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Tag: Pix’n Love

Pendant que Rose boit son bibi…

Pendant que Rose boit son bibi…

 

Quand on a un bébé à la maison, il y a bien des choses à adapter. En ce moment, difficile par exemple de me trouver un moment pour lire l’une des nombreuses nouvelles BDs que j’ai reçue à Noël ou mon anniversaire… Pas tellement plus le moment pour jouer à un jeu vidéo… Par contre il y a moyen d’optimiser les grosso-modo 25 minutes de temps que dure la Pause Bibi.

Les Oubliés de la Playhistoire
L’intégrale volume 1 des Oubliés de la Playhistoire – © Omake Book

J’en ai tout d’abord profité pour finir l’intégrale volume 1 des Oubliés de la Playhistoire. Ces mini-séquences présentées par Florent Gorges nous font découvrir des jeux-vidéos atypiques en quelques minutes. La grande force de ce DVD est sa recherche approfondie sur chacun de ces sujets, un atout de ce grand monsieur à qui l’on doit également les trois ouvrages sur l’univers de Nintendo chez Pix n Love.

L’occasion de (re)découvrir X, Lady Bug, Sleepwalker, Space Taxi, Joy Mecafight, Knight Move, Sword Quest ou encore Balthazar…

Puis, les vacances de Carnaval arrivée, je suis passé à quelques choses de plus « familial ». En ballandant sur l’avenue le coeur ouvert à l’inconnue je suis tombé dans la VOD de la RTBF sur quelques épisodes des Mystérieuses Cités d’Or… l’occasion de revoir le Grand Condor, les Amazones, l’anaconda géant et le masque de jade… Mais ils vont les trouver quand les Mystérieuses Cités d’Or ?? Ah ça mon Charly, on a encore le temps de voir venir… Il n’y a rien à faire, cela n’a pas pris une seule ride, les enfants accrochent autant que moi à leur âge… Et puis diable, quelle magnifique bande son tout long d’un épisode…

Pour ma part, il n’y a rien à faire, chaque fois que je regarde un épisode, je ne peux me dire que la transposition en mode « Final Fantasy » à l’ancienne, vu de haut,… cela aurait été vraiment extraordinaire !

Pacman Syndrome : du jeu-vidéo made in Belgium

Pacman Syndrome : du jeu-vidéo made in Belgium

Art & Magic
Art & Magic

Tiens, hasard du calendrier, je lisais justement la semaine dernière (mai 2015) un article au sujet d’Art & Magic dans le Pix n Love 16. Ils nous raconte l’histoire de Spellsinger, grand projet de cette entreprise qui n’est malheureusement pas sorti des sous-sols. Une épopée magique de notre bassin liégeois. Press-Start vient de publier un bel article dédié aux différents projets d’Art & Magic que je vous invite à découvrir… Et moi je demande, dans la mesure à la société était située à Embourg, s’ils avaient commandés leurs machines chez Automindus !

Présentation à Psygnosis sur un salon. La chouette (le logo de Psygnosis) était un hasard, « mais ça leur a bien plu chez Psygnosis ». La technique des scrollings parallaxes impressionne aussi l’éditeur, à tel point qu’il appelle les développeurs de Shadow of the Beast à la rescousse. Et il leur demande comment ces Belges ont fait ça. Les stars de Shadow of the Beast observent… réfléchissent… assènent « We don’t know ». Yves Grolet et Frank Sauer en retirent de l’assurance et quittent l’Angleterre plus forts, non sans avoir dévalisé les librairies locales pour leurs manuels de programmation. « On ne trouvait rien chez nous à l’époque. » (Un très bon dossier à lire sur Press-Start)

Détail amusant, je n’avais jamais fait attention à l’époque que le jeu Agony n’était pas un jeu de Psygnosis,… pour ma part j’ai fouillé sur Youtube pour tenter de savoir à quoi ressemblait de manière plus concrète le projet de jeu d’arcade Spellsinger.

Press-Start, le site du jeu-vidéo en Belgique, a d’ailleurs pris parti de mettre en avant les productions belges et c’était rendu à la GameCom, le salon du JV en Allemagne afin d’y rencontrer quelques uns de nos jeunes talents dont l’équipe de Pyralis Studio tenue par l’un de mes amis d’enfance Simon Boigelot, qui y présentait son projet de jeu « TheCorp ».

