Le monde du jeu vidéo a bien changé ces derniers temps, et toutes les consoles modernes proposent maintenant de se connecter à Internet, essentiellement pour proposer des jeux en réseau… mais pas uniquement ! J’en ai déjà parlé l’année passée, à l’époque ou je bavais devant le remake de Prince of Persia sur Xbox Live, ou lors de mes premiers achats « WiiWare » et « Console Virtuele » sur ma Nintendo Wii, en plus de possibilités de jeux en réseau, une série de services sont disponibles depuis les consoles de jeux Next Gen. Ma PS3 ne déroge pas à cette règle, et j’ai donc envie de vous parler de ces petits moments volés sur le Playstation Network.
HAUT, BAS, GAUCHE, DROITE, A + START … Ca c’est c’est Sonic pour moi ! Pour ceux qui ont connu, c’est le code qui permettait sur le première épisode Megadrive de pouvoir sélectionner le monde de départ. C’est également le seul code de jeu que je connaisse par coeur, et d’ailleurs le premier code sur console que j’ai connu !
Sonic the Hedgehog – Master System
Je n’ai jamais eu de console SEGA, et c’est donc tout d’abord, … une fois de plus chez GB – Maxitec que j’ai découvert le speedé hérisson bleu, venant remettre au plaquart les Alex Kidd de la Master System. Oui, c’est donc surtout à la version Master System que j’ai d’abord joué, la seul Megadrive présentée était bien trop solicitée, je préférais donc me faire la main sur cette version… d’ailleurs pas trop speedée du tout, et presque même plus sympathique.
*Je ne vais pas rentrer dans l’historique de Sonic, juste me rapeller avec vous, que j’ai tenté de nombreuse fois d’aller un peu plus loin que le labyrinthe aquatique du premier épisode…. que ce soit chez Greg & Joe ou chez ma marraine, sur la console de Benoit. Les épisodes suivantes, pourtant sympathiques, ne m’ont pas vraiment plus intéressé, et j’ai laissé petit à petit mourrir le mythe sonic, passé à la mode 3D, s’enlissant toujours un peu plus.
La version DS ne m’avait qu’à moitier réconcilié,… et ce jusqu’à un petit test du tout nouveau Sonic Unleashed sur PS3, il y a un bon mois !
Il y a de ces jeux pour lesquels je n’arrive toujours pas à comprendre la raison de mon intérêt.
Lorsque j’ai entamé en 1993 ma première partie à Sid Meyere’s Civilization, petit « cadeau » de Philippe Rouselle sur 2 disquettes 5’1/4 pour mon PC monocrhome, je ne m’attendais pas à rester scotché derrière mon écran tant de temps…
C’est qu’il faut bien l’avouer, la première version sous MS-DOS, sortie en 1991 et éditée par Microprose, proposait certes déjà tous les ingrédients pour rendre ce jeu de stratégie incroyable, mais se limitait quelques petites icônes sur des cartes assez basiques.
Souvenez vous, il y a quelques semaines, je vous parlais un peu du dernier Silent Hill : Homecoming sur PS3, que j’ai acheté en import chez SmartToys. Développé par une nouvelle équipe américaine, Double Helix, j’avais mis en avant un radical changement de gameplay où l’on contrôle Alex, le personnage principale avec les deux sticks analogiques. Une fois cela dompté, je ne pouvais pas vraiment vanter l’idée de commencer en plein cauchemar, rendant l’immersion dans « l’ambiance » moins importante, et mettant donc en avant l’action… avant même de comprendre l’histoire. Graphiquement, on ne peut pas vraiment dire que le jeu tire vraiment parti du potentiel de la PS3, et la B.O. (– au bout de longue recherche –) est finalement tout de même signée Akira Yamaoka, mais manque cruellement d’originalité.
28 décembre, retour à la maison
De mon coté, j’ai un peu progressé dans le jeu… pour ceux que cela intéresse.
C’est le moment de se mettre au coin d’un bon feu, le temps que Papa CiJi vous raconte l’histoire de Super Chameau, un chameau pas comme les autres qui voulait sauver le monde de … ben en fait d’une attaque de tête chats et chiens, de cannes à sucre, de cabines téléphoniques so british, de kangourous à ski et de méchants chameliers (aah, gratt’ cul, gratt’ cul)…
Euh, non je n’ai pas fumé !! Je vous rassure. Je vous parle d’un jeu sur mon Commdore 64, d’il y a plus de 20 ans maintenant, et qui, mon frère et moi, et ma petite soeur aussi, nous avait fortement étonné, notamment pour son excentricité !
Ce jeu ne s’appelle pas officiellement Super Chameau, c’est le nom que lui avions donné, et d’ailleurs, c’est un Dromadaire que l’on contrôle, mais c’était tout de même plus joli que le RMCA de la disquette… En réalité il s’agit de Revenge of the Mutant Camel, un jeu de Jeff Minter, un illuminé du jeu vidéo des années 80.