Archives de
Tag: indiana jones

2024, une bonne année TV

2024, une bonne année TV

2024 tire doucement sa révérence, mais déjà depuis un petit moment, mon fichier statistique des bons films vus cette année me présentait un bilan plus que positif et largement au dessus des années précédentes. En effet, en 2024, nous aurons regardé 39 bons films, c’est près de 10 de plus qu’en 2022 et même un chiffre plus élevé que celui des 10 dernières années.

Ai-je revu mes critères à la baisse ? C’est possible, j’ai peut-être parfois été plus vif à mettre un 8 sur certains films après avoir passé une bonne soirée, même si je n’ai pourtant pas l’impression d’avoir été fort différent dans mon approche que les années précédentes. Finalement ce qui aura peut-être eu un impact et le nombre de série regardée cette année. Un élément statistique que je n’ai jamais pris le temps de partager ici… Soit 9 séries de moins en 2024.

Reste que j’avais supprimé l’abonnement Disney+ cette année et décidé d’aller voir moins de film au Cinéma (voire aucun)… Et finalement, nous serons allés voir 5 bons films au Cinéma dont des Disney

  1. Wonka
  2. Le Pire voisin au monde (BeTV)
  3. A beautiful life (Netflix)
  4. Face à la mer
  5. Mother’s instinct
  6. CTRL (Netflix)
  7. Pauvre créature (BeTV)
  8. Joker : folie à deux (Kinepolis)
  9. La Demoiselle et le Dragon (Netflix)
  10. Fly me to the moon
Les bons films vus en 2024
Les bons films vus en 2024

Lire la suite Lire la suite

Plongeons dans la pyramide de Montezuma’s Return

Plongeons dans la pyramide de Montezuma’s Return

Toujours à l’affût de nouvelles cartouches à découvrir sur Game Boy Color, j’avais été intrigué par Montezuma’s Return qui avait un petit coté « Rétro » qui me faisait penser à, excusez mes références, Rick Dangerous ou encore Pharaoh’s curse sur mon Commodore 64.

Montezuma's Revenge - Atari 8bits (Parker Bros. - Utopia Software, 1984)
Montezuma’s Revenge – Atari 8bits (Parker Bros. – Utopia Software, 1984) — source : Wikipedia

En réalité, le titre de Tarentula Studio propose en 1998, un revival de Montezuma’s Revenge de Robert Jaeger pour le compte de Utopia Software, édité par Parker Bros en 1984 sur les différents micro-ordinateurs de l’époque. On y contrôle Panama Joe, un explorateur tombé dans la tombe du roi aztèque Montezuma II, devant récupérer des trésors et traverser de nombreuses salles piégés. Le titre était visuellement très simple, rappelant Hunchback et Manic Miner. Pour ma part, je n’en avais jamais entendu parler jusqu’ici, bien qu’il soit sorti également sur le Commodore 64.

Montezuma's Return - GBC (Take Two - Tarantula Software, 1997)
Le travail visuel de la version Game Boy Color est particulièrement réussi

Dans cette nouvelle version sur Game Boy Color, les graphismes se sont un peu améliorés. Exit le coté gros pixels, nous avons cette fois droit à un style 8bits plus proche de la NES, ce qui offre à Montezuma’s Return un coup d’oeil qui lui permet de sortir du lot dans la ludothèque de cette console, hormis peut-être son affreux écran d’accueil !?

Une fois pris en main, les choses se corsent. Sans connaitre l’origine du jeu, on sent très vite que la progression sera régulièrement ponctuée de mort subite. On ne peut pas tomber de sa plateforme, on ne peut toucher aucun ennemi. Pas d’armes, pas d’objectif… Il va falloir explorer, être rapide et surtout précis !

Partie terminée !

Non d’un crâne de Crystal, ne réfléchissez pas trop longtemps, où une chauve souris viendra vous occire ! Ne sautez ni trop tôt, ni trop tard et surtout sur le bon timing. On comprend pourquoi on nous offre tant de vies !

Les niveaux sont vaches, pour ne pas dire vil lama. Aaah, le coup de cette corde à laquelle je m’accroche et dont le bout est enflâmés ! Que c’est vil, que c’est vil !