L’économie dirige le monde, sad but true. Depuis sa base à Ans, le petit studio Pyralis l’a bien compris et vous propose une simulation pour vous former à devenir le maître de l’univers. TheCorp vous confiera le destin de l’humanité, à partir de ses balbutiements dans un lointain passé jusqu’à son apogée dans un futur rayonnant. Vers l’infini et au-delà, telle devra être votre devise lorsque vous gérerez les denrées, la chaîne de production, les ressources humaines et l’industrie. Un vrai cours d’économie ludique, il faut le faire ! Avec son jeu de stratégie en temps réel, Pyralis Studio fera de vous un winner. Une création d’utilité publique pour les futurs leaders du monde (libre ?). (Un article à lire sur Press-Start)

Et puis, il y a Epistory, ce projet du studio montois Fishing Cactus dont on parle de plus en plus et dont les graphismes sont vraiment, vraiment attirant ! Press-Start avait également été à leur rencontre il y a quelques mois avant le lancement officiel du jeu relayer aujourd’hui par la presse belge. Au coté d’un style visuel vraiment original, le jeu se démarque également par un gameplay novateur dit de « typing novel », un style épistolaire et une bande son réussie…

L’équipe de Fishing Cactus était fébrile à la veille du lancement de « Epistory, typing chronicles ». Ce jeu pour PC est la première grande production que la société montoise lance sur le marché sous son propre nom. « Après avoir lancé quelques petits jeux pour mobiles, nous avons beaucoup travaillé pour les autres et conçu des jeux qui sont sortis sous le label de grosses sociétés, explique Laurent Grumiaux, directeur commercial. Ça a permis à l’entreprise de grandir, d’engager du personnel, d’aller chercher du capital ». La société a ainsi pu se lancer dans le développement de ses propres produits. « Epistory » est le premier. Sa conception a été entièrement financée grâce aux revenus des productions de Fishing Cactus pour d’autres studios. (A lire sur le site de la RTBF)

Pacman Syndrome : Et si Pokemon avait été français ?

Pacman Syndrome : Et si Pokemon avait été français ?

Captuire d’écran de Crazy Creatures par le mag MO5

Voilà le genre d’histoire du jeu-vidéo que j’apprécie tout particulièrement et que je retrouve en général lorsque je me plonge dans mes Pix’N Love. C’est ici dans le mag en ligne MO5 que l’histoire de Jean-Claude Cruchet nous est contée. Développeur de jeux pour le studio français Titus à la fin des années 80 et passionné de Héroïc Fantasy, il imagine un jeu où le héros doit capturer des monstres qu’il gardera dans son animalerie et qu’il pourra invoquer plus tard pour progresser dans son aventure et gagner des niveaux. Ces monstres reposent sur des compétences liées aux éléments Eau, Terre, Feu, Vent. Cela ressemble déjà un peu au concept de Pokemon, mais si je vous explique qu’à l’époque, 7 ans avant l’arrivée des Pockets Monsters au Japon, notre concepteur français avait déjà mis en place l’évolution de ces monstres au fur et à mesure du jeu et même la possibilité de pouvoir se les échanger via des codes uniques, je suis certains que vous aurez envie d’en apprendre un peu plus sur Crazy Creatures !

Oui, j’avais prévu un système d’échange de monstres. On pouvait se les passer des uns aux autres grâce un système de génération de code unique. Mais finalement, ce donc j’étais le plus fier, c’était les transformations. En fait, quand on avait un monstre et que au fur et à mesure du jeu, il montait en niveau, il devenait de plus en plus fort et il se transformait en un monstre de niveau supérieur. Il y avait pas exemple une créature des marais qui s’appelait Plocploc au début du jeu. Et puis au fur et à mesure que les niveaux montaient, elle se transformait et puis elle devenait… Flacflac. (Une interview à lire dans le MO5 Mag)

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Le jeu-vidéo en bouquin

Le jeu-vidéo en bouquin

Pix n Love 16Voilà donc déjà 7 ans que j’ai découvert les ouvrages de Pix n Love éditions. Il s’agissait d’ailleurs à l’époque de mon premier achat « en ligne », une série de 3 mooks dédiés au rétrogaming. Pendant plusieurs années, j’ai lu et acheté de nombreux ouvrage sur le sujet jusqu’en 2011 où j’ai fait le pas de commencer à avoir ma propre collection de jeux et consoles rétro.

