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Les films du mois : Sous les jupes des filles

Les films du mois : Sous les jupes des filles

Sous les jupes des fillesSous les jupes des filles (8/10)

Hier, je me suis retrouvé au cinéma voir un film dont je ne savais pas grand chose. En réalité j’avais juste furtivement vu passé le matin un gros titre ciblant ce film de « Anti Frère Daerdenne », ce qui allait m’obliger à essayer d’en comprendre la raison !

Assez rapidement, on sent l’ambiance chaleureuse des excellentes comédies françaises avec un Paris qui donne envie d’y flâner et des personnages, des filles ou plutôt femmes d’ailleurs avec chacune leur histoire qui s’entremêle subtilement. Le tout se fait en douceur, alors que le style est maintenant devenu un « classique », on ne sent pas trop le mouvement venir, on découvrir petit à petit ces chemins croisés.

Le thème est loin d’être cantonné à du Ragnagna et surfout ne tombe pas la caricature… On reste dans la légerté et dans l’humour et dans des situations loin d’être Frères Daerdenniennes. C’est du MADE IN FRANCE et cela se sent ! Je ne peux pas parler au nom des femmes, mais j’ai trouvé que le message que m’a fait passé le film était positif, chacune est unique et surtout incompréhensible à nos yeux d’hommes avec tous les efforts que nous puissions faire, il restera la magie noir, blanche ou rouge qui fera que ce qui se passe dans leur tête est si souvent loin de ce qui se passe dans la nôtre…

Bref, j’ai passé un très bon moment avec ce film… j’ai explosé de rire et de surprise régulièrement, de manière tout à fait inattendue !

Bref, Anti Frère Daerdenne dans un sens oui, il est claire qu’il y a peu à comparer avec les productions vantant la misère sociale ici… Certains cinéphile auront peut-être repéré des structures, des détails ou juste des influences similaires ou expressément inverses… Oui, il y a certes une volonté dans certains plans d’Audrey Dana une volonté de rentrer dans l’intimité, que ce soit visuelle avec le début du film… ou sonore avec la scène de la biscotte… mais à mon goût, ce n’était qu’un slogan sans intérêt qui aurait pu me faire louper cet excellent film !

Les Croods (7/10)

Bon, je me souviens que la bande annonce ne m’avait franchement pas inspirée ! En ressorti un film bebête à souhait ! Pourtant certains de mes amis avaient été le voir au ciné avec leur enfants et l’avaient trouvé chouettes… ce qui me laissait un peu perplexe !

Une fois de plus, c’est la bande annonce qui est en tord. Au final, le film est certes dans un humour très très décalé à la sauce Shrek plus que l’âge de glace, mais j’ai ri de bon cœur ! Le message simpliste de la trame de l’histoire fonctionne, et tout le monde passe un bon moment devant la TV !

Les stagiaires (5/10)

Mmmmwouaip. Le fond de l’histoire est évidemment sympa et avec cette paire d’acteur, on peut s’attendre à être dans un film à l’humour un peu gras… Le sujet se plaçant assez geek dans un univers à la limite du schoolteenage, cela aurait pu être sympa, mais assez vite, on s’ennuie ! Il n’y pas vraiment d’élément accrochant à l’histoire, et j’ai fini par zapper en cours de route…

Le grand méchant loup (3/10)

La pochette et le titre semblaient sympa, mais je n’avais pas lu le synopsis. Pas de chance, c’est un sujet que je ne supporte pas… de ce fait, ce qui est sensé être comique m’ennuie et m’énerve. Par ailleurs, on ne peut pas dire que Kad et Benoit Poelvoord soit franchement à leur top dans ce film… Pour moi, c’était donc franchement dispensable !

