Archives de
Tag: Belgique

7 Places + les courses

7 Places + les courses

VW Caddy Maxi Life - 7 places - CoffreArrivée avec un bon mois d’avance, nous avons donc reçu notre nouvelle VolksWagen Caddy Maxi Life en version 7 places. Vous aviez suivi longuement mes diverses réflexions sur le choix de cette voiture. L’équation était complexe et peu de véhicules de ce fait ressortaient du lot, avec un dernier trio composé de l’ancienne Caddy 7 places, le nouveau modèle et la Ford Grand Tourneo.

1° Défi : Faire les courses en mode 7 places.

L’un des premiers défis de notre nouveau carrosse, était donc de remplir le coffre des courses du mois. Tout en restant en mode 7 places, le défi est relevé haut la main avec 9 casiers dans le coffre. Cela peut paraître original comme approche, mais c’est le genre d’info que j’ai cherché avec beaucoup de difficulté. Qu’est-ce qui rentre concrètement dans le coffre des différents modèles en mode 7 places… et c’était l’un des éléments les plus importants pour moi dans le choix finale. Disposer d’un coffre généreux et d’un rang 3 suffisant sécurisé est accessible !

2° Défi : l’accès au rang 3

VW Caddy 2015 - accès rang 3J’avais analysé bon nombre de concurrentes dont par exemple la version 7 places de ma Peugeot 5008. Pour accéder aux deux derniers strapontins il fallait passer par le coffre ou plier le siège avant et marcher par dessus, peu pratique au quotidien ! Dans la VW Caddy, je peux soit enlever complètement l’un des sièges du Rang 2 ou également le plier/pousser contre le siège du Rang 1. L’accès est alors très aisé vers le rang 3 et je peux même très facilement entrer dans l’habitacle pour aller attacher les sièges autos !

Le 3° défi à venir sera dans cette configuration de vivre au quotidien les 3 sièges auto et le maxi-cosy. Le rang 3 est extrêmement généreux en place et l’on a beaucoup d’espace pour attacher les ceintures. Au rang 2, les 3 places sont par contre plus serrée que sur la Peugeot 5008 ou un VW Sharan par exemple, probablement proche du Renault Kangoo. Il faudra donc glisser les mains dans des espaces plus étroit… à suivre !

Lire la suite Lire la suite

Et la Master System dans tout cela ?

Et la Master System dans tout cela ?

Vous le savez je m’intéresse aux anciennes consoles de jeux-vidéo depuis déjà quelques années. Mon ami Santo s’en étonnait dernièrement,  jusqu’ici, j’avais fait l’impasse sur la première console SEGA dans nos contrées, la Master System.  Non pas que je n’en ai jamais rencontrée en brocante,  j’avais bien même une cartouche qui trainait, seule, abandonnée… Cette faille temporelle est maintenant colmatée… enfin presque !

Sortie sur le marché japonnais en 1985 pour contrer le succès de la Famicom de Nintendo (la version japonnaise de la NES), la SEGA Mark III était techniquement plus puissante et proposait de nombreux titres issus du catalogue Arcade de la marque. Pourtant, tant au Japon qu’outre-atlantique,cette dernière n’a pas réellement séduit, se heurtant même à la NEC PC Engine. Mieux connue sous le nom de Master System, ce n’est qu’en Europe et au Brésil qu’elle a sur grignoter des parts de marché. Débarquée au GB Maxitec à la fin des années 80 au coté de la NES et des anciens micro-ordinateurs

Sonic The Hedgehog (Master System)Alex Kid in Miracle WorldA mes yeux donc, la Master System, s’était un peu « les restes ». Quand la file pour jouer à Sonic sur Mega Drive ou Super Mario Bros 3 était bien trop longue… je commençais une partie sur la version Master System. J’ai d’ailleurs probablement dû jouer plus à cette version qu’à la version Mega Drive des premières aventures de Sonic, et j’en garde même un souvenirs moins frustrant.

En réalité, je n’ai besoin que d’une seule main pour compter les jeux auxquels j’ai joué sur Master System, tous en patientant que mes parents fassent les courses : Alex Kid, Sonic the Hedgehog 1 et 2 et Mickey Castle of Illusion.

