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Les films du mois : Django Unchained

Les films du mois : Django Unchained

Django Unchained
Django Unchained (9/10)

Elle : Pourquoi as-tu enregistré ce film ?
Moi : C’est un « grand film » qui a été primé, un western moderne avec des grands acteurs, dont LDC.
— on finit par regarder le film, c’est le générique —
Elle : Ca fait vieux film…
Moi : Ben oui, difficile de faire un Western moderne, on verra bien…
— au bout des deux premières scènes, je finis par me rendre compte que je plante complètement et que oui, il y a bien moyen de faire un Western moderne, et que je suis en plein dedans !

Au final, madame et moi avons vraiment fortement apprécié le film. Personnellement je sens qu’il ne s’agit pas d’un simple film de bingbangboug bleurk aaaaahaaa, même si on a droit aussi à ce genre de scène. Non, chaque moment est réfléchi, les scènes se posent, se développent et ne cessent de nous surprendre avec un scénario fort !

Au fond, Léonardo n’a pas la vedette, il faudra même un bon moment avant qu’il n’arrive, mais qu’importe, les acteurs principaux ont des personnalités tellement fortes et un jeu parfait. On alterne entre le tragique de la situation et les petites piques cocasses et relevées du Docteur qui offrent au spectateur quelque chose de différent.

Enfin, j’ai cru plusieurs fois que le film se terminait, regrettant pour diverses raisons que l’histoire ne se termine de la sorte… tout dans la construction cinématographique était présent pour donner au spectateur le sentiment de « FIN »… alors que l’histoire avait encore de quoi me surprendre.

Clairement Django Unchained n’est pas juste un Western moderne, c’est un chef d’œuvre cinématographique.

L’écume des jours (9/10)

Bon, je n’ai pas lu le livre, mais il semblerait que de manière général le film colle assez bien à ce que l’on m’a raconté du livre. Il y a beaucoup d’élément d’ambiance et de décors choisi pour illustrer le monde fantasque proche de l’après-guerre qui m’ont beaucoup plus, mais qui n’existe pas dans la livre. J’ai aussi bien apprécié tout une série de similitude qui me rappelle les vieux films fantastiques des années 20. Le tout est saupoudré d’une drame romantique et d’acteurs plutôt charismatique. Personnellement j’ai franchement accroché aux délires proposé par le réalisateur, peut-être même plus qu’à celui de l’auteur du livre d’ailleurs….

La désolation de Smaug (8/10)

(…) Tout d’abord, je trouve que l’équilibre de la trame du film est bien meilleur. Je n’ai plus eu l’impression que les scènes se tiraient en longueur, peut-être juste un peu sur la fin quand Smaug essaie d’attraper Bilbon, mais dans l’ensemble, je trouvais que lorsqu’une scène prenait son temps c’était pour nous permettre de se perdre dans des ambiances et décors époustouflants, baigner d’effet de lumière et de profondeur à couper le souffle ! (…)

Mes héros (7/10)

Je suis loin d’être fan de Balasko et Jugnot. Je n’ai pas vraiment suivi comment l’histoire c’est mise en place, et a bien y réfléchir, il y a beaucoup de choses dans ce film dont j’ai du mal à comprendre le pourquoi du comment… Pourtant, il y a un truc qui m’a plus dans ce film. L’étrange relation d’autorité/complicité entre les deux personnages principaux. La simplicité de leur vie, les défis… et puis il y a aussi le cadre, cette belle maison perdue dans la campagne française…

Je n’aime pas vieillir, et pourtant ce film m’a donné une image de « si j’étais vieux » qui ne me déplait pas…

Populaire (7/10)

Comédie française que je voulais voir depuis sa sortie en salle. Le résultat n’est pas époustouflant, mais offre un divertissement frais. Je n’aime pas trop le personnage principale qu’incarne Romain Duris, même si le rôle lui va bien. L’ambiance année 50 est par contre bien réussie ! Bon moment TV ;)

Comment tuer son boss (7/10)

Predators – 2009 (6/10)

Bon, je ne sais pas trop si cela a un rapport avec le Predator de Alien VS Predator ou pas… Au final, on se retrouve dans un concept sympa mais assez gore entre Lost et Cube divertissant faisant penser à un film de science fiction d’il y a 20 ans relifté…

Hotel Transylvanie (5/10)

Et bien, je ne vais pas dire que je m’attendais à mieux ! Parcequ’en réalité, je m’attendais à ne pas aimer ce film perdu entre Nordman et Frankenwinnie… La trame général de l’histoire est plutôt sympathique et les personnages sont assez comiques ! La voix de Dracula m’énervant tout de même un peu, mais bon.