On sent donc dans ce retour de la licence, une volonté des créateurs du jeu d’offrir du plaisir au joueur et de l’emmener, avec eux, dans un un petit moment de nostalgie, le plaisir d’un jeu qui 15 années plus tôt, leur avait plu, sans pour autant frustrer le joueur. Car, bien que les écrans de « Partie Terminée » se succèdent, on remarquera assez vite qu’un système de progression permet à chaque perte d’un aventurier de ne pas recommencer au début, mais à l’entame d’une série de tableaux, ce qui est motivant pour la suite.

Avec son côté exploration qui invitent à essayer d’ouvrir différentes portes avec une clé, à tuer un ennemi pour passer par un côté plutôt qu’un autre, je me suis finalement retrouvé à prendre plaisir à rejouer plusieurs parties, là où en général le « Dead & Retry » n’a jamais été mon truc !

Une belle surprise donc que ce Montezuma’s Return !


 

Lire la suite Lire la suite

Disney+ contre… – Les meilleurs films de 2021

Disney+ contre… – Les meilleurs films de 2021

C’est l’heure de faire le bilan de cette nouvelle année de télévision, une année à nouveau bien différente des précédentes. Tout d’abord, cette fois encore, les sorties Cinéma ont été moins nombreuses, COVID obligeant. De plus en plus déçus du catalogue de la chaine payante belge BeTV, j’avais fait résilié mon abonnement en début d’année. S’il me restait encore sur ma box Evasion une série de film enregistré sur la chaine, je dois bien admettre que les nouveautés intéressantes proposées au catalogue n’ont pas eu de quoi m’enthousiasmer.

Mais durant cette année 2021, la grande nouveauté était l’abonnement à la nouvelle plateforme Disney+ proposée à Noël dernier pour un tarif de 69€/an, soit près de 2x moins cher que son concurrent Netflix. Il faudra bien admettre que la chaine aura plu aux enfants. Ils sont d’ailleurs très déçu que Papa aie décidé de stopper l’abonnement ce mois-ci, mais le passage à 89€ m’a évidemment un peu refroidi. La plateforme dispose de quelques nouveautés, mais joue évidemment surtout sur un catalogue très fourni de l’ensemble des grands classiques de Disney, ainsi que toute une série de films dont la firme possède les droits… comme toute la série Marvel, qui chez nous n’a que peu d’intérêt. Hors justement, côtés nouveautés tant en films qu’en séries, de de manière purement Statistique, Disney+ m’aura un peu déçu. Le concept des films Prime qui implique une surtaxation ou ceux qui ne sont disponibles qu’en néerlandais sous-titrés néerlandais, là aussi me laissent un goût amer qui m’ont poussé à stopper mon abonnement.

Je reste contre l’idée d’envisager l’utilisation d’une IPTV, même si cette année, avec le catalogue BeTV en berne, l’impossibilité d’aller au cinéma et les versions prime de Disney, les solutions « alternatives » pour regarder en bon film, notamment en vacances représentent 1/5 des résultats… La balance pourrait-elle encore fortement bouger en cette fin d’année, avec l’arrivée des films de Noël maintenant que BeTV est intégré à mon abonnement VOO.

Bref, je vous partage maintenant les différents films qui m’auront marqué cette année !


calamity james

En Famille

calimityCalamity : une enfance de Martha Jane Cannary

Coup de cœur des films en famille regardé cette année, l’enfance de Calamity James est un vrai régal qui colle parfaitement à ce vent de message à l’attention des jeunes filles pour briser les stéréotypes. L’histoire nous plonge dans la conquête de l’Ouest, avec la jeune Marthe Jane, une jeune fille qui rêve de sentir libre, libre de monter à cheval, d’aider son père,…  Et comme c’est plus pratique pour faire du cheval, elle n’hésite pas à passer un pantalon. S’en suivra toute une épopée qui va construire sa personnalité celle de la mythique Calamity Jane !

Si l’histoire est très réussie et plaira à toute la famille, visuellement, c’est un régal pour les yeux avec cette approche d’aplat de couleur aux contrastes étonnant, de quoi nous perdre le temps de l’aventure dans les grandes plaines de l’Amérique d’autre fois !

