La vie semble cyclique avec l’âge… La rentrée de septembre, comme à son habitude a été bien chargée avec l’entrée à l’école de Rose. Les matins sont speeds et le retour à la maison rempli de de devoirs pour les trois grands. Quoi qu’il en soit, cela semble payer car je vois des améliorations tant chez Charly que chez les filles. Mariages, MOOCs et autres grands projets de ce début d’automne se mêlent avec les activités des enfants et déjà la gestion de l’agenda pour la fin de l’année et celle qui arrive devient un vrai casse-tête… Mais au moins, cette fois, on a réussi à avoir les leçons de natation !
Il a plutôt fait beau, de quoi profiter encore un peu des Bois d’Avister de quoi faire la fête avec vous dans une ambiance musicale avec le talentueux Newton et son mini piano pour l’anniversaire de Jessica… Et puis papa s’est même tenter à faire un gâteau ! Mais si, tout arrive.
Afin d’éviter tout potentiel conflit de Droit d’Auteur, les images d’illustration de cette article intialement inspiré de la lecture du magazine Wapiti de septembre 2018 ne sont conservées qu’à titre privée et remplacée publiquement par des images générées par IA Gemini.
Ah, le futur, cela fait rêver quand on est enfant ! Moi je me souviens parfaitement de ce petit dossier dans mon Hello BD qui nous parlait du Futur. En l’an 2000 on mangera de la nourriture d’astronaute et surtout, on écoutera de la musique qui tiendra sur une carte de téléphone !
Il y a quelques jours, Charly m’a demandé d’accrocher dans sa chambre le dernier poster de son magazine Wapiti qui offre une vision de ce que sera une journée type dans le futur. On est bien entendu dans un magazine pour enfants, qui donne un avenir heureux et positif à toutes ces innovations, mais lorsque l’on est fan du Da Vinci moderne, Elon Musk, c’est amusant à découvrir !
Plus de voitures privées
Une Navette scolaire solaire – IA Gemini
En 10 ans déjà, les axes liégeois ont si pas triplé au moins doublé le traffic. Sur le campus universitaire du Sart Tilman, cette rentrée est encore plus compliqué coté mobilité. Depuis un bon moment je me dis qu’un jour on finira par mettre en place une politique qui taxera tellement la voiture privée que seuls les plus nantis auront encore accès à ce produit de luxe. Moi j’imagine bien voir fleurir un concept de voiture autonome mélangeant le fonctionnement de Über et qui proposera des covoiturages à la gestion organisée depuis un Big Data Center… Difficile d’imaginer que seul les transports en commun ou les vélos électriques puissent combler les besoins de chacun… Mais nous verrons ici à Liège ce que la nouvelle ligne de Train, le futur tram.. et qui sait les projets de funiculaires offriront comme solution.
Et les voitures électriques ? Ah oui, j’aime beaucoup le défi qu’a osé Elon Musk avec les Tesla, probablement les seuls voitures de standing qui m’attirent, mais dans les faits… leurs fournir de l’énergie n’est qu’une manière de contourner le problème de pollution… A moins que des panneaux solaires sur le toit ne suffisent à leur fournir de l’énergie… Tiens, les Pays-Bas n’envisageaient-ils pas de construire des routes solaires ? Ceci dit, c’est écologique la production et le remplacement des panneaux solaires et batteries produites actuellement ?
Voitures volantes, intelligentes, Hyperloop ou moto du futur
Finies les vacances. J’ai moi déjà repris le chemin du bureau pour préparer une 3° saison de MOOC ULiège. Aujourd’hui, Rose disait un dernière au revoir à Andy, Anna, Catherine, Kessy à la crèche. Et oui, lundi elle suivra les grands pour entrer à l’école ! Oui, les vacances sont finies.
