8eme album parmi mes préférés, celui de Jenifer qui est aujourd’hui ma chanteuse préférée. Je pourrais juste vous déposer la couverture de l’album sans rien dire et vous laissez réagir ! « Ah oui, moi aussi, elle déchire », « Nan sérieux, toi Cyborg Jeff tu écoutes JENIFER !? »… Mais vous me connaissez, j’ai toujours quelques choses à rajouter !
J’ai regardé la Star Ac’. C’était la première émission de télé réalité que je découvrais à la télévision à une époque où YouTube et Netflix n’existait pas,… Ou Internet n’était encore qu’à ses débuts. J’ai donc vécu devant le petit écran 36cm de la salle à manger la naissance de Jenifer du Château à la scène !
C’est vrai, c’était alors bien différent de mon style musical électronique, mais j’aimais vraiment la vibration de sa voix lors de chacun des « Primes ». Je m’en souviens encore « D’aventures en aventures« , « Gimme Gimme », « En Harley Davidson« … et lorsque vinrent les premiers singles, il fallait bien admettre qu’ils étaient très sympas, jusqu’à la sortie de ceux de la génération « Ma Révolution« .
En 2013, nous voilà en route pour notre première escapade dans le sud de la France avec une étape entre Dijon et Lyon. Je me souviens parfaitement de ce moment. Alors que nous allions reprendre la route, j’attends madame qui est allé chercher des pains au chocolat dans une boulangerie. Je suis dans la Kangoo, le soleil se lève sur une jolie propriété cachée derrière un mur de vieilles pierres, cela sent bon les vacances et passe alors à la radio sa nouvelle chanson « Sur le fil » ! Wouw mais elle est génial cette chanson. Elle l’accompagnera toutes les vacances. Au retour, j’irai chercher l’album à la Mediacité que j’écoute depuis très souvent au côté de son album Ma déclaration, reprises de Chansons de France Gall.
Aujourd’hui j’écoute surtout son nouvel album Nouvelles Pages, particulièrement réussi, les textes sont encore plus parlant… Mais cela restera L’amour et Moi qui marque la prise de conscience !
Et puis, de cette génération « Star Ac' » il y aussi un ré-écoute de morceaux que je trouvais alors « ringard » qui ont pris un peu plus de sens, ce premier pas dans le constat que les textes des chansons d’avant étaient souvent plus intéressant que ceux de bons nombres d’artistes d’aujourd’hui… Bref, je vous laisse un « Sur le Fil » à écouter !
Wouw, c’est avec beaucoup de fierté que je vous propose aujourd’hui de découvrir et d’écouter non pas 1, mais 3 nouveaux albums signés Cyborg Jeff ! J’ai en effet choisi de concentrer le partage des OST composées pour les jeux-vidéo Wolfling, Relentless et GridPix, tous trois programmés pour le mythique Commodore 64 ! Vous l’aurez donc compris, musicalement attendez-vous du Bliip Bilibiiip, certes, mais du Bliip Bilibiiip qui vous fera groover sur votre chaise, joystick à la main entre l’obscure donjon du Baron Baranov aux zones hostiles des confins de l’univers en passant par un cocktail acidulé vous aidant à vous remuer les méninges. Allez, ne faites pas les timides, montez le son, c’est gratuit et cela vous donnera même envie de jouer un peu !
Wolfling – C64/NES (Lazycow – RGCD, 2019)
Commençons tout d’abord par les musiques du jeu Wolfling dont j’avais déjà eu l’occasion de vous parlé il y a 1 an et demi. Il s’agit d’un jeu de plate-forme ambitieux réalisé par Matthias Bock reposant sur le moteur de son précédent titre Power Glove dont j’avais par ailleurs également composé la bande son il y a déjà 6 ans ! Retour à l’automne 2017 où Matt me propose de collaborer à ce projet initialement prévu sur la console phare des années 80, la NES/Famicom de Nintendo. L’ambiance est posée, notre petite héroïne est marquée d’une malédiction qui la transforme en loup garou sous les rayons de pleine lune, ce qui lui vaudra de se retrouver enfermée dans le donjon du Baron Baronov… c’est ici donc que le joueur commencera son aventure qui le mènera également dans quelques lieux extérieurs et sous-terrains.
Wolfling – NES (Lazycow – RGCD, 2019)
Visuellement, les influences 8bits font évidemment rapidement penser à Castlevania et Legend of Zelda, grands classiques de l’époque. De mon côté au moment de poser l’univers sonore je tâcherais de ne pas trop me disperser cherchant essentiellement à m’approcher de la qualité de « Vampire Killer », les thèmes Overworld des Tortues Ninja et Legend of Zelda ou encore ‘Jungle‘ de Contra/Probotector plutôt qu’à en singer le style. C’est d’ailleurs tout d’abord une création à la guitare de mon frère Pype : Nightmare qui sera le point de départ à l’univers de ce que j’appellerais un bon moment le projet Wolfling Zero.
