plu, mais le temps me manque en générale pour faire cela, et ce sont surtout les différents ouvrages parus aux éditions Pix n Love qui se retrouvent sur ma table de nuit.

Noël dernier, ma soeur avait offert à ma Snorkys le roman « Hunger Games ». Avec son affreuse couverture noir, ce n’était clairement pas le genre de bouquin sur lequel j’aurais flashé en librairie. Bien que je ne lise pas trop de roman, j’aime à en offrir à ma dame, et l’aspect visuel y est du coup primordiale dans mes recherches et découvertes. Je retourne le bouquin et au coté de l’avis de Stephanie Meyer (Twilight) et Stephen King, on peut y lire :

« Peeta et Katniss sont tirés au sort pour participer aux Jeux de la Faim. La règle est simple : 24 candidats pour un seul survivant, le tout sous le feu des caméras ? Dans chaque district de Panem une société reconstruite sur les ruines des États-Unis deux adolescents sont choisis pour participer au Jeu de la Faim. La règle est simple : tuer ou se faire tuer. Celui qui remporte l épreuve, le dernier survivant, assure la prospérité à son district pendant un an. Katniss et Peeta sont les « élus » du district numéro douze. Les voilà catapultés dans un décor violent, semé de pièges, où la nourriture est rationnée et, en plus, ils doivent remporter les votes de ceux qui les observent derrière leur télé… Alors que les candidats tombent comme des mouches, que les alliances se font et se défont, Peeta déclare sa flamme pour Katniss à l antenne. La jeune fille avoue elle-aussi son amour. Calcul ? Idylle qui se conclura par la mort d un des amants ? Un suicide ? Tout est possible, et surtout tout est faussé au sein du Jeu de la Faim… Public mixte à partir de 12 ans.« 

Intriguant, attirant… en soi la série Twilight m’avait plutôt donné envie d’être lue, madame en étant très très friande. Et certains livres de Stefen King (Fog, Dome) aussi. Au fur et à mesure, madame m’en donnait quelques brides et je lui dit : « Stop, après l’Histoire de Mario, je lirais Hunger Games »…

Les 74° Hunger Games ont été lancés. et il me tarde ce soir de ne pas être crevé et pouvoir retourner lire la suite !