Finies, mais bien remplies. Je suis plus que satisfait de tout ce que nous avons fait ensemble cet été. Il y a bien sur eu notre Trip dans les Landes dont j’espère vous avez déjà été découvrir les photos, mais pas que…
Ici en Belgique, nous avons profité de cette belle météo pour nous rendre à Plopsa Coo, Pairi Daiza et Bobbejaanland et le Weekend Médiéval de Remouchamps. Je vous avoue que les parcs d’attractions belges sont loin de proposer des offres attrayantes pour les familles nombreuses. Cette année, nous avions tenté d’optimiser un peu les choses avec un abonnement à Pairi Daisa offrant en principe des réductions intéressantes dans d’autres parcs. Nous comptions sur un -50% sur le parc Efteling qui a modifié son offre par un -5€ nettement moins intéressant. Nos abonnement nous permettait de réduire à -40% les entrées aux parcs Plopsa, -60% pour Bobbejaanland, mais tout cela uniquement sur les tarifs « adultes »… Bref, si le concept abonnement + réduction à poursuivre pour l’année prochaine, nous pensons optimiser les choses d’une autre manière… Quoi qu’il en soit, c’était l’occasion de profiter cette année un peu plus de Plopsa, maintenant que Rose à dépasser le 1m, de découvrir Bobbejaanland avec les plus grands et de profiter des Estivals de Pairi Daiza pour aller écouter Newton Lawrence et son mini-piano. Par contre, la fête de médiéval de Remouchamps et son tarif familles nombreuses nous a grandement plu, avec de nombreuses activés et la rencontre de Pavard le Passeur d’Histoires.
Reste qu’il est parfois encore compliqué de jongler avec les règlementations des diverses attractions qu’on est 2 adultes et que l’on a 4 jeunes enfants.
Aah, ce que j’aime les vacances en France ! D’autant que cette année nous partions « à l’aventure » dans une contrée encore non-explorée entre Arcachon et Bayonne, de quoi découvrir les Landes et même le Pays Basque. Comme je vous en parlais début du mois en goupillant le Road Book, nous avions choisi de découvrir le Camping Sandaya du Col Vert. L’année dernière nous avions testé la chaine Feerix à Marseillan. J’y avais très apprécié les animations pour les enfants, mais j’étais assez déçu du confort de notre « Mobilhome ». Ici, avec un standing 4 coquillages et malgré un modèle en 40m2 pour nous 6, j’ai été agréablement surpris de l’optimisation des lieux. Fini de me cogner partout ou ne savoir où m’assoir. De manière générale, le camping était moins aride qu’à Marseillan et la piscine, tant pour les grands que les petits était très chouette et je n’ai pas eu l’impression qu’il y ai eu trop de monde. Nous avons pu profiter de la location de vélo pour aller faire des balades. Impossible de mettre tous les vélos dans la voiture, mais j’étais tout de même content d’avoir pu glisser le vélo d’Alice et Juliette au dessus des bagages, dans le coffre, histoire que les filles poursuivent leur maitrise du deux roues !
Megaplouf dans la piscine du camping du Col Vert – Sandaya
Nous n’avons pas eu l’occasion de beaucoup profiter de la plage au bord du lac car bien sur nos vacances sont toujours remplies de visites et cette fois encore nous aurons parcouru pas loin de 4000km en 10 jours. Enfin, reste que les activités dans le camping m’ont du coup semblé un peu en retrait face à Carabouille et Gauffrette qui « mettaient l’ambiance » au camping Féerix ; )
Carte des vacances
Bref, je nous avais concocté un sacré Roadbook dont nous n’avons pu faire que quelques embranchements, de quoi envisager donc revenir dans cette région qui m’a vraiment agréablement plue… Un petit mélange entre les Polders de notre Mer du Nord et les Hautes Fagnes, bref en route pour nos vacances d’Arcachon à Bilbao en passant par San Sebastian, Biscarosse ou encore Espelette…
J1. Hossegor : Surf, Rollers et glaces
Vacances au camping Col Vert – Sandaya – Premier plouf dans la piscine
Partis un peu plus tôt que d’habitude pendant la nuit, le contournement de Paris s’est passé sans encombre et nous arrivions, pauses comprises en fin de matinée à notre Camping du Col Vert. Le temps de découvrir celui-ci, la petite plage au bord du Lac Léon, le petit restaurant, notre « cottage » et nous nous empressions d’aller découvrir la piscine sous un soleil radieux ! J’étais un peu inquiet, qu’en pleine saison, celle-ci ne soit noire de monde, rendant la gestion des 4 petits monstres, mais il n’en fut rien. L’espace « enfants » (jusqu’à 10 ans) était d’ailleurs plus qu’agréable et notre petite sirène Rose s’y est donné à coeur joie.