Si j’avais à l’époque envisagé aller le regarder avec mes filles au Cinéma, le Sauvenière en avait fait la promotion, c’est finalement sur BeTV que nous aurons eu l’occasion de le découvrir.

Souls
Les enfants de la chance
Cruella
Playmobil Movies

Lire la suite Lire la suite

Weekend PasMini Super Nintendo

Weekend PasMini Super Nintendo

Vous le savez, fin 2017, Nintendo nous sortait une ré-édition miniature de la Super Nintendo embarquant 20 jeux de la belle époque du début des années 90. Il faut bien admettre que la SNES est une des consoles rétros qui offrent les plus beaux jeux à redécouvrir de Super Mario World à Donkey Kong Country en passant Legend of Zelda, Megaman X ou Super Metroïd. Cette dernière est vendue 80€, un peu plus cher que l’édition NES de l’année précédente.

Ici à la maison, j’ai bien sur une vraie Super Nintendo. Pas de boite, un peu jaunie, mais elle avait été restaurée il y a déjà quelques années par l’ami Kingstef et j’ai pu grappiller de nombreuses cartouches au fil du temps. Impossible de trouver un Legend of Zelda ou Metroïd, dont les prix ont explosé, mais j’ai tout de même une série de titres pas fréquents à redécouvrir ! Alors que s’enchaine deux weekend un peu moins chargé, j’ai donc branché la console sur la TV.

On joue aux Schtroumpfs sur Super Nintendo
On joue aux Schtroumpfs sur Super Nintendo

A ce propos, sachez que si vous disposez d’une Nintendo 64, le cable de connexion RVB est compatible avec la Super Nintendo, ce qui permet d’avoir une bien meilleure image que via le cable peritel antenne d’époque. Pensez aussi à régler le mode image de votre téléviseur. Mon écran 4K Sony par défaut m’offrait une image aux pixels tranchant, alors qu’en activant le mode « cinema », ceux-ci sont un peu plus lissés et proche d’une image de l’époque.

Ce sont d’abord les enfants à qui j’ai proposé de choisir à quoi jouer. Les Schtroumpfs, Astérix, Micro-Machine et Super Mario ont eu leur faveurs. Ce sont des titres qui visuellement n’ont pas vieilli. Les Schtroumpfs reste malgré tout frustrant à souhait, mourir quand on marche dans l’eau ou quand un Schtroumpf jette de l’eau par la fenêtre, pour un enfant, c’est loin d’être logique. Alors que même si Super Mario World est loin d’être simple, on n’y meurt pas sans raison ! Il est tout de même fou de constater comme ce jeu reste intemporel. Pour l’époque c’était une explosion de nouveauté à découvrir de niveaux en niveaux, un sentiment jamais égalé en jouant aux autres Mario.

On joue à Super Mario Kart - SNES
On joue à Super Mario Kart – SNES

J’ai ensuite tenté de leur faire découvrir le premier Super Mario Kart, plus difficile à prendre en main que les versions modernes, il faut bien l’admettre ! La sauce n’a pas pris. Moi même je me suis senti un peu rouillé, trop habitué aux glissades des épisodes plus récents. Charly appréciant beaucoup les jeux de voitures en ce moment, j’ai donc testé avec lui Micro Machine 2, Pole Position 2, Nigel Mansell et Top Gear. Lui a trouvé son plaisir dans Nigel Mansell. Choisir ses pneus et ses réglages, c’est ça qui l’intéresse. Moi je suis resté scotché sur la qualité de Top Gear qui bien plus abouti que Lotus Challenge dont je pensais qu’il n’était qu’un simple portage dédié à la SNES… Mais j’y reviendrais une prochaine fois.

Sortir une veille console et des vieux jeux, cela fait toujours un peu d’animation. Les JulietteS s’affrontent à Super Mario Kart, on redécouvre les vieux pixels avec Matteo et Romeo et puis on approfondi le sujet avec Pype, de quoi mettre des images sur certaines de nos lectures communes aux éditions Pix’n Love, tel que La Guerre des Mascottes.