Arnaque à la carte (2/10)

Les films du mois : Stoker

Les films du mois : Stoker

Stoker

Stoker (9/10)

Stoker est un film qui se démarque. Durant une bonne partie du film, on sent qu’il y a un malaise, on sent que quelques choses d’anormal va arriver et le film prend bien son temps pour nous le faire savoir en s’arrêtant visuellement et musicalement sur de nombreux détails, bien typique du cinéma asiatique… Le dénouement reste pourtant simple, sans originalité et je dirais même sans tomber dans le film d’horreur ou d’épouvante… L’ambiance générale est beaucoup plus enrichissante que cela, et justement tous les petits détails qui fourmillent sont plutôt frais, lumineux, simple…
Musicalement, l’ambiance est très intéressante, on joue sur des notes, des ponctuations, des silences, chaque chose est à sa place.
Stoker aurait pu juste être un film tordu de 7° art s’il ne prenait place aux états-unis, dans une époque contemporaine, par moment difficile à bien cibler et surtout si les acteurs, dont Nicole Kidman, n’apportait pas un point d’accroche si important. les 3 personnages principaux jouent à merveille leur rôle et l’on se sent passé d’une scène teenage movie à du The Others sans même s’en rendre compte !

Bref, hormis un dénouement peut-être manquant de surprise, tout bon amateur de cinéma aura de bonnes raisons de découvrir Stoker !

Tous les espoirs sont permis (8/10)

Bon, il faut bien l’admettre, à la base, nous avions fait l’impasse sur ce film… parce-que c’est un « film de vieux ». Et bien, c’était une erreur. Tout d’abord parce que Tommy Lee Jones et Merryl Streep sont quand même deux sacrés pointures, mais aussi parce que le thème de ce film pourrait très bien s’appliquer à n’importe quel couple qui a déjà un peu de vécu. Aussi, parce que la communication est quelque chose de tellement important dans un couple que ce film, même s’il se focalise un peu plus sur la sexualité, met tout de même pas mal de chose primordiale en avant… C’est un film qui touche et qui fera surement réfléchir ceux qui ne sont pas un processus de communication avec son partenaire et rappellera aux autres de ne pas oublier ces bonnes habitudes….

L’amour se renouvèle chaque jour, comme un feu doit s’entretenir.

Bref, à voir !

Le Terminal (8/10)

Gambit : Arnaque à l’anglaise (7/10)

Humour à l’anglaise garanti !

Pour l’histoire, je constate qu’il s’agit d’un remake d’un film des années 60 !

The bling ring (6/10)

Bon, je dois bien admettre que pour un film de Sofia Coppola, j’en attendais un petit qqch en plus, je ne sais pas trop pourquoi. Pourtant l’ambiance est dans le ton, Emma Watson se démarque parfaitement de son rôle d’Hermione et montre qu’elle a du potentiel pour rebondir, les couleurs, les plans… tout cela colle très bien… Cependant, il manque d’un qqch qui accroche, qui surprend… le tout se termine zoup, sans autre forme de procès…

Perfect mother (6/10)

Les profs (5/10)

Regarder « Les Profs » en sortie de la Journée IFRES, c’était une bonne manière de se détendre non ? En soi, je ne m’attendais pas à un film d’un niveau très relevé, mais le casting était intéressants. Je dois même admettre que l’exagération de la situation durant les 30 premières minutes du film était hilarante, mais au final le film prend une direction « humour lourd sans moral » qui me fait nettement moins rire. J’ai passé un bon moment, mais j’ai du mal à accepter des films où la morale de l’histoire n’a pas de sens.

Effets secondaires (5/10)

Je n’ai pas accroché au début du film, trop braqué à mon gout sur les médicaments. J’ai donc suivi le reste de l’histoire d’une oreille, trouvant que j’aurais préféré avoir un film sur le sujet qui aurait un gout d’histoire vraie… mais c’était sans compter sur un dénouement inattendu qui me fait un soupons regretter de ne pas m’être impliqué dans l’histoire.