Hossegor, capitale du Surf et des rollers
En fin de journée, malgré le gros 1000km parcouru, nous prenions à nouveau la route pour passer un moment à Hossegor, « capitale » du Surf et des rollers. Comme beaucoup de stations balnéaires de la région, Hossegor se coupe en un coté plage et un coté centre. Ce dernier se situant au bord d’un lac aux eaux plus paisibles. Avec ces magnifiques villas et son coté un peu chic, le centre d’Hossegor m’a bien plu et j’y ai mangé, toutes régions de France confondues, les meilleures glaces qui soient ! Régulièrement l’idée de refaire étape à Hossegor en cours de journée s’est d’ailleurs envisagée… pour les glaces, les magasins ou encore le parc de jeux pour enfants… mais notre soif de découvertes nous a emmené toujours un peu plus loin.
J2. Dans le bassin d’Arcachon
C’est l’heure du petit déjeuner avant de partir en visite
Alors qu’en Belgique, il fait chaud avec un soleil qui ne semble jamais vouloir s’éteindre, au bord de l’Océan, non loin des Pyrénées, la météo est un plus capricieuse. Avec un tel roadbook, il s’agit de bien faire ses choix. J’avais donc prévu pour cette 2° journée de nous rendre à Gujan Mestras, la ville aux 7 ports au bord de bassin d’Arcachon, d’y louer des vélos et se faire une grande balade avant de terminer la journée à Arcachon, voire se rendre jusqu’à la Dune du Pilat. Mais changement de programme, arrivés à Gujan Mestras… nous sommes restés assez perplexes quant à cette étape. Je dois bien admettre que les différents lieux à visiter autour du bassin, et de manière générale dans la région ne permettent pas vraiment de se faire une bonne idée de l’intérêt ou non d’y faire étape au départ de leur site internet. Dans les faits, Gujan Mestras étale ces 7 ports dans un genre de bassin ostréicole plutôt industriel et le long d’une voie de chemin de fer. Après deux tentatives d’arrêt sans y trouver d’âme… nous avons donc repris la route jusqu’à Arcachon.
En bateau dans le bassin d’Arcachon
Ville plus importante, très appréciée de Napoléon pour ses bienfaits thérapeutiques, Arcachon offre un très bon compromis entre ambiance commerciale, plage, architecture et histoire. J’aurais aimé y rester un peu plus longtemps pour y découvrir la ville d’hiver et ces villas d’époque. Après une pause restaurant sur la place du marché, nous avons été faire un petit tour en bateau voir de loin, certes, mais voir tout de même l’île aux oiseaux et la Dune du Pilat, deux attractions typiques de la région. C’était une première pour notre grande famille que de monter dans un bateau, et les enfants ont grandement apprécié cette excursion d’une heure en mer.
Le GPS TomTom est mort !
Le retour fut ponctué d’un peu d’aventure supplémentaire, la mort de notre GPS, alors que nous étions à plus d’une heure du camping. Il aura fallut se reposer sur un Google Map pas vraiment adapté à la conduite accroché avec les chouchous de Rose à notre feu TomTom…
Cette « virée » vers le nord, du coté d’Arcachon aura pour finir été la seule de nos 10 jours de vacances. il restait pourtant encore tant à y découvrir, comme tout le coté du Cap Lège-Ferret ou le petit port de Biganos… une autre fois peut-être…
Vous le savez, fin 2017, Nintendo nous sortait une ré-édition miniature de la Super Nintendo embarquant 20 jeux de la belle époque du début des années 90. Il faut bien admettre que la SNES est une des consoles rétros qui offrent les plus beaux jeux à redécouvrir de Super Mario World à Donkey Kong Country en passant Legend of Zelda, Megaman X ou Super Metroïd. Cette dernière est vendue 80€, un peu plus cher que l’édition NES de l’année précédente.
Ici à la maison, j’ai bien sur une vraie Super Nintendo. Pas de boite, un peu jaunie, mais elle avait été restaurée il y a déjà quelques années par l’ami Kingstef et j’ai pu grappiller de nombreuses cartouches au fil du temps. Impossible de trouver un Legend of Zelda ou Metroïd, dont les prix ont explosé, mais j’ai tout de même une série de titres pas fréquents à redécouvrir ! Alors que s’enchaine deux weekend un peu moins chargé, j’ai donc branché la console sur la TV.
On joue aux Schtroumpfs sur Super Nintendo
A ce propos, sachez que si vous disposez d’une Nintendo 64, le cable de connexion RVB est compatible avec la Super Nintendo, ce qui permet d’avoir une bien meilleure image que via le cable peritel antenne d’époque. Pensez aussi à régler le mode image de votre téléviseur. Mon écran 4K Sony par défaut m’offrait une image aux pixels tranchant, alors qu’en activant le mode « cinema », ceux-ci sont un peu plus lissés et proche d’une image de l’époque.
