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Tag: Game Boy

Pacman Syndrome : A la sauce rétro

Pacman Syndrome : A la sauce rétro

Leikki Super nintendo
Leikki fait revivre la Super Nintendo

La sauce rétro commence à prendre. Si j’ai la chance d’avoir trouvé NES, Super Nintendo, Megadrive ou Game Boy juste avant que cela ne se transforme en mode, on commence à voir émerger divers projets dans cet esprit avec notamment la société Leikki, qui après avoir remis au gout du jour de vieux téléphone Nokia, propose des consoles Super Nintendo et Game Boy Color renettoyées et repeintes… mais à un tarif encore un peu salé, soit 140€ pour une SNES ou 80€ pour la GameBoy Color… Quand je pense que j’ai acheté la mienne 5€ il y a quelques mois !

En réalité, c’est Lekki qui sort une version remasterisée de la console culte de Nintendo. Après s’être attaqué aux téléphones, la firme passe maintenant aux consoles, avec cette SNES repensée et assez réussie. Lekki propose la console en 4 couleurs : jaune, vert, bleu et orange, pour un look vintage kitch à souhait. Vendue dès aujourd’hui au prix de 140 €, la Super Nintendo version Lekki est livrée avec une manette et le jeu culte Super Mario World. Elle est disponible sur le site officiel ou dans les boutiques partenaires. (A lire dans le Journal du Geek)


J’ai également constaté que la vague rétro vibrait toujours sur Commodore 64. En effet, l’entreprise RGDC encourage et édite la création de nouveaux jeux pour le mythique micro-ordinateur, sur port cartouche ! C’est le cas de Get’Em DX, un genre de Pacman like qui me fait grandement penser à notre projet de Slurp ‘n Burp que mon frangin et moi avions en tête à la fin des années 90.

 

D’ailleurs, c’est assez amusant, mais je suis également tombé sur Chompston qui dans le même esprit, lui dispo sur PC gratuitement. On cette fois dans un mélange entre Bomberman et Pacman !


Dans mes vagabondages sur le net, je suis tombé sur l’un des jeux les plus beaux jeux GB, mais également très difficile à se procurer : Trip World. Le jeu est d’autant plus étonnant qu’il n’y a pas réellement d’ennemis…

Développé par Sunsoft en l’an de grâce 1992, Trip World est à première vue un petit jeu de plate-forme comme il y en a beaucoup (trop ?) sur game boy. Certes c’est super beau vu les limites du support, rien que le premier écran en jette un max je trouve, mais si on se contente des screenshots difficile de déceler le côté « expérimental », voire franchement culotté de ce qui semble être un petit jeu pour collégienne fan de Hello Kitty. (…) Contrairement à 99,9% des jeux de plate-forme depuis Mario, Trip World ne vous jette pas dans un environnement hostile : la plupart des animaux que vous croiserez ne sont tout simplement pas agressifs, et vous ne prendrez jamais de dégât par simple contact et ce même contre les boss. En fait tant que vous ne les attaquez pas la majorité se contenteront de se balader en vous poussant gentiment (ce qui peut toutefois être dangereux s’ils vous poussent dans une fosse remplie de piques…). Vous pouvez même les utiliser par exemple pour atteindre un bonus inaccessible. (Un article à lire ici)


Si difficile à se procurer, la solution pouvant alors nous orienter vers l’émulation ! Et justement Nikopik sur son blog nous présente RetroArch, une application Android qui permet d’émuler à peu près toutes les veilles consoles sur son smartphone !

Vous avez dépensé des sommes folles en piécettes sur les bornes d’arcade, passé des heures à vous user les pouces sur Nes, Master System, Megadrive, PC Engine, Super Nintendo, Playstation 1, et vous avez joué dans les transports sur Gameboy, Color et Advance, Neo Geo Pocket et Wonderswan ? Difficile de trimbaler une pareille collection de rétrogaming avec vous pour que vous puissiez y jouer n’importe où n’est-ce pas ? Et bien avec le multi-émulateur que je vais vous présenter, vous allez pouvoir bénéficier de toutes ses consoles et ses bornes d’arcade directement dans votre poche si vous avez un smartphone Android. ( A lire sur Nikopik)

 

Et moi, je jouais à Moktar !

Et moi, je jouais à Moktar !

