-1. Le sortilège Loxullio
-2. Le secret du Glupion
-3. Le souffle du néant
Elixirs – Le sortilège Loxullio
Le monde d’Amphel, au centre duquel flotte sur son île la cité libre d’Amporche, est un univers instable. La réalité y a tendance à se déliter. Pour la fixer, des mages utilisent les Élixirs qui doivent être pulvérisés pour que le monde retrouve sa substance. Tolriq, jeune cancre à l’Université de la Magie, songe malheureusement moins à ses Élixirs qu’à ses conquêtes féminines ! Mais l’arrivée de monstres surgis de nulle part change beaucoup de choses, et Tolriq se retrouve protecteur de la princesse Murmillia…
Né d’un scénario d’Arleston (Lanfeust), j’ai découvert Elixirs et les passionnantes aventures de Tolriq, héros malgré lui, en 2006… Il n’y a certes aujourd’hui que deux albums, mais leur contenu donne déjà l’impression d’avoir beaucoup voyagé avec notre groupe de héros… On reste très proche des BDs Fantasy, dans la lignée des Lanfeust… mais ce sont actuellement mes séries préférés !!
« Un poil moins prennant que le premier tome »… l’histoire suit son chemin dans Le Secret du Glupion mais progresse de manière assez stagnante… Il aura fallu attendre un peu trop longtemps le 2° tome et de fait, le premier était de plus un peu loin dans ma tête.
Mais il aura fallu attendre 5 années supplémentaires pour découvrir la suite des aventures de Tolriq. Le Tome 3 d’Elixirs, je n’y croyais tellement plus que j’ai pu tenir près d’un an avant qu’il ne rejoigne ma bibliothèque. Pourtant, cette série avait su il y a quelques années déjà se hisser parmi mes préférées, mélangeant à merveille tout ce qui plait dans les aventures héroïque fantasy chères aux Editions Soleils.
Hors donc, je suis très déçu de ce 3° tome. Tout d’abord, l’histoire s’enlise ! Il est bien difficile de se remettre dans le bain, après tant d’année, alors que l’on nous plonge de suite dans la continuité de l’aventure. Il ne se passe pas grand chose, et l’on semble vraiment lire une parenthèse à la trame principale, histoire de dire qu’un livre est sorti.
Ce sentiment est d’autant plus marquant que la qualité du livre semble elle même bâclée. Là où le trait du dessin des 2 premiers albums étaient irréprochables, celui-ci laisse apparaitre des crayonnés par dessus lequel les couleurs ont été ajoutées. Un crayonné montrant des détails plus précis dans le dessin, mais donnant une ambiance plus sombre. De plus, d’une case à l’autre ces crayonnés sont plus ou moins marqués.
De même certains case semblent floues. Comme si elles avaient été agrandie du dessin originale afin de s’adapter à la mise en page définitive.
Bref, tout dans ce 3° tome donne l’impression d’un album sorti à la va-vite pour en finir au plus tôt !
Oh, on a beau dire que les jeux-vidéo d’avant, c’était pour les vraies Gamers, qu’il était bien plus difficile que maintenant… Dans un sens ce n’est pas faux, mais ils étaient surtout moins mollassons et gnangnan… Oui il fallait tout de suite se mette dans le bain, mourir pour mieux comprendre… Oui, mais, nous avions, faibles enfants que nous étions une arme ultime qui semble dans cette nouvelle génération, révolue… Le Cheat Code !!!
Pour ma part cela remonte à la faste époque des Trainers sur mon C64… où commençait à fleurir les superbes intros de « crackers » avec leur musiques folles… puis la possibilité de : F1 : unlimited time, F2 : unlimited life, … et en plus, j’apprenais des mots d’anglais ! Oui, c’est vrai, j’ai fini Giana Sister à coup de vies infinies… et malgré cela, ce ne fut pas une mince affaire,… j’en fais tomber dans des trous des Giana… et cramer les cheveux aussi… et cela n’a absolument pas couter au plaisir éprouvé sur ce jeu !! Que du contraire.
Bons nombres de jeux Commodore de la fin des années 80 m’arrivaient avec un écran de Cheats (tricherie…) activables, je n’abusais jamais de la chose, mais pouvoir disposer de vie infinie me permettait de pouvoir envisager aller le plus loin possible dans le jeu, sans trop de frustration… et surtout sans passer une éternité derrière mon écran.