Mariage à l’anglaise (4/10)

Ouf, et dire que je souhaitais aller voir ce film au cinéma à sa sortie, pensant trouver une comédie romantique dans la lignée d’un Love Actually. Et bien, je l’aurais regretté amèrement. Ce film n’a rien d’une comédie british romantique, à moins que le doublage français n’aie décidé d’en faire un pastiche à tendance vulgaire !? Option que je ne pourrais entièrement innenvisager tant les scènes de gros mots ou de situations rabaissantes sont régulières et se trainent en longueur.

Le final nous offre un splendide tout ça pour cela,… bref énorme déception !

Les films du mois : Django Unchained

Les films du mois : Django Unchained

Django Unchained
Django Unchained (9/10)

Elle : Pourquoi as-tu enregistré ce film ?
Moi : C’est un « grand film » qui a été primé, un western moderne avec des grands acteurs, dont LDC.
— on finit par regarder le film, c’est le générique —
Elle : Ca fait vieux film…
Moi : Ben oui, difficile de faire un Western moderne, on verra bien…
— au bout des deux premières scènes, je finis par me rendre compte que je plante complètement et que oui, il y a bien moyen de faire un Western moderne, et que je suis en plein dedans !

Au final, madame et moi avons vraiment fortement apprécié le film. Personnellement je sens qu’il ne s’agit pas d’un simple film de bingbangboug bleurk aaaaahaaa, même si on a droit aussi à ce genre de scène. Non, chaque moment est réfléchi, les scènes se posent, se développent et ne cessent de nous surprendre avec un scénario fort !

Au fond, Léonardo n’a pas la vedette, il faudra même un bon moment avant qu’il n’arrive, mais qu’importe, les acteurs principaux ont des personnalités tellement fortes et un jeu parfait. On alterne entre le tragique de la situation et les petites piques cocasses et relevées du Docteur qui offrent au spectateur quelque chose de différent.

Enfin, j’ai cru plusieurs fois que le film se terminait, regrettant pour diverses raisons que l’histoire ne se termine de la sorte… tout dans la construction cinématographique était présent pour donner au spectateur le sentiment de « FIN »… alors que l’histoire avait encore de quoi me surprendre.

Clairement Django Unchained n’est pas juste un Western moderne, c’est un chef d’œuvre cinématographique.

L’écume des jours (9/10)

Bon, je n’ai pas lu le livre, mais il semblerait que de manière général le film colle assez bien à ce que l’on m’a raconté du livre. Il y a beaucoup d’élément d’ambiance et de décors choisi pour illustrer le monde fantasque proche de l’après-guerre qui m’ont beaucoup plus, mais qui n’existe pas dans la livre. J’ai aussi bien apprécié tout une série de similitude qui me rappelle les vieux films fantastiques des années 20. Le tout est saupoudré d’une drame romantique et d’acteurs plutôt charismatique. Personnellement j’ai franchement accroché aux délires proposé par le réalisateur, peut-être même plus qu’à celui de l’auteur du livre d’ailleurs….

La désolation de Smaug (8/10)

(…) Tout d’abord, je trouve que l’équilibre de la trame du film est bien meilleur. Je n’ai plus eu l’impression que les scènes se tiraient en longueur, peut-être juste un peu sur la fin quand Smaug essaie d’attraper Bilbon, mais dans l’ensemble, je trouvais que lorsqu’une scène prenait son temps c’était pour nous permettre de se perdre dans des ambiances et décors époustouflants, baigner d’effet de lumière et de profondeur à couper le souffle ! (…)

Mes héros (7/10)

Je suis loin d’être fan de Balasko et Jugnot. Je n’ai pas vraiment suivi comment l’histoire c’est mise en place, et a bien y réfléchir, il y a beaucoup de choses dans ce film dont j’ai du mal à comprendre le pourquoi du comment… Pourtant, il y a un truc qui m’a plus dans ce film. L’étrange relation d’autorité/complicité entre les deux personnages principaux. La simplicité de leur vie, les défis… et puis il y a aussi le cadre, cette belle maison perdue dans la campagne française…