Lire la suite Lire la suite

Ecran incurvé ?

Ecran incurvé ?

Rappelez-vous, l’hiver dernier je gardais déjà un oeil sur les TVs 2015. Plusieurs raisons à cela. Tout d’abord mon actuelle excellente TV Sony Full HD minutieusement choisie commence à avoir un âge certain et pourrait potentiellement me faire bon. Qui plus est, dans notre nouveau salon, son écran 32′ se montre particulièrement petit rendant la lecture des sous-titres difficile et surtout mettant peu en valeur les productions vidéo que j’ai à y présenter à nos futurs mariés.

Je me suis donc penché sur les produits du moment. En 2015, une télévision plus grande proposant les mêmes caractéristiques que mon actuel Sony Bravia coute plus de 50% de moins qu’à l’époque, mais la qualité de finitions et la connectique y est revue à la baisse tant chez Sony qu’à la concurrence. La 3D est à mes yeux une option inutile, les possibilité de Smart TV (accès à internet, youtube, netflix) sont peu utile ici en Belgique, puisque ces options impliquent un décodeur disposant déjà de ces options. La nouvelle norme Ultra HD (ou 4K) prend le plis sur la Full HD, alors que très faible nombre de contenus existent et dernière « mode », les écrans incurvés ont fait leur apparition.

Ce type de télévision attire le chaland, mais cela en vaut-il le coup ?

Tant via le site de la FNAC que sur RTL, les TV à écran incurvé ne semblent pas avoir révolutionné le monde de la TV. Hormis l’effet Waouw du défi technologique et l’aspect très joli, l’immersion apportée est plutôt relative et se fait plutôt si l’écran est très grand (en dessous de 50′ cela a peu d’intérêt) et que le spectateur en est plus proche.

Par ailleurs, ce type d’écran est optimisé pour obtenir une meilleure vision de l’ensemble de l’image, et moins de reflet… pour peu que l’on soit placer bien en face de la TV. Voilà qui en fait plutôt une TV adaptée plus pour les célibataires que pour une grande famille où chacun sera placé à différents endroits devant la TV.

Bref, pas vraiment convaincu… Même si ces TV sont très jolies… ou presque ! J’ai jeté un oeil à un petit modèle 40′ Samsung en promo par exemple qui est loin d’être joli et même donne l’impression d’avoir un angle de vision beaucoup plus petit que sur une TV normale de la même taille.

Lire la suite Lire la suite

Pacman Syndrome : du jeu-vidéo made in Belgium

Pacman Syndrome : du jeu-vidéo made in Belgium

Art & Magic
Art & Magic

Tiens, hasard du calendrier, je lisais justement la semaine dernière (mai 2015) un article au sujet d’Art & Magic dans le Pix n Love 16. Ils nous raconte l’histoire de Spellsinger, grand projet de cette entreprise qui n’est malheureusement pas sorti des sous-sols. Une épopée magique de notre bassin liégeois. Press-Start vient de publier un bel article dédié aux différents projets d’Art & Magic que je vous invite à découvrir… Et moi je demande, dans la mesure à la société était située à Embourg, s’ils avaient commandés leurs machines chez Automindus !

Présentation à Psygnosis sur un salon. La chouette (le logo de Psygnosis) était un hasard, « mais ça leur a bien plu chez Psygnosis ». La technique des scrollings parallaxes impressionne aussi l’éditeur, à tel point qu’il appelle les développeurs de Shadow of the Beast à la rescousse. Et il leur demande comment ces Belges ont fait ça. Les stars de Shadow of the Beast observent… réfléchissent… assènent « We don’t know ». Yves Grolet et Frank Sauer en retirent de l’assurance et quittent l’Angleterre plus forts, non sans avoir dévalisé les librairies locales pour leurs manuels de programmation. « On ne trouvait rien chez nous à l’époque. » (Un très bon dossier à lire sur Press-Start)

Détail amusant, je n’avais jamais fait attention à l’époque que le jeu Agony n’était pas un jeu de Psygnosis,… pour ma part j’ai fouillé sur Youtube pour tenter de savoir à quoi ressemblait de manière plus concrète le projet de jeu d’arcade Spellsinger.