Au début des années 90, mon C64 rentrant un peu dans le rang, c’est sur PC MS-DOS que je commence à jouer… et là, dans un premier temps il faut bien se débrouiller par soit même… Oh certes, merci Titus, Les Aventures de Moktar nous donnaient le challenge de trouver le Code du Niveau, avant d’arriver au bout de celui-ci, histoire de pouvoir repartir de ce point en cas de mort complète !! C’était une idée motivante qui a d’ailleurs fait recette également dans Prehistorik 2… Ceci dit, les codes étaient générés aléatoirement en fonction de la config de la machine… Trouver donc le code du niveau des Catacombes chez mon ami Vivien m’obligeait tout de même à le retrouver à la maison… Keen Commander, allait lui nous faire découvrir les joies des parties Sauvegardées !!! Waow… là c’était le pied… Pouvoir repartir à la recherche de l’aspirateur le lendemain, sans tout reprendre… c’était tout de même plus facile… Mais tout de même, quel bonheur lorsqu’un jour, mon ami Xavier Vanhoorick me montre quelques disquettes magiques… Il y avait bien RawCopy, qui permettait de déprotéger une série de jeu (une série de Crack en gros), et une autres disquettes contenant pleins de Cheat Code pour mes jeux préférés…. ETAJV : L’encyclopédie des Trucs et Astuces de Jeux Vidéo… devenu 15 ans plus tard : http://www.jeuxvideo.com
Enfait, c’est bien simple ! A l’époque il existait deux techniques pour tricher dans un jeu ! La méthode douce, demandait de trouver des Codes Secrets ou combinaison de touche permettant de nous envoyer directement au Level 3, d’être invicible, d’avoir de meilleures armes, ou d’arriver à un menu d’options cachées permettant tout cela ! Dans certains jeux consoles, on pouvait trouver un menu : entrer un code, mais le plus souvent, c’était une combinaison de touches, trouvées dans un magasine spécialisée par le frère du cousin du voisin que l’on allait pouvoir tenter un : HAUT, BAS, GAUCHE, DROITE, A+START dans Sonic the Hedgehog afin de pouvoir activer le menu caché permettant de choisir son niveau… Je l’ai vu fonctionner, mais je n’ai jamais réussi à faire la manipulation moi même !
Bon, je cherchais à l’instant un vieux site où j’avais référencé quelques packs de musiques… et je suis tombé sur un projet assez « original » ou je me retrouve acteur sans le savoir… c’est là évidemment le résultat des licences « libres »… Quelques créations que mon frère et moi avions réalisées à l’époque pour le jeu d’aventure La Guerre des Pâquerettes se retrouvent être la bande son du livre audio : La bouille de la comtesse d’Alexandre Dumas, téléchargeable gratuitement et réalisé par AudioCité.net …
l’integrale des jeux nintendo DS éditée par Pix’n Love
Bon voilà, j’ai terminé de consulter le moog « Intégral des jeux DS » édité par Pix ‘n Love… Il est claire que ce bouquin était loin d’être passionnant… Un petit historique intéressant sur l’arrivée de la console portable de Nintendo… puis la présentation, au format pas bien grand des 888 jeux européens réalisés jusque là. Il est claire que j’aurais préféré qu’y soit traité les jeux américains et japonais dont les sites que je consulte non jamais parlé… Une bonne partie des jeux 2009 n’y sont pas… en tout cas, je n’ai pas vu passé le dernier Giana Sister pourtant disponible en Allemagne depuis le mois d’avril, mais dont on ne parle toujours pas sur ETAJV et que l’on ne trouve pas non plus en magasin…
Ceci dit, j’ai tout de même pu y répérer une série de jeux qui s’étaient jusque là perdu dans la masse de trucs déjà dispo… voici donc une petite liste des choses à investiguer pour moi ou pour madame… dans la mesure cette dernière se réintéresserait un peu aux jeux vidéo…. ce que j’ai du mal à me mettre en tête… Bon, on peut aussi trouver dans ce bouquin de bons tuyaux pour les jeux éducatifs pour les plus jeunes… mais je ne m’y suis pas attardé… Charly est encore trop petit… Si quelqu’un est intéressé… je peux lui revendre le bouquin.
Tiens cet aprèm, je passais un coup au Cash Converter de Seraing, dans l’idée de revendre quelques jeux PCs de l’année passée… Comme d’habitude je repars avec, prix de reprise ridicule… et je déambule dans le magasin… Une Gameboy tiens… à ouaip 9,99€ quand même… Vendue au même prix qu’une PSone. Pour 19€ on peut se payer une Gamecube… et il faudrait en mettre 14€ pour une Super Nintendo plutôt mal en point… Puis en sortant, un énorme bac remplis de jeux Gameboy… promo : 4€ le jeu.. Ben dit, moi à 1€ j’en aurais acheter quelques un… mais 4€ ! Bon, s’ils sont toujours là, je négocierais un peu avec Cédric quand il sera là… J’avais quand même Kirby et Double Dragon… Bref, voilà qui tombe à merveille pour enchainer avec CES AUTRES JEUX qui méritent que j’en parle !!! Il faut bien admettre que Tetris, Legend of Zelda, Super Mario Land et Kirby’s Dream Land sont tout de même de sacrés classiques !
Ducktales – Gameboy (Capcom, 1990-1991)
Coté jeux de plate-forme, entre Super Mario Land premier et Kirby’s Dream Land, il y a bien sur eu les autres épisodes… Que ce soit le 2° Kirby ou les deux autres Mario, mais j’ai plutôt envie de m’arrêter sur autre chose. Il y a fort à parier, si vous avez eu une gameboy, que l’excellent jeu Duck Tales vous soit passé entre les mains… Non ? Allé si, les aventures de l’Oncle Picsou ! Une superbe réalisation de Capcom alors partenaire de Disney. A l’origine développé pour la NES, il arrive chez nous en même temps que la Gameboy, et vu le niveau de réalisation du jeu, proposant des graphismes plus sympas que Super Mario Land, il fera fréquemment partie des ludothèques d’époque.