Je n’aime pas vieillir, et pourtant ce film m’a donné une image de « si j’étais vieux » qui ne me déplait pas…

Populaire (7/10)

Comédie française que je voulais voir depuis sa sortie en salle. Le résultat n’est pas époustouflant, mais offre un divertissement frais. Je n’aime pas trop le personnage principale qu’incarne Romain Duris, même si le rôle lui va bien. L’ambiance année 50 est par contre bien réussie ! Bon moment TV ;)

Comment tuer son boss (7/10)

Predators – 2009 (6/10)

Bon, je ne sais pas trop si cela a un rapport avec le Predator de Alien VS Predator ou pas… Au final, on se retrouve dans un concept sympa mais assez gore entre Lost et Cube divertissant faisant penser à un film de science fiction d’il y a 20 ans relifté…

Hotel Transylvanie (5/10)

Et bien, je ne vais pas dire que je m’attendais à mieux ! Parcequ’en réalité, je m’attendais à ne pas aimer ce film perdu entre Nordman et Frankenwinnie… La trame général de l’histoire est plutôt sympathique et les personnages sont assez comiques ! La voix de Dracula m’énervant tout de même un peu, mais bon.

Ce n’est pas le genre de film que je laissais regarder à Charly, ce n’est pas le genre de film que j’aurais envie de revoir, n’étant au fond pas vraiment fan de Dracula et Frankenstein… Bref si vous tombez dessus, ne zapper pas, cela se laisse regarder.

La dame de fer (4/10)

The killer inside me (3/10)

Ouf… en soit j’aimais encore bien l’ambiance un peu spéciale du film Killer Inside Me… mais les scènes de violence était un peu trop hard pour moi, je n’ai pas tenu tout le film…
CJ : est toujours là ! alors, pour aujourd’hui : acheter des pantalons à la braderie de Belle ile, préparer les jouets à vendre sur la bourse et faire la fête avec mes amis ce soir.

M Popper et ses pingouins (2/10)

48 images par seconde

48 images par seconde

Sans être un grand fan du Seigneur des Anneaux, j’avais relativement bien apprécié l’histoire se mettant en place dans le premier film de la trilogie du Hobbit. Certaines scènes étaient beaucoup trop longues à mon goût mais dans l’ensemble, j’étais content d’avoir vu le film. Pour la Désolation de Smaug, nous avions choisi d’aller le voir en 3D 48fps, car mon ami Vincent n’avait jamais vu de film en 3D. Personnellement, je ne cours d’habitude pas à voir les films en 3D, car je trouve cela fatigant pour la vue et hormis les films d’animation, je n’ai jamais été époustouflé par cette technologie… jusqu’à La Désolation de Smaug !

Tout d’abord, je trouve que l’équilibre de la trame du film est bien meilleur. Je n’ai plus eu l’impression que les scènes se tiraient en longueur, peut-être juste un peu sur la fin quand Smaug essaie d’attraper Bilbon, mais dans l’ensemble, je trouvais que lorsque le film prenait son temps c’était pour nous permettre de se perdre dans des ambiances et décors époustouflants, baigner d’effets de lumière et de profondeur à couper le souffle !

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Coté 3D, on sent que ce film est une véritable démo technique de ce que l’on fait de mieux… sans pour autant en jeter plein la vue en permanence. Il y a quelques petits effets d’objets qui vous arrivent en pleine figure, mais dans l’ensemble la 3D est surtout là pour nous donner l’impression d’être immergé dans l’univers de JJR Tolkien.

Quid du 48fps ? Dans un premier temps, j’ai été très étonné que ce flux d’image soit bien moins fatigant à regarder (surtout pendant 3 heures) face à tous les autres films 3D que j’ai vus. Je ne peux être certain que cela soit lié, mais c’est important de le souligner. (Et après lecture sur le sujet, je sais maintenant que c’est un des avantages du 48fps).