Press-Start, le site du jeu-vidéo en Belgique, a d’ailleurs pris parti de mettre en avant les productions belges et c’était rendu à la GameCom, le salon du JV en Allemagne afin d’y rencontrer quelques uns de nos jeunes talents dont l’équipe de Pyralis Studio tenue par l’un de mes amis d’enfance Simon Boigelot, qui y présentait son projet de jeu « TheCorp ».

L’économie dirige le monde, sad but true. Depuis sa base à Ans, le petit studio Pyralis l’a bien compris et vous propose une simulation pour vous former à devenir le maître de l’univers. TheCorp vous confiera le destin de l’humanité, à partir de ses balbutiements dans un lointain passé jusqu’à son apogée dans un futur rayonnant. Vers l’infini et au-delà, telle devra être votre devise lorsque vous gérerez les denrées, la chaîne de production, les ressources humaines et l’industrie. Un vrai cours d’économie ludique, il faut le faire ! Avec son jeu de stratégie en temps réel, Pyralis Studio fera de vous un winner. Une création d’utilité publique pour les futurs leaders du monde (libre ?). (Un article à lire sur Press-Start)

Et puis, il y a Epistory, ce projet du studio montois Fishing Cactus dont on parle de plus en plus et dont les graphismes sont vraiment, vraiment attirant ! Press-Start avait également été à leur rencontre il y a quelques mois avant le lancement officiel du jeu relayer aujourd’hui par la presse belge. Au coté d’un style visuel vraiment original, le jeu se démarque également par un gameplay novateur dit de « typing novel », un style épistolaire et une bande son réussie…

L’équipe de Fishing Cactus était fébrile à la veille du lancement de « Epistory, typing chronicles ». Ce jeu pour PC est la première grande production que la société montoise lance sur le marché sous son propre nom. « Après avoir lancé quelques petits jeux pour mobiles, nous avons beaucoup travaillé pour les autres et conçu des jeux qui sont sortis sous le label de grosses sociétés, explique Laurent Grumiaux, directeur commercial. Ça a permis à l’entreprise de grandir, d’engager du personnel, d’aller chercher du capital ». La société a ainsi pu se lancer dans le développement de ses propres produits. « Epistory » est le premier. Sa conception a été entièrement financée grâce aux revenus des productions de Fishing Cactus pour d’autres studios. (A lire sur le site de la RTBF)

Smartphone 2015, 1 an d’investigation

Smartphone 2015, 1 an d’investigation

Voilà un sacré moment que je suis à la recherche du parfait Smartphone devant remplacer le Nokia Lumia 520 de madame. Après avoir plusieurs fois envisagé l’iPhone 5C régulièrement en promotion, j’avais finalement mis les téléphones d’Apple de côté pour deux raisons. Tout d’abord, la qualité du capteur photo avant de ce modèle est ridicule et pour avoir mieux il faut grimper dans un budget démesuré. Deuxièmement l’extrême rigidité du système d’exploitation me semblait être à l’image du Windows qui équipe son actuel Nokia, un frein à son exploitation maximale.

Car en soi, madame n’est pas difficile, mais l’un des points importants du successeur de téléphone était qu’il puisse réaliser d’aussi jolies photos et vidéo que mon Google Nexus 5. J’avais donc un temps envisagé l’achat de ce modèle, mais l’arrivée du Nexus 6, d’un standing pourtant différent avait clôturé la vente de l’excellent Nexus 5. Ce dernier s’était effectivement montré plus que performant avec son capteur arrière 8Mp stabilisé assez réactif en basse lumière et des logiciels Google gérant le tout à la perfection. (Tout du moins jusqu’il y a quelques mois encore).

Si à l’époque un capteur 8Mp était plutôt novateur, en 2015, on en trouve dans bon nombre de téléphones bon marché et c’est alors le capteur avant, la colorimétrie de l’écran et les performances du capteur avant qui sont à prendre en compte. Ajouter à cela une dalle tactile réactive, une batterie qui tient la route, un design féminin et surtout un budget de maximum 300eur… voilà qui rend la tâche bien difficile. Preuve en est, l’analyse aura duré près d’une année avant que le choix ne se porte finalement sur l’Asus Zenfone 2 « Selfie ».

Lire la suite Lire la suite