En grand amateur de jeux de plateforme, j’avais fait le plein de cartouches les années précédentes : Chuck Rock, Zool, Bubsy, Cool Spot, Indiana Jones, Pitfall et même  Aero the Acrobat et Ardy Lightfoot. La Super Nintendo regorgent de ce genre de jeux qui avaient d’ailleurs la cotte à cette époque. Moi je m’étais attaqué seul à découvrir Chuck Rock dont les gros sprites m’avaient impressionnés quand je lisais les magasines de l’époque. Mais une fois la manette en main, la construction des niveaux m’a un peu déçu… Les filles ont assez bien apprécié Zool, nerveux et colorés et clairement plus maniable que la version PC à laquelle je jouais quand j’étais ado.

Bubsy, ça speede - SNES
Bubsy, ça speede – SNES

Plutôt content d’avoir déniché Aero the Acrobat, le « Sonic » the Sunsoft, je dois bien admettre qu’il n’est vraiment pas amusant à jouer et difficile à prendre en main avec ses pirouettes. Reste cet excellent Bubsy… Lui aussi descend du Hérisson de SEGA qui venait créer un nouveau genre de jeu dans la catégorie plateforme. Chat, Caméléon, Chauve-Souris, Lapin… les mascottes débarquaient en force avec plus ou moins de réussite. Bubsy ramassant des boules de laines dans des niveaux nerveux, colorés et avec un scrolling rapide avait tout pour se porter en concurrent de Sonic sur la Super Nintendo. Ce n’est pas pour rien que j’y ai tant joué… Il est pourtant bien plus difficile, car au moindre contact avec un ennemie, un chute de trop haut, c’est le petit gimmick d’une vie en moins. Malgré cela, j’ai probablement dû réussir à avancer dans le jeu aussi loin que dans Sonic à l’époque.

Si au jour d’aujourd’hui, j’ai pas mal de cartouches, je manque cruellement d’éléments pour envisager un shooting studio autour de la Super Nintendo. Les jeux étaient à l’époque distribuer dans une boite en carton, ce qui a rendu leur conservation plus rares que les boitiers « plastiques » à la sauce VHS des jeux Megadrive. Magasines, posters ou même boite de consoles sont également difficile à trouver.

Ma collection Super Nintendo

 

Playing 2017

Playing 2017

L’année 2017 s’en est allée, et comme j’aime à le faire, c’est l’occasion de prendre le temps pour faire le point sur l’impact qu’aura eu l’univers du jeu-vidéo dans ma vie.

Alors que cette année fut  marquée par le retour tonitruant de Nintendo avec sa nouvelle console hybride la Switch armée dans un premier temps du nouveau Legend of Zelda puis en fin d’année de la sortie d’une nouvelle aventure de Mario, ici 2017 fut l’année où j’ai décidé de faire la paix avec Sony pour enfin franchir le pas de la nouvelle génération de console. Oui, voilà déjà un bon moment que je boudais la Playstation 4 et la position prise par Sony de rendre tout le contenu des précédentes générations incompatibles, y compris tous les achats de jeux dématérialisés….

A l’aube de la quarantaine, il me faut donc bien admettre que je deviens ce genre de joueur grognon qui trouvait que c’était mieux avant et qui de plus n’a pas tant de temps à consacrer à jouer… Mais, rien y fait, j’aime le monde du jeu-vidéo.

Horizon : Zero Dawn - PS4
Horizon : Zero Dawn – PS4

Si je vous invite bien-sur à découvrir mon Top/Flop chez Press-Start, vous retrouverez ici l’ensemble des jeux durant l’année.

(…) Ici, l’effet Waouw est au rendez-vous comme il l’avait été avec le retour de Tomb Raider auquel je jouais début 2015 et The Last of Us à sa sortie durant l’été 2013. Visuellement, Horizon Zero Dawn est un régal avec des environnements lumineux, vastes et colorés, des jeux d’ombres et de lumières fantastiques, des détails allant du lierre sur les arbres aux poussières qui virevoltent ou tout simplement les textures des personnages. On en a plein les yeux ! (Lire la suite sur Press-Start)

Alors, en 2017 j’aurais joué à …

Lire la suite Lire la suite