Les aventures de Moktar – écran de titre

Hé oui, pendant que vous étiez devant votre télévision à trouver les diamants cachés de Sonic et la Star Zone cachée de Super Mario World, moi je partais au secours de la Zoubida sur mon tapis volant ! Comme je vous en avais déjà parlé, quand CJ était petit, les consoles de jeux n’étaient pas admises à la maison. J’avais eu le privilège d’être l’un des premiers équipé informatiquement dans le quartier, avec mon super Commodore 64, mais il fallait bien admettre qu’en ce début des Nineties, il commençait à faire pâle figure au coté des Megadrive et Super Nintendo…

Ceci dit, mes deux meilleurs amis n’avaient pas plus de consoles que moi chez eux à cette époque… Allait commencer la grande aventure du jeu sur PC ! Bon, il fallait bien admettre que celui que nous avions à la maison était loin de me donner envie. Avec son écran monochrome et son beeper intégré, il n’avait pas grand chose pour rivaliser coté jeu avec le commodore 64, si ce n’est un chargement un peu plus rapide. Mais fallait-il encore en trouver, puisque le paternel avait choisi de brider l’appareil avec un lecteur 5’1/4 à l’ancienne.

The Blues Brothers – Titus

C’est donc avec mes amis Alain, Julien et Vivien que j’allais partir en quête de substituts de Super Mario, et l’un des premiers titres à faire son effet sera Blues Brothers réalisé par les français de Titus. Plus que probablement très inspiré par Tic & Tac : Rangers du Risque sur NES, ce jeu de plate-forme en utilise une mécanique assez similaire, la possibilité de contrôler deux personnages en même dans un jeu de plate-forme, où nos deux héros peuvent ramasser des caisses, qui leur serviront d’armes contre leur ennemis ! Graphiquement le jeu est bien réussi et offre en mode VGA, un style graphique un poil au dessus des jeux NES. Les musiques reprennent les thèmes de Blues Brothers, et même en mode PC Speaker, le résultat est attractif. Séduit par la qualité du jeu, je serai alors à l’affut des jeux suivants que seront notamment la série Prehistorik et Les Aventures de Moktar.

Moktar, Moktar, mais oui bien sur ! C’était l’amoureux de la Zoubida, celle-là même qui offrait une nouvelle place dans le TOP 50 à l’humoriste français Vincent Lagaff. Si pour moi à l’époque Moktar était le meilleur jeu de plate-forme de tous les temps, sur mon PC, du coté de chez Titus le projet Moktar était un projet tout ce qu’il y a de plus alimentaire. Réaliser un jeu vidéo sur ce que nous appellerions maintenant un buzz, en 2 ou 3 mois, en reprenant le code déjà pondu dans Prehistorik et Blues Brothers, dixit le chouette article publié dans le Pix n Love #15, dont j’ai terminé la lecture pendant mes vacances.

http://www.youtube.com/watch?v=54YE868-LLw

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J’ai découvert Merlin

J’ai découvert Merlin

Si vous l’ignorez, depuis l’année dernière je suis passé en quête de trouvailles de vieux jeux vidéo essentiellement en Game Boy et Game Boy Color. J’avais notamment découvert Merlin titre sorti en 2001. Le premier essai avait été peu concluant alors que la critique lue en diagonale m’avait pourtant orienté dans ma sélection. Mais la piètre lisibilité sur les Game Boy Color et un petit soucis de réponse de boutons rendaient le jeu assez peu agréable.

Je m’y suis replongé depuis lors sur une GBA SP, arme de guerre pour les titres GB, GBC et les aventures du magicien y étaient plus intéressantes. Graphiquement Merlin est réussi avec même de jolies illustrations dans l’intro. La musique est correcte, sans plus. C’est surtout le gameplay qui m’a plu. Si je l’avais pris pour un jeu de plateforme très basique et difficile (on meurt au premier contact), C’est que je n’avais envisagé Merlin comme un mélange entre un shoot m up et un jeu de plate-forme. Un Run n Gun donc. Des gemmes de pouvoir permettent de modifier la manière dont notre héros combat ses ennemis. Un Troll fait office de premier boss et avec un peu de temps, on peut même grimper sur un tapis volant pour une phase de jeu encore plus shoot’m up.

Le titre es vu comme trop facile, l’accès à un code de niveau en fin de stage y est pour beaucoup… À croire que plus personne n’a songé à ré exploiter les codes planqué à la Titus.

Bref, je vous fait découvrir Merlin grâce à la nouvelle caméra qui me permet de vous offrir une petite visite du jeu comme si vous y étiez, méthode que je n’hésiterais pas remettre sur la table !

Le vieux charpentier qui saute.

Le vieux charpentier qui saute.