Compagnons de mes vacances, je lisais le Pix n Love #5 lors de mon voyage de noces au Canada ou encore le volume 3 de l’histoire de Nintendo durant l’été 2011 à Majorque. Pourtant j’avais depuis un moment un peu levé le pied, lisant quelques romans (Hunger Games, Le livre perdu des sortilèges). Ce ne sont pourtant pas les beaux ouvrages qui manquaient ! Je me suis lancé à découvrir les jeux Atari sur une vraie console et j’ai même adopté une Vectrex !

Depuis fin 2014, je me suis remis la tête dans mes bouquins de Playhistoire avec Zelda : Chronique d’une saga légendaire, L’histoire de Rayman, Pix n Love #16
et La Bible Game Boy.

4 livres dans une même vague, tous issus des éditions Pix n Love, même si celui lié à Zelda est maintenant édité par Third, éditeur concurrent, mais quatre livres bien différents que j’ai adorés pour certains et terminé péniblement pour d’autres, mais qui au final m’ont tous apporté le même sentiment d’évasion que j’avais presque oublié. Car oui, quelle belle manière de se replonger dans ces vieilleries que de revivre cette époque entre anecdotes et témoignages (illustrés ou non) pris avec le recul de notre génération ! Je me suis encore fait surprendre à déguster avec tant d’intérêt l’histoire de Macadam Bumper ou Spellsinger ou iRobot, titres dont je n’avais jamais entendu parler !

Je vous laisse découvrir mon avis sur les 3 ouvrages au contenu plus ciblé !

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Super CJ Land : Welcome to my TinyWorld

Super CJ Land : Welcome to my TinyWorld

Bonne année mes amis ! Enfin, enfin le voilà ce nouvel album de Cyborg Jeff ! Je sais, cela fait très très longtemps qu’il est dans les cartons et que je vous en parle… Il est loin d’être l’album que j’avais imaginé au départ et j’ai parfois pris plus de temps à penser à ce qu’il serait qu’à le faire avancer… c’est que mener de front la vie de Papa, de boulotS et de Cyborg Jeff est loin d’être facile ! C’est vous dire à l’origine, il devait s’agir d’un ChipDisk programmé par Steve ‘K93’ Kossouho et animé par Sylvain ‘Pype’ Martin. Ce qui remonte à 2004 !

Ce nouvel album de Cyborg Jeff se veut un retour aux sources. Sans être réellement un album de « Chiptunes », chaque musiques à ce petit goût de TinyDéfi de travailler avec des sons minimalistes tels que l’on pouvait les entendre dans les musiques de jeux des premiers micro-ordinateurs et consoles, mais également dans tous le courant Chiptunes Oldskool Demoscene Sound Tracker qui en a suivi. Ce style de musique m’a fortement inspiré dans ma jeunesse et tout au long de mes créations musicales avec des artistes tels que Rob Hubbard, Chris Huelsbeck, Jeroen Tel à l’époque où je jouais sur mon Commodore 64 puis  Jake Kauffman (Virt), Allister Brimble ou Frédéric Motte (Moby/Elmobo).

Super CJ Land : Welcome to my TinyWorld n’est pas donc pas qu’un simple album de Chitpunes ni même un album uniquement composé avec un GameBoy par exemple, c’est un voyage plus large au pays de Cyborg Jeff autour de toutes ces sonorités simples et de défi de miniaturisation. Les moyens ont variés au cours des projets ! Vous retrouverez par exemple des musiques composées avec l’outil Farbrausch de son FM bien connu dans le monde de la Demoscène, vous retrouverez des sons rappelant bien entendu l’univers du mythique C64, mais également des sons plus « Jeux Vidéo » à la sauce Amiga et Nintendo… J’espère que cette variété saura donner une petite touche personnelle à ce nouvel album !

>> Télécharger l’album sur BandCamp

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