Ce n’est pas le genre de film que je laissais regarder à Charly, ce n’est pas le genre de film que j’aurais envie de revoir, n’étant au fond pas vraiment fan de Dracula et Frankenstein… Bref si vous tombez dessus, ne zapper pas, cela se laisse regarder.

La dame de fer (4/10)

The killer inside me (3/10)

Ouf… en soit j’aimais encore bien l’ambiance un peu spéciale du film Killer Inside Me… mais les scènes de violence était un peu trop hard pour moi, je n’ai pas tenu tout le film…
CJ : est toujours là ! alors, pour aujourd’hui : acheter des pantalons à la braderie de Belle ile, préparer les jouets à vendre sur la bourse et faire la fête avec mes amis ce soir.

M Popper et ses pingouins (2/10)

48 images par seconde

48 images par seconde

Sans être un grand fan du Seigneur des Anneaux, j’avais relativement bien apprécié l’histoire se mettant en place dans le premier film de la trilogie du Hobbit. Certaines scènes étaient beaucoup trop longues à mon goût mais dans l’ensemble, j’étais content d’avoir vu le film. Pour la Désolation de Smaug, nous avions choisi d’aller le voir en 3D 48fps, car mon ami Vincent n’avait jamais vu de film en 3D. Personnellement, je ne cours d’habitude pas à voir les films en 3D, car je trouve cela fatigant pour la vue et hormis les films d’animation, je n’ai jamais été époustouflé par cette technologie… jusqu’à La Désolation de Smaug !

Tout d’abord, je trouve que l’équilibre de la trame du film est bien meilleur. Je n’ai plus eu l’impression que les scènes se tiraient en longueur, peut-être juste un peu sur la fin quand Smaug essaie d’attraper Bilbon, mais dans l’ensemble, je trouvais que lorsque le film prenait son temps c’était pour nous permettre de se perdre dans des ambiances et décors époustouflants, baigner d’effets de lumière et de profondeur à couper le souffle !

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Coté 3D, on sent que ce film est une véritable démo technique de ce que l’on fait de mieux… sans pour autant en jeter plein la vue en permanence. Il y a quelques petits effets d’objets qui vous arrivent en pleine figure, mais dans l’ensemble la 3D est surtout là pour nous donner l’impression d’être immergé dans l’univers de JJR Tolkien.

Quid du 48fps ? Dans un premier temps, j’ai été très étonné que ce flux d’image soit bien moins fatigant à regarder (surtout pendant 3 heures) face à tous les autres films 3D que j’ai vus. Je ne peux être certain que cela soit lié, mais c’est important de le souligner. (Et après lecture sur le sujet, je sais maintenant que c’est un des avantages du 48fps).

Ce qui est certain c’est que le 48fps apporte un effet très différent de ce que l’on voit au cinéma. En réalité, on a l’impression de ne pas être au cinéma et d’être vraiment au côté des acteurs (la 3D ajoutant son grain de sel à cela également, j’imagine). C’est assez difficile à expliquer, mais c’est un peu comme si vous regardiez les bonus d’un film, ou une petite série-TV française… tout en étant que c’est bien un film et que vous vous en prenez plein la vue….  Les acteurs ont des mouvements tellement fluides qu’on ne sent pas plus au cinéma… Au fond, passé la surprise, cela donne un certain effet d’intimité. On sent donc un peu plus que les décors ne sont pas réels, les éclairages… mais sans que cela ne soit dérangeant ou fasse trop effets spéciaux… on se sent juste transporté dans l’univers du film.

Je serais vraiment curieux de voir d’autres bons films tournés de ce genre, car il est certain que le 48fps imposera des moyens importants pour que le film soit réaliste !