Avec deux puces d’à peine deux mois, mes jeux-vidéo restent un peu au placard. Ma pile de bouquins à lire par contre diminue à bonne vitesse. Compagnon de mes « mises au lit », la biographie de mon plombier favoris « L’histoire de Mario » (édition Pix n Love) vient de trouver sa place dans l’armoire des livres terminés ! Nouvel ouvrage plus littéraire que visuel, à l’instar de La Saga des Jeux Vidéo que j’avais lue l’année dernière, on s’y sent vite porté dans la soif d’en savoir plus !

Là où cet été j’avais été plus que frustré que le troisième tome de l’Histoire de Nintendo, dédié à la console NES, ne s’intéresse que si peu à la Super Mario, je retrouve ici toutes les petites histoires que j’avais envie de connaitre. Certes, je savais déjà que Mario faisait ses débuts en 1981 à l’attaque du méchant singe dans Donkey Kong et même qu’à l’origine le projet devait mettre en scène Popeye tentant de délivrer Olive du vilain Brutus. Loin de moi d’imaginer qu’en réalité, à l’époque… il ne s’agissait que « Du Vieux Types qui saute », charpentier de son état, parfois appelé Jumpman par ses pères… Ce n’est qu’une fois débarqué chez Nintendo US que l’équipe, alors face à de gros soucis financier, donnera au petit personnage le nom de Mario, la ressemblance avec le responsable du hangar de Nintendo US, Mr Mario étant assez flagrante.

Donkey Kong
Donkey Kong

La casquette, la salopette, le rouge, le bleu… tout cela n’était en réalité que des subterfuges techniques afin de rendre un personnage aux traits suffisamment lisibles sur le fond noir du premier grand climbing game de l’histoire ! Ceci dit durant toute cette époque ce seront Donkey et Pacman qui resteront les idoles d’un époque que je n’ai pas connue !

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Je peux jouer a la Ninteno?

Je peux jouer a la Ninteno?

— Et un jour Super Mario débarqua au rayon Maxitec de chez GB —

L’histoire de Nintendo – Tome 3 – Florent Gorges – © Editions Pix’n Love

Compagnon de mes siestes sous le soleil d’Espagne, le troisième tome de l’histoire de Nintendo m’a un peu deçu… Si j’ai vraiment apprécie le début de l’ouvrage narrant la genèse de la console Famicom (la version Jap de la NES) au début des années 80 au Japon, si j’ai découvert avec beaucoup d’étonnement l’incroyable folie qu’elle y avait engendrée, si j’ai été les étonné des paris de Nintendo, lançant au milieu des années 80 les jeux dématérialisés grâce au Disk system, qui permettait aux jeunes joueurs de venir charger sur une disquettes un nouveau jeu depuis une borne… J’aurais vraiment aimé que cette ouvrage s’attarde également sur la genèses des titres phares de l’époque NES… Ce n’est guère les petits encarts sur les quelques titres présentés qui vont me suffire, d’autant que leur sélection me semble assez discutable dans une optique non-collectionneur.

Rendez vous compte, la NES, appelée donc Famicom au Japon débarque en 1983, elle est alors extrêmement puissante pour l’époque et proposée pour un prix plus qu’attractif… Elle ne débarquera chez nous qu’a la Noël 1987 sans rougir de la concurrence. C’est que chez nous en Belgique, comme dans d’autres pays européens, le marché console de jeux n’existe pas encore vraiment… On retrouve essentiellement des micro ordinateur depuis plusieurs années tels que bien sur le Commodore 64 ou l’amstrad CPC. Les jeux y sont nombreux et se copient entre amis et aux fils des années le prix de ces ordinateurs s’est democratisés… Puis Super Mario débarqua dans le rayon Maxitec de chez GB.

Petit a petit les ordinateurs en demo ont fait place aux consoles Nintendo et Sega… Rêve de gosses, je ne manquais pour rien au monde les courses du samedi pour aller moi aussi taquiner la manette. Mais il me faut bien admettre que la politique Nintendo chez nous etait loin d être parfaite. Très vite Super Mario Bros allait laisser pour de nombreux mois sa place a des titres nettement moins attirant tels que les Tortues Ninja, Dragon Ball, Super Baloo… ou Tic et Tac Ranger du risque restant ceci dit assez sympa a jouer a deux… Tout cela jusqu’a l’arrivée de Super Mario Bros 3, a mes yeux LE JEU sur NES…

Oui, en peu de temps, les Pharaoh’s curse et Summer Games challenge de mon C64 allaient difficilement me donner envie, et même les Game&Watch dans la cours de récré n’avait plus trop la quote,… hormis peut-être le Super Mario Bros de Stéphane D’Argent…

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