Ce sont d’abord les enfants à qui j’ai proposé de choisir à quoi jouer. Les Schtroumpfs, Astérix, Micro-Machine et Super Mario ont eu leur faveurs. Ce sont des titres qui visuellement n’ont pas vieilli. Les Schtroumpfs reste malgré tout frustrant à souhait, mourir quand on marche dans l’eau ou quand un Schtroumpf jette de l’eau par la fenêtre, pour un enfant, c’est loin d’être logique. Alors que même si Super Mario World est loin d’être simple, on n’y meurt pas sans raison ! Il est tout de même fou de constater comme ce jeu reste intemporel. Pour l’époque c’était une explosion de nouveauté à découvrir de niveaux en niveaux, un sentiment jamais égalé en jouant aux autres Mario.
On joue à Super Mario Kart – SNES
J’ai ensuite tenté de leur faire découvrir le premier Super Mario Kart, plus difficile à prendre en main que les versions modernes, il faut bien l’admettre ! La sauce n’a pas pris. Moi même je me suis senti un peu rouillé, trop habitué aux glissades des épisodes plus récents. Charly appréciant beaucoup les jeux de voitures en ce moment, j’ai donc testé avec lui Micro Machine 2, Pole Position 2, Nigel Mansell et Top Gear. Lui a trouvé son plaisir dans Nigel Mansell. Choisir ses pneus et ses réglages, c’est ça qui l’intéresse. Moi je suis resté scotché sur la qualité de Top Gear qui bien plus abouti que Lotus Challenge dont je pensais qu’il n’était qu’un simple portage dédié à la SNES… Mais j’y reviendrais une prochaine fois.
Sortir une veille console et des vieux jeux, cela fait toujours un peu d’animation. Les JulietteS s’affrontent à Super Mario Kart, on redécouvre les vieux pixels avec Matteo et Romeo et puis on approfondi le sujet avec Pype, de quoi mettre des images sur certaines de nos lectures communes aux éditions Pix’n Love, tel que La Guerre des Mascottes.
En grand amateur de jeux de plateforme, j’avais fait le plein de cartouches les années précédentes : Chuck Rock, Zool, Bubsy, Cool Spot, Indiana Jones, Pitfall et même Aero the Acrobat et Ardy Lightfoot. La Super Nintendo regorgent de ce genre de jeux qui avaient d’ailleurs la cotte à cette époque. Moi je m’étais attaqué seul à découvrir Chuck Rock dont les gros sprites m’avaient impressionnés quand je lisais les magasines de l’époque. Mais une fois la manette en main, la construction des niveaux m’a un peu déçu… Les filles ont assez bien apprécié Zool, nerveux et colorés et clairement plus maniable que la version PC à laquelle je jouais quand j’étais ado.
Bubsy, ça speede – SNES
Plutôt content d’avoir déniché Aero the Acrobat, le « Sonic » the Sunsoft, je dois bien admettre qu’il n’est vraiment pas amusant à jouer et difficile à prendre en main avec ses pirouettes. Reste cet excellent Bubsy… Lui aussi descend du Hérisson de SEGA qui venait créer un nouveau genre de jeu dans la catégorie plateforme. Chat, Caméléon, Chauve-Souris, Lapin… les mascottes débarquaient en force avec plus ou moins de réussite. Bubsy ramassant des boules de laines dans des niveaux nerveux, colorés et avec un scrolling rapide avait tout pour se porter en concurrent de Sonic sur la Super Nintendo. Ce n’est pas pour rien que j’y ai tant joué… Il est pourtant bien plus difficile, car au moindre contact avec un ennemie, un chute de trop haut, c’est le petit gimmick d’une vie en moins. Malgré cela, j’ai probablement dû réussir à avancer dans le jeu aussi loin que dans Sonic à l’époque.
Si au jour d’aujourd’hui, j’ai pas mal de cartouches, je manque cruellement d’éléments pour envisager un shooting studio autour de la Super Nintendo. Les jeux étaient à l’époque distribuer dans une boite en carton, ce qui a rendu leur conservation plus rares que les boitiers « plastiques » à la sauce VHS des jeux Megadrive. Magasines, posters ou même boite de consoles sont également difficile à trouver.