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The Last of Us

The Last of Us

Et bien voilà quelques jours que j’ai commencé à jouer à The Last of Us, le nouveau hit Playstation 3 réalisé par la bande de Naughty Dog à qui l’on devait d’ailleurs le premier gros hit sur cette même console avec Uncharted : Drakes Fortune en décembre 2007. Je dois bien vous avouer que cela faisait des mois que mes temps de jeux-vidéo étaient d’une part très courts et surtout très espacés, seul Resident Evil 6 parvenant à me redonner envie de jouer une petite heure lors de rares soirées de détente.

Ce jeu, je l’attends depuis la fin de l’automne 2011 ! A l’époque quelques informations avaient été dévoilées faisant fortement référence au film « Je suis une légende » joué par Will Smith, qui fait partie clairement de mes films cultes ! On reste bien sur dans un ptich à mon gout, une super-contamination à rendu tout le monde entre zombie et méchant, notre civilisation s’effondre et l’on se retrouve dans un univers pots-apocalyptique où la survie devient difficile ! Si bien sur Resident Evil nous propose des histoires assez proches du genre, elles finissent toujours par se ressembler, et du sang neuf était donc très motivant. D’autant plus que The Last of Us serait signé Naughty Dog.

En 2008 quand je me suis acheté la Playstation 3, je ne savais pas encore vraiment de quoi serait capable cette nouvelle génération de console. Après avoir été très déçu par mon premier achat (Assassin Creed), la démo de Uncharted allait rapidement me faire prendre ma voiture pour aller acheter le jeu en magasin, tant les graphismes et le gameplay étaient excellents ! Les épisodes suivants sortis en 2009 (Uncharted 2 : Among Thieves) et 2012 (Uncharted 3 : Illusion of Drake) allaient être à chaque fois un coup de massue incroyable !

The Last of Us est tout, sauf une déclinaison d’un Uncharted en mode Zombies. Officiellement présenté comme un survival-action, le titre prend son temps pour nous plonger dans une ambiance oppressante. On est finalement plus proche de l’univers de Walking Dead que de celui de Resident Evil… (Minilob – JeuxVideo.com)

Il est certain que je suis un joueur moderne difficile, j’ai des références moi Môsieur,… et puis je suis assez mauvais aussi, et je peux assez vite me décourager ! En gros ne me parler pas de Call of Duty, Naruto et Call of Naruto in the Dutiness of Arkham Fantasy IX.

(Article laissé à l’abandon)


LE PLEIN DE JEUX EN 2013 !
LE PLEIN DE JEUX EN 2013 !

Coté gameplay les phases de combat alternent avec les phases d’exploration dans des décors apocalyptiques incroyablement bien réalisés qui ne manquent pas de me faire penser à S.O.S. the Final Escape, mais également à la série Revolution. Là où le jeu se démarque de ce qui existe déjà, c’est qu’il faut arriver à gérer d’une part des minutions en très faible quantité, mais également des objets à ramasser pour voir ensuite confectionner de quoi se soigner ou se protéger… avec des temps de confection et de soin qui nécessitent de se trouver des caches pendant les conflits. (A lire : ma critique de The Last of Us)

Les films du mois : Gastby le magnifique

Les films du mois : Gastby le magnifique

Gatsby le magnifiqueGatsby le magnifique (2013) 10/10

Je n’ai jamais lu le livre des années 20, je n’ai jamais vu le film des années 60.. pour moi Gatsby le magnifique est nouveau et je n’ai aucune référence pour lui donner la critique. J’ai vraiment apprécié ce film qui colle aux Grands Films tel que Benjamin Button, Attrape moi si tu peux, Forest Gump… le genre de film qui donne l’impression de ne jamais se terminer. Durant quelques bonnes minutes, il m’a fallu accepter cette vision des années 20, débridée, colorée,… mais j’y ai percé de chouettes idées… ce mélange de musique moderne et d’époque apporte au final qqch de surpennant, il en va de même dans bons nombres de plans, techniques de tournage et effet spéciaux. L’histoire vraiment bien plus, Di Caprio y est une fois de plus magistal, l’actrice anglaise qui joue Daisy était une belle révélation, (premier film où je la vois). Bref, Gastby le magnifique est pour moi une très belle découverte, qui met en valeur une époque qui me fascine par tous ses aspects musicaux et vestimentaires !