Wolfling – C64 (Lazycow – RGCD, 2019)
La version NES remportera la 3° place de la NESDEV début 2018 et quelques mois plus tard, Matthias se lancera dans la conversion du jeu sur notre Commodore 64 préféré ! De mon côté le défi est plus qu’intéressant. Si j’ai évidemment fait mes armes avec la bande son de Power Glove en 2013, composée sur Goat Tracker, j’aimerais techniquement pousser le processeur sonore SID du Commodore plus loin que cette première expérience. D’autre part, initialement composée avec 5 canaux sonores simultanés, la bande son de Wolfling a été pensée en référence au monde de Nintendo et à de la musique 8bits made in Japan. Sur Commodore 64, les compositeurs européens avaient une approche musicale différente, avec des sons moins doux, plus rugueux. Je voulais donc que mes mélodies ne soient pas de simples portages mais qu’elles vivent à la sauce C64, avec ce plaisir d’écouter la musique autant que de se perdre dans les couloirs du château. Donner l’envie d’aller encore plus loin, de recommencer l’aventure…
Aah, ce que j’aime les vacances en France ! D’autant que cette année nous partions « à l’aventure » dans une contrée encore non-explorée entre Arcachon et Bayonne, de quoi découvrir les Landes et même le Pays Basque. Comme je vous en parlais début du mois en goupillant le Road Book, nous avions choisi de découvrir le Camping Sandaya du Col Vert. L’année dernière nous avions testé la chaine Feerix à Marseillan. J’y avais très apprécié les animations pour les enfants, mais j’étais assez déçu du confort de notre « Mobilhome ». Ici, avec un standing 4 coquillages et malgré un modèle en 40m2 pour nous 6, j’ai été agréablement surpris de l’optimisation des lieux. Fini de me cogner partout ou ne savoir où m’assoir. De manière générale, le camping était moins aride qu’à Marseillan et la piscine, tant pour les grands que les petits était très chouette et je n’ai pas eu l’impression qu’il y ai eu trop de monde. Nous avons pu profiter de la location de vélo pour aller faire des balades. Impossible de mettre tous les vélos dans la voiture, mais j’étais tout de même content d’avoir pu glisser le vélo d’Alice et Juliette au dessus des bagages, dans le coffre, histoire que les filles poursuivent leur maitrise du deux roues !
Megaplouf dans la piscine du camping du Col Vert – Sandaya
Nous n’avons pas eu l’occasion de beaucoup profiter de la plage au bord du lac car bien sur nos vacances sont toujours remplies de visites et cette fois encore nous aurons parcouru pas loin de 4000km en 10 jours. Enfin, reste que les activités dans le camping m’ont du coup semblé un peu en retrait face à Carabouille et Gauffrette qui « mettaient l’ambiance » au camping Féerix ; )
Carte des vacances
Bref, je nous avais concocté un sacré Roadbook dont nous n’avons pu faire que quelques embranchements, de quoi envisager donc revenir dans cette région qui m’a vraiment agréablement plue… Un petit mélange entre les Polders de notre Mer du Nord et les Hautes Fagnes, bref en route pour nos vacances d’Arcachon à Bilbao en passant par San Sebastian, Biscarosse ou encore Espelette…
J1. Hossegor : Surf, Rollers et glaces
Vacances au camping Col Vert – Sandaya – Premier plouf dans la piscine
Partis un peu plus tôt que d’habitude pendant la nuit, le contournement de Paris s’est passé sans encombre et nous arrivions, pauses comprises en fin de matinée à notre Camping du Col Vert. Le temps de découvrir celui-ci, la petite plage au bord du Lac Léon, le petit restaurant, notre « cottage » et nous nous empressions d’aller découvrir la piscine sous un soleil radieux ! J’étais un peu inquiet, qu’en pleine saison, celle-ci ne soit noire de monde, rendant la gestion des 4 petits monstres, mais il n’en fut rien. L’espace « enfants » (jusqu’à 10 ans) était d’ailleurs plus qu’agréable et notre petite sirène Rose s’y est donné à coeur joie.
Hossegor, capitale du Surf et des rollers
En fin de journée, malgré le gros 1000km parcouru, nous prenions à nouveau la route pour passer un moment à Hossegor, « capitale » du Surf et des rollers. Comme beaucoup de stations balnéaires de la région, Hossegor se coupe en un coté plage et un coté centre. Ce dernier se situant au bord d’un lac aux eaux plus paisibles. Avec ces magnifiques villas et son coté un peu chic, le centre d’Hossegor m’a bien plu et j’y ai mangé, toutes régions de France confondues, les meilleures glaces qui soient ! Régulièrement l’idée de refaire étape à Hossegor en cours de journée s’est d’ailleurs envisagée… pour les glaces, les magasins ou encore le parc de jeux pour enfants… mais notre soif de découvertes nous a emmené toujours un peu plus loin.