Ce qui est certain c’est que le 48fps apporte un effet très différent de ce que l’on voit au cinéma. En réalité, on a l’impression de ne pas être au cinéma et d’être vraiment au côté des acteurs (la 3D ajoutant son grain de sel à cela également, j’imagine). C’est assez difficile à expliquer, mais c’est un peu comme si vous regardiez les bonus d’un film, ou une petite série-TV française… tout en étant que c’est bien un film et que vous vous en prenez plein la vue….  Les acteurs ont des mouvements tellement fluides qu’on ne sent pas plus au cinéma… Au fond, passé la surprise, cela donne un certain effet d’intimité. On sent donc un peu plus que les décors ne sont pas réels, les éclairages… mais sans que cela ne soit dérangeant ou fasse trop effets spéciaux… on se sent juste transporté dans l’univers du film.

Je serais vraiment curieux de voir d’autres bons films tournés de ce genre, car il est certain que le 48fps imposera des moyens importants pour que le film soit réaliste !

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Video Games, jusqu’à la dernière page.

Video Games, jusqu’à la dernière page.

Et voilà, je viens de terminer les dernières pages du roman Video Games, un livre présenté un peu avant Noël comme le « Twilight » pour Geek fan de jeux vidéo et mettant bien en avant sa paternité par le scénariste de la série en vogue : Game of Thrones.

Commencé il y a seulement 2 mois, j’ai été assez rapide pour venir à bout des 300 pages de ce roman. Il me faut bien admettre que le début m’avait plutôt bien attiré, et j’avais enfilé les chapitres rapidement pendant mes vacances à Montpellier. Mais rapidement l’ambiance qui me plaisait s’est évaporé et fil des chapitres la motivation à pour suivre la quête d’Adam Pennyman n’était plus là.

C’est vrai que j’avais pourtant bien accroché à l’approche métaphysique étonnante proposée sur Pacman ou Donkey Kong. A la relation ambiguë entre le singe, la princesse et le charpentier… à l’espace intemporel que parcours Pacman lorsqu’il traverse le tunnel,… mais hormis cela, de nombreux éléments ont commencé à me déranger.

Je pense que tout d’abord, le plus difficile est de pouvoir s’identifier à Adam. Ses réflexions entre sa quête aux motivations tordues et le monde autour de lui, son boulot, « les femmes » est tellement bizarre que l’on ne peut s’y retrouver. J’ai même eu de fil en aiguille un besoin de me désolidariser complètement de toute ressemblance éloignée à quelqu’un comme lui.

On sent également fortement une grosse différence de qualité et d’intérêt dans la narration entre certains chapitre. Et pour cause ! A l’origine, il s’agit d’une nouvelle « Lucky Wander Boy » écrite au début des années 2000. Elle raconte l’histoire d’Adam qui part à la recherche désespérée de la conceptrice d’un jeux-vidéo très rare qui l’avait marqué quand il était gamin… Autour de cette dernière, D.B. Weiss à broder une histoire un poil plus complexe,… juste un poil. Alors que je m’attendais à une histoire « moderne », on sent très vite des références à un univers « Geek » qui n’a existé qu’une fraction de seconde dans notre monde…

En effet en 2013, une histoire qui se place à l’époque de l’arrivée des d’Internet et des Start up à la Yahoo et Caramail, fait bien vieillotte.

Bref, très rapidement, le concept du catalogue de jeux obsolète, laisse place à des délires sur des jeux qui n’existe pas en réalité, tel que Eviscerator et Lucky Wander Boy… Et j’ai un peu de mal à vraiment accroché à tout cela.

Bref, Video Games reste pour moi une déception. Je dois bien dire que je préfère mille fois lire un bon Pix n Love pour rester dans le sujet. Mais au moins suis-je arrivé au bout !

Je passe donc maintenant au roman Les Âmes Vagabondes, qui vient d’être transposé au Cinéma.