Des saumons dans le désert (2012) 8/10

Un titre audacieux, un sujet qui fait lever le sourcil… Et puis rapidement on se retrouve dans une comédie romantique à l’anglaise avec quelques pointes de politique international qui surprend ! Voilà clairement le genre de film que j’apprécie recevoir en surprise de la part de BeTV.

Target (2011) 7/10

Petit comédie romantique qui fait sourire… cela reste à l’américaine, et donc plus que léger. Je m’attendais honnêtement à mieux, je ne sais pas trop pourquoi.

La cabane dans les bois (2012) 7/10

Cela faisait un bon moment que je n’avais plus regardé de film « d’horreur ». Je me souviens très bien avoir été Assez inspiré par l’affiche du film La Cabane dans les Bois semblant faire référence à deux films que j’aime beaucoup : Détour mortel et La coline à des yeux. Assez rapidement le film m’accroche, avec un début intriguant. Assez rapidement ont sent venir d’autres influences tel que Hunger Games ou Cube qui ne sont pas pour me déplaire. Si dans l’ensemble j’ai trouvé le film parfois un peu trop léger, je l’ai tout de même bien apprécié. On sent que son auteur à qui l’on doit par exemple Lost et Cloverfield à continuer à pousser plus loin des idées qu’il apprécie. Seul « regret », la cabane de l’affiche n’a au fond rien à voir avec celle du film ;)

Transit (2011) 5/10

Un thriller sans grande prétention basé sur un gang de braqueur qui planque leur argent dans le sac de voyage d’une famille partie en vacance. Si l’histoire en soi est intéressante, la réalisation manque vraiment de réalisme ! Un abus totale de Red Giant Looks et maquillage sur les acteurs… Bref un film trop bas budget pour le genre !

Les papas du dimanche (2012) 5/10

Les sujets n’est pas marrant, l’histoire traine et hormis l’acteur principale, le reste du casting ne donne pas du tout envie de rentrer dans le film !

 

J’ai toujours mon mot à dire…

J’ai toujours mon mot à dire…

Vous le savez, j’ai toujours mon mot à dire ! Un film, un jeu, un téléphone, un appareil photo,… Par contre je n’ai pas toujours le temps ou le besoin d’en faire un billet complet dans mon blog. A tord peut-être, car je n’ai aucune idée de ce qu’adviendra les outils que j’utilise, que ce soit Facebook ou d’autres défunts outils. Pour l’heure, j’utilise donc le très sympathique site : SensCritique. Mais je me suis dit qu’il pourrait être intéressant mensuellement de faire un petit compte rendu des choses les plus intéressantes qui m’ont marquées.

J’ai très peu joué ces derniers temps, trop de travail à faire. Mais je me suis octroyé tout de même quelques moments de lecture dont deux bonnes trouvailles BD.

New York – Ekhö, monde miroir, tome 1

Barbucci & Arleston, voilà qui augure un cocktail explosif. Et le résultat est au rendez-vous. Clairement les courbes généreuses et les couleurs de Barbucci se mélangent avec plaisir avec les aventures monde parallèles fantastique d’Arleston… Dès le début de l’histoire, j’accroche complètement à cette nouvelle série basée dans un New York de l’autre coté du miroir.

Petit à petit le scénario a pourtant un peu de mal à se démarquer de ce que j’ai déjà lu dans le même genre. C’est du Arleston qui sonne Arleston sans réellement pouvoir me surprendre (Les Mondes d’Ythaq, Elixirs, Lanfeust)…

A suivre, à suivre bien sur… Et il y aura-t-il une suite et quand… Là résidera tout le mystère. MEGAFAN de la série Elixirs scénarisée par Arleston, j’attends depuis longtemps mon tome 3. Il en va de même pour la magnifique histoire de Skydoll à qui Barbucci à donner la vie il y a de trop longues années.

La série Ekhö parviendra-t-elle à trouver son public et son ryhtme de croisière… Ma fois, j’en redemande et je l’espère !

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