J2. Dans le bassin d’Arcachon
C’est l’heure du petit déjeuner avant de partir en visite
Alors qu’en Belgique, il fait chaud avec un soleil qui ne semble jamais vouloir s’éteindre, au bord de l’Océan, non loin des Pyrénées, la météo est un plus capricieuse. Avec un tel roadbook, il s’agit de bien faire ses choix. J’avais donc prévu pour cette 2° journée de nous rendre à Gujan Mestras, la ville aux 7 ports au bord de bassin d’Arcachon, d’y louer des vélos et se faire une grande balade avant de terminer la journée à Arcachon, voire se rendre jusqu’à la Dune du Pilat. Mais changement de programme, arrivés à Gujan Mestras… nous sommes restés assez perplexes quant à cette étape. Je dois bien admettre que les différents lieux à visiter autour du bassin, et de manière générale dans la région ne permettent pas vraiment de se faire une bonne idée de l’intérêt ou non d’y faire étape au départ de leur site internet. Dans les faits, Gujan Mestras étale ces 7 ports dans un genre de bassin ostréicole plutôt industriel et le long d’une voie de chemin de fer. Après deux tentatives d’arrêt sans y trouver d’âme… nous avons donc repris la route jusqu’à Arcachon.
En bateau dans le bassin d’Arcachon
Ville plus importante, très appréciée de Napoléon pour ses bienfaits thérapeutiques, Arcachon offre un très bon compromis entre ambiance commerciale, plage, architecture et histoire. J’aurais aimé y rester un peu plus longtemps pour y découvrir la ville d’hiver et ces villas d’époque. Après une pause restaurant sur la place du marché, nous avons été faire un petit tour en bateau voir de loin, certes, mais voir tout de même l’île aux oiseaux et la Dune du Pilat, deux attractions typiques de la région. C’était une première pour notre grande famille que de monter dans un bateau, et les enfants ont grandement apprécié cette excursion d’une heure en mer.
Le GPS TomTom est mort !
Le retour fut ponctué d’un peu d’aventure supplémentaire, la mort de notre GPS, alors que nous étions à plus d’une heure du camping. Il aura fallut se reposer sur un Google Map pas vraiment adapté à la conduite accroché avec les chouchous de Rose à notre feu TomTom…
Cette « virée » vers le nord, du coté d’Arcachon aura pour finir été la seule de nos 10 jours de vacances. il restait pourtant encore tant à y découvrir, comme tout le coté du Cap Lège-Ferret ou le petit port de Biganos… une autre fois peut-être…
Il y a quelques semaines, nous fêtions ns 10 années de mariage ainsi que nos 18 années à deux. Durant toutes ces années, nous avons eu l’occasion de nous trouver passion commune à découvrir villes et villages et organiser de nombreux trips en famille. Pour nos 10 ans, nous rêvions d’Ecosse, mais un tel voyage sans les enfants étaient encore un peu utopiste, nous nous sommes alors dit que Versailles nous plairait également, comme je vous en parlais en préparant le City Trip.
Paris Montmartre en amoureux
J’avais en tête que Versailles était grand de mon étape éclaire lors d’un voyage découverte de Paris gagné à l’école en 1990 et que nous n’en aurions donc pas pour 2h pas plus, néanmoins envisager de passer un moment à Paris dans le même Weekend, pourquoi pas ! Il allait pourtant falloir un peu improviser avec une grève « surprise » des Trains et RER. Nous tentions donc avec efficacité l’installation de Uber sur notre smartphone pour nous rendre sur la bute de Montmartre, flâner dans les magasins à touristes, découvrir le Sacré Coeur, boire un verre en terrasse avant de découvrir les métros de Paris à l’aide de l’app RATP afin de sauter d’un endroit à l’autre de la ville faire un tour en bateau sur la Seine, faire une photo de la tour Eiffel, manger un morceau dans le vieux Paris et terminer la promenade dans le quartier des artistes avant de reprendre un train jusque Versailles… Oui, on en a eu un !
Cela change évidemment de notre visite avec les enfants de Paris il y a quelques années…
Entre l’anniversaire d’Alice et Juliette et la Saint Nicolas, le château de princesse Playmobil s’est agrandi d’un nouvel étage et étoffé de nouveaux éléments. Il était donc grand temps que je monte dans la chambre des filles faire un peu de rangement ! Bref, dimanche… papa a rangé les Playmobil !
Il était une fois,….
Il était une fois, dans un majestueux chateau, une jolie princesse avec de longs, très looooongs cheveux. Elle ne s’appelait ni Raiponce, ni Belle ni même Jasmine.